Les Uber Files démontrent comment Macron a subordonné les intérêts des Français à son idéologie, à ceux de sociétés étrangères et surtout à son profit personnel. Après MCKinsey, Alstom et bien d’autres, c’est un véritable système qui se dessine.
« Je n’ai pas un tempérament à être sous influence », a affirmé Macron lors de son entretien du 14 juillet à propos des Uber Files. Est-ce à dire que c’est de son plein gré et en toute connaissance de cause qu'il a mis son pouvoir au service - d'encore - une société américaine ? Gênante en soi puisqu'elle s'apparente à un trafic d'influence de la part de celui qui était alors ministre de l’Économie, l’affaire Uber l’est en effet plus encore quand on la replace dans le contexte de l’irrésistible ascension de Macron.