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La France risque désormais d’emprunter plus cher que l’Italie. Alors que Rome a réduit fortement son déficit public en trois ans, Paris a laissé le sien se creuser, ce qui inquiète les investisseurs.
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La France risque désormais d’emprunter plus cher que l’Italie. Alors que Rome a réduit fortement son déficit public en trois ans, Paris a laissé le sien se creuser, ce qui inquiète les investisseurs.

Patrick J. Deneen, professeur de sciences politiques à l’université de Notre Dame et auteur de l’ouvrage influent Why Liberalism Failed, s’est imposé comme l’une des voix les plus critiques à l’égard du paradigme politique qui a émergé après la Seconde Guerre mondiale. Sa thèse centrale est que le libéralisme, loin de garantir une véritable diversité, a imposé un moule idéologique qui subordonne les identités et les traditions à la consommation et à l’efficacité économique.

Une goutte d’eau dans l’océan de fraude qui submerge l’Ukraine. L’entourage proche de Zelensky envoyait chaque mois 50 millions aux Émirats arabes unis, alimentant quelques comptes mafieux avec la très généreuse manne occidentale.
Cette guerre n’est pas seulement un carnage insupportable, elle baigne également dans une criminalité inavouable avec la bénédiction des Occidentaux, pour ne pas dire leur complicité. Et cela, par pure haine de la Russie. Il est vrai qu’on ne peut demander à ceux qui ont voulu cette guerre, d’y mettre fin.

La Chine a pris des mesures contre deux banques de l’Union européenne (UE) en représailles au placement de deux institutions financières chinoises sur une liste de sanctions européennes liées à la Russie, a annoncé le ministre chinois du Commerce, le 13 juillet.

Nous parlions récemment, au RPF de notre inquiétude à voir sombrer le secteur automobile français autrefois florissant, à l’occasion des nombreuses polémiques pour malfaçons qui entachent les voitures actuelles. Coups de frein intempestifs, mauvaise lecture, par les systèmes d’aide à la conduite, des situations particulières, travaux ou centres urbains, airbags défectueux, voyants qui s’allument en permanence, rappels de grandes séries de modèles pour diverses tares de construction, bugs dans les systèmes de gestion informatiques… la réalité est que les normes accumulées par Bruxelles obligent les constructeurs à mettre sur le marché des voitures de plus en plus complexes et logiquement, des édifices technologiques de moins en moins stables, avec une convergence vers ce qui se pratique en aviation avec les machines les plus complexes : autant de temps de maintenance que de temps de vol. Le problème est que le particulier ne peut pas encaisser ce système, il va au travail avec la voiture en question tous les matins et il compte sur sa fiabilité et sa sécurité. Et cela touche aussi bien les derniers modèles thermiques que les modèles électriques, avec des garagistes bien souvent eux mêmes dans l’incapacité de procéder aux réparations. Sachant que dorénavant, le cahier des charges spécialement préparé par les escrologistes ne permet plus d’envisager la mise au point d’un banal moteur thermique et entraînera donc la perte de l’ensemble de ce savoir faire, alors qu’il va rester de nombreux moteurs thermiques indispensables : engins de chantier, de secours, militaires, qui fonctionnent tous au diesel, n’en déplaise aux écologistes, c’est ce que nous avons de mieux pour affronter les pires conditions climatiques et de terrain.

Par Jean-Philippe Chauvin
Mercenaire, c’est ainsi que l’éditorialiste de Challenges (dis)qualifie Luca de Meo qui, de patron du constructeur automobile Renault va devenir celui de la multinationale du luxe Kering sans coup férir et sans avoir vraiment terminé ce pour quoi il avait été recruté il y a cinq ans, c’est-à-dire remettre sur pied Renault et préparer l’entreprise aux défis du lendemain. Comme l’écrit Vincent Beaufils, « Luca de Meo a beau répéter en boucle qu’au bout de cinq ans, le job était terminé, le sentiment est au contraire qu’il l’a abandonné au milieu du gué. D’ailleurs, pourquoi avoir rempilé l’an dernier pour un deuxième mandat de quatre ans si l’essentiel du travail avait été exécuté ? (…) L’automobile est une industrie de temps long ».

Alors que les États-Unis poursuivent (et même intensifient) leurs guerres commerciales simultanées avec l'ensemble du monde multipolaire (c'est-à-dire le monde réel) , ils ont réussi à détruire de fait leurs relations avec l'Inde. L'une des pierres angulaires des BRICS et probablement le seul membre dont les liens avec Washington se renforçaient progressivement, Delhi a opéré un virage à 180 degrés après avoir compris que l'Amérique ne voulait pas de véritables alliés, mais des vassaux et des États satellites prêts à agir contre ses propres intérêts nationaux fondamentaux si cela convenait aux États-Unis.