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économie et finance - Page 223

  • Le coût de l’immigration ? Un pognon de dingue !

    9611-20200508.jpgMieux vaut tard que jamais. La Cour des comptes a publié un audit retentissant. Retentissant parce qu’il officialise ce que tous savaient déjà. O surprise, ô rage, ô désespoir. La cohorte des Victor Hugo afghans et des ingénieurs syriens. Ces enrichisseurs de culture censés nous relever économiquement coûtent finalement à la France et aux Français la bagatelle de 6,6 milliards d’euros. Une paille !

    Plus intéressant encore que ce chiffre sur lequel nous reviendrons, la Cour des comptes détaille dans ce document toute la chaîne de l’immigration. Tout ou presque dysfonctionne dans l’accueil, l’intégration et la régularisation des sans-papiers. On apprend aussi que les titres de séjour octroyés à nos chances pour la France ont augmenté de 38 % depuis l’ère de Nicolas Sarkozy. De quoi pâlir. 276 576 titres de séjours nouveaux ont été distribués en 2019. Un chiffre à mettre en relation avec le nombre non négligeable de ceux qui restent chez nous de manière illégale et ceux qui se font renouveler le précieux sésame.

    Le fantasme balayé de l’immigration choisie

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  • Zemmour/C News : l'Allemagne va-t-elle tuer "cette" Europe ?

    Eric Zemmour : "Les allemands sont furieux"

    "A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle"...

    Au menu de ce Mercredi : Allemagne, économie, Freud et "baby boomers"...

    1. L'Allemagne vient peut-être de lancer la bombe qui va faire sauter "cette" Europe, que nous détestons. Agissant comme de Gaulle au début de la construction européenne (positions abandonnées à partir de Giscard...), les allemands viennent de facto de déclarer leurs juridictions nationales supérieures à la BCE, à la CEDH et autres organismes du "machin" : ils ont raison, ils agissent en fonction de leurs intérêts et non d'une fumeuse idéologie utopique européiste, comme le font maintenant les français... Si les allemands tuent cette Europe technocratique, ce n'est pas nous qui la regretterons. Viendra peut-être alors le temps de la construction d'une autre Europe, celle des Peuples et des Nations historiques, fières de leurs héritages et de leurs identités.

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  • Récession : l’économie française, lanterne rouge en Europe

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    Les chiffres des économies européennes sont tombés, concernant le premier trimestre 2020. Ils sont édifiants, la récession est généralisée, à des niveaux inconnus dans l’Histoire. Jugez plutôt : Allemagne -2 % ; Italie -4,7 % ; Espagne -5,2 % ; France -5,8 %.

    Tous les pays sont dans une situation catastrophique et personne ne peut compter sur une situation meilleure chez les voisins qui pourrait aider à faire repartir la croissance. Et encore, ces chiffres portent sur une période de confinement de quinze jours en France, trois semaines en Italie ou en Espagne. Comment se présentera le deuxième trimestre, dans ces conditions ? Il y a fort à parier que la récession sera encore bien pire, car le redémarrage qui suivra le  se fera très certainement en douceur…

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  • La Cour des comptes chiffre le coût de l’immigration à 6,6 milliards d’euros pour l’année 2019

    Dans son dernier rapport sur «l’entrée, le séjour et l’accueil des personnes étrangères» en France, la Cour des comptes chiffre le coût de l’immigration à 6,6 milliards d’euros en 2019. On y apprend également que l’octroi des premiers titres de séjour a augmenté de 38% depuis les années Sarkozy. 276.576 titres de séjours ont été délivrés en 2019.

    Autre enseignement de ce rapport, la Cour des comptes vient de montrer que les deux procédures (onéreuses) d’expulsions de personnes en situation irrégulière, départs aidés ou forcés, ont un résultat médiocre. Il n’y a que 15 % de reconduites à la frontière. La cour a repris les chiffres de 2018 et obtient le ratio de 15 % (30 276 départs pour 132 978 mesures prononcées). Et la Haute autorité de résumer la situation : « Ces chiffres ancrent l’idée d’une politique de départ peu efficace. »

    Le Figaro / Valeurs actuelles

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-cour-des-comptes-chiffre-le-cout-de-limmigration-a-66-milliards-deuros-pour-lannee-2019

  • La justice allemande épingle la BCE

    La BCE prise à revers ! Dans un arrêt rendu ce mardi, la Cour constitutionnelle allemande a remis en cause la politique anti-crise de la Banque centrale européenne. Une première en 22 ans d’existence qui pourrait menacer le plan de soutien à l’économie européenne lancé par l’institution. Dans les faits, les juges de Karlsruhe exigent que la BCE démontre, dans les 3 mois, qu’elle n’a pas enfreint les traités européens avec ses rachats de dette publique des Etats membres. Une politique que la justice allemande juge « douteuse ».

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  • L’accord de libre-échange UE-Mexique révolte les agriculteurs français.

    (Un grand merci à nos amis du GAR d'avoir relayé cette information et d'y avoir apporté une réponse politique)

    Pendant le confinement, l'Union Européenne continue ses mauvais coups contre la souveraineté alimentaire française et nos producteurs agricoles ! Alors que la mondialisation et le libre-échange sans limites ont prouvé qu'ils étaient dangereux pour les équilibres économiques et sociaux locaux, l'UE fait l'inverse de ce qu'il faudrait faire, au nom du "tout-marchand" et du "tout-échangeable"...
    Notre riposte commence par le fait d'acheter français et le plus local possible, et bio, si cela se peut ! Aidons nos agriculteurs et faisons échouer le libre-échangisme qui n'est bon ni pour l'environnement ni pour nos producteurs !

    Sources : https://www.ouest-france.fr

    https://reporterre.net

    Mardi 28 avril, l’Union européenne et le Mexique ont conclu les négociations d’un nouvel accord commercial de libre-échange, en discussion depuis 2016. « La lutte que nous menons mobilise toute notre énergie, mais nous avons aussi fait progresser notre programme en faveur d’un commerce ouvert et équitable, qui n’a rien perdu en importance », s’est réjoui le commissaire au Commerce, Phil Hogan, dans des propos relayés par le journal Ouest-France.

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  • Coronavirus : changer de modèle économique ? Pas si vite...

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    Par Patrick Artus*

    Les intellectuels, les économistes, les hommes politiques évoquent en Europe le passage à un autre modèle économique après la crise du coronavirus, passage qu’une très grande partie des opinions appelle de ses vœux. Il s’agit de s’occuper davantage du long terme, des activités stratégiques, des salariés mal payés mais indispensables, des populations les plus fragiles... Bref, de remédier à de nombreuses anomalies du modèle économique de l’Europe soulignées par cette nouvelle crise : la délocalisation de l’industrie du médicament et du matériel médical, le sous-investissement dans le système hospitalier, l’existence de populations fragiles (salariés titulaires de contrats de travail très courts, familles monoparentales...), la dépendance de l’activité économique vis-à-vis de certaines professions pourtant mal payées, donc peu considérées.

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  • Coronavirus : cinq millions de masques vendus en quelques heures chez Lidl

    Depuis lundi, les masques sont disponibles à la vente dans la grande distribution. Chez Lidl, ils ont tous été vendus en l’espace d’une matinée.

    C’est l’objet que tout le monde s’arrache en ce moment : le masque de protection. À une semaine du déconfinement, ces masques pour le public – chirurgicaux et textile – sont vendus dans les pharmacies, les petits commerces mais aussi la grande distribution, depuis lundi. Les magasins, notamment Lidl, ont fait face à un afflux important de clients.

    L’express

    https://www.tvlibertes.com/actus/coronavirus-cinq-millions-de-masques-vendus-en-quelques-heures-chez-lidl

  • Fruits et légumes la flambée inflationniste

    C’est un article du journal la Provence qui découvre que les prix des fruits et légumes sont en forte hausse.

    Du coup le journal se demande donc mais: « pourquoi le prix des fruits et légumes a flambé depuis le début du confinement » ?

    « Selon une étude de l’UFC-Que choisir, le prix des fruits et des légumes a bondi de 9 % entre la semaine du 2 au 9 mars et celle du 6 au 11 avril. Une hausse qui varie selon les produits : de 6 % pour les produits classiques jusqu’à 12 % pour celles et ceux qui consomment bio.

    La raison de ces écarts ? La crise du coronavirus, certes, mais aussi le fait que certaines productions soient devenues plus rares. C’est le cas des citrons verts bio, dont le prix a grimpé de 16 % alors que celui des tomates en grappe bio a augmenté de 25 %.

    Selon UFC-Que choisir, la hausse des coûts de production est elle aussi responsable de cette augmentation des prix. Les frais de transport auraient augmenté de 30 % et il faut aussi souligner le fait que la mise en place de mesures de sécurité comme des masques mis à disposition ou le nettoyage du matériel n’aide pas puisque cela génère des coûts supplémentaires.

    Autre facteur pointé du doigt pour expliquer cette hausse des prix : la difficulté à importer des produits d’Espagne, d’Italie ou de Pologne du fait de la crise du Covid-19 et de la fermeture des frontières ».

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  • De crise en crises, quelle issue ?

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    Voici aujourd'hui le point de vue de notre ami Patrick Parment, directeur du Journal du Chaos et contributeur régulier depuis leur création, en 2006, de notre site et de notre revue. 

    Dans sa revue de presse hebdomadaire, Le Journal du Chaos, envoyée gratuitement tous les samedi depuis plus de dix ans à ceux qui en font la demande* et reprise sur notre site, Patrick Parment recense et commente l'actualité de manière pour le moins... non-conformiste.

    S.N.

    Patrick Parment

    Il est extrêmement problématique d’avancer les leçons que tireront nos responsables politiques tant en France qu’en Europe de cette crise provoquée par le coronavirus. Une chose est toutefois certaine, chaque pays européen a réagi en solitaire et en fonction de sa culture face à la pandémie. D’où cette disparité des réactions. Une fois de plus, l’Union européenne a marché en ordre dispersé et a apporté en urgence, la seule et unique réponse qui s’imposait à elle, à savoir monétaire via la Banque centrale européenne.

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