Cadre de direction dans une grande institution financière française, Jean-Paul Tisserand a été de 2011 à 2017 l’un des principaux contributeurs à la réflexion économique du Front National. Dans son ouvrage « Front National : un économiste dans la tourmente », Jean-Paul Tisserand montre à quel point Marine Le Pen a négligé les travaux des économistes du Front National comme le passage d’une monnaie unique à une monnaie commune ou encore la réforme bancaire. Pour l’invité de « Politique & Eco », seule une alternative politique crédible pourra éviter à la France le désastre d’un second quinquennat macroniste.
économie et finance - Page 225
-
Politique-Eco n°273 avec Jean-Paul Tisserand : Sortie de l’euro, réforme bancaire… pourquoi ça coince ?
-
Boycott des produits français, cyber-attaques… le monde musulman nous a déclaré la guerre
Alors que le tyran islamiste Erdogan continue de déverser impunément sa bile sur notre pays, le déchaînement de haine anti-française auquel nous assistons depuis plusieurs jours dans ce monde musulman qui ne fait, lui, absolument aucune différence entre « islam » et « islamisme » ne cesse de gagner du terrain, et prend même désormais la forme d’une guerre qui n’ose pas dire son nom. C’est ainsi que, outre le boycott de nos produits déjà officiellement décrété par plusieurs pays musulmans, des dizaines de sites Internet français ont fait l’objet au cours de ces dernières 72 heures de cyber-attaques, accompagnées de messages appelant ouvertement à la décapitation de nos compatriotes et à la destruction de la France.
-
Eric Zemmour : « En reconfinant, on nous mène à la mort économique (…) La politique d’un pays est défini par l’engorgement des hôpitaux…» (Vidéo)
Eric Zemmour : « En reconfinant, on nous mène à la mort économique (…) La politique d’un pays est défini par l’engorgement des hôpitaux…» Retrouvez l’émission face à l’info du 28 octobre 2020.
-
Sur Sud Radio avec André Bercoff, Hervé Moreau : "La France est à deux doigt de déposer le bilan".
Avec Hervé Moreau, Capitaine de Gendarmerie, en poste au sein de la base de défense de Creil en qualité d’officier de liaison gendarmerie, publie "Vérité d’un capitaine “ aux éditions Guy Bouliane.
-
Francis Sorin : « Le nucléaire répond aux grands problèmes auxquels l'humanité se trouve aujourd'hui confrontée »
Francis Sorin est directeur du pôle information de la Société française d'énergie nucléaire (SFEN) et auteur d'un livre intitulé « Le Nucléaire et la planète ».
M&V : Peut-il se produire le même type d'accident en France qu'à Fukushima ?
Francis Sorin : Personnellement, je ne le pense pas. Nous n'avons pas le même type de réacteurs. En France, les centrales sont équipées de réacteur à eau pressurisée, munis de deux circuits. À Fukushima, il s'agit de réacteurs à eau bouillante, qui n'ont qu'un seul circuit, ce qui engendre une pollution radioactive de l'eau.
Par ailleurs, les enceintes de confinement des réacteurs français à eau sous pression sont plus épaisses et solides. En troisième lieu, dans les centrales françaises, des recombineurs d'hydrogène sont installés à l'intérieur des enceintes de confinement : la baisse du niveau d'eau à l'intérieur d'un réacteur provoque une production d'hydrogène et de vapeur d'eau, et la pression s’accumule. Ces recombineurs transforment l'hydrogène en eau, ce qui permet de faire baisser la pression et d'éviter qu'une explosion ne se produise, comme à Fukushima. Enfin, nos enceintes de confinement sont équipées de filtres à sable, qui nous permettent d'ouvrir l'enceinte pour soulager la pression : la vapeur part à travers le filtre, qui piège les radioéléments. Tous ces éléments permettent de supposer que dans une séquence accidentelle, nos réacteurs pourraient mieux se comporter que les japonais. Je reste cependant prudent, car il existe toujours des risques. Contrairement à une légende, les acteurs du secteur nucléaire n’ont jamais prétendu qu'il fallait écarter toute possibilité qu'un accident grave se produise. Nous pensons toutefois que c'est improbable et que le respect de consignes rigoureuses permet de limiter ce risque.
-
La fiscalité verte pénalise trois fois plus les ménages pauvres que les classes aisées
Un rapport de Bercy montre que les ménages français acquittent 915 euros par an en moyenne de fiscalité énergétique pour leur logement et leur véhicule. Ces taxes sont très inégalitaires et représentent un effort de 4,5 % des revenus pour les 20 % des Français les moins riches, contre 1,3 % pour les plus aisés.
-
Une date, un événement : 26 octobre 1941, la Charte du Travail par Pierre VIAL
« Le régime économique de ces dernières années faisait apparaître les mêmes imperfections et les mêmes contradictions que le régime politique. Sur le plan parlementaire, apparence de liberté. Mais, en fait, asservissement aux puissances d’argent et recours de plus en plus large aux interventions de l’État.
Cette dégradation du libéralisme économique s’explique d’ailleurs aisément. La libre concurrence était à la fois le ressort et le régulateur du régime libéral. Le jour où les coalitions et les trusts brisèrent ce mécanisme essentiel, la production et les prix furent livrés, sans défense, à l’esprit de lucre et de spéculation.
Ainsi se déroulait ce spectacle révoltant de tant de millions d’hommes manquant du nécessaire en face de stocks invendus et même détruits dans le seul dessein de soutenir le cours des matières premières. »
-
« Pour le Medef, un reconfinement ce serait l’écroulement de l’économie ! » L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Après vous avoir alerté pendant des semaines sur la seconde vague et la stratégie « stop and go » ou du confinement en « Yo-Yo », nous y sommes. Et même les plus sceptiques seront obligés de reconnaître, non pas la réalité de la maladie, puisque nous avons les « cenéqunegripetistes » d’un côté et les « portonsnosmasquesquandmêmistes » de l’autre mais au moins la réalité de ce qui arrive à savoir qu’ils soient d’accord ou pas, ils se prennent 135 euros d’amende dans le cadre d’un couvre-feu de plus en plus vaste et étendu. Je vous ai « presque » tout dit et annoncé des différentes phases. Evidemment, ce n’est pas terminé. Ceux qui veulent comprendre et lire entre les lignes comprendront. Ceux qui ne veulent pas, et bien, je leur souhaite tout le meilleur.
De la même manière que quelqu’un a dit « et pourtant elle tourne », malgré les critiques et les commentaires pas toujours très sympathiques, je peux vous le dire…. « et pourtant on va reconfiner ».
Nous allons reconfiner. Un peu, beaucoup, moyennement, seulement le week-end, en laissant les écoles ouvertes idéalement et en les fermant à l’ultime moment, mais nous allons reconfiner. Ce n’est qu’une question de temps, de jours, peut-être même avant la rentrée scolaire de la fin de nos vacances de la Toussaint. Peu importe le nom donné à cette seconde phase. Le mot confinement sera peut-être même savamment évité, mais c’est de la sémantique pour neuneus. Dans les faits, les mesures de restrictions sociales seront à nouveau très fortes et pas drôles du tout.
-
Eoliennes : 20 milliards d'euros pour saccager les côtes françaises ! (texte de 1011)
Quand Sarkozy brasse de l'air, les éoliennes se multiplient. Quitte à saccager les plus beaux sites et à exaspérer les riverains, pour produire une électricité plus chère…
Début février, la cour d'appel de Nantes a confirmé, au grand soulagement des riverains qui y sont opposés, l'annulation fin janvier d'un permis de construire accordé en 2004 pour l'installation d'éoliennes à Plouvien, dans le Finistère nord, permis de construire déjà jugé non conforme à la loi littorale par le tribunal administratif de Rennes en 2008, notamment en ce qui concerne la préservation de l’environnement. Pour l'heure, les huit éoliennes continuent de fonctionner, mais l'association locale de défense de l’environnement entend bien, malgré la volonté de l’exploitant de contester cette décision, ne pas s'arrêter là, et elle a saisi le tribunal de grande instance de Brest pour « troubles anormaux de voisinage », espérant bien obtenir le démontage des machines.
-
L'économie totalitaire : l'exemple de l'immigration (texte de 2013)
Mars 1979. Éléments dénonce « L'économie totalitaire » Le dossier comprend un article inaugural d'Alain de Benoist (« L'erreur du libéralisme »), suivi d'une réflexion (« Économie organique et société marchande ») du secrétariat études et recherche du GRECE, d'un texte de Pier Paolo Pasolini (« Contre l'hédonisme de masse), d'un entretien avec Julien Freund et d'une charge de Lucien Chanteloup (« L'égalitarisme bourgeois »). Guillaume Faye se charge d'analyser les méfaits de l'immigration.
Exemple parfait du comportement économique à court terme de la société marchande, l'appel à l'immigration étrangère massive restera sans doute, dans les annales de l'histoire européenne, comme une erreur de première grandeur.
À l'origine, au début des années cinquante, il s'agissait tout simplement de combler un déficit passager de main-d'œuvre. Puis, au fil des années, l'habitude a été prise d'utiliser des travailleurs immigrés, recrutés toujours plus loin. Avec l'apport de leurs anciennes colonies, la France et l'Angleterre se sont classées en tête des pays « importateurs ».