
Le syndicat UFAP-Unsa justice des Pyrénées-Orientales, à l’instar de toutes les autres délégations de France, s’insurge également contre la revalorisation de certaines prestations accordées aux prisonniers.
“Nous apprenons avec colère que certains détenus qui travaillent ont touché la prime d’inflation de 100 euros promise par le gouvernement en faveur de ceux qui galèrent quotidiennement face à la montée en puissance du coût de la vie !”. La nouvelle a suscité ce vendredi l’ulcération de l’UFAP-Unsa justice.




Alors que la hausse des prix des carburants (qui avait suscité jadis la mobilisation des Gilets jaunes) atteint aujourd’hui des records, que notre pouvoir d’achat ne cesse de s’effondrer sous l’effet (entre autres) de l’explosion des cours des matières premières, et qu’un nombre toujours plus important de nos compatriotes, même en se serrant la ceinture, ne parviennent plus à boucler leurs fins de mois, le président-candidat Macron, manifestant une fois de plus son mépris pour nos concitoyens et son indifférence devant les souffrances du « petit peuple » de France, lui promet à présent, en cas de réélection, la mise en œuvre d’un énième programme d’austérité, incluant notamment l’élévation de l’âge minimum de départ à la retraite à 65 ans. 

