L’espoir de vaccin a permis la remontée des Bourses et d’entrevoir la fin de la crise sanitaire en 2021. À Paris, le CAC 40 a grimpé de plus de 20 % depuis le début du mois de novembre, et aux États-Unis, le FANG, index des grandes valeurs technologiques, a plus que doublé (de 2.500, en mars, à 5.560, le 20 novembre). Les espoirs de vaccins ont, pour l’instant, eu pour effet de régler les seuls problèmes boursiers, alors que de nouvelles aides vitales et immédiates sont toujours jugées nécessaires par les économistes, tant en Europe qu’aux États-Unis, où l’épidémie est en phase exponentielle, avec 200.000 nouveaux cas et 1.750 morts en 24 heures, le jeudi 19 novembre.
économie et finance - Page 228
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L’espoir de vaccin n’a réglé, pour l’instant, que les problèmes des Bourses
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Rembourser la dette : Mission impossible.
Depuis qu’il a abandonné la politique, Arnaud Montebourg a découvert la face sombre du socialisme et le tissu d’inepties dues à son idéologie. De sorte qu’il apparaît désormais comme un ovni. Sa parole est désormais frappée au coin du bon sens et mérite d’être entendue. Voici l’entretien qu’il a accordé au Parisien (22-11) sur la dette et suite à la publication de son dernier ouvrage, l’Engagement (Ed. Grasset). De gauche Montebourg ? Pas sûr. Il semble bien avoir basculé du côté "franchouillard" de la force !
Une des raisons de fond à la crise serait la priorité donnée à la réduction des déficits publics et de l’endettement ?
Une politique qui se concentre sur la réduction de la dette et des déficits fabrique du chômage, et n’a aucune chance de rembourser la moindre dette ni de réduire le moindre déficit. C’est ce qui s’est passé pendant la présidence Hollande. Nous avons eu l’austérité fiscale doublée d’une aggravation du chômage, la double peine pour les classes populaires ! Mais, de surcroît, on n’a diminué ni l’endettement ni les déficits. Dans la crise du Covid-19, nous avons tiré les leçons de la crise financière des années 2008-2010. Ce point est positif. Toutes ces règles euro- péennes relatives aux déficits et à l’endettement qu’on nous a infligées pendant dix ans, et qui ont prolongé inutilement les souffrances des peuples européens, viennent de disparaître par enchantement, démontrant leur parfaite inutilité et leur dangerosité.
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La France a dépassé les 2000 milliards de dette (texte de 2014)
À la fin du deuxième trimestre 2014, selon les derniers calculs de l'INSEE, la dette française atteignait précisément 2023,7 milliards, avec une nouvelle progression de 23,7 milliards sur ces trois mois. Désormais, le taux d'endettement de notre pays atteint 95,1 % du PIB.
À l'heure où les relations avec Bruxelles sont tendues sur la question économique, personne, au sein du gouvernement, n'ose manifestement plus faire référence aux critères de Maastricht, limitant la dette à 60 % maximum du PIB, et le déficit public à 3 %. On préfère s'en tenir à l'explication passer-partout de la crise, d'ailleurs imputée aux banques.
Dette des Français
On oublie également l'adjectif « historique ». Il faudrait avouer, si l'on avait quelques réminiscences dans ce domaine, que François Hollande a fait moins bien que Nicolas Sarkozy. Pour ne pas dire : pire. Moi président ne saurait l'admettre.
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Irréversibilités Crise du covid, ce qui ne sera plus jamais comme avant
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La grande dépression de Covid-19
Un article d’Antoine Bordier pour Le Salon beige :
Des économistes et des essayistes, comme Nicolas Baverez, tirent la sonnette d’alarme. Ils parlent de l’hyperdette. La planche à billets de la dette souveraine est de nouveau en pleine production. La raison ? Le financement de notre économie sous perfusion, à la suite des vagues successives de la pandémie. Pour les arrêter, le gouvernement a décidé de reconfiner sa population. Conséquence, notre économie risque la faillite. La France vivrait-elle sa grande dépression ? Derrière ce sombre tableau, où la peur s’installe dans les foyers, des raisons d’espérer existent, grâce au digital, à l’inclusion, et aux valeurs.
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Sur Sud Radio, Black Friday / Déconfinement : mot à bannir ? / La crise sociale qui vient.
Le débat du 10Heures-Midi présenté par Christine Bouillot avec Mathieu Alterman, Pascal Bataille, Jérôme Rivière et Rafik Smati
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85% des Français redoutent une explosion sociale dans les mois à venir, selon un sondage
L’inquiétude des Français quant au climat social ne cesse de croître, rapporte un sondage. Dans ce contexte tendu, les enjeux sécuritaires prennent une place importante.
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Eudes Baufreton : « Chaque Français est endetté de 40 000 euros, par la dette publique » (Vidéo)
Eudes Baufreton : « Chaque Français est endetté de 40 000 euros, par la dette publique ». Le délégué général de “Contribuables Associés” était l’invité de Sud Radio.
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Le libéralisme oui - mais pas les libertés (texte de 2014)
Abasourdi par le climat des affaires et les interdits citoyens qui se multiplient, le citoyen lambda - qui en démocratie (mais y sommes-nous encore ?) est la base de la société - se demande désormais au quotidien si le libéralisme, qu'il tient pour une des valeurs républicaines, a aujourd'hui un soupçon de réalité. En opérant certaines distinctions, par exemple, entre libertés et libéralisme. Les libertés ont dorénavant la portion congrue. Mais le libéralisme est plus florissant que jamais…
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Budget : l’UE s’inquiète d’une dérive des déficits en Franc
La Commission européenne appelle à surveiller la dette de quatre pays à moyen terme : la France, l’Italie, la Lituanie et la Slovaquie.
La Commission européenne s’est inquiétée mercredi de l’impact des mesures de relance sur les finances publiques dans quatre pays de la zone euro, dont la France et l’Italie, craignant une dérive de leurs déficits au-delà de la crise sanitaire.
https://www.tvlibertes.com/actus/budget-lue-sinquiete-dune-derive-des-deficits-en-france