Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

économie et finance - Page 229

  • « Relance ? Supprimez l’impôt sur les sociétés si tout est réinvesti et qu’aucun dividende n’est versé ! » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Tout d’abord, le Flash Stratégie « la Stratégie Warren Buffet » est téléchargeable dans vos espaces lecteurs.

    Maintenant que cette petite formalité est effectuée passons à l’essentiel et je vais avoir besoin de votre aide pour écrire aux services du 1er Ministre afin de faire remonter rapidement cette idée économique qui sera je le pense bien plus efficace que toutes les âneries que nous pondent nos aimables mamamouchis.

    Tout d’abord, si la gestion des masques est un naufrage gouvernemental pathétique, il n’en est pas de même de la gestion économique de la crise, et pour le coup, Bruno le Maire « fait le boulot » et « tient la baraque » comme on dit chez nous autres les footeux.

    Pourtant, en ces heures de déconfinement sur la pointe des pieds et de reprise d’activité, il va se poser rapidement la question de la relance.

    Et là je vais rappeler un principe fondamental qui doit animer l’action publique et qui est le même dont se servent les médecins dont on parle tant.

    « Primum non nocere », d’abord ne pas nuire.

    D’abord, ne pas nuire.

    Lire la suite

  • L’avenir énergétique de l’Europe libre

    L'avenir énergétique de l'Europe libre.jpeg

    L'énergie ne comporte pas qu'un seul intérêt écologique. Elle présente aussi des dimensions politique et économique non négligeables qui affectent le quotidien des particuliers. Depuis une quinzaine d'années, une pseudo-écologie punitive s'affirme prioritaire sur d'autres pans de la vie en communauté.

    Au nom de la lutte contre la pollution, l'exquise mairesse de Paris interdit la circulation automobile sur les quais de Seine et restreint le déplacement des banlieusards alors que le réseau de trains, de RER et de métro est désuet, vétusté et saturé. Or la concentration en particules fines dans l'atmosphère qui frappe la capitale française ne sort pas des pots d'échappement, mais des vents qui apportent d'Allemagne des nuages chargés de gaz carbonique sorti des cheminées thermiques à la lignite.

    Nucléaire ou charbon ?

    C'est le paradoxe. La catastrophe de Fukushima en 2011 incita Angela Merkel à faire fermer les centrales nucléaires, à couvrir l'Allemagne d'éoliennes et à prolonger les usines thermiques au charbon. L'enjeu est de taille pour continuer à fournir une électricité bon marché à une population nombreuse et à des activités économiques motrices. Parallèlement, les voitures électriques et d'autres modes de déplacement « doux », c'est-à-dire avec un rejet minimal de C02 dans l'atmosphère, se développent moins timidement. Comment trouver des sources d'électricité non polluantes ? Apparaît un dilemme énergétique.

    Lire la suite

  • Comment en est-on arrivé là ? (Partie 1), par Frederic Poretti-Winkler.

    En relisant Marie Madeleine Martin...
    « Toutes les révolutions ont été faites par des livres » Bonald

    On ne peut distinguer le social du politique. C’est une grave erreur (XVIIIe siècle) et une utopie d’imaginer une distinction entre les deux. De tous temps il y eut des idées « subversives » voir destructrices, nommées idées nouvelles. Nous voulons dire des idées qui, selon l’étude attentive du passé, bref l’empirisme, entraînent les sociétés vers le chaos et finalement l’abime…Ces idées sont souvent sortis d’esprits tourmentés et chimériques, essayant d’imposer leurs idées, souvent égoïstes et mues par des cerveaux dérangés, à une société, qui selon eux, devrait être construite à leur image…En général et l’histoire, le montre continuellement, les utopies finissent vite dans le chaos, le sang et les charniers.

    Certaines sociétés arrivent mieux à endiguer de tels déviances mais d’autres, plus fragiles, y succombent. Les arguments de ces fauteurs de trouble sont souvent les mêmes : « progrès, liberté, égalité, modernisme, vertu » Lorsque ceux-ci arrivent au pouvoir, les belles idées sont vite oubliés pour que les vainqueurs se servent. Ces expériences amènent régression, guerres (civiles ou extérieures) et massacres. Une caste plus « égalitaire » que les autres, devient privilégiée et entraînera dans ses chimères le peuple vers le néant…

    Lire la suite

  • Vers une catastrophe économique post-confinement ? – La revue de presse de Radio Courtoisie

    catastrophe-economique-post-confinement-revue-presse-radio-courtoisie-588x330.jpg

    La revue de presse du Libre journal de Dominique Paoli sur Radio Courtoisie du 11 mai porte bien entendu sur l’épidémie de Coronavirus et, plus précisément, sur les conséquences économiques du confinement.

    Après huit semaines de suspension d’une large part de l’activité économique due à l’épidémie de Covid 19 (recul du PIB de 5,8% durant le premier trimestre 2020 par rapport au même trimestre de l’année précédente[1] – avant l’épidémie un recul de 0,1% avait été observé au quatrième trimestre de l’année 2019 – La baisse pourrait atteindre 30% à 40% au second trimestre – Jean-Marc Sylvestre Atlantico 7 mai 2020 Comment éviter l’écroulement de l’économie française, quand la confiance n’est pas réunie et que la BCE est attaquée par la justice allemande sur son programme anti-récession), la décision de déconfinement va permettre une reprise progressive de cette activité. Néanmoins, le secteur de la restauration reste frappé par un interdit, les transports collectifs seront limités comme les déplacements et toutes les chaînes de production seront encore loin d’être normalement approvisionnées. Par ailleurs, l’agencement exigé des postes de travail dans les entreprises où la présence humaine est nécessaire aura, au moins dans un premier temps, un effet sur la productivité. Cet agencement représentera un coût de fonctionnement supplémentaire. En revanche, un télé travail étendu comme nouvelle forme d’organisation tend à réduire les coûts afférents aux postes de travail (surfaces occupées) sans négliger certaines incidences (lien social, relations avec les collaborateurs…).

    Lire la suite

  • Des batteries quasi éternelles fabriquées à partir de déchets nucléaires.

    Vous êtes nombreux, maintenant, à être fidèles au rendez-vous hebdomadaire que vous donne Bayard, chaque jeudi, avec sa Chronique Alimentaire/Santé. Et vous appréciez la sûreté et l'abondance des renseignements très précis et très pratiques qu'il vous y donne. Il va aujourd'hui quitter sa spécialité habituelle, pour vous entretenir ici d'une information scientifique extrêmement intéressante, dont le proche avenir dira vite ce qu'il faut en penser...

    François Davin, Blogmestre

    Lire la suite

  • Les agriculteurs toujours seuls dans le chaos du déconfinement

    Pas de bras, pas d’assiette ! L’opération « Des bras pour ton assiette », lancée par le gouvernement, a fait pschitt. L’idée était pourtant séduisante : inciter les personnes en chômage partiel à se rendre utiles en travaillant pour les agriculteurs privés de main d’œuvre à cause de la fermeture des frontières. Malgré les effets d’annonce, sur les 300 000 candidatures, seules 15 000 personnes ont été contractualisées… ça rappelle les promesses de don oubliées après le Téléthon !

    Lire la suite

  • Le casse-tête du redressement de l’économie

    Travailler plus pour rattraper le retard ! Voilà la nouvelle idée lancée par plusieurs responsables politiques. Mais les Français ont-ils envie de faire un effort pour gagner plus d’argent à l’heure où les habitudes de production et de consommation sont en pleine remise en question ? Surtout, travailler plus pour réparer les conséquences de l’amateurisme d’un président qui ne reconnaîtra jamais ses erreurs ? En tout cas, les prévisions plus que pessimistes pour l’année 2020 devraient suffire à faire peur aux Français et les faire marcher droit.

    Lire la suite

  • Cour de Karlsruhe : vers la banqueroute de l’Italie et l’éclatement de la zone euro, par Marc Rousset.

    3834054413.46.jpg

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Tout comme les juges européens ont réussi des coups d’État en affirmant la suprématie de leurs décisions sur les droits nationaux, alors que, selon les traités, l’Union européenne n’est pas un État fédéral, la BCE s’est lancée, avec Draghi et Lagarde, dans une fuite en avant – en fait un véritable coup d’État monétaire qui ne correspond pas aux traités et aux statuts de la BCE -, en émettant de la monnaie de singe tous azimuts, non garantie par un actif tangible. Cela équivaut à mutualiser la dette des États par les voies détournées de la BCE

    La BCE a bafoué ouvertement les deux clés de répartition des émissions d’un État, puisqu’elle ne peut racheter plus de 33 % des titres d’une émission et se doit de plafonner son encours des titres rachetés à un État au pourcentage de la participation de l’État dans le capital de la BCE, comme le rappelle Le Point. Le rachat « non proportionné » des dettes italiennes (et d’autres États) n’est rien d’autre qu’un sauvetage de l’Italie par la BCE puisque les obligations italiennes totaliseraient, selon Goldman Sachs, 35 à 45 % du total racheté actuellement par la BCE.

    Lire la suite

  • « Avec le MES. c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare »

    Avec le MES, c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare.jpeg

    Ancien député européen, économiste et monétariste, membre du Front national jusqu’en 2018. puis de Debout la France. Bernard Monot a signalé dans les médias les dangers auxquels un éventuel recours au Mécanisme européen de stabilité financière (MES) exposerait la France. Monde&Vie l'a rencontré.

    Propos recueillis par Hervé Bizien

    Vous dénoncez le danger que fait planer le mécanisme européen de stabilité (MES) sur la souveraineté française. Qu'est-ce que cette institution ?

    Pour l'Union européenne, qui n'existe qu'à travers les États membres, tous les moyens sont bons pour aller vers un modèle fédéraliste, conçu sur le modèle archaïque des États-Unis d'Amérique et de l'URSS. Ses promoteurs profitent de l'actuelle crise sanitaire pour avancer en ce sens, en utilisant des instruments inventés lors de la crise financière et économique de 2008-2012. Un Fonds européen de stabilité financière (FESF) avait été créé en catastrophe en 2010, à l'occasion du risque de faillite de la Société générale. Puis fut inventé un Mécanisme européen de stabilité financière (MESF). Et en 2012, un traité a institué le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui les a remplacés. Ce traité confère en quelque sorte à cette nouvelle institution, pour la politique budgétaire fédérale de la zone euro, un statut comparable à celui dont bénéficie la Banque centrale européenne en matière de politique monétaire.

    Lire la suite