L’inflation est, en ce début de 2021, faible : moins de 1 % par an. Cependant, les tarifs des mutuelles vont grimper de 4,3 % en moyenne, hausse que ne justifie en aucun cas l’augmentation des remboursements de soins supportés par les mutuelles. Or, les tarifs des mutuelles de santé avaient déjà grimpé de 4 %, en 2019, et de 5 %, en 2020. Ces hausses successives pèsent très lourd sur le budget des ménages : 79 euros en moyenne par an, 200 euros pour les plus malchanceux. Combien de seniors rognent sur leur protection sociale, car le montant de leur pension stagne et qu’ils ne peuvent pas suivre la hausse des cotisations de leur mutuelle santé ?
économie et finance - Page 241
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Bruno Le Maire aurait-il créé un nouvel impôt Covid en se servant des mutuelles ?
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La France et l’Italie en faillite, en avril-mai 2022
Marc Rousset
La Bourse de Paris a fini la semaine dans le rouge, préoccupée par la crise sanitaire. Les marchés préfèrent voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, mais commencent à se poser des questions. Dans un contexte de valorisation élevée des actions, les Bourses semblent mûres pour une correction si les vaccins déçoivent, car il n’y a pas de plan B, ou si les variants anglais et brésiliens de la pandémie s’avèrent plus contagieux et mortels. Le véritable danger, c’est cependant la dette des États qui augmente d’une façon exponentielle avec la politique du « quoi qu’il en coûte ».
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La France court-elle vers la faillite ?
Agnès Verdier-Molinié est la directrice de la fondation iFRAP et une fiscaliste renommée.
Elle vient de sortir un essai, La France peut-elle tenir encore longtemps ?, dont elle a exposé les thèses dans Le Figaro.
Nous empruntons 1 milliard par jour, 700.000 euros par minute, 334 milliards en 2021. La dette officielle va bondir, en 2022, à 2.800 milliards d’euros, 120 % du PIB, mais en réalité, en rajoutant les retraites des fonctionnaires, les emprunts garantis par l’État qui risquent de n’être jamais remboursés, la dette cachée atteint la somme faramineuse de 7.000 milliards, soit 300 % du PIB . Si nous consacrions la totalité du budget à rembourser notre dette, nous n’en serions débarrassés qu’au bout de 21 ans ! Effarant.
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Fraude sociale : L’État favorise la préférence étrangère. Sébastien Meurant - Charles Gave.
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Le « quoi qu’il en coûte » que l’on paie si cher au quotidien
Je relève, parmi beaucoup d’autres, ce tweet signé Marcelino : « L’Angleterre a confiné sa population depuis près d’un mois, et vaccine à tout va depuis début décembre, et là ce pays bat des records de décès et de contaminations. Où est la crédibilité de tout ça ? #Covid19 »
Et je pense que l’on pourrait relever les mêmes effets de ces mesures liberticides à travers le monde et, bien sûr, en France où confinement, couvre-feu, reconfinement, couvre-feu n’empêchent nullement le Covid-19 de poursuivre son chemin sans, toutefois, pour l’instant mobiliser l’ensemble de nos lits de réanimation ou d’hospitalisations.
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Philippe Murer / Pierre-Yves Rougeyron : Quel est le bilan économique de Donald Trump ?
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Quand l’État subventionne des voitures chinoises qui sont de véritables cercueils roulants !
Pour aider à comprendre un grand tout, rien de tel, parfois, qu’un tout petit rien. Ainsi, en matière automobile, la tendance étatique de fond consiste, depuis longtemps, à mener la guerre aux conducteurs, « ces gens qui fument des clopes et roulent au diesel », pour reprendre le sermon de Benjamin Griveaux, ancien porte-parole du gouvernement, tombé pour s’être énervé tout seul sur son levier de vitesses.
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Le Grand Reset selon le Time Magazine
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Dette : L’Etat français emprunte sur un demi-siècle !
Paris lève 7 milliards d’euros sur 50 ans, du jamais vu. Cet emprunt, le premier d’échéance aussi longue lancé depuis 2016 par l’Agence France Trésor (AFT), qui gère la dette de l’Etat, a attiré 430 investisseurs, un record.
Si des opérations moindres mais de la même durée avaient eu lieu avec les trois derniers présidents en 2005, 2010 et 2016, cette fois-ci les chiffres donnent le tournis et les investisseurs ont massivement souscrit à cette nouvelle obligation. Les équipes Macron, qui visaient à leur arrivée une diminution drastique de la dette, assument désormais de la faire exploser pour sauver leur peau à moins d’un an et demi de la prochaine élection présidentielle. Une bombe à retardement supplémentaire avec les prêts garantis par l’Etat qu’il ne remboursera jamais aux banques.
https://www.tvlibertes.com/actus/dette-letat-francais-emprunte-sur-un-demi-siecle
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#75 - David CAYLA pour son livre "Populisme & néolibéralisme"