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économie et finance - Page 241

  • Dans Politique Magazine : Les autorités politiques et la crise économique nouvelle, par François Schwerer.

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    Macron et Xi sont sur la même trajectoire : de la minimisation de la crise (phase 1) au retour à la normale (phase 4) annoncé et proclamé, tout est fait pour maintenir l’illusion du contrôle.

    Depuis le début de la crise sanitaire provoquée par l’épidémie venue Chine, les hommes politiques rivalisent avec les journalistes pour s’adresser à la population et lui expliquer comment elle doit se comporter afin de pouvoir retrouver rapidement une vie normale. Devant cette débauche d’informations, pour maintenir l’attention en haleine, on a divisé sans le dire mais à l’image de ce que l’on a imaginé pour la crise sanitaire, la lutte contre le virus économique en trois stades.

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Émission spéciale Coronavirus : Quelles conséquences pour la santé et l’économie ?

    Émission spéciale Coronavirus : Quelles conséquences pour la santé et l’économie ? Avec le docteur Bernard Kron.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Victoire ! Macron recule sur la privatisation d'ADP

    Osons Causer

    Victoire ! Macron recule sur la privatisation des Aéroports de Paris ! Mais pourquoi a-t-il cédé ? Quels enseignements en tirer pour les luttes politiques ? Vous saurez tout dans cette vidéo ! 
  • L’économie globale et la priorité donnée aux négociants sur les financiers

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    Bernard Plouvier

    De 1830 aux débuts de l’économie globale et de la mondialisation de l’american way of life, les maitres du jeu furent les financiers, d’où des taux d’intérêts jouant au yo-yo (et divers slogans vantant la merveilleuse « inflation »), un endettement pharaonique des États et des particuliers, enfin quelques crises de spéculation (1873, 1929, 1937, 2007-2009 et on en oublie) pour pimenter la vie de dizaines de millions de pauvres diables réduits à la misère parce que de gros financiers, souvent cosmopolites, se comportaient en flambeurs.

    Vers 1980-90, a débuté la nouvelle ère, qui n’est plus l’ère chrétienne et n’est fort heureusement pas (du moins jusqu’à présent) l’ère de la régression mahométane. Nous sommes entrés dans l’ère du gouvernement planétaire (presque) unique et de l’économie globale. Et c’est là que tous les « complotistes » se trompent : l’on n’assiste pas au triomphe des Financiers, mais à celui des Producteurs et surtout à celui des Négociants internationaux.

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  • Dette publique : Emmanuel Macron a réussi à faire pire que François Hollande

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    Jean-Yves Archer, énarque, économiste et membre de la Société d’économie politique, donne les chiffres accablants pour le chef de l’Etat :

    En 2012, lorsque François Hollande a été élu, notre dette était de 1 894 milliards d’euros, soit 90,4 % du PIB. À la moitié du mandat, en 2015, la dette était de 2 061,7 milliards soit une progression de 167,7 milliards. Emmanuel Macron fut élu en 2017 alors que la dette était de 2 198,3 milliards à mi-2017. Cette dette est désormais de 2 415,1 à la fin du troisième trimestre 2019, soit une progression de 216,8.  le président pulvérise le record de son prédécesseur et fait franchir à notre dette le seuil symbolique de 100 % du PIB, avec 100,4 %.  En même temps, comme dirait l’autre, il était ministre de l’Economie de François Hollande. Donc il a dépassé sa propre performance…

    Jean-Yves Archer précise :

    Au troisième trimestre 2019, source Insee, la dette s’est accrue de 39,6 milliards. Soit plus de la moitié des recettes de tout l’impôt sur le revenu. Ce chiffre simple atteste de la dynamique nocive de la progression de la dette.

    Les magistrats financiers de la Cour des comptes ont explicitement énoncé que les efforts en matière de comptes publics étaient “à l’arrêt”.

  • L'Union européenne est coupable de la mondialisation qui sévit sur les peuples européens

  • Coronavirus : les Bourses européennes au bord du krach

    « Dans le sillage de l’effondrement du pétrole, dû à la guerre des prix lancée par Ryad à la suite de l’échec des discussions entre l’OPEP et la Russie, les places financières mondiales sont aux abois. Le CAC 40 a ouvert en chute de 6,25 %, s’enfonçant dans le «bear market» (-20% depuis son plus haut du 21 février). Le taux à dix ans américain est tombé sous 0,5 %.

    Les nouvelles autour du coronavirus ont eu le temps de s’accumuler durant le week-end. Résultat, lundi, la panique a gagné les marchés et les Bourses européennes se sont réveillées sous le choc.

    Dans le sillage de l’effondrement du pétrole – qui a perdu 25 % -, les Bourses européennes s’enfoncent : le DAX, à Francfort, plonge de 7,4 % dans les premiers échanges. Tandis que le FTSE, à Londres, chute de 8 % Vendredi, ils avaient déjà respectivement perdu 3,26 % et 3,62 %. Madrid lâche 7 % et la Bourse d’Oslo dévisse de 12 %. ​Après près d’une heure de retard, la Bourse italienne, qui a perdu 17 % depuis le début de la crise sanitaire, a fini par ouvrir, en chute libre : le FTSE MIB perd 8 %. »

    Source : Les Echos

    http://www.contre-info.com/coronavirus-les-bourses-europeennes-au-bord-du-krach#more-61409

  • Aux origines de la question sociale en France. Partie 2 : l'idéologie libérale des Lumières.

    Après un rapide tableau de la situation économique de la France royale avant la fin du XVIIIe siècle et l’évocation des corporations et de l’ordre socio-professionnel de cette époque, il n’est pas inutile d’évoquer succinctement l’état d’esprit dominant sous les Lumières, véritable révolution dans la pensée du service et du temps (entre autres), à rebours de la conception royale de la justice : le règne de l’Argent et de la classe qui en vit et qui en fera système s’annonce…

    L’organisation corporative de la société et de la production françaises a longtemps convenablement fonctionné et la puissance avérée et significative de l’économie nationale sous la royauté fondatrice et fédérative est indéniable. Mais cela signifie-t-il, pour autant, que la Monarchie d’Ancien Régime ne connaissait pas de problèmes sociaux ou qu’elle était un système parfait et intangible, insensible aux temps et à leurs contraintes, leurs évolutions ? Bien sûr que non !

     

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  • Un Système encore plus fragilisé

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    Marc Rousset

    L’argent bon marché des banques centrales et les aides des États en milliards ne peuvent que soulager les effets de la crise ; ils ne combattent pas la cause de l’épidémie. On est en présence d’un choc économique de l’offre et d’un choc partiel de la demande (tourisme, transports aériens) tout à fait comparable, par son intensité, à celui de 2008, même s’il est de nature complètement différente. La réponse monétaire des banques centrales n’est pas appropriée : les baisses de taux ne sont faites que pour enrayer l’effondrement des marchés boursiers. La Fed – signe de pessimisme à long terme – a surpris, mardi, en réduisant ses taux de 0,5 % et programme une baisse supplémentaire de 0,5 % pour la mi-mars ; mais seul un vaccin de l’Institut Pasteur serait efficace. La Fed tire ses dernières munitions, tout comme la BCE, et n’aura plus aucune marge si la crise empire.

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  • BCE sous tension après la décision de la Fed

    « La BCE sous pression après la décision de la Fed » titre l’AFP suite à la baisse surprise des taux directeurs aux Etats-Unis en raison du coronavirus.

    Mais que va donc faire la Banque centrale européenne (BCE) se demande tous les investisseurs.

    En effet la FED vient de baisser de 50 points de base soit un demi pourcent, mais que peut faire la BCE alors que les taux en Europe sont déjà négatifs ?

    That is the question.

    « De manière générale, les analystes jugent cependant l’effet d’un soutien monétaire limité, tant la crise appelle plutôt une intervention des Etats.

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