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économie et finance - Page 240

  • Nouvelle augmentation du budget immigration

    Nouvelle augmentation du budget immigration

    Le budget « Immigration, asile et intégration » du gouvernement va ainsi augmenter de 2% l’année prochaine. Ce même volet du budget de l’État avait déjà grossi de 22% en 2018, de 12% en 2019 et de 8% en 2020, selon le projet de loi de finances (PLF) adopté en Conseil des ministres.

    Sur l’enveloppe allouée à l’immigration, 1,85 milliard sera désormais consacré à « la prise en charge des demandeurs d’asile en instance », qui « représente près des deux tiers des crédits de la mission », selon le PLF. Les 2% supplémentaires, soit 37 millions d’euros, serviront à « financer la création de 4 000 nouvelles places d’hébergement des demandeurs d’asile ».

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  • La dette migratoire : cette bombe à fragmentation…

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    Depuis la crise de 2008-2009, la France, comme d’autres pays, s’inquiète de son niveau d’endettement public. Il a effectivement explosé sous la pression de nos déficits, devenus hors de contrôle, passant de l’étiage de 60 % à plus de 90 %, à la fin de l’ère Sarkozy, chiffre que Hollande n’a pas pu faire baisser par la suite. Le brillant technocrate, qu’une majorité a élu en 2017 avec la promesse d’une réduction de ce fardeau, l’a gaillardement porté à environ 100 %. La pandémie du Covid-19 a refait « péter les compteurs » et va nous emmener aux alentours de 120 % de dette sur PIB. On nous rassure : « Ce n’est pas très grave, cela ne coûte rien puisque les taux d’intérêts sont à 0 %. » Et on va même jusqu’à nous assurer que dès que la crise sera terminée, on s’emploiera à réduire notre dette publique.

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  • Après les autoroutes, la privatisation des nationales.

  • Vers une récession en double creux et un effondrement en 2021 ?

    1737457534.jpgMarc Rousset

    La Bourse de Paris a connu sa pire semaine en trois mois. L’indice CAC 40 a chuté de 5 % et a perdu 20,88 % depuis le 1er janvier. Le marché baisse progressivement, suite aux mesures de protection sanitaire mises en place dans toute l’Europe. Les investisseurs se demandent si les plans de relance des États et la création monétaire des Banques centrales vont réussir à maintenir le rebond enclenché depuis la fin des confinements.

    Le scénario officiel des médias est celui d’une reprise en U pour le second semestre 2020 avec la découverte d’un vaccin contre le Covid-19 au premier semestre 2021, une croissance économique satisfaisante et une hausse des valeurs délaissées en 2021 telles que les banques, l’automobile, l’aéronautique, les foncières, le tourisme et l’hôtellerie. Ces prévisions sont remises en question par une possible deuxième vague d’infections et les nouvelles restrictions de confinement telles qu’à Marseille, avec en prime l’arrivée de la grippe cet hiver. Une contraction dès le quatrième trimestre 2020 est fort possible, auquel cas la reprise en cours avorterait ; nous serions alors en présence d’une récession avec un double creux, plus particulièrement aux Etats-Unis et en Europe où l’économie de la zone euro a déjà chuté de 11,8 % au deuxième trimestre.

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  • Le retour des centrales à charbon, un crime français

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    Depuis 40 ans, c’est-à-dire depuis la fin de la présidence Giscard, la France est exportatrice d’électricité. Vitrine de l’excellence française, jamais le moindre problème, jamais le moindre accident. Et une électricité parmi les moins chères du monde. Ah, mais ! Il fallait que cela cesse. On a arrêté d’autorité les deux réacteurs de Fessenheim qui fournissaient 75 % de l’électricité d’Alsace-Lorraine.

    Et aujourd’hui, zéro. Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’il allait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert une petite ville où le bonheur était palpable.

    Cette décision infantile a déjà sa sanction, qui va sans doute satisfaire le gamin : ce mois-ci, et malgré les températures estivales, EDF a dû rallumer ses centrales à charbon pour faire l’appoint, informe LCI. Ça ne s’était jamais vu en dehors des vagues de froid de l’hiver.

    Comment est-ce possible ?

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  • Gestion du Covid : de la faillite du gouvernement à la faillite de l’économie

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    On ne sait pas combien de vies ces fermetures vont sauver. On peut prédire, en revanche, le nombre de PME qu'elles vont tuer...

    Il paraît que la lutte contre le coronavirus est l’équivalent d’une guerre, dixit . Pour mener une guerre, il faut des moyens, de la rigueur, une stratégie claire, un état major éclairé, inflexible et déterminé. Et non une armée mexicaine de pseudo-spécialistes, sous influence pharmaceutique, dirigée par des chefs sans colonne vertébrale et, surtout, soucieux de leur com’ et de leur risque pénal.

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  • L'Europe a-t-elle (encore) un avenir ? 2/2

    Les Européens doivent se considérer comme une puissance réémergeante.jpeg

    L'Europe, non-lieu

    Un étrange syndrome frappe les Européens : l'ère du vide annoncée par Gilles Lipovetsky(15). Cette perte de sens, marquée du double sceau de l'hyper individualisme et de la déliaison sociale, s'accompagne d'une xénomanie pathologique corrélée avec le nihilisme de notre époque consumérisme, hédonisme et métissage obligatoire. Voici venu le temps d'une « Europe fatiguée d'avoir été longtemps sur la brèche, qui pense aux vacances et rêve d'une société de soins »(16). L'Europe est entrée de plain-pied dans l'ère post-nationale exaltée par les héritiers de la déconstruction et les thuriféraires du « patriotisme constitutionnel » théorisé par Jurgen Habermas, obsédés par l'idéologie du métissage et qui partent en chasses de toutes les formes de « culturalisme » ou d' « essentialisme », appelant à l'avènement d'une Europe désincarnée, régie par un universalisme abstrait, « pure ouverture à la généralité humaine qui n'aurait ni existence particulière ni être propre » (Marcel Gauchet).

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  • L'Europe a-t-elle (encore) "un avenir ? 1/2

    Les Européens doivent se considérer comme une puissance réémergeante.jpeg

    Praticien de l'Europe institutionnelle, Jean de Lothier en connaît tous les renoncements et toutes les limites. Son analyse s'inscrit dans le droit fil de notre dossier « La fin de l'euro » paru dans le dernier numéro d'Éléments, tout en esquissant des pistes pour une politique de renaissance européenne.

    « L'hégémonie de l'Europe sur le monde est à jamais brisée. On a craint l'Europe, maintenant on la plaint. Autrefois elle parlait en maîtresse, maintenant elle est contrainte à la défensive [...]. Elle est endettée, morcelée, inquiète et affaiblie elle est déchirée par des luttes nationales et sociales elle est gravement atteinte dans sa démographie et dans son industrie elle est plongée dans un chaos économique et monétaire. Aussi s'en va-t-elle d'un présent sans espoir vers un avenir incertain »(1).

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  • Macron met la France dans le rouge – JT du jeudi 24 septembre 2020

    Au sommaire de ce journal : Les nouvelles restrictions imposées par le gouvernement. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a notamment décrété la fermeture des bars et restaurants dès samedi à Marseille. Une nouvelle catastrophe économique annoncée.

    Nous évoquerons également les manœuvres au sein du groupe Mulliez. Avec la crise économique, la famille propriétaire d’Auchan, a placé plusieurs de ses enseignes en redressement judiciaire pour finalement les reprendre à moindres coûts.

    Enfin, nous reviendrons sur le record du nombre d’avortements réalisés en 2019. Le président de la Fondation Lejeune, Jean-Marie Le Méné, nous livrera son analyse.


    https://www.tvlibertes.com/macron-met-la-france-dans-le-rouge-jt-du-jeudi-24-septembre-2020