économie et finance - Page 244
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PLAN DE RELANCE : ESPOIR OU ARNAQUE ?
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STOP au plan de relance de la presse !
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« Situation extravagante », « paysage surréaliste » : la bourse américaine au bord du krach ?
Les coups de semonce enregistrés sur les marchés américains les 3 et 4 septembre précédent-ils un krach boursier? C’est l’avis de plusieurs observateurs, qui redoutent un éclatement de la bulle financière. Pour l’ancien banquier Jean-Michel Naulot, les marchés finiront par chuter. Il livre son analyse à Sputnik.
Début de panique ou simple correction? Les marchés américains ont vécu une fin de semaine difficile les 3 et 4 septembre. Portés par un rallye haussier historique depuis le krach du mois de mars, les indices boursiers new-yorkais étaient encore en pleine euphorie à la clôture du 2 septembre. Le S&P 500 et le Nasdaq finissaient sur des records, quand le Dow Jones clôturait au-dessus des 29.000 points pour la première fois depuis le mois de février.
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Sur Front Populaire, découvrez le souverainisme économique à la sauce Bruno Le Maire.
Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire voudrait que les dirigeants du BTP embauchent des employés de droit français plutôt que des travailleurs détachés de l'étranger. Problème: Bruxelles le privant de tout pouvoir véritable, il n'a eu d'autre choix, lors d'une intervention à l’université d’été du Medef le 27 août dernier, que de les en "supplier" (sic).
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Chômage et déflation, puis effondrement et hyperinflation
Marc Rousset
Alors que le FMI annonçait une croissance de 3,3 % en 2020, le monde connaîtra en fait une récession de 4,9 % et un possible rebond en 2021. La seule chose certaine, c’est que la production mondiale s’effondrera de 7,6 % en 2020. Tous les pays sont en récession. Le paradoxe, selon une enquête du Pew Research Center, c’est que les Européens du Nord, dont la situation économique est plutôt bonne, sont très préoccupés par l’année 2021.
Il y a 20 ans, le CAC 40 était à 7.000. Aujourd’hui, il est à 5.000, après avoir été à 2.401, le 12 mars 2003, pour remonter à 6.200, en 2007, et pour redégringoler à 2.519, le 9 mars 2009. Entre le 21 février et le 18 mars 2020, le CAC 40 a chuté de 40 %, en passant de 6.100 à 3.600. Le CAC 40 comme le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P 500 devraient être beaucoup plus bas et ne sont maintenus aux niveaux actuels que par la création monétaire et un hyperendettement tous azimuts, tous agents économiques, la plupart des États souverains inclus.
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La désindustrialisation à la française.
L'industrie a détruit des emplois de façon continue jusqu'en 2017, année d'inversion de tendance. En 2018 et 2019 , il y eu aussi plus d'emplois créés que détruits dans ce secteur. Les destructions ont repris au premier trimestre 2020. • Crédits : Marie Viennot - Radio France
Source : https://www.franceculture.fr/
Réindustrialiser la France, c’est l’un des axes majeurs du plan de relance. On part de loin, la France est le pays de l'Union européenne qui s'est le plus désindustrialisé depuis les années 70. Quelles sont les causes spécifiquement françaises de ce phénomène ?
"Depuis quelques mois, le textile est en crise. Réductions d'horaires, fermeture d'ateliers, d'usines même. De mois en mois, on espère la relance..."
Extrait du journal télévisé en avril 1965. La relance évoquée à l’époque n’est que commerciale, saison du blanc, printemps… et le textile fait alors vivre plus de 500 000 personnes en France.
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Macron, la grande braderie de la France (2019)
Fleurons industriels, infrastructures stratégiques, mais aussi sites classés, ressources naturelles ou territoires entiers, avec le VRP Macron, toute la France est à vendre… depuis Bercy sous Hollande, la grande braderie, voire la casse pure et simple, se poursuit de plus belle depuis qu’il est à l’Élysée.
Image qui restera Bruno Le Maire sous les huées de la foule manifestant contre le plan social de General Electric (GE). Visiblement, son piteux « Il est important que General Electric revoie sa copie » n'a pas convaincu. « Ne vous y trompez pas, ce plan, avec son millier de suppressions d'emplois, c'est la dernière étape avant la fermeture du site turbines à gaz ! », rétorque un syndicaliste, qui voit clair dans ce dossier.
Alstom, fleuron industriel et stratégique, a été vendu à la découpe par Macron, ministre de l'Économie de Hollande. Aux Américains de General Electric (GE), les turbines à gaz, utilisées dans le nucléaire, vitales pour notre indépendance militaire et énergétique. Aux Allemands de Siemens, la branche ferroviaire, volet flingué, ironie de l'histoire, par Bruxelles. L'activité nucléaire d'Alstom n'a pas eu cette chance. Promesses de créer 1 000 emplois nets non tenues, « garanties » allègrement bafouées, avec le millier de licenciements annoncés le 27 mai par GE, l'affaire revient en boomerang au visage de Macron Président. Un coup qui fait d'autant plus mal que Hugh Bailey l’actuel patron de GE France, était conseiller pour les affaires industrielles de Macron à Bercy lors de la vente d'Alstom à GE. Quand le conflit d'intérêts est une seconde nature…
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Le Grand Reset selon l'Homme des hommes de Davos
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La grosse presse recevra 483 millions d’euros d’aides supplémentaires sur deux ans
La grosse presse – celle qui désinforme les Français et oriente les Français vers la Gauche au sens large depuis des décennies – bénéficie déjà de plusieurs centaines de millions d’euros d’aide chaque année. Euros issus de la poche des Français.
Voici que le gouvernement entend encore davantage graisser la patte des merdias (pendant deux ans, ce qui mène à la prochaine élection présidentielle…), auquel naturellement il doit tant (c’est ainsi que fonctionne les régimes démocratiques).
« Très affaiblie par la crise sanitaire du coronavirus, la presse écrite va bénéficier d’aides d’un total de 483 millions d’euros sur deux ans, a indiqué l’Elysée, dont une partie a déjà été votée.
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Plan de relance : saupoudrage, illusions et vieilles recettes.
Sur 100 milliards d'euros financés aujourd'hui en monnaie de singe mais que devront, en tout état de cause, rembourser les générations futures, le plan de relance de l'économie présenté par le Premier ministre, Jean Castex, n'en consacre que trois à la garantie d'Etat aux fonds propres des entreprises, seule mesure, si elle avait été ambitieuse, qui aurait permis aux entrepreneurs de faire face à la crise, d'investir et d'embaucher. Dans ces conditions, l'espoir de l'exécutif de 160 000 emplois créés dans les deux ans n'est qu'une vue de l'esprit. Quant à l'hypothèse d'un plan de réindustrialisation de la France et de relocalisation des secteurs vitaux de notre vie économique et de notre indépendance énergétique ou sanitaire, la modestie des sommes engagées montre bien que, pour le gouvernement, il ne s'agit en aucune façon d'une priorité nationale. Aucun plan, au demeurant - la nomination de François Bayrou au poste de Haut commissaire témoigne, par elle même, de son inutilité - ne peut être établi par un pouvoir faible uniquement préoccupé de sa pérennisation et n'ayant, au mieux, de visibilité que sur dix neuf mois.Tout le reste relève de la politique du saupoudrage et de l'art éculé d'accommoder les restes suivant les vieilles recettes politiciennes et par prestidigitation cuisinière en attendant le festin imaginaire de 2022.C'est le grand retour des emplois aidés, du camouflage statistique des réalités du chômage, des chiffres masqués, des formations-cul de sac et des mythes pervers de la transition écologique fantasmée comme base incontournable de la nouvelle économie libérale, équitable, durable et universelle.L'accompagnement social de la crise, lui, se fera a minima. "Cachons ces pauvres que nous ne saurions voir".