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économie et finance - Page 243

  • Un virus et l’économie est au bord du gouffre ?, par Paul Vermeulen

    9563-20200228.jpgUn dégât collatéral de l’épidémie du coronavirus, évaluée ce jour à environ 80 000 personnes infectées dans le monde, est son impact sur les marchés financiers. C’est un révélateur d’une économie fragile fonctionnant sur l’émotion. Si l’économie actuelle, c’est-à-dire la mondialisation, est menacée par le premier virus venu, dont on ne sait finalement que peu de choses, il convient en effet de s’inquiéter. Faut-il voir une corrélation entre l’épicentre chinois du virus, la Chine étant devenue de même un épicentre, sinon le principal épicentre de l’économie mondialisée ? L’avenir le dira. Si un des facteurs d’émotion est la vitesse de propagation, le Covid-19 touchant des pays comme la Corée du Sud, l’Italie, l’Espagne, le Japon, l’Iran ou les Etats-Unis, mais aussi le continent africain, l’autre est d’apprendre qu’il peut être transmis par des personnes ne présentant aucun symptôme.

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  • Macron ne veut pas revaloriser les retraites des agriculteurs (pour 1,1 milliard d’€), mais consacre 2 milliards aux clandestins « mineurs isolés »

    Rencontre mémorable entre deux […]

    « Emmanuel Macron a jugé samedi [au salon de l’agriculture] qu’il était « impossible » de revaloriser les pensions de retraite actuelles des agriculteurs à 85 % du Smic, une mesure prévue dans le futur système mais qui coûterait trop cher  à appliquer aux agriculteurs déjà à la retraite.  […] « C’est impossible. C’est impossible, parce que c’est 1,1 milliard ». (source 20 Minutes)

    En revanche, cela ne lui pose pas de problème de consacrer 2 milliards par an aux clandestins prétendument « mineurs isolés » ou de verser 8 milliards d’aide à l’Afrique.

    http://www.contre-info.com/

  • Le “droit anglo-saxon” et l’absolutisme financier

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    Je vous propose  :
    . d’analyser comment le droit anglais a historiquement été mis, de façon institutionnelle, au service des puissants ;
    . avant d’examiner comment la puissance politique est devenue une puissance économique ;
    . pour enfin considérer la conclusion qui est que la domination internationale du droit anglo-saxon est la promesse de disparition de la civilisation et le plus sûr chemin vers l’esclavagisme de tous.

    Le Parlement anglais : une organisation politique au service des puissants
    Le Parlement anglais est l’héritier direct des institutions issues de la Magna Carta ; de quoi parle-t-on vraiment ? La Magna Carta apparue en 1215 quasi immédiatement abrogée a ressurgi en 1216 avant d’être amendée et complétée d’une loi domaniale (Charte de Forêt) en novembre 1217. Une quatrième version voit le jour en février 1225, qui valide la disparition de la moitié de celle promulguée en 1215 ; cette Charte nouvelle version, confirmée solennellement le 10 novembre 1297, sera désormais connue sous le nom de Magna Carta.
    La Magna Carta brandie comme l’arme démocratique absolue est en réalité la manifestation d’une lutte de la féodalité contre le pouvoir royal centralisateur. Elle n’est pas un instrument du peuple contre les puissants mais un instrument des puissants seigneurs contre le pouvoir royal unificateur. Il s’agit en réalité de retirer au Roi, en tant qu’organe politique central, l’essentiel ou une grande partie de ses prérogatives pour les donner à un conseil de grands féaux, ou grands aristocrates appelé « Conseil des Barons », afin de limiter et finalement contrôler le pouvoir Royal. Le peuple, qui n’a rien à voir dans cette guerre entre grands aristocrates, n’a strictement rien gagné à la proclamation de ladite Charte.
    C’est précisément ce conseil de grands féodaux, initialement appelé « Conseil des Barons », qui se transformera peu à peu en Parlement. Ledit Parlement est, dès le départ, fonctionnellement, aussi peu fondateur de la « démocratie » au sens de gouvernement par le peuple et pour le peuple, que l’esclavagisme serait la cause ultime de la liberté.

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  • « Résorption très lente du déficit », « reflux incertain de la dette » : les inquiétudes de la Cour des comptes

    Toujours sans premier président à sa tête, l’institution a présenté mardi matin son rapport, où elle critique notamment « l’incapacité à respecter les trajectoires fixées ».

    La Cour des comptes a publié son rapport annuel dans un contexte un peu particulier, mardi 25 février. Celui qui aurait dû le présenter, en effet, n’est plus là. Didier Migaud a quitté ses fonctions de premier président fin janvier et a rejoint la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Et il n’a toujours pas été remplacé.

    Le Monde

    https://www.tvlibertes.com/actus/resorption-tres-lente-du-deficit-reflux-incertain-de-la-dette-les-inquietudes-de-la-cour-des-comptes

  • Ordonnances Macron, qu’en dire pour l’instant, par Frédéric Winkler.

    « La fin de la politique est le bien humain » Père de Pascal. Devant la cadence antisociale d'un système destructeur de notre économie au profit des banques dont le président fut un des loyaux serviteurs, alertons inlassablement nos frères dans la promiscuité des lendemains qui ne seront pas enchanteurs. Un monde Orwellien est en marche, depuis quelques temps déjà, il était question de réformer le Code du travail devenu effectivement incompréhensible dans ses inextricables articles.

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  • Le coronavirus pourrait déclencher une nécessaire correction boursière

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    Marc Rousset cliquez ici

    Les boursiers sont fébriles car ils ont des difficultés pour évaluer l’impact du coronavirus sur les résultats à venir des entreprises. Ces dernières devront probablement faire face, dans les mois prochains, à une diminution de la demande pour certains produits et services, avec des circuits d’approvisionnement et de logistique perturbés en amont. De plus, l’indice PMI américain, qui mesure l’évolution de l’activité, est tombé à son plus bas niveau depuis 2013, s’établissant à 49,6 points en février, tous secteurs confondus, contre 53,3 points en janvier. Quant à l’indicateur PMI des services, il a plongé de 53,3 à 49,4. Ce chiffre est particulièrement inquiétant car les services sont à l’origine des deux tiers de la croissance du PIB aux États-Unis

    Selon Patrick J. O’Hare, de Briefing.com, le marché bousier est « surpeuplé, surévalué, prêt pour une correction, ce qui alimente une ruée vers les valeurs refuges », ajoutant : « La question est de savoir qui, du marché boursier, du marché obligataire ou de l’or, va céder le premier. »D’autres boursiers plus pessimistes prétendent que le coronavirus va s’étendre avec des effets qui seront alors beaucoup plus catastrophiques et prolongés pour l’économie.

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  • Les annonces très insuffisantes de Macron à Mulhouse sur le séparatisme et l'islamisme

  • Retraites : le faux problème du financement - Osons Comprendre

  • Faut-il supprimer le Salon de l’agriculture ?

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    Par Jarente de Senac

     Faut-il le louer ou le maudire ce Salon de l’agriculture où chaque année nos braves paysans viennent s’immoler sur l’autel des urbains d’une capitale que le peuple déserte. Faut-il le maintenir pour voir la mascarade de nos politiques défiler à la queue leu leu afin de s’apitoyer sur un monde qu’ils ignorent et dont la souffrance leur saute à la gueule chaque matin à l’heure du croissant-beurre. Et voici des décennies que cette mascarade perdure, voici des décennies qu’on s’emploie à appauvrir nos agriculteurs et des décennies que des maires irresponsables implantent des supermarchés dans leurs communes pour en tirer de dérisoires bénéfices et assassiner nos paysans. Car le paradoxe est proprement indigne d’une nation d’essence agricole dont elle tire de nombreux bénéfices et le désarroi de ses acteurs. La France, qui comme le disait Maurras est faite de pêcheurs et de paysans, est en train de perdre les deux par le laxisme habituel du pouvoir. L’escroc en chef s’appelait Jacques Chirac, sa caricature Sarkozy, son bouffon François Hollande, son clone Emmanuel Macron.

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  • DES INÉGALITÉS TOUJOURS PLUS GRANDES : QUELLES RÉPONSES ?

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    PARIS VOX – LES INÉGALITÉS SOCIO-ÉCONOMIQUES N’ONT JAMAIS ÉTÉ AUSSI CONSIDÉRABLES QU’AUJOURD’HUI. UN HOMME, PAR SES PUBLICATIONS ET SON AURA MÉDIATIQUE, EST DEVENU LE « PENSEUR » DE CES INÉGALITÉS  : THOMAS PIKETTY. IL EST AUJOURD’HUI CONTESTÉ PAR UN JEUNE UNIVERSITAIRE, GUILLAUME TRAVERS, QUI REMET EN CAUSE CERTAINS DE SES PRÉSUPPOSÉS DANS UNE ROBORATIVE BROCHURE «POURQUOI  TANT D’INÉGALITÉS  ? » PARUE AUX ÉDITIONS DE LA NOUVELLE LIBRAIRIE. RENCONTRE AVEC CE FRONDEUR.

    • Plus que l’analyse du capitalisme de Thomas Piketty vous semblez dénoncer prioritairement ses remèdes. Piketty bon diagnostiqueur et mauvais pharmacien ?

    C’est plus profond que cela. Il y a trois choses. Tout d’abord le constat. Piketty constate une hausse massive des inégalités depuis plusieurs décennies et dans la plupart des régions du monde, notamment aux États-Unis. Sur ce point, rien à redire.

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