Les expulsions, en France en 2018, ont augmenté de 36% par rapport à 2001.
143.000 SDF en France, et ce n’est pas le pire
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143.000 SDF en France, et ce n’est pas le pire
Sans trop de surprise, les évolutions des tarifs appliquées dès ce samedi 1er février sont plus à la hausse qu’en baisse. Voici ce qui change :
Baisse du rendement du Livret A
A partir de ce samedi, le taux de rendement du Livret A passe de 0,75 à 0,5 %. Il sera donc désormais moins intéressant de placer ses économies sur un livret A. Le rendement du livret de développement durable et solidaire va aussi baisser, passant à 0,5 %, ainsi que celui du livret d’épargne populaire (LEP) qui passe de 1,25 à 1 %. Le taux du compte épargne logement (CEL) tombe de son côté à 0,25 %.
Dans des laboratoires ultra secrets et ultra protégés, pour faire toujours plus de fric, on cherche à modifier l'ordre naturel du monde et à engendrer des monstruosités végétales (ici du blé transgénique in vitro).
Qu'est-ce que Monsanto ? C'est l'archétype de la multinationale tentaculaire et planétaire ! Née en 1901, active dans 46 pays, forte de 17500 salariés et d'un chiffre d'affaires de 7,5 milliards de dollars en 2006.
Monsanto s'est fait véritablement connaître comme nuisance globale avec le fameux Agent orange. Un défoliant à base de dioxine largué à partir de 1961 et pendant une décennie sur les forêts du nord Vietnam couvrant le lacis de la "piste Hô Chi Minh" par laquelle transitait hommes et armes à destination du Sud. Puissamment carcinogène, tératogène et mutagène l'Agent orange, 47 ans plus tard, continue à tuer. Au glorieux palmarès de la marque, ajoutons l'herbicide total connu sous le nom de Roundup présenté mensongèrement comme biodégradable, un produit pourtant suspect de favoriser des malformations embryonnaires et d'être un agent précurseur de la carcinogénèse ; l'édulcorant de synthèse Aspartame possible Inducteur de Lésions cérébrales que l'on retrouve dans tous Les produits light mais pour lequel la firme ne touche plus aujourd'hui de royalties, le brevet étant tombé en 1992 dans le domaine public ; ajoutons les hormones de croissances bovine et laitière interdites en Europe ; les PCB, polychloroblphényles ou pyralènes utilisés dans les transformateurs électriques mais qui ont contaminé chacun d'entre nous et toutes la chaîne alimentaire depuis les phoques de l'Arctique jusqu'au lait humain ; enfin les OGM, Organismes Génétiquement Modifiés grâce auxquels Monsanto via ses complicités dans l’Administration américaine donneuse d'ordre aux classes dirigeantes de la démocratie mondiale, est en train d'établir une hégémonie planétaire sur les semences. Ce qui signifie en clair la mise sous tutelle de l'agriculture et partant la dépendance alimentaire des États.
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
« L’impact de l’immigration sur l’économie française est modéré ». Tel serait le principal enseignement d’un rapport présenté le 22 janvier par Stéphanie Do, députée LREM, et Pierre-Henri Dumont (LR).
Sur Europe 1 Pierre-Henri Dumont explique que « 43% de notre immigration est familiale, contre 13% pour l’immigration de travail » alors qu’elle représente » selon l’élu « un tiers de l’immigration » dans les autres pays européens.
Conséquence, une population immigrée peu qualifiée
« La population immigrée en France est traditionnellement peu qualifiée » indique le rapport. Ainsi, 43% des immigrés ne détiendrait aucun diplôme ou au mieux le brevet des collèges
Enfin, nos deux députés découvrent après l’eau tiède, l’eau chaude et indiquent : « Un afflux de travailleurs non qualifiés pourrait réduire le salaire des travailleurs non qualifiés et accroître celui des qualifiés, avec donc une tendance à augmenter les inégalités entre qualifiés et non-qualifiés ».
Quel est l’impact de l’immigration sur les finances publiques ?
On lira dans le rapport des deux députés, cette phrase intéressante « l’impact de l’immigration sur les finances publiques est un peu plus négatif en France qu’en moyenne dans l’OCDE, notamment en raison du faible taux d’emploi des immigrés et de l’ampleur redistributive du système socio-fiscal français au bénéfice des ménages modestes, parmi lesquels on compte beaucoup d’immigrés ». Le rapport déplore que certaines dépenses en hausse tendancielle ne soient pas prises en compte. Parmi elles, on peut notamment citer le coût croissant des enfants et adolescents qui font la traversée seuls et sont recueillis par les départements jusqu’à leur majorité.
Que proposent nos députés ?
Reconnaissant la principale implantation de la population immigrée sur un axe Paris, Lyon, Marseille, nos députés préconisent une meilleure répartition territoriale et nationale de cette population.
Gérard Pince est docteur en économie et spécialiste de l’économie du développement ; il a publié en 2013 un petit livre intitulé ‘’Les Français ruinés par l’immigration’’ (Editions Godefroy de Bouillon).
Dans cet ouvrage assez aride, Gérard Pince a résumé ses analyses de la comptabilité nationale destinées à évaluer l’impact des populations immigrées sur notre économie. Les sources de toutes les données chiffrées utilisées par l’auteur sont disponibles dans les annexes ; ce rapport est vérifiable par tous les amateurs d’arithmétique.
Les bases du calcul
A la différence d’autres rapports, celui de Gérard Pince ne prend pas en compte tous les étrangers et leurs descendants de la première génération mais seulement les étrangers d’origine extra-européenne parce que, selon lui, l’impact positif des étrangers d’origine européenne sur nos comptes nationaux masque l’impact négatif des étrangers originaires des pays tiers.
Marc Rousset
S’exprimant tout récemment au Peterson Institute of International Economics à Washington, la nouvelle directrice du FMI, Mme Gueorguieva a déclaré que, selon une étude des chercheurs du FMI, l’économie actuelle est à comparer aux « années folles » ayant abouti au krach boursier de 1929. Elle voit dans les inégalités et l’instabilité du secteur financier le risque de retour d’une Grande Dépression : « A certains égards, cette tendance troublante rappelle le début du XXe siècle, lorsque l’essor technologique et l’intégration ont conduit à l’âge doré, aux années folles et, finalement, au désastre financier ».
Un groupe d’« experts » vient de remettre au garde des Sceaux, Nicole Belloubet, un rapport qualifié de volcanique par le magazine Capital, ce 22 janvier. Ces « spécialistes » préconisent de faire entrer les assurances-vie dans le calcul de la réserve héréditaire et de la quotité disponible.
Par Michel Leblay et Laurent Artur du Plessis ♦ La revue de presse du Libre journal de Dominique Paoli sur Radio Courtoisie du 20 janvier 2020 portera sur une question technique mais passionnante : le lien entre croissance de la productivité et croissance économique.
Si nous exceptons les grèves insurrectionnelles de 1947-1948, la France traverse la plus longue crise sociale depuis la Libération. Ces grèves de 1947-1948, prises en main par le Parti communiste et son relais syndical la CGT, intervenaient au lendemain de la seconde guerre mondiale avec l’Occupation et les destructions considérables subies par le pays. Il en résultait pour une partie du pays une indéniable misère sociale. Aidée par le plan Marshall, la France engagea la reconstruction du pays et sa modernisation. Comme jamais auparavant, le pays entreprit un effort économique considérable, basculant dans la société de consommation de masse et atteignant des niveaux de croissance exceptionnels (5,3% en moyenne annuelle de 1949 à 1974). Probablement, parce que la rétribution n’était pas à la hauteur de l’effort accompli et des résultats obtenus, avec les salaires les plus modestes qui restaient insuffisants, la France bascula dans un mouvement de grève générale plus large encore que celui de 1936. Par les négociations, les avantages obtenus par les syndicats furent conséquents (hausse du SMIG de 35% et de 10% en moyenne pour les autres salaires).