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économie et finance - Page 248

  • Comment en est-on arrivé là ? (Partie 1), par Frederic Poretti-Winkler.

    En relisant Marie Madeleine Martin...
    « Toutes les révolutions ont été faites par des livres » Bonald

    On ne peut distinguer le social du politique. C’est une grave erreur (XVIIIe siècle) et une utopie d’imaginer une distinction entre les deux. De tous temps il y eut des idées « subversives » voir destructrices, nommées idées nouvelles. Nous voulons dire des idées qui, selon l’étude attentive du passé, bref l’empirisme, entraînent les sociétés vers le chaos et finalement l’abime…Ces idées sont souvent sortis d’esprits tourmentés et chimériques, essayant d’imposer leurs idées, souvent égoïstes et mues par des cerveaux dérangés, à une société, qui selon eux, devrait être construite à leur image…En général et l’histoire, le montre continuellement, les utopies finissent vite dans le chaos, le sang et les charniers.

    Certaines sociétés arrivent mieux à endiguer de tels déviances mais d’autres, plus fragiles, y succombent. Les arguments de ces fauteurs de trouble sont souvent les mêmes : « progrès, liberté, égalité, modernisme, vertu » Lorsque ceux-ci arrivent au pouvoir, les belles idées sont vite oubliés pour que les vainqueurs se servent. Ces expériences amènent régression, guerres (civiles ou extérieures) et massacres. Une caste plus « égalitaire » que les autres, devient privilégiée et entraînera dans ses chimères le peuple vers le néant…

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  • Vers une catastrophe économique post-confinement ? – La revue de presse de Radio Courtoisie

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    La revue de presse du Libre journal de Dominique Paoli sur Radio Courtoisie du 11 mai porte bien entendu sur l’épidémie de Coronavirus et, plus précisément, sur les conséquences économiques du confinement.

    Après huit semaines de suspension d’une large part de l’activité économique due à l’épidémie de Covid 19 (recul du PIB de 5,8% durant le premier trimestre 2020 par rapport au même trimestre de l’année précédente[1] – avant l’épidémie un recul de 0,1% avait été observé au quatrième trimestre de l’année 2019 – La baisse pourrait atteindre 30% à 40% au second trimestre – Jean-Marc Sylvestre Atlantico 7 mai 2020 Comment éviter l’écroulement de l’économie française, quand la confiance n’est pas réunie et que la BCE est attaquée par la justice allemande sur son programme anti-récession), la décision de déconfinement va permettre une reprise progressive de cette activité. Néanmoins, le secteur de la restauration reste frappé par un interdit, les transports collectifs seront limités comme les déplacements et toutes les chaînes de production seront encore loin d’être normalement approvisionnées. Par ailleurs, l’agencement exigé des postes de travail dans les entreprises où la présence humaine est nécessaire aura, au moins dans un premier temps, un effet sur la productivité. Cet agencement représentera un coût de fonctionnement supplémentaire. En revanche, un télé travail étendu comme nouvelle forme d’organisation tend à réduire les coûts afférents aux postes de travail (surfaces occupées) sans négliger certaines incidences (lien social, relations avec les collaborateurs…).

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  • Des batteries quasi éternelles fabriquées à partir de déchets nucléaires.

    Vous êtes nombreux, maintenant, à être fidèles au rendez-vous hebdomadaire que vous donne Bayard, chaque jeudi, avec sa Chronique Alimentaire/Santé. Et vous appréciez la sûreté et l'abondance des renseignements très précis et très pratiques qu'il vous y donne. Il va aujourd'hui quitter sa spécialité habituelle, pour vous entretenir ici d'une information scientifique extrêmement intéressante, dont le proche avenir dira vite ce qu'il faut en penser...

    François Davin, Blogmestre

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  • Les agriculteurs toujours seuls dans le chaos du déconfinement

    Pas de bras, pas d’assiette ! L’opération « Des bras pour ton assiette », lancée par le gouvernement, a fait pschitt. L’idée était pourtant séduisante : inciter les personnes en chômage partiel à se rendre utiles en travaillant pour les agriculteurs privés de main d’œuvre à cause de la fermeture des frontières. Malgré les effets d’annonce, sur les 300 000 candidatures, seules 15 000 personnes ont été contractualisées… ça rappelle les promesses de don oubliées après le Téléthon !

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  • Le casse-tête du redressement de l’économie

    Travailler plus pour rattraper le retard ! Voilà la nouvelle idée lancée par plusieurs responsables politiques. Mais les Français ont-ils envie de faire un effort pour gagner plus d’argent à l’heure où les habitudes de production et de consommation sont en pleine remise en question ? Surtout, travailler plus pour réparer les conséquences de l’amateurisme d’un président qui ne reconnaîtra jamais ses erreurs ? En tout cas, les prévisions plus que pessimistes pour l’année 2020 devraient suffire à faire peur aux Français et les faire marcher droit.

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  • Cour de Karlsruhe : vers la banqueroute de l’Italie et l’éclatement de la zone euro, par Marc Rousset.

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    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    Tout comme les juges européens ont réussi des coups d’État en affirmant la suprématie de leurs décisions sur les droits nationaux, alors que, selon les traités, l’Union européenne n’est pas un État fédéral, la BCE s’est lancée, avec Draghi et Lagarde, dans une fuite en avant – en fait un véritable coup d’État monétaire qui ne correspond pas aux traités et aux statuts de la BCE -, en émettant de la monnaie de singe tous azimuts, non garantie par un actif tangible. Cela équivaut à mutualiser la dette des États par les voies détournées de la BCE

    La BCE a bafoué ouvertement les deux clés de répartition des émissions d’un État, puisqu’elle ne peut racheter plus de 33 % des titres d’une émission et se doit de plafonner son encours des titres rachetés à un État au pourcentage de la participation de l’État dans le capital de la BCE, comme le rappelle Le Point. Le rachat « non proportionné » des dettes italiennes (et d’autres États) n’est rien d’autre qu’un sauvetage de l’Italie par la BCE puisque les obligations italiennes totaliseraient, selon Goldman Sachs, 35 à 45 % du total racheté actuellement par la BCE.

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  • « Avec le MES. c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare »

    Avec le MES, c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare.jpeg

    Ancien député européen, économiste et monétariste, membre du Front national jusqu’en 2018. puis de Debout la France. Bernard Monot a signalé dans les médias les dangers auxquels un éventuel recours au Mécanisme européen de stabilité financière (MES) exposerait la France. Monde&Vie l'a rencontré.

    Propos recueillis par Hervé Bizien

    Vous dénoncez le danger que fait planer le mécanisme européen de stabilité (MES) sur la souveraineté française. Qu'est-ce que cette institution ?

    Pour l'Union européenne, qui n'existe qu'à travers les États membres, tous les moyens sont bons pour aller vers un modèle fédéraliste, conçu sur le modèle archaïque des États-Unis d'Amérique et de l'URSS. Ses promoteurs profitent de l'actuelle crise sanitaire pour avancer en ce sens, en utilisant des instruments inventés lors de la crise financière et économique de 2008-2012. Un Fonds européen de stabilité financière (FESF) avait été créé en catastrophe en 2010, à l'occasion du risque de faillite de la Société générale. Puis fut inventé un Mécanisme européen de stabilité financière (MESF). Et en 2012, un traité a institué le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui les a remplacés. Ce traité confère en quelque sorte à cette nouvelle institution, pour la politique budgétaire fédérale de la zone euro, un statut comparable à celui dont bénéficie la Banque centrale européenne en matière de politique monétaire.

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  • Crise sanitaire: 58% des Français estiment que la principale menace est économique plutôt que virale

    A la veille du déconfinement, un sondage Ifop pour le cabinet de conseil No Com paru ce dimanche 10 mai dans Le Parisien révèle que 65% des Français estiment qu’il vaut mieux trop de précautions plutôt qu’un retour rapide à la vie normale qui serait risqué sur le plan sanitaire.

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  • L'Action Française face à la question sociale. Partie 1 : La condamnation du libéralisme.

    L’histoire du royalisme, souvent ignorée par les monarchistes eux-mêmes alors qu’ils devraient être hommes de mémoire, est pleine de malentendus, de bruits et de fureurs, mais elle est aussi passionnante et beaucoup plus riche qu’on pourrait le croire au regard des manuels d’histoire ou des articles de presse, souvent ricaneurs ou polémiques, qui lui consacrent quelques pages. Depuis quelques années, de nombreux colloques ont étudié l’Action française, accompagnés de publications universitaires ou érudites fort intéressantes, mais il reste encore de nombreux chantiers historiques à explorer sur cette école de pensée qui fut aussi (et surtout ?) une presse et un mouvement inscrits dans leur temps, avec toutes les pesanteurs de celui-ci et les risques d’incompréhension. Ces études, d’ailleurs, liées sans doute à l’esprit et aux inquiétudes de notre époque, pourraient être utilement complétées par celles sur les stratégies des princes de la Famille de France et sur les « royalismes provinciaux », parfois moins doctrinaires sans en être moins intéressants. A quand de grandes thèses sur les parlementaires royalistes d’avant 1940 ou sur la presse royaliste « hors-AF », comme La Gazette de France, dans laquelle écrivirent Maurras et Daudet, ou Le Soleil, fort peu maurrassienne ? La revue Lys Rouge, publiée il y a quelques années par la Nouvelle Action Royaliste, a ouvert quelques pistes de recherche qui mériteraient de ne pas être refermées avant d’avoir été complètement explorées…

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  • «En Italie comme en France, le vrai coupable est le système libéral»

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    Entretien avec Pierre d'Her

    Si l’État italien s’est trouvé dépassé par l’ampleur de la crise, des militants de Casapound ont apporté à leur échelle, une pierre précieuse pour venir en aide au peuple romain. 

    L’Italie a été le premier pays d’Europe a être particulièrement touché par l’épidémie du Covid-19. Avec 28.884 décès et 211.000 cas confirmés dans toute la botte à ce jour, les Italiens entament un déconfinement progressif à partir du 4 mai. Malgré une crise sanitaire inquiétante et un État qui semble dépassé, les militants de la Casapound ne se sont pas laissé abattre par la fatalité.

    Convaincu de la nécessité de servir leur peuple avant tout, les militants ont bravé le confinement pour distribuer plusieurs tonnes de produits élémentaires aux habitants de la capitale, ont accompagné les Italiens durant ces longues semaines au rythme des émissions de Radio Bandiera Nera et ont même organisé des vidéoconcerts de leurs groupes phares : Bronson ou encore Ultima Frontiera. 

    Pierre d’Her vit à Rome depuis plusieurs années, il a participé aux élans de solidarité au cœur de la ville éternelle. Pour Infos-Toulouse, il décrypte ces heures sombres vécus par tout un peuple, et qui risquent de ne pas s’arrêter au déconfinement. Surveillance, répression et précarité risque de succéder à la crise sanitaire. 

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