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économie et finance - Page 254

  • « Avec le MES. c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare »

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    Ancien député européen, économiste et monétariste, membre du Front national jusqu’en 2018. puis de Debout la France. Bernard Monot a signalé dans les médias les dangers auxquels un éventuel recours au Mécanisme européen de stabilité financière (MES) exposerait la France. Monde&Vie l'a rencontré.

    Propos recueillis par Hervé Bizien

    Vous dénoncez le danger que fait planer le mécanisme européen de stabilité (MES) sur la souveraineté française. Qu'est-ce que cette institution ?

    Pour l'Union européenne, qui n'existe qu'à travers les États membres, tous les moyens sont bons pour aller vers un modèle fédéraliste, conçu sur le modèle archaïque des États-Unis d'Amérique et de l'URSS. Ses promoteurs profitent de l'actuelle crise sanitaire pour avancer en ce sens, en utilisant des instruments inventés lors de la crise financière et économique de 2008-2012. Un Fonds européen de stabilité financière (FESF) avait été créé en catastrophe en 2010, à l'occasion du risque de faillite de la Société générale. Puis fut inventé un Mécanisme européen de stabilité financière (MESF). Et en 2012, un traité a institué le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui les a remplacés. Ce traité confère en quelque sorte à cette nouvelle institution, pour la politique budgétaire fédérale de la zone euro, un statut comparable à celui dont bénéficie la Banque centrale européenne en matière de politique monétaire.

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  • Crise sanitaire: 58% des Français estiment que la principale menace est économique plutôt que virale

    A la veille du déconfinement, un sondage Ifop pour le cabinet de conseil No Com paru ce dimanche 10 mai dans Le Parisien révèle que 65% des Français estiment qu’il vaut mieux trop de précautions plutôt qu’un retour rapide à la vie normale qui serait risqué sur le plan sanitaire.

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  • L'Action Française face à la question sociale. Partie 1 : La condamnation du libéralisme.

    L’histoire du royalisme, souvent ignorée par les monarchistes eux-mêmes alors qu’ils devraient être hommes de mémoire, est pleine de malentendus, de bruits et de fureurs, mais elle est aussi passionnante et beaucoup plus riche qu’on pourrait le croire au regard des manuels d’histoire ou des articles de presse, souvent ricaneurs ou polémiques, qui lui consacrent quelques pages. Depuis quelques années, de nombreux colloques ont étudié l’Action française, accompagnés de publications universitaires ou érudites fort intéressantes, mais il reste encore de nombreux chantiers historiques à explorer sur cette école de pensée qui fut aussi (et surtout ?) une presse et un mouvement inscrits dans leur temps, avec toutes les pesanteurs de celui-ci et les risques d’incompréhension. Ces études, d’ailleurs, liées sans doute à l’esprit et aux inquiétudes de notre époque, pourraient être utilement complétées par celles sur les stratégies des princes de la Famille de France et sur les « royalismes provinciaux », parfois moins doctrinaires sans en être moins intéressants. A quand de grandes thèses sur les parlementaires royalistes d’avant 1940 ou sur la presse royaliste « hors-AF », comme La Gazette de France, dans laquelle écrivirent Maurras et Daudet, ou Le Soleil, fort peu maurrassienne ? La revue Lys Rouge, publiée il y a quelques années par la Nouvelle Action Royaliste, a ouvert quelques pistes de recherche qui mériteraient de ne pas être refermées avant d’avoir été complètement explorées…

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  • «En Italie comme en France, le vrai coupable est le système libéral»

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    Entretien avec Pierre d'Her

    Si l’État italien s’est trouvé dépassé par l’ampleur de la crise, des militants de Casapound ont apporté à leur échelle, une pierre précieuse pour venir en aide au peuple romain. 

    L’Italie a été le premier pays d’Europe a être particulièrement touché par l’épidémie du Covid-19. Avec 28.884 décès et 211.000 cas confirmés dans toute la botte à ce jour, les Italiens entament un déconfinement progressif à partir du 4 mai. Malgré une crise sanitaire inquiétante et un État qui semble dépassé, les militants de la Casapound ne se sont pas laissé abattre par la fatalité.

    Convaincu de la nécessité de servir leur peuple avant tout, les militants ont bravé le confinement pour distribuer plusieurs tonnes de produits élémentaires aux habitants de la capitale, ont accompagné les Italiens durant ces longues semaines au rythme des émissions de Radio Bandiera Nera et ont même organisé des vidéoconcerts de leurs groupes phares : Bronson ou encore Ultima Frontiera. 

    Pierre d’Her vit à Rome depuis plusieurs années, il a participé aux élans de solidarité au cœur de la ville éternelle. Pour Infos-Toulouse, il décrypte ces heures sombres vécus par tout un peuple, et qui risquent de ne pas s’arrêter au déconfinement. Surveillance, répression et précarité risque de succéder à la crise sanitaire. 

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  • Charles Gave : « C'est le moment de vérité pour la zone euro »

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    Propos recueillis par l'abbé Guillaume de Tanoüarn

    Charles Gave, économiste libéral bien connu, considère que la présente crise sanitaire va déboucher sur une crise économique sans précédant dans la zone euro, une crise providentielle qui va rendre aux nations leur légitimité pour sortir de la grande récession annoncée.

    Nous sommes en train de voir venir une crise sans proportion avec aucune autre, une crise économique qui ne ressemblera ni à la crise de 1929 ni à celle de 2008 et qui risque bien de prendre tout le monde de court ?

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  • Quand le pillage devient évidence

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    La révolte des Gilets Jaunes montre très clairement le ras-le-bol populaire face au pillage des fruits de notre travail. Macron prend sans vergogne au peuple afin de pouvoir donner/rendre à ceux qui l'ont fait élire.

    Pour moins taxer le travail, il prend à l'ensemble de la population, et cela pèse fortement sur les plus fragiles. Il oublie dans son équation de taxer le Capital. Le Président des riches voudrait nous faire croire à la théorie du ruissellement sur laquelle est bâti son programme quand les riches en ont trop, cela finit par retomber sur les gueux ! Au lieu de ruisseler, ça grince Monsieur Macron !

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  • Jean-Paul Gourévitch réagit au rapport de la Cour des comptes : « Plus personne n’ose dire, maintenant, que l’immigration, ça rapporte ! »

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    Jean-Paul Gourévitch analyse le rapport de la Cour des comptes qui évalue le coût de l’immigration à 6,6 milliards d’euros. Il pointe en particulier plusieurs coûts nettement sous-estimés : ceux de l’immigration étudiante et des mineurs non accompagnés.

    La Cour des comptes a publié un rapport qui détaille le coût de l’immigration en France. Celui-ci s’élèverait à 6,6 milliards d’euros. Ce rapport prend-il en compte toute l’immigration ?

    Le rapport a été publié hier. J’ai noté qu’il comporte trois éléments clés : une critique de la politique française en matière d’immigration et d’intégration, une étude sur les coûts, et des préconisations.

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  • Le coût de l’immigration ? Un pognon de dingue !

    9611-20200508.jpgMieux vaut tard que jamais. La Cour des comptes a publié un audit retentissant. Retentissant parce qu’il officialise ce que tous savaient déjà. O surprise, ô rage, ô désespoir. La cohorte des Victor Hugo afghans et des ingénieurs syriens. Ces enrichisseurs de culture censés nous relever économiquement coûtent finalement à la France et aux Français la bagatelle de 6,6 milliards d’euros. Une paille !

    Plus intéressant encore que ce chiffre sur lequel nous reviendrons, la Cour des comptes détaille dans ce document toute la chaîne de l’immigration. Tout ou presque dysfonctionne dans l’accueil, l’intégration et la régularisation des sans-papiers. On apprend aussi que les titres de séjour octroyés à nos chances pour la France ont augmenté de 38 % depuis l’ère de Nicolas Sarkozy. De quoi pâlir. 276 576 titres de séjours nouveaux ont été distribués en 2019. Un chiffre à mettre en relation avec le nombre non négligeable de ceux qui restent chez nous de manière illégale et ceux qui se font renouveler le précieux sésame.

    Le fantasme balayé de l’immigration choisie

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  • Zemmour/C News : l'Allemagne va-t-elle tuer "cette" Europe ?

    Eric Zemmour : "Les allemands sont furieux"

    "A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle"...

    Au menu de ce Mercredi : Allemagne, économie, Freud et "baby boomers"...

    1. L'Allemagne vient peut-être de lancer la bombe qui va faire sauter "cette" Europe, que nous détestons. Agissant comme de Gaulle au début de la construction européenne (positions abandonnées à partir de Giscard...), les allemands viennent de facto de déclarer leurs juridictions nationales supérieures à la BCE, à la CEDH et autres organismes du "machin" : ils ont raison, ils agissent en fonction de leurs intérêts et non d'une fumeuse idéologie utopique européiste, comme le font maintenant les français... Si les allemands tuent cette Europe technocratique, ce n'est pas nous qui la regretterons. Viendra peut-être alors le temps de la construction d'une autre Europe, celle des Peuples et des Nations historiques, fières de leurs héritages et de leurs identités.

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  • Récession : l’économie française, lanterne rouge en Europe

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    Les chiffres des économies européennes sont tombés, concernant le premier trimestre 2020. Ils sont édifiants, la récession est généralisée, à des niveaux inconnus dans l’Histoire. Jugez plutôt : Allemagne -2 % ; Italie -4,7 % ; Espagne -5,2 % ; France -5,8 %.

    Tous les pays sont dans une situation catastrophique et personne ne peut compter sur une situation meilleure chez les voisins qui pourrait aider à faire repartir la croissance. Et encore, ces chiffres portent sur une période de confinement de quinze jours en France, trois semaines en Italie ou en Espagne. Comment se présentera le deuxième trimestre, dans ces conditions ? Il y a fort à parier que la récession sera encore bien pire, car le redémarrage qui suivra le  se fera très certainement en douceur…

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