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économie et finance - Page 254

  • Le montant des prestations sociales en 2018 s’élève à 741 milliards d’euros

    741 milliards. C’est le montant total des prestations de protection sociale (santé, retraite, famille, chômage) établi en 2018, soit une augmentation de 1,8 % en un an, selon une étude publiée mardi par la Drees, le service statistique des ministères sociaux.

    Cette somme représente 31,5% du produit intérieur brut (PIB), une proportion en léger recul par rapport à 2017, mais qui demeure parmi les plus élevées du monde. Le millésime 2018 a été marqué par un rebond des prestations de « vieillesse-survie » (+2,4% à 339 milliards), lié à « la hausse du nombre de départs à la retraite » qui « ne sont plus freinés par l’effet du relèvement progressif de l’âge légal », passé en quelques années de 60 à 62 ans.

    Les dépenses de santé ont poursuivi leur croissance supérieure à la moyenne (+2,1% à 261,2 milliards), portée par l’augmentation des arrêts de travail, mais aussi des bonus versés par la Sécu aux médecins libéraux.

    Les prestations familiales ont à l’inverse marqué le pas (+0,3% à 55,4 milliards), en raison de la « stagnation du nombre de foyers bénéficiaires » des allocations familiales et du « recul du nombre de naissances depuis 2014 ». […]

    news.yahoo

    http://www.citoyens-et-francais.fr/2019/10/le-montant-des-prestations-sociales-en-2018-s-eleve-a-741-milliards-d-euros.html

  • Philippe Pascot sur le référendum ADP: «Tout est fait pour qu’on n’en parle pas»

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    896.000 soutiens au référendum contre la privatisation d’ADP, ont été enregistrés mercredi 23 octobre par le Conseil constitutionnel. Sputnik a interrogé Philippe Pascot, figure des Gilets jaunes et l’un des plus fervents partisans de cette consultation.

    La mobilisation avait débuté sur les chapeaux de roue le jeudi 13 juin. 125.000 soutiens avaient signé dès le premier jour la consultation par Internet en faveur de la tenue d d’un référendum d’initiative partagée (RIP) sur la privatisation du groupe Aéroports de Paris (ADP).

    Ceux-ci déchantent quelques mois plus tard. Car ce 23 octobre, le Conseil constitutionnel annonçait avoir enregistré 896.000 signataires, soit moins de 20% des suffrages requis le 12 mars 2020, c’est-à-dire 4.717.396 noms. Des chiffres globalement corroborés par les compteurs indépendants comme celui de CheckNews ou du site de l’adrip.

    De nombreux partisans du référendum se sont plaints de l’opacité et du manque d’information qui entourent cette consultation. Philippe Pascot, auteur de Mensonges d’État (éd. Max Milo) et Gilet jaune régulier, en fait partie et ne mâche pas ses mots envers le gouvernement. Il a répondu à nos questions.

    Sputnik France: Comment expliquer la maigre mobilisation en faveur du référendum sur la privatisation d’ADP?

    Philippe Pascot: «D’abord, ce n’est pas un maigre résultat. Partout dans le monde, aucun RIP, aucun RIC ne demande plus de 900.000 signatures. Déjà de dépasser le million de signatures, comme on va les dépasser, c’est déjà une victoire. Comme il n’y a aucune transparence sur la façon dont Internet gère les signatures, on s’est aperçu, preuves à l’appui, que des gens qui s’inscrivaient disparaissaient soudainement des chiffres. Aujourd’hui, on ne peut plus faire confiance au Conseil constitutionnel. Quand on voit les décisions qu’il a prises, on se pose vraiment des questions sur son indépendance. Je pèse mes mots sur l’indépendance du Conseil constitutionnel, qui, quelque part, de plus en plus, est à la botte du pouvoir.»

    Sputnik France: Appelez-vous le gouvernement à réduire le chiffre requis de 4,7 millions de signatures?

    Philippe Pascot: «Oui, j’appelle à une modification de ce chiffre et à prouver à ces gens-là que ce sont des menteurs en continuant massivement à signer pour ADP. Même si on sait de toute manière que c’est un leurre, si on atteignait quatre millions de signatures, ces gens-là ne respecteraient pas le vote populaire. Depuis quelque temps, ils ne respectent rien de ce que demande le peuple.»

    Sputnik France: Difficile de nier néanmoins que la mobilisation médiatique et populaire n’est pas au rendez-vous?

    Philippe Pascot: «Parce que tout est fait pour qu’on n’en parle pas. Tout est fait pour que les gens n’y aillent pas. Tout est fait, quelque part, pour que la population se détourne de ce problème pour pouvoir dire: “vous voyez, vous vouliez la démocratie, vous ne savez même pas vous en servir”. Le problème, c’est qu’ils ne donnent pas aux gens les moyens de se servir de la démocratie. Donc ils disent “servez-vous de la démocratie”, mais ils font tout pour que les gens ne puissent pas s’en servir. C’est un vrai parcours du combattant de remplir le formulaire ADP.»

    Sputnik France: Les Gilets jaunes ne font plus état de cette mobilisation? Est-ce que vous appelez à une mobilisation sur ce référendum?

    Philippe Pascot: «Ce n’est pas qu’ils n’en parlent plus trop, les Gilets jaunes, c’est qu’on leur a tellement tapé sur la tête, on les a tellement manipulés, on les a tellement montrés comme des terroristes de gauche ou de droite, selon l’humeur gouvernementale, que ces gens-là sont un peu désorientés pour l’instant, mais ne vous inquiétez pas, ça va revenir.

    Des actions, il y en a toutes les semaines, il y a des gens qui, toutes les semaines, descendent dans les marchés pour faire signer les gens. Ils font remplir ça sur papier, parce que sur Internet, c’est un vrai parcours du combattant. Il faut enregistrer les signatures, ils regardent une semaine après si les signatures ont été enregistrées. Et deux semaines après, il y a des signatures qui disparaissent.» 

    Sputnik France: Quel nombre de signatures espérez-vous atteindre avant la mi-mars?

    Philippe Pascot: «On va dépasser le million, quoi qu’ils fassent, malgré le fait qu’ils maquillent les chiffres, nous allons dépasser le million. Rien que le fait de dépasser le million de signatures, c’est une victoire populaire. À mon avis, ils vont annoncer 1,5 million.»

    http://www.citoyens-et-francais.fr/2019/10/philippe-pascot-sur-le-referendum-adp-tout-est-fait-pour-qu-on-n-en-parle-pas.html

  • Un langage prophétique contre le gaspillage : des paroles de 1974 toujours valables - et même plus - aujourd'hui...

    (Vu - et apprécié - sur la page facebook de notre ami Jean-Philipe Chauvin)

    Ecoutez cet entretien prophétique des années 1970 : il est véritablement annonciateur des problèmes que la société de consommation et de croissance crée, entretient et propage !

    "La France devra peu à peu cesser une économie basée sur le gaspillage des matières premières et de l’énergie." : nous sommes en 1974 et Claude Guillemin, géologue et spécialiste de la gestion des ressources, tient un discours anti-gaspillage qui n’a pas pris une ride.

    Il n'est pas encore top tard pour réagir !

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/24/un-langage-prophetique-des-paroles-de-1974-valables-aujourd-6185079.html

  • Zoom – Pierre Jovanovic – Récession : une 3ème vague pour le 1er trimestre 2020 !

    Journaliste et écrivain à succès, Pierre Jovanovic refuse catégoriquement le statut de lanceur d’alerte. Et pourtant, depuis de très nombreuses années, celui qui est interdit de passage sur les chaînes publiques, alerte les opinions publiques. Il dénonce les agissements de certaines banques et annonce la situation économique catastrophique de pays comme la France. Dans ce Zoom, Pierre Jovanovic tire la sonnette d’alarme. Son message est simple : les gouvernements peuvent truander l’indice des prix et les chiffres du chômage mais pas ceux des licenciements ! Et le journaliste de faire la liste des licenciements en France et en Europe : dans le secteur automobile mais aussi dans le secteur bancaire, ou plus inattendu au cœur de la presse mainstream. Pierre Jovanovic affirme que l’on avance vers une sécession colossale et que tous les indices sont en place pour qu’une troisième vague de récession touche la France au 1er trimestre 2020 !

    https://www.tvlibertes.com/zoom-pierre-jovanovic-recession-une-3eme-vague-pour-le-1er-trimestre-2020

  • La révolte des manants

    par Natacha Polony1427867201-1.jpg

    Le destin est farceur. Ainsi, en France ou au Chili, les foules s’embrasent pour quelques centimes sur l’essence ou le ticket de métro. Des cheminots, même, scandalisent le gouvernement pour leur manière quelque peu brutale de protester contre la disparition de toute présence humaine auprès des usagers de la SNCF. L’hypermodernité s’est caractérisée depuis quarante ans par l’accélération des échanges et la réduction des distances. La vitesse comme idéologie et comme projet. En marche, par tous les moyens et le plus vite possible. Parce que l’abolition des distances et l’immédiateté des communications sont gages de croissance et que la croissance est notre drogue dure. Mais rien ne se passe comme prévu. Tout à coup, les classes moyennes, du Liban au Chili, en passant par la France, s’aperçoivent que, pour colmater les brèches d’un navire mondial qui prend l’eau de toute part, les gouvernements rétablissent l’octroi et le tonlieu, les impôts médiévaux qui limitaient les déplacements des serfs et des commerçants. Le néolibéralisme, qui s’est tant gaussé de ces pays soviétiques où les allées et venues des ouvriers étaient strictement contrôlées, assigne à résidence ceux dont elle a organisé la vie autour de la réduction des distances.

    Les jeunes Libanais sont descendus dans la rue pour pro- tester contre une taxe sur la messagerie WhatsApp, nouvel instrument d’autonomie et de lien avec autrui, autre clé de cette mobilité à la fois contrainte et souhaitée. Tandis que les grands théoriciens du moralisme appliqué à la géopolitique nous expliquent que le « protectionnisme », dont on sait bien qu’il conduit tout droit à la guerre, s’impose partout, les flux de capitaux continuent à se promener tranquillement d’un continent à l’autre, si possible en direction des îles Vierges, des Bermudes ou du Delaware. Les Chiliens paient pour le savoir, la libéralisation imposée par les zélés représentants de l’école de Chicago permet à des fonds activistes d’imposer leur loi et de siphonner les retraites par capitalisation pendant que les classes moyennes, dindons de la farce néolibérale, s’enfoncent. En France, le diagnostic dressé par quelques-uns – notamment par Marianne – depuis déjà longtemps a eu bien du mal à franchir le mur du mépris médiatique. Il aurait fallu admettre que le dumping social et scal instauré au sein même de l’Union européenne était à l’origine de l’appauvrissement de l’Etat et de son recul dans les territoires ruraux et les villes moyennes. On préféra fermer les yeux jusqu’à ce que les ronds-points se remplissent de tous ceux que les fermetures de petites lignes de train obligeaient à rouler au diesel, de tous ces « déplorables », selon la terminologie de Hillary Clinton, qui ne songeaient même pas à prendre une patinette électrique pour se rendre au boulot.

    Il existe un mot pour désigner ceux qui n’ont pas vocation à pratiquer le nomadisme de la modernité connectée, le philosophe Olivier Rey le rappelle dans ses ouvrages : le manant, du latin manere, rester, demeurer. Il est d’ailleurs intéressant que ce mot ait d’abord désigné un riche possédant avant de prendre un sens péjoratif et de marquer au fer rouge celui qui n’a pas le bon goût de pouvoir fréquenter New York, Londres et tous les hauts lieux de l’ouverture et de la tolérance. Les classes moyennes des pays développés sont les nouveaux manants. Dans un monde où la liberté de se déplacer et de communiquer fait partie des droits fondamentaux d’un citoyen pour conquérir son autonomie, il est significatif de voir l’ensemble des Etats, chacun à sa manière, abandonner des pans entiers de leur corps social et de leur territoire. C’est bien l’égalité au sens où la France l’a inscrite sur le fronton de ses mairies qui est atteinte, c’est-à-dire non pas le droit de faire ce que l’on veut au même titre que les autres, mais l’organisation par la puissance publique des conditions de cette autonomie individuelle sans laquelle il n’est pas de citoyenneté véritable.

    Le cycle néolibéral ouvert depuis la fin des années 70 semble aujourd’hui atteindre ses limites. En France, l’assignation géographique se double d’une assignation sociale qui contredit violemment la promesse de la République. La fragilisation des classes moyennes met en danger les démocraties. On peut continuer, bien sûr, à faire comme si de rien n’était et renforcer le mécanisme de relégation. Fermer des gares et automatiser les tâches, sabrer les coûts pour rentabiliser les services publics, en négation complète de ce que signifie ce terme, et créer ainsi plus de chômage, donc plus de charges pour ceux qui essaient de vivre de leur travail. Mais, de fait, les révoltes grondent un peu partout. Une question se pose : les défenseurs de ce système ubuesque attendront-il l’explosion finale ou retrouveront-ils à temps ce minimum de bon sens qui leur fera constater qu’eux aussi ont intérêt à la République laïque et sociale ?

    Source : Marianne 24/10/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/24/la-re%CC%81volte-des-manants-6185226.html

  • Politique-Eco n°233 La fronde des banquiers centraux contre la BCE et M. Draghi avec Vincent Brousseau (UPR)


    Ancien haut fonctionnaire à la BCE pendant 15 ans devenu conseiller économique de l’UPR, Vincent Brousseau évoque la tribune au vitriol d’un groupe d’anciens membres de la Banque centrale européenne ou de banques centrales nationales sur l’action menée par Mario Draghi, futur ex-président de la BCE. Ils dénoncent sa politique dévastatrice de taux d’intérêt négatifs, accommodants certains gouvernements lourdement endettés, notamment celui de son pays, l’Italie… Vincent Brousseau est l’invité de « Politique-Eco ».

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n233-la-fronde-des-banquiers-centraux-contre-la-bce-et-m-draghi-avec-vincent-brousseau-upr

  • L’or et les Bourses montent car la crise monétaire a déjà commencé

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    Le  a vu son prix multiplié par 7, entre 1980 et 2008, à environ 14.000, pour retomber à environ 6.000, en 2009, et se retrouver, aujourd’hui, au chiffre stratosphérique d’environ 27.000. La Bourse de Paris, à 5.700, est aussi à son plus haut niveau depuis le 12 décembre 2007. Quant à l’indice du prix des logements rapporté au revenu par ménage, en prenant l’année 1965 comme base de référence, il a toujours oscillé autour de 1 de 1965 à 2000, pour s’élever brusquement à la verticale, à 1,7, de 2000 à 2019.

    Il y a donc bien, dans le monde, une méga- et immobilière, suite à l’afflux de liquidités illimitées par les banques centrales. À terme, l’effondrement monétaire est inéluctable, mais cela n’exclut pas un  dans un premier temps qui ne fera qu’aggraver la crise monétaire qui a déjà commencé.

    L’horizon économique s’assombrit en Allemagne, avec 1 % de croissance pour 2020 et 0,5 % pour 2019. L’économie chinoise ralentit, avec une croissance à 6 % au troisième trimestre, soit sa plus faible performance depuis 27 ans, malgré plus de 100 mesures de soutien monétaires et fiscales. Les USA vivent le plus long cycle de croissance répertorié depuis 1854, avec de mauvais chiffres de production industrielle, suite à une croissance artificielle générée par des mesures fiscales et l’injection, en moyenne, de 4 dollars de liquidités par les banques centrales pour un dollar de croissance obtenu. La Banque mondiale et le FMI alertent, de leur côté, sur une chute drastique de la croissance « dans près de 90 % du monde » et des échanges commerciaux.

    Kristalina Georgieva, nouvelle patronne du FMI, enfonce le clou : « Si un ralentissement majeur se produisait, la dette des entreprises exposées au risque de défaut de paiement augmenterait à 19.000 milliards de dollars, soit près de 40 % de la dette totale dans huit économies majeures » (notamment Chine, Japon, États-Unis et Europe). En Chine, les dettes risquées ont bondi, en dix ans, de 40 à 75 % du PIB. Le risque de défaut de paiement dans le monde serait alors supérieur aux niveaux observés pendant la crise financière de 2008. Les dettes des entreprises pourraient jouer le rôle des prêts immobiliers subprime aux États-Unis en 2008.

    Janet Yellen, ancienne présidente de la Fed, nous avait promis que le resserrement monétaire quantitatif serait aussi ennuyeux « que de regarder de la peinture sécher ». Manifestement elle s’est trompée car la Fed, après avoir réduit la taille de son bilan de 600 milliards de dollars, jusqu’à octobre 2018, est en train de faire marche arrière, sous peine de faire exploser le système financier, en augmentant de nouveau la taille de son bilan de façon permanente. L’achat des bons du Trésor T-bills par les banques américaines réduisait, en effet, leurs liquidités d’une façon très dangereuse, selon la Fed de Dallas.

    Suite à la crise monétaire actuelle du « Repo » aux États-Unis, la Fed va acheter au moins 60 milliards d’obligations à court terme par mois jusqu’au second trimestre de 2020, soit environ 400 milliards de dollars. Les États-Unis ne peuvent donc plus se passer de « QE », qui est devenu une drogue irremplaçable, mais mortelle à terme. C’est la Fed qui, en émettant de la monnaie de singe, tout comme la BCE, finance en fait les déficits budgétaires américains (1.200 milliards de dollars en 2019, soit 7 % du PIB). La Fed de Powell est donc en train de faire exactement ce que souhaitent faire Draghi et Lagarde à la BCE.

    En Europe, le Parlement des Pays-Bas a alerté la BCE sur les risques de diminution des retraites que les taux très bas et négatifs causaient aux fonds de pension de retraite. En France, pour éviter la faillite de l’assureur Suravenir, suite aux taux négatifs, le Crédit mutuel Arkéa a dû recapitaliser sa filiale à hauteur de 500 millions d’euros. Après Lombard Odier en France, UniCredit, la première banque italienne, toujours en raison des taux d’intérêt négatifs, vient de déclarer qu’elle allait taxer les dépôts de plus de 100.000 euros. La bombe à retardement des taux négatifs pourrait bien même se propager un jour aux États-Unis.

    Il n’est donc pas étonnant que les banques centrales et le monde entier s’intéressent de nouveau à l’or qui monte, paradoxalement, en même temps que les Bourses. La seule différence, c’est que les actions et les obligations s’effondreront un jour ou l’autre, tandis que l’or, lui, au moment de l’effondrement monétaire final, continuera son envolée à la verticale, tout comme en Allemagne en 1923 !

  • Pauvreté, inégalités : les mauvaises prévisions de l’INSEE

    D’après des données provisoires de l’INSEE, l’écart entre les plus riches et les plus pauvres se serait creusé davantage en 2018, en faveur des plus aisés.

    Les estimations sont encore provisoires mais elles n’annoncent rien de bon. L’INSEE a publié une étude mercredi soir, repérée par Libération, selon laquelle les inégalités entre riches et pauvres se sont creusées en 2018, même si les chiffres définitifs ne seront pas dévoilés avant 2020.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/pauvrete-inegalites-les-mauvaises-previsions-de-linsee

  • Les États-Unis augmentent les droits de douane pour une série de produits issus de l’Union européenne

    L’augmentation des droits de douane annoncée par les États-Unis sur toute une série de produits européens est entrée en vigueur ce vendredi. En tout, 7,5 milliards de dollars de droits de douane supplémentaires seront désormais appliqués sur un éventail de produits européens : avions, vins français, fromages italiens ou encore whiskys écossais.

    Une décision validée par l’Organisation mondiale du commerce (OMC), qui a autorisé Washington à imposer des droits de douane alourdis sur des biens européens importés outre-Atlantique, pour une valeur équivalente aux effets nocifs, estimés à 7,496 Milliards de dollars par an, qui ont notamment été engendrés par les subventions européennes (Allemagne, Royaume-Uni, Espagne et France) attribuées à l’avionneur Airbus, faussant ainsi la concurrence avec l’américain Boeing.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/comme-annonce-les-etats-unis-augmentent-les-droits-de-douane-pour-leurope

  • Un vrai SCANDALE ! EDF te prend pour un jambon !