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Contribuables associés s’est emparé du rapport de la Cour des comptes révélant une fraude de plus de 200 millions d’euros au niveau des caisses de retraite, au profit de « faux retraités » en Algérie, au Maroc ou en Italie. Un faux retraité de 117 ans installé en Algérie percevait une pension de retraite…
L’association a été ignorée par Agnès Buzyn, ministre de la Santé et chargée du dossier, mais entendue par le Premier ministre, Édouard Philippe, qui a dit « faire de la lutte contre la fraude sociale une priorité ».
Mais Contribuables associés continue à suivre le dossier de près.
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
S’il y a une vraie opacité concernant les chiffres de l’immigration, on a une bonne idée du coût que représente les mineurs isolés étrangers. D’ailleurs l’Etat ne dit plus mineurs isolés étrangers mais « mineurs non accompagnés » – novlangue oblige.
C’est André Posokhow, du site Polémia, qui a décortiqué les chiffres de ce flux migratoire. Il dénombre environ 50 000 mineurs ou supposés tels, tandis que la Justice n’en comptabilise officiellement que 15 000.
Et le budget va avec : le coût individuel se situe entre 50 000 et 73 000 euros annuel ! Soit un total de plus d’un milliard d’euros pour les seuls mineurs officiellement pris en charge.
André Posokhow dénonce plusieurs dérives : l’existence d’une pompe aspirante de l’immigration, le nombre importants d’étrangers trichant sur leur âge, ou encore la lourde responsabilité financière des départements.
De Francis Bergeron dans Présent :
"La presse écrite se trouve actuellement prise en tenailles entre La Poste et Presstalis, le distributeur en kiosque. En dernière analyse, c’est le lecteur, abonné ou acheteur au numéro, qui est pénalisé.
Que se passe-t-il à La Poste ? Jacques Myard, le maire de Maisons-Laffitte, tirait le signal d’alarme, le mois dernier : dans sa commune et dans celle du Mesnil-le-Roi, la réorganisation des services de La Poste a créé des retards qui ont fortement pénalisé les entreprises et les particuliers. Jacques Myard, qui n’a pas la langue dans sa poche, s’indignait d’avoir été mis devant le fait accompli. Il a obtenu des réponses de La Poste sur cette situation dégradée : c’est la délocalisation de site qui a effectivement pu entraîner « des débuts chaotiques », lui a-t-on répondu, et aussi des retards de distribution.
Mais à l’autre bout de la région parisienne, à Villeneuve-le-Roi ou à Ablon-sur-Seine, cela ne va pas forcément mieux : il semble que des secteurs de distribution aient été étendus à l’excès. Daniel Guérin, le vice-président du conseil départemental du Val-de-Marne, constatait lui aussi, il y a peu, une détérioration : par exemple des usagers ne recevant leur courrier que deux ou trois fois par semaine.
Les plus anciens se souviennent d’une époque où La Poste opérait deux distributions… par jour, une le matin et une l’après-midi. Cette distribution biquotidienne a disparu en 1975. On oublie aussi que jusqu’en 1941, La Poste, en vrai service public, fonctionnait sept jours sur sept.
Internet réduit le courrier papier, mais des formes de concurrence sont apparues : les gros titres de la presse quotidienne utilisent le portage et les entreprises préfèrent de plus en plus souvent confier leur courrier à des coursiers. Les tarifs sont plus élevés, mais la fiabilité est meilleure. Globalement La Poste a péché par manque d’anticipation.
Pour les journaux, l’autre forme de distribution est la vente en kiosque. Là aussi les difficultés s’accumulent. Presstalis accuse un résultat d’exploitation 2017 négatif à hauteur de 20 millions d’euros. L’Etat va donner 140 millions pour que Presstalis se restructure. Mais les éditeurs de journaux sont aussi mis à contribution, et ceci pour une durée de quatre ans et demi. Aucune concertation n’a précédé ces mesures. Cinq opérateurs de la coopérative des magazines ont donc décidé de porter plainte contre Presstalis devant le Parquet national financier. Ils accusent Presstalis d’avoir établi de faux bilans. Ces journaux se sentent menacés dans leur existence même et veulent riposter.
Présent est-il concerné par cette situation ? Oui, bien évidemment. Les abonnés nous signalent des zones de fort retard dans la distribution du courrier. Quant à la vente en kiosque, elle souffre d’une réduction annuelle de 1 500 points de vente, alors que l’achat d’un quotidien, comme l’achat de sa baguette, est d’abord un achat de proximité. Et d’autre part, en nous ponctionnant, Presstalis nous met en danger, comme les autres titres de taille moyenne ou petite.
Des solutions ? Elles sont d’abord à chercher du côté de nos lecteurs : souscrire un abonnement mixte papier + numérique, c’est devenu la seule formule qui met à l’abri des aléas de distribution."
Marc Rousset
Macron veut vendre à l’Inde 12 réacteurs, dont une centrale nucléaire de 6 réacteurs du type EPR à Jaitapur, en Inde. Début 2018, 449 réacteurs sont en fonctionnement dans le monde, et 56 en construction.
Les énergies renouvelables, en France, ne survivent que parce que subventionnées d’une façon éhontée par l’usager. Le prix de vente de l’électricité issue de l’éolien terrestre est trois fois plus élevé que celui du nucléaire ; le solaire photovoltaïque peut être jusqu’à quinze fois plus cher. Quant à l’éolien en mer, il est six fois plus cher que le nucléaire.
L’éolien n’est qu’une « pompe à fric » pour escrocs avec des bénéfices scandaleux que nous payons dans le surcoût de nos factures EDF. L’État garantit, en effet, un revenu de base de huit centimes par kWh. L’éolien n’est en aucune façon un investissement écologique pour le développement du pays. Combattre les éoliennes qui polluent, avec leurs matériaux et les politiciens locaux corrompus, c’est aussi préserver la beauté et l’environnement de la France.
Les éoliennes, ainsi que les panneaux photovoltaïques, sont importés dans notre pays, ce qui accroît le déficit catastrophique de notre balance commerciale. Ce sont, de plus, des sources d’énergie intermittentes (absence de vent ou de soleil) dont la production d’électricité n’est pas stockable. Elles nécessitent donc la production d’une énergie de secours équivalente pour permettre au réseau de répondre à tout moment à la consommation, d’où (en Allemagne) les centrales de lignite polluantes dont ne parle jamais Nicolas Hulot et la nécessité de construire 4.000 kilomètres de lignes de haute tension entre l’énergie éolienne de la mer du Nord et le sud de la Bavière. Les réseaux haute tension français sont déjà construits depuis longtemps.
Si l’EPR est une folie, pourquoi les Chinois en construisent-ils ? Pourquoi les Anglais et les Indiens sont-ils très intéressés ? Flamanville, c’est une seule fois dix milliards d’euros pour produire, pendant quatre-vingts ans, avec une disponibilité de 80 %, soit un coût d’un centime par kilowattheure. Le problème des déchets est définitivement réglé à Bure.
L’électronucléaire en France, c’est l’équivalent de vingt milliards d’euros d’importation de pétrole, dix fois moins de rejets de gaz à effet de serre qu’en Allemagne, une industrie pourvoyeuse d’emplois, exportatrice et de haute technologie, un prix compétitif d’énergie.
Les éruptions du soleil et les éruptions volcaniques, pas le CO2(gaz carbonique), sont responsables des variations climatiques. L’avenir énergétique du XXIe siècle, pour la France, c’est en fait le nucléaire avec des réacteurs à neutrons rapides utilisant l’uranium 238 présent à 99,3 % dans l’uranium naturel, contrairement à l’uranium 235 présentement utilisé (0,7 %).
Pour les énergies renouvelables, comme pour le réchauffement climatique, le libre-échangisme mondialiste et l’immigration, les bobards, ça suffit ! Peuple de France, réveille-toi !
Alban d'Arguin, "l'homme tranquile qui fait la chasse aux éoliennes et qui rassemble des foules", selon l'expression d'un observateur avisé, peut se targuer d'avoir parfaitement répondu à cette définition vendredi soir à Fallon en Haute-Saône cliquez ici où il donnait une conférence sur l'escroquerie éolienne.
Près de 200 personnes, parmi lesquelles de nombreux élus locaux, sont en effet venues écouter son réquisitoire argumenté contre ce fléau dangereux, onéreux et, surtout, inutile.... Il faut dire que Fallon, situé entre Vesoul et Montbelliard, est particulièrement menacé puisque un projet d'implantation d'un parc éolien (projet soutenu par quelques édiles locaux peu scrupuleux) risque fort de défigurer définitivement cette charmante petite commune jusque là si paisible et entourée paysages bucoliques.
Mais les saccageurs ont sous-estimés la détermination des habitants qui n'entendent pas voir leur ravissant cadre de vie sacrifié (en échange de quelques promesses de pitoyables subventions hypothétiques) sans réagir. Une association particulièrement dynamique, présidée par M. Luc Vermot-Desroches, a été créée. Parmi ses animateurs, on retrouve notre ami Daniel Cavaloti, très apprécié dans la région, qui a eu la riche idée de faire inviter Alban d'Arguin pour présenter son livre "Eoliennes un scandale d'Etat" cliquez ici afin d'éclairer les habitants de Fallon, d'Abbenans, l'autre commune menacée, et ceux des villages avoisinants sur ce qui les attend.
Si l'on en juge par les applaudissements, le nombre de livres vendus et par les témoignages, parfois émouvants, du public, cette conférence à été appréciée et à permis à un grand nombre de participants de mieux comprendre ce qui se trame dans leur dos...
Après la réussite de la réunion de Vervin (Aisne), au début du mois de février cliquez ici et avant celle de Bordeaux le 26 avril prochain cliquez là, cette étape en Franche-Comté prouve que les Français sont de plus en plus nombreux, surtout lorsqu'ils sont directement concernés, à prendre conscience de la supercherie dont ils sont les victimes.
Le combat contre les éoliennes n'est pas seulement un combat pour préserver la beauté de la France, c'est aussi et surtout un combat contre les prédateurs de la finance apatride qui s'enrichissent sur le malheur de nos compatriotes. C'est donc au nom du "beau", du "bien" et du "vrai" qu'il doit être mené. Tels sont les axes du livre d'Alban d'Arguin.
Synthèse nationale
Alban d'Arguin, Mme Edwige, conseillère municipale, et le Président Luc Vermot-Desroches présentant la réunion.
Notre ami Daniel Cavaloti, avec son franc parlé, répond à un participant aveuglé par les promesses du consortium éolien.
Parmi les nombreux élus présents dans la salle, Christophe Devillers, conseiller municipal de Romchamp et délégué départemental du Parti de la France (ici avec Roland Hélie) est venu en "presque voisin"...
Dans quelques jours, le film de la conférence d'Alban d'Arguin sera en ligne...