En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Cette histoire de Cour des comptes qui refuse pour la 3ème année consécutive de valider les comptes de la CAF tant le trou est abyssal, tant les erreurs sont nombreuses, tant les carabistouilles sont devenues visibles n’est jamais rien que l’arbre qui cache la forêt.
Même si « pour la sixième année consécutive, la France vient d’être classée premier pays européen pour les investissements étrangers » tout ceci est une illusion de propagande, et non, quand je dis cela ce n’est pas pour critiquer bêtement notre saint-président, notre phare du Palais, notre lumière élyséenne ou encenser Donald Trump.
Le moins que l’on puisse dire c’est que Marc Fiorentino en a gros sur la patate économique et c’est assez logique ce qu’il dit étant juste.
Le président Macron a créé des conditions économiques épouvantables pour les TPE et PME françaises. L’économie est à l’arrêt depuis la dissolution ratée.
Alors que la Russie et l'Ukraine ont entamé les premières négociations en trois ans, l'Union européenne a décidé de durcir les sanctions contre Moscou. Bruxelles menace de frapper durement le pétrole, le gaz et le secteur financier. De plus, l'UE envisage même l'option d'un embargo commercial total. Qu'est-ce qui pourrait en résulter ?
A quelques encablures du sommet Choose-France, la grand-messe macroniste du « Nous sommes les plus attractifs », les bémols se multiplient de la part d’économistes qui semblent avoir décidé de ne plus se laisser bercer par les illusions de cette première place de l’attractivité en Europe. Oui, nous sommes toujours, en France, les plus attractifs pour les investisseurs. Oui, mais on compte les « projets » et pas du tout les réalisations, parce qu’entre les deux, il y a un monde. Les projets sont les illusions et les réalisations, bien en deçà des annonces. Second bémol : le solde des investissements : les entreprises françaises investissent plus à l’étranger que les étrangers n’investissent en France. Troisième bémol : le solde en terme d’emplois : non seulement les entreprises françaises créent à l’étranger des emplois qu’elles ne créent pas en France mais au solde des niveaux de compétences, nous sommes perdant, à importer de la main d’oeuvre sous qualifiée ou peu qualifiée, pour des emplois également peu qualifiés, pendant que nos travailleurs les plus qualifiés s’en vont. Quatrième bémol : l’ensemble de l’Europe est en régression en terme d’attractivité et la France reste dont en tête d’un groupe qui globalement descend. Et la tendance n’est pas bonne, au-delà de l’instantané flatteur mis en exergue par une presse dont tout le monde a bien compris qu’elle est aux ordres.
- À la BCE et à la Banque de France, on reconnait une perte de 7,7 milliards. De même, la Deutsche Bank (privée) ainsi que la Banque fédérale d'Allemagne comme la Banque centrale de Hollande ont reconnu avoir perdu des milliards, participant ainsi à la déroute des pertes de la BCE.
Débranchée avec pertes et fracas en 2014, après l’épisode violent des « Bonnets Rouges », l’écotaxe revient, et malgré les Bonnets Rouges, suivit des Gilets Jaunes, il semble que rien ne puissent arrêter la créativité fiscale de nos aimables mamamouchis qui ne savent que taxer plus pour tenter de remplir des poches toujours plus vite tant ils dépensent sans vergogne l’argent de la population !
Le Premier ministre François Bayrou vient de nous faire part d’une très louable intention : organiser un référendum sur la dette publique française. Ce qui serait tout simplement génial, ce serait de pouvoir profiter du débat crucial qui ne manquera pas de précéder cette consultation du peuple français afin de lui expliquer comment l’argent qui lui est « prêté » par les « marchés financiers » vient, pour la plus grande partie, de nulle part.