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économie et finance - Page 538

  • Les Grecs rejettent massivement le plan d’aide des créanciers

    Les Grecs ont dit « oxi » (non) dimanche 5 juillet à la dernière proposition de réformes formulée par les créanciers du pays. Selon les projections du ministère de l’intérieur publiées à 20 heures, deux heures après la fermeture des bureaux de vote, le non l’emporterait à 61 %.

    « Faut-il accepter le plan d’accord soumis par la Commission européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire international (FMI) lors de l’Eurogroupe du 25 juin ? », telle est la question à laquelle ont répondu près de 10 millions de Grecs. Le gouvernement du premier ministre de gauche radicale, Alexis Tsipras (Syriza), avait appelé à voter non.

    Rassemblement à Syntagma, onde de choc en Europe

    Des centaines de partisans du non ont commencé à se rassembler pour manifester leur joie à partir de 20 heures. Convergeant vers la place Syntagma, face au Parlement, ils scandaient des slogans contre l’austérité et la politique de Bruxelles, comme le relatent notre journaliste et notre photographe sur place

    Alexis Tsipras devrait prendre la parole dans la soirée, mais c’est son médiatique ministre des finances, Yanis Varoufakis, qui l’a devancé devant les caméras. Celui qui avait mis sa démission dans la balance s’est réjoui de la victoire massive du non. Il s’est dit prêt à coopérer avec ses partenaires européens pour essayer de trouver un compromis dès lundi. A ses yeux, le non est : [....

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-Grecs-rejettent-massivement-le

  • Plus de la moitié des radars ne sont pas sur des routes dangereuses

    Une enquête du magazine Auto-Plus révèle que plus d’un radar sur deux n’est pas placé dans une zone à risques. Ils seraient placés selon une logique de rentabilité et non de sécurité.

    Près d’un radar sur deux ne serait pas placé sur une route dangereuse. C’est ce que révèle une enquête réalisée par le magazine Auto-Plus. Elle est publiée alors que le gouvernement a annoncé de nouvelles mesures de sécurité routière.

    Le diagnostic établi par le magazine, en comparant la carte des accidents et celle des radars fixes, est sans appel: 52 % des radars seraient placés sur des routes sur lesquelles il n’y a pas eu d’accident depuis 2012, détaille Laurent Chiapello d’Auto-Plus. Par exemple, à Aytré, en Charente-Maritime, sur la nationale 137, un radar a été posé à un emplacement où aucun accident corporel n’a été répertorié pendant l’année 2012. «À quelques kilomètres de là, en revanche, trois accidents corporels ont été signalés sur un périmètre réduit, donc un véritable point noir de la sécurité routière, et là, pas de radar», poursuit le journaliste.

    Les radars en zone dangereuse rapportent moins d’argent

     

    Selon la publication, les radars ont été installés sur des sites jugés plus rentables, pour «remplir les caisses de l’Etat». Les radars placés dans une zone à risque rapportent en effet beaucoup moins d’argent. Un radar placé sur un axe dangereux flashe en moyenne 4.774 fois par an (chiffres de 2014), contre 12.000 pour un radar installé sur une route où il ne serait pas indispensable. Soit trois fois moins. Un écart de taille qui rapporterait «près d’un million d’euros par an et par cabine», selon Auto-Plus.

    Dans la catégorie des emplacements les moins pertinents, ce sont les radars discriminants qui font gagner le plus d’argent à l’Etat. Ces radars capables d’identifier les différentes catégories de véhicules et de flasher en conséquence seraient au nombre de 2 188 sur les routes de France. Ils seraient placés dans 56 % des cas sur des tronçons non dangereux, comme à Port-Marly dans les Yvelines. A titre de comparaison, 45 % des cabines classiques sont placées sur des routes peu dangereuses.

    Cette enquête intervient aussi alors que la signalisation des panneaux radars change demain. Selon un arrêté publié aujourd’hui au Journal officiel, les nouveaux panneaux vont indiquer la présence de radars susceptibles de contrôler la vitesse sur toute la longueur d’un tunnel, d’un chantier ou d’un pont. «L’objet de cette signalisation est d’avertir les usagers que la vitesse peut être contrôlée sur toute la longueur de la zone dans laquelle ils circulent par un ou plusieurs dispositifs de contrôle automatisé», a précisé l’arrêté.

    Source : Le Figaro

    http://www.contre-info.com/plus-de-la-moitie-des-radars-ne-sont-pas-sur-des-routes-dangereuses#more-38622

  • « Laïcité » : 1 million d’euros de subventions pour le Grand Orient de France

    Le Grand Orient de France a bénéficié de près d’ 1 million d’euros de subventions publiques pour son Musée de la franc-maçonnerie. 
    La rénovation du Musée de la franc-maçonnerie, dans le siège du Grand-Orient de France à Paris, a pu bénéficier de grosses subventions. Ainsi, la Région Île-de France a versé une subvention de 304 898 euros au Grand-Orient de France pour rénover son Musée de la franc-maçonnerie. La Ville de Paris a quant à elle subventionné la loge maçonnique à hauteur de 300 000 euros, et la Direction régionale adjointe des affaires culturelles d’Île-de-France a également versé 305 000 euros d’aides publiques à l’obédience maçonnique. La visite guidée du Musée de la franc-maçonnerie coûte 13 euros par personne. 
    Le Musée de la franc-maçonnerie du Grand-Orient de France détient l’appellation « Musée de France », délivrée par le ministère de la Culture. Ce même ministère avait d’ailleurs versé une subvention de 14 000 euros au Grand-Orient de France en 2012. 
    Au total, le Grand-Orient de France aura reçu 909 898 euros de subventions publiques, payées par les contribuables.

  • L’aéroport de Toulouse-Blagnac cédé à un milliardaire chinois soupçonné de corruption…

    Aujourd’hui, ce jeudi, Manuel Valls doit rencontrer son homologue à Toulouse. Nous lui donnons un sujet de conversation à évoquer avec lui : Mike Poon, le richissime industriel chinois qui avait racheté l’aéroport de Toulouse en 2014, s’est volatilisé.

    Ce riche industriel chinois est le PDG de Symbiose qui a signé l’acquisition en avril dernier à hauteur de 49,9 % de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac. Selon certaines sources, Mike Poon ferait l’objet d’une procédure de justice dans son pays pour« corruption ». Cette nouvelle court depuis le Salon du Bourget.

    Le 18 avril dernier, Mike Poon déclarait au quotidien régional La Dépêche du Midi : « Vous verrez que nous tiendrons les promesses que nous avons faites. » Il assurait vouloir« favoriser le développement de vols internationaux et en particulier en provenance de l’Asie et de la Chine » et investir 1,4 milliard d’euros d’ici à 2020.

    wanted-mike-poon

    Le collectif contre la privatisation de l’aéroport de Toulouse-Blagnac ironise sur cette situation rocambolesque.

    Il n’y a pas que Mike Poon qui soit dans l’œil du cyclone avec son consortium. Il y a également l’opérateur canadien Lavalin dont on ne connaît pas le rôle dans cette nouvelle gestion. Lavalin est interdit bancaire par la Banque mondiale également pour des faits de corruption, en Libye notamment. On ne sait même pas si Monsieur Poon a fait le chèque de 308 millions. Il y a décidément une très grosse dose d’opacité dans tout cela.

    Le collectif contre la privatisation de l’aéroport de Toulouse-Blagnac ironise sur cette situation rocambolesque au moyen de plusieurs affiches « Wanted Mike Poon, le nouvel acquéreur de l’aéroport de Toulouse-Blagnac vient d’être cité dans un scandale de corruption en Chine ». Le même collectif avait alerté en vain lors de la procédure sur l’opacité de cette affaire. Il s’avère malheureusement que les craintes étaient fondées…

    Vendre cette concession à un opérateur opaque accompagné d’un partenaire en interdit bancaire en dit long sur la lucidité de nos dirigeants… Et, pourtant, ceux-là se targuent d’une rigueur à toute épreuve ! Comment peut-on gouverner avec un tel degré d’amateurisme, c’en est confondant. Ou est-ce autre chose que de l’amateurisme ? On peut légitimement se poser la question !

     dans Boulevard Voltaire
  • GPA : j’accuse l’UMP d’être complice depuis le début

    La cour de cassation, qui ne casse rien que vaille, a donc décidé de valider les GPA réalisées à l’étranger, ce qui revient de facto à légaliser la pratique en France, en légalisant ses effets. Au choix, GPA veut dire Gestation Pour Abandon, Gestation Pour Autrui, mère-porteuse, esclavage procréatif, etc. Concrètement, cette pratique institue l’esclavage des femmes (pauvres) sur un continent, l’Europe, où l’esclavage avait disparu depuis 2000 ans. Un exploit de plus à mettre au palmarès de Christiane Taubira.

    Après la cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qui a validé (temporairement) la mise à mort de Vincent Lambert, c’est maintenant à une autre institution de sombrer dans le pire des reniements juridiques et moraux. Rien ne semble entraver la marche folle vers l’abîme du Nouvel Ordre Immoral.

    Les pleurnicheuses de service de l’UMP Ripoublicaine viennent pleurer sur le lait répandu et dire à quel point, la GPA c’est pas bien. Exemples de tweets:

    MPI - 61 - 01 - tweet Mariton -

    MPI - 61 - 02 - tweet Boyer -

    Pleurnicheries UMP du 03 juillet 2015

    Pourtant, il faut rappeler de la façon la plus directe et la plus accusatoire que le pseudo-mariage homosexuel a été voté au Sénat en avril 2013, grâce à une immense et scandaleuse magouille du vote, organisée par les frères truellards, Gaudin pour l’UMP et Bartolone pour le PS. L’article 1, définissant le mariage sans précision quant au sexe des marié(e)s, a été voté à main levée dans le désordre le plus total dans la nuit du 9 au 10 avril 2013. Il n’y a aucun décompte officiel pour cette magouille, véritable coup d’état légal, qui instaure un changement de civilisation.

    On prendra toute la mesure des trahisons et ambiguïtés de l’UMP Ripoublicaine, quand on sait que l’attaché parlementaire de longue date du truellard, Jean-Claude Gaudin, à savoir Guillaume de Thieulloy, un « catholique » autoproclamé, a lancé une action contre la loi votée par son mentor, dès le lendemain du vote. Etonnant, non ? Leurs liens de travail ont pris fin, depuis.  Mais ils avaient duré presque 2 décennies.

    La fade et molle présidente de La Manif Pour Tous, Ludovine de la Rochère, aura pourtant la clarté de dénoncer à demi-mots cette trahison de l’UMP le 26 mai 2013. Elle dira dans son discours, en fin de manifestation : « Au Sénat, il y a eu tripatouillage et l’on assista, non pas à un vote, mais à un vol à main levée. Un déni de démocratie dont une partie de l’opposition [=l’UMP] a été, par sa passivité, la complice ».

    Ce fut dit, même s’il faut condamner l’UMP pour sa totale complicité dans la loi Taubira, et dans ses évidentes conséquences monstrueuses, prévisibles depuis le début : adoption par des paires homosexuelles, fabrication et mise en vente d’enfants à venir ou à peine nés sur internet ou par le biais d’officines qui font commerce de chair humaine.

    Oui, l’UMP est entièrement complice, responsable et coupable, il faut le dire et le redire. Il est vrai qu’avec des chefs comme Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé, il n’y a rien de bon à attendre de l’UMP Ripoublicaine en matière de moralité publique.

    Les pleurnicheuses de service ne servent qu’à faire avaler la pilule, en faisant semblant de s’opposer à quelque chose que leur parti a organisé, de bout en bout, en parfaite connaissance de cause.

    http://www.medias-presse.info/gpa-jaccuse-lump-detre-complice-depuis-le-debut/34637

  • Les agriculteurs français souffrent de l'embargo russe

    Lu sur Sputniknews :

    "La nuit de colère, organisée par les agriculteurs bretons, a été provoquée par les résultats des sanctions économiques et financières imposées par l'UE à la Russie. La Bretagne est une région qui est très touchée par les contre-sanctions russes. Les éleveurs porcins subissent un effondrement des cours. Les revenus moyens des éleveurs sont inférieurs à 12 000 euros par an. Selon Paul Auffray, président de la Fédération nationale porcine, "on perd un éleveur de porc par jour depuis des mois".

    "Malheureusement, dans le différend qui oppose l'Union européenne à la Russie, on a laissé les producteurs tous seuls payer l'addition", a déclaré Jean-François Jacob, président de la SICA dans une interview accordée à Sputnik.

    Selon M.Jacob, malgré les grandes déclarations que fait l'Europe sur l'accompagnement des producteurs qui subissaient en effet le contrecoup des décisions politiques, rien n'a été fait.

    "On a menti à l'opinion et on a laissé les producteurs dans la détresse subir les conséquences des décisions qui n'étaient pas les leurs. Il n'y a pas eu de solidarité de la part de l'Europe, on a laissé tomber les agriculteurs et notamment en France", ajoute le président de la SICA.

    Avant l'embargo, 25% des exportations de viande de l'UE étaient destinées au seul marché russe. A ce jour, les cours du porc en France sont retombés sous le seuil de rentabilité, à 1,32 euro le kilo. Ce qui explique d'ailleurs en partie la montée en puissance des revendications dans ce pays."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • De Versailles à la Samaritaine : mondialisation et marchandisation du patrimoine français

    Christine Sourgins, historienne de l’art, essayiste, réagit sur la réaction d’Anish Kapoor et sur le sacrilège, pour ne pas dire la profanation, du patrimoine parisien. Polémia

    ♦ « Une tragédie ! » : c’est ainsi qu’Anish Kapoor réagit à la peinture jaune jetée contre son Dirty Corner, autrement dit « Coin sale ». L’artiste assure maintenant ne l’avoir jamais qualifié de « Vagin de la reine » : ah bon ? Les journalistes du JDD seraient-ils incompétents ? Kapoor refuse même la comparaison avec le Plug Analde McCarthy, « sexuellement explicite et revendiquée comme telle » ; or chacun sait, sans rire, que Kapoor est au-dessus de cela ; dans l’art très contemporain, le provocateur, c’est toujours l’autre. Kapoor s’est-il aperçu qu’un discours trop sexuellement connoté rend manifeste la véritable violation du patrimoine que constitue ce genre d’exposition ?

    « L’AC à Versailles signifie au public que désormais le n’importe quoi règne, qu’il n’y a plus ni critères artistiques ni cohérence historique, rien sur quoi le citoyen puisse s’appuyer pour revendiquer, résister. Une fois le patrimoine et l’histoire désacralisés, tout est à vendre au plus offrant ».

    Si la direction de Versailles minimisait l’incident, l’artiste se plaint dans le Figaro : il se sent étranger en France et même dans son pays, l’Angleterre (bien qu’anobli par la reine… c’est dire) et s’inquiète de « l’intolérance » des extrémistes. Pas seulement des lanceurs de peinture, mais de ceux qui veillent sur un « passé sacralisé à l’extrême » (sic). Dans l’art très contemporain, l’extrémiste, c’est toujours l’autre. Le vandale aussi. Pourtant toute son installation qui prend explicitement Versailles à rebours est un gigantesque piège à vandales, un appel grandeur nature, cornaqué par tous les médias, à venir « réagir ». Le bénéfice est multiple : Sir Kapoor note que l’agression met « en évidence la force créative d’un objet inanimé » ; la presse est ameutée à nouveau et, l’agression changeant de camp, il peut jouer au martyr, se poser en moralisateur.

    Une coïncidence montre d’autres retombées des manipulations du patrimoine.

    Le 19 juin, le Conseil d’Etat a autorisé le groupe de luxe LVMH à remodeler, via la Samaritaine, Paris à sa guise : la construction d’un bâtiment commercial privé par Vuitton va donc détruire un îlot presque entier, pourtant protégé par les lois sur le patrimoine (abords de monuments historiques) et sur les sites (site inscrit de Paris) !

    Or Paris a un tissu urbain unique au monde (si elle n’est pas la seule ville qui puisse s’en flatter, on eût aimé Paris sonnant la résistance !) ; or ce joyau, qui, pour l’instant, nous vaut le déplacement des foules à travers la planète, est en train d’être saboté, troué, déchiré, grignoté pour faire place à cette architecture passe-partout dont l’arrogance marque l’empire de la mondialisation. Et ces opérations juteuses se dissimulent derrière les concepts mis au point pour imposer l’AC depuis des lustres : le passé, les acquis ? Mais voyons, il faut les « moderniser », les « actualiser » ou (plus fourbe) « dialoguer » avec eux pour mieux les « détourner » et se les « approprier » ; au nom de la « rupture » permanente toutes les formes de « m’as-tu-vu » sont justifiées. C’est une régression de 40 ans en arrière, aux pires moments du pompidolisme immobilier. La tragédie, la vraie, est la vacance de l’Etat qui, au lieu de défendre le bien public, laisse faire, voire accompagne son délabrement. La classe politique, de gauche comme de droite, se rend-elle compte que des affaires comme celles de Kapoor ou de la Samar rendent visible sa démission sinon sa compromission ?

    L’AC, l’art contemporain officiel et financier, joue un double jeu : la violation du patrimoine ne sert pas seulement les cotes. Il s’agit (Kapoor le dit) de « désacraliser le patrimoine », autrement dit de le faire basculer du statut de bien commun intouchable à celui de marchandise monnayable. Pour réussir ce déclassement, il faut le ridiculiser, le mettre cul par-dessus tête, amener le citoyen à en rire, à se dire que Versailles est un Luna Park comme un autre. Donc humilier Le Nôtre et son idéal d’harmonie incarné dans l’ordonnance du « jardin à la française », caviardé ici par un gros pâté sur le tapis vert, là par un vortex plongeant vers les abîmes en niant l’essence de Versailles. Or rien de plus facile que de perturber l’œuvre d’un autre, d’y agir en parasite en « semant le chaos » et s’étonner de récolter la tempête.

    L’AC à Versailles signifie au public que désormais le n’importe quoi règne, qu’il n’y a plus ni critères artistiques ni cohérence historique, rien sur quoi le citoyen puisse s’appuyer pour revendiquer, résister. Une fois le patrimoine et l’histoire désacralisés, tout est à vendre au plus offrant. C’est le principe de la conquête à l’anglo-saxonne : la terre est à celui qui en donne le meilleur rendement. Ainsi a-t-on dépouillé les Indiens, ainsi spolie-t-on aujourd’hui les vieux peuples européens de leur patrimoine. Pour ajouter l’amnésie à l’anesthésie, Louis XIV (comme Napoléon) sont en train de sortir des programmes scolaires. La mondialisation n’a pas besoin de citoyens mais de têtes de linotte qui applaudissent sur commande et payent. Waterloo, c’est maintenant.

    Christine Sourgins
    25/06/2015

    Source : magistro.fr

    http://www.polemia.com/de-versailles-a-la-samaritaine-mondialisation-et-marchandisation-du-patrimoine-francais/

  • Platini au service du Qatar

    Le rondouillard est toujours là quand il faut rendre service à l’Emir du Qatar.

    Après avoir milité pour la coupe du monde chez les chameliers, avoir vu son fiston casé chez Burda société appartenant à un fond qatari, voilà que miraculo, le PSG n’est plus sanctionné par le fair-play financier.

    ils vont pouvoir dépenser...

    Vive le sport !

    https://euro-reconquista.com/site/spip.php?breve2576