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économie et finance - Page 593

  • Grèce : Alexis Tsipras (seul) face à ses créanciers

    Après une réunion de l'Eurogroupe écourtée, les discussions ont continué cette nuit entre Alexis Tsipras et ses créanciers. Loin des caméras.

    « Ce sera probablement une longue nuit », fait remarquer mercredi soir Valdis Dombrovskis, le vice-président de la Commission européenne chargé de l'Euro et du Dialogue social, à son arrivée à l'Eurogroupe. Un sommet considéré comme déterminant pour le destin de la Grèce, menacée de défaut de paiement le 30 juin. Il vient alors tout juste de traverser la rue et sort de la Commission où se tient depuis la fin de l'après-midi une réunion entre le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, et ses créanciers internationaux : Christine Lagarde pour le FMI, Mario Draghi pour la BCE, Jean-Claude Juncker du côté de la Commission européenne, accompagnés des représentants du Mécanisme européen de stabilité (MES). Leur but : trouver un accord, validé par les ministres de l'eurozone, puis approuvé par les chefs d'État.

    Il est près de 19 heures. C'est la pause dans les négociations. Le cortège des ministres commence devant le bâtiment de verre le Lex. À son arrivée, Michel Sapin évite les projecteurs. Son homologue allemand, Wolfgang Schäuble, fait part de son scepticisme. Au contraire, le ministre slovaque Peter Kazimir évoque son « optimisme », un livre à la main. Le vice-président letton et son commissaire français, Pierre Moscovici, présentent leur rapport aux 19 ministres sur l'état des négociations. La réunion est rapide.

    « Les négociations continuent demain »

    Deux heures plus tard, le ministre finlandais des Finances, Alexander Stubb, qui avait eu du mal à cacher son pessimisme au début de la réunion, envoie un tweet « C'est fini pour aujourd'hui. L'Eurogroupe reprendra demain à 13 heures. » Silence micro. Son président, Jeroen Dijsselbloem passe directement par la petite porte, en vitesse, juste après avoir lâché quelques mots à la télévision néerlandaise. « Nous ne sommes pas encore parvenus à un accord, mais nous sommes déterminés à continuer à travailler pour faire ce qui est nécessaire », affirme-t-il. Les portes de l'Eurogroupe se ferment. Les journalistes sont invités à en sortir. Tout le monde l'a compris. L'enjeu ne se joue pas au Lex, mais bien de l'autre côté de la rue, au Berlaymont, en format resserré. Loin des caméras.

    À 1 h 20 du matin, une voiture aux vitres teintées sort de la Commission entourée de son cortège de gyrophares. Une source diplomatique résume la situation en une phrase. « Les négociations continuent demain. » En somme, personne n'a quitté la table. Ni Tsipras ni aucun autre. La nuit sera courte. Les négociations ont repris très tôt ce matin.

    Les lignes rouges restent les mêmes

    « Chacun garde ses lignes rouges », explique une source européenne en quittant l'Eurogroupe. La question de la dette est en première ligne. Hans Jörg Schelling, le ministre autrichien des Finances, indique que la Grèce « insiste pour obtenir un transfert d'une partie de sa dette ». La Grèce souhaite voir cette dernière, détenue par la BCE, être transférée à des taux et à des conditions plus intéressantes vers le MES. « Pour de nombreux pays, c'est un troisième programme déguisé », explique-t-il. Or, Alexis Tsipras et son ministre des Finances, Yanis Varoufakis, insistent depuis plusieurs mois sur cette condition avant toute extension du programme d'aide.

    Mais ce n'est pas le seul point de blocage. Juste avant l'Eurogroupe, un officiel européen en évoque d'autres. « La délégation grecque est venue discuter sur la base des propositions de lundi, les institutions de leur côté ont soumis une nouvelle proposition qui charge les employés et les retraités de manière injuste [...], tout en proposant des mesures qui épargnent les plus riches. » La Grèce avait présenté lundi des propositions pour obtenir huit milliards d'efforts budgétaires en 2015 et 2016 sur des hausses d'impôts et des taxes sur les entreprises notamment. Les créanciers ont d'autres exigences. Ils demandent, entre autres, la suppression des retraites anticipées ainsi que le passage de l'âge légal de 62 à 67 ans.

    Une affaire très politique

    L'affaire est très politique. Jeroen Dijsselbloem avait déclaré lundi que les trois institutions devaient définir « une liste d'actions préalables » pour trouver un accord au niveau des ministres. Objectif : faire en sorte que le Parlement grec puisse entériner des mesures précises avant les autres Parlements, notamment le Bundestag, qui doit se prononcer sur l'extension du programme d'aide à la Grèce. Et cela afin de donner le « cadre politique » propice à rassurer ses principaux créanciers et renégocier l'échéance du 30 juin, date limite pour les 1,5 milliard d'aide dus au FMI. Or, le gouvernement de Tsipras souhaiterait trouver un accord plus global liant le financement de l'économie grecque et l'investissement pour pouvoir obtenir l'agrément de son Parlement, mais aussi de sa majorité.

    La clef pourrait donc venir non seulement des ministres de l'Eurogroupe, mais aussi des chefs d'État, réunis en sommet européen quelques heures après. Ils ont promis de discuter de la question grecque « aussi longtemps qu'il sera nécessaire » sur un terrain plus politique. Mais un accord n'est pas tout. « Cela ne se finira pas en obtenant un simple accord aujourd'hui. C'est plus long que cela », rappelle ainsi le ministre maltais Edward Scicluna. S'il y a un accord et s'ils ont leur argent, les Grecs doivent encore « mettre fin à la méfiance des créditeurs et des investisseurs ». Le chemin est encore long.

    source : Le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFVkEupFkEfeTGgea.shtml

  • Philippe Noguès, premier député frondeur à quitter le PS

    L’élu du Morbihan explique son départ dans Ouest France. « Je reproche à François Hollande d’avoir été élu sur un projet qu’il n’a même pas essayé de mettre en place », regrette-t-il.

     

    L’élu du Morbihan Philippe Noguès. Crédits photo : STEPHANE DE SAKUTIN/AFP

    Première défection dans le camp des frondeurs. Philippe Noguès, député socialiste du Morbihan élu en 2012, a annoncé mercredi au quotidien régional Ouest France qu’il quittait le Parti socialiste et le groupe SRC à l’Assemblée auquel il appartenait. Dans une interview, il conteste à la fois la politique menée par François Hollande, son impuissance à l’Assemblée, et la situation du PS. « C’est une démarche mûrie depuis plusieurs mois », confie le frondeur de 60 ans, qui avait déjà menacé de partir. Le 15 juin, c’est l’ancien député européen Liêm Hoang-Ngoc, cofondateur du « Club des socialistes affligés », qui claquait la porte de Solférino, invitant ses camarades à imiter sa démarche, pour construire « La Nouvelle Gauche Socialiste ». « Je pense qu’il y aura quelques départs dans les semaines à venir. Mais je ne sais pas s’il y en aura assez pour créer un groupe », déclare Philippe Noguès.

    L’élu semble résigné. « Je ne reproche pas à François Hollande d’avoir raté une politique. Je lui reproche d’avoir été élu sur un projet qu’il n’a même pas essayé de mettre en place », tranche le Breton. Son explication est sans équivoque : « Avec mes camarades, on a essayé d’infléchir la ligne économique du gouvernement dans un sens plus favorable aux ouvriers, aux salariés, aux classes moyennes. Je fais l’analyse que ça a été quelque chose d’utile au sein du groupe, même si on a gêné politiquement. Simplement, je crois qu’on est arrivé au bout de cette route. Les partis politiques sont complètement épuisés. Quant au législatif, il n’est plus qu’une chambre d’enregistrement ». [...]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Philippe-Nogues-premier-depute

  • Athènes critique le FMI et refuse son plan

    Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, a critiqué mercredi la position de "certaines institutions", visant le FMI, qui n'accepte pas "des mesures compensatoires" que la Grèce avait proposées, selon une source gouvernementale grecque. Selon AFP, Athènes aurait d'ailleurs rejeté une contre-proposition soumise par les créanciers, comprenant surtout des souhaits du FMI.

    "Le refus des mesures compensatoires ne s'est produit nulle part. Ni en Irlande ni au Portugal, nulle part!", a-t-il dit selon cette source. "Cette position étrange cache deux éventualités: soit elles (ces institutions) ne veulent pas d'accord soit elles servent des intérêts spécifiques en Grèce", selon le Premier ministre. Le gouvernement grec a rejeté mercredi une contre-proposition soumise par les créanciers à Athènes, comprenant surtout des souhaits du FMI, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale grecque.

    Lire la suite 

  • La minute d’Olivier Delamarche : "L’euro est une aberration !" - 22/06

    Le 22 juin, l'avenir de l'euro a été un thème abordé par Olivier Delamarche dans Intégrale Placements, présenté par Olivier Decoeur et Guillaume Sommerer , sur BFM Business.

     

     http://www.agoravox.tv/actualites/economie/article/la-minute-d-olivier-delamarche-l-50315 

    L’intégralité : 

     

    Olivier Delamarche VS Thibault Prébay (1/2) : Peut-on espérer un accord sur le dossier grec ? - 22/06

    http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/olivier-delamarche-vs-thibault-prebay-12-peut-on-esperer-un-accord-sur-le-dossier-grec-2206-565181.html

     

    Olivier Delamarche VS Thibault Prébay (2/2) : "On est dans un monde où, malheureusement, la croissance n’est pas là" - 22/06

    http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/olivier-delamarche-vs-thibault-prebay-22-on-est-dans-un-monde-ou-malheureusement-la-croissance-n-est-pas-la-2206-565277.html

     

     http://www.agoravox.tv/actualites/economie/article/la-minute-d-olivier-delamarche-l-50315

  • Impôts : l'arnaque de la retenue à la source

    Le député Marc Le Fur dénonce dans Valeurs Actuelles la proposition de retenir les sommes dues au titre de l’impôt sur le revenu sur le salaire direct du contribuable. Extrait :

    "[...] La retenue à la source présente l’avantage pour un gouvernement — et c’est sans doute un motif inavoué de l’actuelle majorité — de rendre l’impôt indolore, anesthésiant… Le mouton va se faire tondre sous anesthésie généralisée. Avec le prélèvement à la source, l’argent du contribuable sera versé directement par le comptable de l’entreprise à l’administration fiscale. Le salarié percevra ainsi une rémunération nette non seulement de cotisations sociales, mais également d’IR.

    Cette réforme pose de ce fait plusieurs problèmes en termes de protection de la vie privée et de mise en oeuvre. L’impôt sur le revenu étant très personnalisé et très “familialisé”, le gouvernement devra opérer un choix fondamental : soit mettre fin à cette personnalisation et à certains abattements fiscaux, soit obliger l’employeur à collecter l’ensemble des données personnelles du salarié afin de permettre la personnalisation.

    Concrètement, si l’option de la retenue à la source devait être adoptée, cela signifierait que l’employeur serait en possession de nombreuses informations sur un salarié telles que sa situation familiale, la rémunération du conjoint, les revenus du patrimoine, les pensions alimentaires, etc. Autant d’informations personnelles, voire intimes. [...]

    Autre question : le coût pour les entreprises. Ce mode de recouvrement représentera nécessairement des milliers d’heures de travail pour ces dernières, afin de recueillir, centraliser, traiter toutes les données personnelles des salariés.

    Ainsi, certains changements de situation personnelle qui ont une incidence fiscale (mariage, divorce, naissance d’un enfant, entrée au lycée de l’un des enfants, sortie du foyer fiscal de l’enfant majeur) n’interviennent pas au 1er janvier de l’année fiscale. Mais la logique du prélèvement à la source est d’en tirer les conséquences immédiatement. Il faudra, en cours d’année, modifier la feuille de paye une voire plusieurs fois. On voit là le risque : cette complexité justifiera l’arrêt de la personnalisation de l’impôt et, plus grave, de sa “familialisation”, c’est directement la fin du quotient familial qui est en perspective. La retenue à la source est le cheval de Troie de cette fin. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’Islande a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison. Et voici ce qui s’est produit

    L’Islande, l’une des nations les plus touchées par la crise bancaire, semble avoir complètement surmonté ses problèmes, et cette année, elle devrait être le premier pays du monde frappé par la crise de 2008 à dépasser le PIB le plus élevé qu’il avait atteint avant cette crise, rapporte ZeroHedge. Le pays est parvenu à ce résultat sans sacrifier son système social et les dépenses du gouvernement. Il y a encore quelques années, l’Islande est arrivée au bord de la faillite lorsque ses banques, qui au fil des ans s’étaient montrées bien trop audacieuses, se sont trouvées en situation de quasi-effondrement.

    Erreur

    Selon le Fonds monétaire international (FMI) l’Islande a réussi à se remettre totalement de la crise, sans avoir compromis son modèle social qui prévoit la gratuité des frais de santé et d’éducation. Le pays, qui ne fait pas partie de l’Union européenne, n’a pu compter que sur lui-même pour se relever, et pour se faire, il a opté pour une approche très originale mais efficace.
    A la différence des autres pays heurtés par la crise, l’Islande a laissé ses banques faire faillite, ne préservant que les comptes des ménages résidents. Les étrangers qui avaient placé leur argent dans les banques du pays ont tout perdu lorsque ces banques ont fait faillite. Ailleurs, dans le reste de l’Europe, de nombreuses banques ont été nationalisées car il n’était pas concevable qu’elles puissent faire faillite.
    Le pays a également imposé des contrôles de capitaux. Par conséquent, les Islandais ne pouvaient plus investir ou placer librement leur argent à l’étranger, ce qui était, selon de nombreux économistes, contraire aux règles du marché libre. De plus, le pays n’est pas intervenu pour empêcher la dévaluation de la couronne islandaise, et il a toléré l’inflation. Celle-ci a provoqué une hausse des prix domestiques, mais elle a aussi eu pour effet de stimuler les exportations. Les pays de la zone euro ne pourraient tolérer une telle dévaluation ; celle-ci renchérirait les dettes nationales des différents Etats-membres.
    Mais le plan semble avoir fonctionné. La dette nationale de l’année dernière ne représentait que 82% du PIB du pays, comparativement à 95% il y a quatre ans. À la fin de cette décennie, la dette devrait même continuer à baisser pour atteindre 54% du PIB. Le chômage a également baissé de façon spectaculaire, et actuellement, le taux de chômage s’établit à 4%, contre près de 8% en 2009.
    De tels résultats soulèvent la question de la pertinence des politiques économiques qui ont été menées dans le reste de l’Europe ou aux États-Unis en réponse à la crise. Les banques n’auraient-elles pas dû supporter elles-mêmes les conséquences de la crise qu’elles avaient causée? D’après Zéro Hedge cette réussite contredit de nombreux économistes, notamment keynésiens, qui affirmaient que le soutien de l’économie était nécessaire pour sortir de la crise.
    En outre, l’Islande a fait condamner les administrateurs de Kaupthing, l’une des principales banques de la nation, non seulement à des amendes, mais à des peines de prison allant de quatre à cinq ans. Lors de leur procès, le procureur spécial islandais Olafur Hauksson s’était posé la question de la responsabilité :
    Pourquoi devrions-nous tolérer qu’une partie de notre société ne soit pas soumise à la règle de droit ou qu’elle puisse échapper à ses responsabilités? Il serait dangereux de laisser quelqu’un devenir trop gros pour devenir l’objet d’une enquête. Cela laisserait l’impression qu’il existe un refuge sûr ».
    Source : businessbourse :: lien
  • Poutine contre attaque : « La Russie ne peut plus accorder de ristourne sur le gaz à l’Ukraine » !

    connexions de gaz UE-Russie existants 

    Nous nous étions posé des questions sur  la relative absence de réponse de la Russie à des sanctions étendues et au gel des avoirs en Europe et maintenant nous voyons le premier mouvement important.

    Avec de nouvelles contre-sanctions confirmées ce matin, le président russe Vladimir Poutine vient de jeter le FMI (les contribuables américains), et  le ministre des finances «américain» de l’Ukraine sous le bus :

    « Moscou ne peut plus accorder des remises de gaz à l’Ukraine en raison de la baisse actuelle les prix du pétrole. «  Le prix doit être au niveau des autres pays comme la Pologne, a t-il ajouté.

    Comme le rapporte Reuters : 

    La Russie ne peut plus accorder de ristourne sur le prix du gaz à l’Ukraine comme elle le faisait cas auparavant, a déclaré mercredi le président russe Vladimir Poutine, quelques jours avant l’ouverture de nouvelles négociations avec Kiev et Bruxelles sur les tarifs gaziers.

    En conseil des ministres, Vladimir Poutine a expliqué que le prix demandé à l’Ukraine devrait être aligné sur celui payé par des pays comme la Pologne.

    Selon Gazprom, l’Ukraine devra payer 287 dollars (257 euros) par millier de mètre cube de gaz à partir du troisième trimestre, contre 247 dollars (221 euros) au deuxième trimestre. (Darya Korsunskaya,; Nicolas Delame pour le service français)

    ZH pense que la Russie va écraser financièrement l’Ukraine:

    Alors que Christine Lagarde a clairement fait savoir qu’elle allait dépenser l’argent des autres en Ukraine (mais pas en Grèce), peu importe si l’Ukraine fera défaut ou pas, on soupçonne que la fin de la remise sur le gaz écrasera les attentes du FMI sur la croissance Ukraine et il deviendra de plus en plus impossible pour le FMI de justifier le fait de jeter l’argent par les fenêtres…

    Est-ce que l’Ukraine a de l’or  de coté avec lequel elle pourrait graisser les rouages ?

    * * *

    Comme nous nous l’étions demandé précédemment, est-ce le début de la démarche de la Russie de tout couper à l’Ukraine ?

    Ceci est une période riche en événements pour les relations UE-Russie sur le gaz .

    Alors, comment devraient être interprétés les évolutions les plus récentes de la valse des pipelines Russes ?

    Il y a trois scénarios possibles :

    i) turkish Stream pour la Turquie uniquement et Nord Stream pour l’UE.

    ii) l’expansion de Nord Stream comme une monnaie d’échange pour faire avancer le flux turc : Dans ce scénario la Russie proposerait l’expansion de Nord Stream, afin d’avoir une autre monnaie d’échange dans les négociations avec la Turquie (et la Grèce) , et de faire avancer rapidement le projet turkish Stream pour assurer de meilleures conditions commerciales.

    iii) Pas de pipelines, juste de la politique. Dans ce scénario la Russie n’a pas l’intention de développer ni le Turkish Stream  ni l’expansion de Nord Stream. Les propositions visent donc à créer des clivages politiques au sein de l’UE, à un moment où l’UE durcit sa position contre la Russie en raison de la crise en Ukraine

    Avec le pivot potentiel grec qui reste sur ​​la table (alors que Le FMI fuit l’offre de la Grèce) etde nouveaux alliés bizarres dans le Moyen-Orient , il semble que ce sabre-hochet économique sera un nouveau boomerang qui sera de retour à Washington …

    http://www.zerohedge.com/news/2015-06-24/putin-strikes-back-cuts-ukraine-gas-discount – resistanceauthentique

    https://resistanceauthentique.wordpress.com/

  • Un SDF n’obtient aucune aide car il est Français !

    Trouvé sur le FB de contribuable.org : Ce jeune SDF français est à la rue depuis plusieurs mois avec sa femme et son bébé. Et il n’obtient aucune aide… parce qu’il est français et non clandestin !

    Ce témoignage bouleversant a été enregistré à La Rochelle, durant le Tour de France des contribuables organisé par Contribuables Associés du 26 avril au 14 juillet.

    Les témoignages de Français excédés s’accumulent. La situation est aujourd’hui explosive, le ras-le-bol se généralise à toute vitesse !

    http://www.contre-info.com/

  • Trafic pétrolier, racket et kidnapping, l’État islamique amasse 2 milliards de dollars par an

    Taxes, donation, exportations, les jihadistes du groupe État islamique, qui occupent un large territoire à cheval sur la Syrie et l’Irak, se financent à la manière d’un véritable État, avec son administration et des complicités à tous les niveaux.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • L’ancien ambassadeur de France à Moscou accuse Washington de la guerre en Ukraine

    Jean de Gliniasty, ancien ambassadeur de France à Moscou n’a pas mâché ses mots sur la diplomatie actuelle européenne. En effet, il estime qu’il fallait rendre Sébastopol à la Russie, car, je cite : « La Crimée n’a jamais appartenu à l’Ukraine, elle a toujours été russe ». Il accuse aussi Washington dans les derniers incidents il y a deux semaines en rupture du cessez le feu. En effet ces incidents ont eu lieu juste avant la réunion décidant de continuer ou non les sanctions économiques contre Moscou. Il faut rappeler que, en valeur, les exportations américaines vers la Russie ont augmenté en 2014 malgré les sanctions et que les exportations européennes, elles ont diminué.

    Jean de Gliniasty, ex-ambassadeur de France en Russie, accuse les USA de la responsabilité de la crise en . http://www.lefigaro.fr/international/2015/06/21/01003-20150621ARTFIG00162-un-ex-diplomate-francais-accuse-washington-d-etre-a-l-origine-de-la-crise-ukrainienne.php