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économie et finance - Page 595

  • La reprise en Espagne … 34% des travailleurs espagnols ne gagnent pas plus de 752 euros par moi

    Plus d’un tiers des travailleurs espagnols gagnent le salaire minimum du pays, le « SMI » fixé à 9 034 euros par an, soit 752 euros par mois, indiquent des chiffres que le ministère espagnol du Travail a publiés cette semaine. Les trois quarts des salariés de moins de 25 ans (74,7% précisément) sont rémunérés au SMI. Pour les moins de 18 ans, cette proportion grimpe même jusqu’à 86%.

    Dans le groupe d’âge des 26-35 ans, le nombre de personnes rétribuées au salaire minimum passe à 38%. Les données du ministère des Finances montrent également que 7,7 millions de salariés espagnols gagnent 1 000 euros par mois au plus. Dans le pays, on leur a donné le surnom de «mileuristas »

    En 2013, le salaire moyen en Espagne s’est établi à 18 505 euros annuels, soit 1 542 euros par mois, soit 1,4% de moins que celui de l’année dernière.

    En septembre, l’OCDE avait averti l’Espagne OCDE que la baisse des salaires mettrait la reprise en péril en générant de la déflation et en réduisant la consommation. Cependant, d’un autre côté, le FMI a encouragé l’Espagne à baisser ses salaires. En Décembre 2013, le pays avait gelé son salaire minimum. Selon les syndicats, les familles ont perdu 5,5% de pouvoir d’achat par rapport à 2010.

    Le salaire minimum de l’Espagne est légèrement supérieur à celui de la Grèce (683,76 euros), mais plus faible que celui de l’Italie (880 euros), ou de la France (1430 euros). Le Portugal est le  pays d’Europe occidentale avec le salaire minimum le plus faible (565 euros).

    En Belgique, le salaire minimum est 1 501 euros pour les employés âgés de plus de 21 ans. Outre les trois pays du Benelux, il n’y a qu’au Royaume-Uni, en Irlande et en France, que le salaire minimum dépasse les 1.000 euros par mois.

    En Allemagne, il existe désormais aussi un salaire minimum, fixé à 8,5 euros de l’heure.

    Express.be

    http://fortune.fdesouche.com/363239-la-reprise-en-espagne-34-des-travailleurs-espagnols-ne-gagnent-pas-plus-de-752-euros-par-mois

  • Contrat de désendettement et de développement : François Hollande offre 1 milliard d’euros à la Côte d’Ivoire

    Dans un article du Point du 4 décembre 2014, nous apprenons que Hollande débloque 1 milliard d’euros pour la Côte d’Ivoire, cette somme constituant la deuxième tranche d’un contrat de désendettement et de développement (C2D) conclu entre la France et la Côte d’Ivoire le 1er décembre 2012.

    « Tout le monde » est paraît-il d’accord sur le montant d’une deuxième tranche de plus d’un milliard d’euros, qui portera sur des secteurs prioritaires pour la Côte d’Ivoire et pour la France : éducation, santé, développement urbain et infrastructures de transports. Tout en poursuivant une coopération en matière de justice, a affirmé le président de la République à l’issue d’un entretien avec son homologue ivoirien Alassane Ouattara, reçu à l’Élysée le 4 décembre, la France veut encourager et appuyer le développement de la Côte d’Ivoire, insistant sur la nécessité de préserver la “stabilité” du pays (pour oublier le désordre régnant chez nous ?).

    Puis souhaitant que l’élection présidentielle ivoirienne prévue en octobre 2015 puisse avoir lieu dans la transparence et le pluralisme, pour reprendre des termes bien a lui, François Hollande a insisté auprès de son homologue pour que la réforme de l’armée ivoirienne puisse s’accélérer afin de garantir une paix durable. Lorsqu’on pense aux coupes sombres effectuées par lui à l’armée française et à son manque d’égards envers nos militaires…

    O. Guelfucci

    http://fr.novopress.info/179563/contrat-desendettement-developpement-francois-hollande-offre-1-milliard-deuros-cote-divoire/

  • Nouvelle sortie anti-allemande de Jean-Luc Mélenchon

    Au lendemain d’avoir demandé à Angela Merkel de « fermer sa gueule », le dirigeant du Parti de gauche parle d’une « caricature de « boche » de bande dessinée » au sujet d’une eurodéputée allemande.

     

     

    Cette fois, Jean-Luc Mélenchon s’en prend à une eurodéputée allemande. Sur son blog, l’ancien candidat à la présidence de la République a attaqué Ingeborg Grässle, membre de la CDU d’Angela Merkel. Comme le remarque Libération, Jean-Luc Mélenchon revient sur son passage dans l’émission Des paroles et des actes, sur France 2, avec l’échange en duplex avec cette parlementaire. « Le sommet de tout fut atteint avec cette député allemande, caricature de « boche » de bande dessinée avec cette phrase d’anthologie où elle déclare : ‘che n’ai pas bien kompris qu’est-ce que fou foulez faire sinon fou couper les chéfeux entre fous !’ », écrit-il, imitant l’accent allemand. « Du Jacques Villeret dans le rôle d’Apfelstrudel de ‘Papy fait de la Résistance’ », poursuit le responsable du Front de gauche.

    Ce n’est pas le premier accrochage de Jean-Luc Mélenchon avec cette élue allemande. Sur le plateau, il avait déjà vivement accroché la parlementaire. « Notre peuple ne manque pas de courage. Il le prouve tous les jours, chaque matin, et vous seriez bien avisée de nous parler sur un autre ton », avait-il lancé en direction de Ingeborg Grässle, qui critiquait le présumé manque de fiabilité de l’économie française. « Les rêves d’antan ne servent à rien. Monsieur Mélenchon, vous êtes un rêveur d’antan », avait répondu la parlementaire. [...]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nouvelle-sortie-anti-allemande-de

  • Les Etats-Unis refusent de rendre l’or allemand…

    Les Etats-Unis refusent de rendre l’or que l’Allemagne a mis à l’abri dans la Réserve Fédérale des USA et a, par ailleurs, empêché les représentants allemands de visiter le coffre de la Banque Centrale de ce pays pour vérifier l’état des tonnes d’or entreposées.

    La méfiance par rapport au dollar pourrait s’intensifier après que la Bundesbank allemande ait demandé le rapatriement de son or entreposé dans la Réserve Fédérale des Etats-Unis, mais que Washington ait refusé de le faire avant 2020.

    L’agence d’information russe, RT, a publié que les représentants allemands se sont vus refuser le permis de visiter le coffre de la Banque Centrale des Etats-Unis, tout comme les sénateurs d’une commission d’enquête…américaine. Cet état de faits en dit très long sur les 17 tri liards de dettes de la réserve fédérale, et confirme qu’elle ne dispose plus d’or qui ne soit consigné contre des prêts ou en dépôt simple. Imaginez juste que votre banque refuse de vous laisser retirer VOTRE salaire…

    « L’Allemagne, qui y a entreposé près de la moitié de ses réserves en or, a de bonnes raisons de s’inquiéter. En général, les institutions financières des USA sont connues pour vendre ce qui n’existe pas réellement », écrit RT sur la publication de son portail Web. Et d’autant plus particulièrement quand ladite réserve fédérale américaine est gérée par des banques qui ne pouvaient pas ne pas faire faillite…sans quelques manipulations frauduleuses, voir mafieuses des Rockefeller et autres Goldman Sachs !

    Ils citent l’exemple de 2012, lorsque la banque Goldman Sachs vendait des certificats d’or en assurant qu’ils étaient garantis par l’or authentique de ses coffres. Cependant, comme cela s’est su par après, il n’y avait pas d’or dans ces coffres, et la banque travaillait sur base d’un système de réserve fractionnaire, en supposant que peu de dépositaires exigeraient de récupérer leur or. Eh oui, Madof était un petit rigolo de bas étage…espérons que ses maîtres viendront le rejoindre en prison au plus vite !

    Le fondateur et président de l’Association Allemande de Métaux Précieux, Peter Boehringer, considère que ce refus des États-Unis est un mauvais signe. Quelle surprise…il faut être économiste pour prétendre de tels lieux communs ? ? ? [...]

    La suite sur gilles1963.neowordpress.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-Etats-Unis-refusent-de-rendre

  • Pour la BNP, l'UMP c'est l'union des marins pêcheurs

    Le 11 juillet 2013, soit un mois après la publication d'un sondage donnant le FN ex-aequo avec le PS et l'UMP aux élections européennes, la BNP refuse de prêter 5 millions d'€ au Front national, au motif que

    "notre politique de crédit ne nous permet pas de répondre favorablement à une telle demande en faveur d'un parti politique" (cf le post de Michel)

    Moins d'un an auparavant, le 6 août 2012, l'UMP en pleine déroute (après son mauvais score aux législatives et la polémique sur les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy) obtenait pourtant un prêt de 55 millions d'€ en échange de la cession provisoire de son siège. Dont 15 millions de... la BNP. Où l'on apprend que l'UMP n'est pas un parti politique.

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Refus de prêt : transparence du FN

    Le FN publie les lettres des banques françaises ayant refusé de lui accorder un prêt, ce qui l'a obligé à se tourner vers l'étranger. Aux autres partis de publier les lettres des banques accordant des prêts ?

    Michel Janva

  • La Turquie a-t-elle changé de camp ?

    La botte de l’occupant américain pèse de plus en plus lourdement sur l’Europe. La fumée de la révolution orange « spontanée » en Ukraine se dissipe. Entre autres choses, on aura noté que le fils de Joe Biden, actuel vice-président des USA, occupe depuis plusieurs mois un poste de dirigeant dans les consortiums gazo-pétroliers de l’Ukraine. De nombreux ressortissants américains viennent d’être nommés au gouvernement de l’Ukraine, réduite à l’état de quasi-annexion proconsulaire. Et cerise sur le gâteau, l’or ukrainien a disparu dans les poches de l’oncle Sam. 40 caisses d’or ont été embarquées dans un avion en direction des USA. Le pillage de l’Ukraine par les USA va donc bon train. Le reste de l’Union Européenne suit, asservi dans une politique démente de dépression économique causée par l’euro-austérité sans perspective de sortie de crise et par des sanctions auto-infligées, qui sont théoriquement dirigées contre la Russie mais qui ne font qu’aggraver le marasme déflationniste interne à l’Europe.

    Par personnes interposées, l’OTAN mène en Ukraine de l’est, dans le Donbass, une guerre terrestre de basse ou moyenne intensité avec la Russie. Même si ni l’OTAN ni la Russie n’admet officiellement être impliquée, tout le monde a compris que, si le Donbass est bombardé quotidiennement et épuré ethniquement de ses habitants majoritairement russophones, c’est bien parce que les USA veulent la peau des Russes. Etouffer et écraser les Russes, voilà le programme.

    Quel rapport avec la Turquie me direz-vous ?

    On vient d’apprendre que la Russie et la Turquie se sont mises d’accord pour créer un oléoduc acheminant du gaz russe à travers la Turquie. De façon générale, le gaz russe est acheminé directement en Allemagne par un oléoduc marin à travers la mer Baltique. Une autre voie passe par l’Ukraine et elle est maintenant sous contrôle états-unien, avec tous les risques de chantage que cela implique tant pour les Russes que pour les Européens. Un autre projet d’oléoduc sud (dit South Stream) était prévu jusqu’à ces derniers jours à travers la mer Noire et devait traverser la Bulgarie. L’installation récente de l’aviation américaine en Bulgarie a sonné le glas de ce projet. Comme le dit Poutine, la Bulgarie est empêchée d’exercer pleinement sa souveraineté…

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  • Équateur : « Opération Correa – Les ânes ont soif »

    Découvrez la première partie du nouveau film de Pierre Carles en accès libre, avec la collaboration de Nina Faure et Aurore Van Opstal.

    En novembre 2013, le président équatorien Rafael Correa était en visite officielle en France. Le 6 novembre 2013, il donna une conférence à la Sorbonne pour décrire le modèle économique en train de se développer dans son pays, en rupture complète avec les dogmes néo-libéraux et les mesures d’austérité imposées par le FMI.

    Dans le premier épisode de sa saga « Opération Correa », Pierre Carles tente de percer les mystères du « miracle équatorien » et de comprendre pourquoi la visite officielle et la conférence du président équatorien furent superbement ignorées de la quasi-totalité des médias français.

    Économiste de formation, Rafael Correa a étudié en Belgique et aux États-Unis et dirige l’Équateur depuis 2007. Parfaitement francophone, sa conférence à la Sorbonne fut couverte par seulement 2 journaux, « Le Monde diplomatique » et « L’Humanité », quand tout autre Président en visite officielle rameute des dizaines des médias.

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