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économie et finance - Page 614

  • Soixante parlementaires seraient dans le collimateur du fisc

    Une soixantaine de parlementaires seraient des fraudeurs ou considérés comme tels par le fisc, avec des comportements allant «du petit différend» à «la tricherie franche et massive», affirme le Canard Enchaîné de ce mercredi.

    «Au moins 60» députés et sénateurs seraient en «délicatesse avec le fisc», selon le Canard Enchaîné de ce mercredi. C’est-à-dire que ces élus auraient minimisé leur patrimoine à plus ou moins grande échelle. Toujours selon le journal satirique, «aucune femme ne figure parmi ces ’nouveaux Thévenoud’» .

    Les supposés fraudeurs sont actuellement contactés par les services fiscaux. La situation de certains députés ou sénateurs devrait se régulariser après l’intervention du fisc. La liste définitive devrait elle être connue d’ici à là fin de l’année, selon Le Canard Enchaîné. «Une sacrée bombinette» en perspective, selon le journal.

    Pour rappel, députés et sénateurs doivent obligatoirement déclarer leur patrimoine, et ces déclarations sont consultables sur le site de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique .

    source : Les Echos 

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuEuFEEVFyekuwKtJq.shtml

  • Hollande sommé par Bruxelles de préciser un budget contesté par sa majorité

    Sommé par Bruxelles de donner des précisions sur son budget 2015, François Hollande a sèchement répondu vendredi à Bruxelles que la France avait « fait ce qu’elle avait à faire », en prévoyant 21 milliards d’euros d’économie contestées au sein de sa majorité

    M. Hollande a confirmé vendredi que la France avait bien reçu une lettre de la Commission lui demandant des précisions sur son projet de budget actuellement en discussion à l’Assemblée nationale. Celui-ci prévoit un déficit à 4,3% du PIB en 2015, alors que Paris s’était engagé à le ramener sous la barre des 3%.

    Minimisant dans un premier temps ce courrier « banal », M. Hollande a ensuite espéré ne pas recevoir de nouvelle lettre, soulignant que la France avait « fait ce qu’elle avait à faire ». « On peut voir comment on peut mieux mobiliser certaines ressources, mieux calculer certaines dépenses, mais il n’y aura pas de modifications » sur les dépenses, a assuré M. Hollande, rappelant que la France entendait respecter ses « engagements européens mais avec le maximum de flexibilité ».

    Dans cette missive publiée par le site d’information Mediapart, le commissaire européen aux Affaires économiques, Jyrki Katainen, demande au ministre des Finances, Michel Sapin, « les raisons qui ont conduit la France à dévier » de ses objectifs budgétaires.

    Commentaire de M. Sapin : « Rien de neuf » dans cette lettre, « qui ne présente absolument aucun intérêt pour personne ».

    Le président Hollande a quant à lui réaffirmé sa priorité : renouer avec la croissance en Europe. « Rien ne nous fera dévier de cet objectif. Cela vaut pour l’interprétation de notre propre budget, qui respectera les règles avec un maximum de flexibilité, mais aussi pour l’objectif de croissance ».

    Depuis un an, la Commission dispose d’un droit de regard sur les projets de budgets nationaux et peut, le cas échéant, demander à un Etat de revoir sa copie, ce qui ne s’est encore jamais produit.[....

    La suite sur 20minutes.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Hollande-somme-par-Bruxelles-de

  • Capitalisme (4/6) : Et si Marx avait raison ?

    Et si Marx avait raison, après tout ? Avec l’effondrement de l’Union soviétique et la chute du Mur, le communisme a été jeté à la poubelle de l’histoire, et lui avec. Mais après la crise de 2008, on peut se demander si nous avons bien compris Marx.

    Son analyse du capitalisme du XIXe serait-elle plus pertinente aujourd’hui ? Cet épisode décrypte la pensée de l’auteur du Capital, depuis sa jeunesse d’étudiant romantique ami d’Engels jusqu’à son accession au statut de leader théorique de la révolution mondiale.

    Au-delà de l’idéologie communiste, le film s’attache à sa lecture du capitalisme comme “immense accumulation de marchandises” jusqu’à sa critique des concentrations financières et du capitalisme d’État, démontrant que ses prévisions s’avèrent aujourd’hui très pertinentes. S’il a reconnu que le système produisait des merveilles, il fut aussi l’un de ses critiques les plus impitoyables, notamment à travers son analyse de l’inéluctabilité des crises.

    Réalisé par Ilan Ziv (France – 2014)


    http://fortune.fdesouche.com/

  • Modulation des allocations familiales : pas pour tous

    La secrétaire d'Etat à la Famille Laurence Rossignol a repoussé jeudi 23 octobre la modulation des allocations familiales pour les fonctionnaires, soulignant qu'il s'agissait pour les agents d'un "élément de salaire".

    “Dire qu’il faut supprimer le supplément familial chez les fonctionnaires, ça revient à dire qu’il faut baisser le salaire des fonctionnaires ! Je ne le dirai pas car je ne pense pas qu’il faille baisser le salaire des fonctionnaires qui font déjà, du point de vue de leur salaire, des efforts depuis de nombreuses années”

    Pour les familles, ce n'est pas un salaire et elles ne font pas d'efforts depuis de nombreuses années...

    Surtout, il faut éviter d'avoir les fonctionnaires dans les rues, en train de bloquer la circulation.

    Et pendant que l'on tord le cou aux familles, le groupe socialiste propose definancer 50 000 emplois aidés supplémentaires, 35 000 emplois aidés et 15 000 emplois d'avenir.

    Michel Janva

  • Le Sécu est mal gérée mais elle se défend bien

    L'Assemblée nationale a adopté hier soir un amendement pour accroître les sanctions pénales afin de dissuader les désaffiliations de la Sécurité sociale.Toute personne qui incite les assujettis à refuser de se conformer aux prescriptions de la législation de Sécurité sociale, notamment de s'affilier à un organisme de sécurité sociale ou de payer les cotisations et contributions dues,sera punie d'un emprisonnement de deux ans et d'une amende de 30.000 euros ou d'une de ces deux peines.

    Actuellement, le code de la Sécurité sociale prévoit six mois de prison et d'une amende de 15.000 euros ou l'une de ces deux peines seulement dans ce cas.

    Autre nouveauté apportée par l'amendement, toute personne qui refuse délibérément de s'affilier ou persiste à ne pas engager les démarches en vue de son affiliation obligatoire à la Sécurité sociale sera punie d’un emprisonnement de six mois et d’une amende de 15.000 euros ou seulement de l’une de ces deux peines.

    Le monopole de ce système "que le monde nous envie", pourtant contraire au principe de subsidiarité et à la responsabilité, système qui nous oblige en plus à financer la culture de mort, a encore de beaux jours devant lui.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La politique de la France à la remorque de sa faillite financière

    François Fillon avait déclaré « Je suis à la tête d’un État qui n’a pas voté un budget en équilibre depuis 25 ans, ça ne peut pas durer », ajoutant, « je suis à la tête d’un état qui est en situation de Faillite ». C’était en septembre 2007. Depuis 7 longues années se sont écoulées, où en est la France ?        

    Charles Sannat, fin observateur de la situation économique et financière de la France n’est pas optimiste. Il explique en quelques mots la soumission totale de la France aux diktats américains ainsi:       

    Si nous vivons pour le moment avec des taux bas en France qui rendent le service de la dette (les intérêts à payer chaque année) supportable, c’est uniquement parce que SMS1er, le roi du mobile et accessoirement le mamamouchi en chef de notre république en déclin [comprendre François Hollande NDLR], s’aligne sans vergogne sur toutes les positions des États-Unis d’Amérique, fussent-elles contre les intérêts à long terme de notre pays mais que voulez-vous, le porte-monnaie ne peut être ignoré et si Paris valait bien une messe, éviter l’insolvabilité vaut bien quelques capitulations en rase campagne.
    En clair, tant que nous sommes gentils et bien obéissants à l’égard de l’oncle Sam, ses chiens de garde financiers restent sages ou plutôt attentistes.

    Pourtant, selon lui, ce répit du à la soumission complète de la France ne saurait durer longtemps encore.      

    Pour s’en convaincre, il suffit de lire dans les Echos de lundi 20 octobre les recommandations du PDG du fonds activiste Greenlight, David Einhorn, lors d’une conférence d’investisseurs à New York. qui recommande: Pariez sur les banques grecques, et contre la France !

    Lire la suite

  • Capitalisme (3/6) : Ricardo et Malthus, vous avez dit liberté ?

    David Ricardo et Thomas Malthus sont considérés comme des acteurs fondamentaux de la construction de la société britannique du XIXe siècle. Depuis quarante ans, l’économie se mondialise selon la vision de David Ricardo de “l’avantage comparatif” et en conditionne notre adhésion à la logique du marché. Les bouleversements sociaux et politiques engendrés par ce tsunami économique ont été présentés comme le prix à payer pour améliorer le sort de tous. Mais qu’est-ce que David Ricardo a réellement écrit ? Est-ce que l’histoire des quatre dernières décennies s’explique avec des théories du XIXe siècle ou par les intérêts politiques et économiques de nos contemporains ?

    Réalisé par Ilan Ziv (France – 2014)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Le gouvernement favorise le divorce pour allocations familiales

    Question de Jacques Bompard à la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur la fin de l'universalité des allocations familiales :

    "Alors que la gauche défend une mythique égalité, voilà qu'elle s'attaque à l'universalité de la famille biologique en décidant de moduler les allocations selon les revenus. Une telle mesure aboutit à rompre l'égalité entre les familles et opère un glissement de la politique de natalité vers une politique de redistribution fiscale. Le gouvernement prend ainsi le risque d'une fracture entre les bénéficiaires des prestations et ceux qui la financent.

    La même logique du gouvernement appliquée au domaine du remboursement des frais médicaux mènerait à ce que les cotisants ne soient plus autant remboursés que les autres bénéficiaires du système.

    En privant certaines catégories de familles des aides qui visaient à compenser les charges qu'impliquent l'éducation d'enfants, le gouvernement favorise, après le divorce fiscal, le divorce pour allocations familiales.En effet, si un couple gagne plus de 6 000 euros par mois, il ferait mieux de divorcer - sans se séparer – car alors les allocations seront conservées et l'un des conjoints bénéficiera d'aides nouvelles. Dans de telles conditions, le mariage n'est plus du tout incitatif, et les récents bénéficiaires de la dénaturation du mariage préfèreront somme toute se contenter du PACS.

    Par ailleurs, les familles les plus aisées ne faisaient pas d'enfants pour obtenir des allocations : cette réforme qui vise à priver d'allocations les plus hauts revenus n'aura donc pas d'incidence sur le nombre d'enfants de ces classes sociales. Le crime de l'Etat socialiste est ailleurs : une fois de plus, il rompt le principe d'égalité de tous devant la loi. Crime qui se développe et s'accentue au nom non pas de la justice, mais de la justice sociale, dieu nouveau qui crée des droits sans devoirs. Droit d'avoir des revenus sans travailler, par exemple, ou encore d'entrer illégalement dans un pays et d'y avoir tous les droits. Enfin, pour mettre en place cette nouvelle réforme, il y aura un coût en embauches de fonctionnaires (pour 60 millions d'euros environ), en nouveaux logiciels, en mise en correspondance des différentes administrations impliquées, etc. Ajoutons que pénaliser les familles pour augmenter l'aide médicale d'Etat (AME) afin de payer l'intégralité des soins des clandestins est symptomatique des priorités du gouvernement. Monsieur le député Jacques Bompard demande au gouvernement de mieux évaluer les impacts sociaux et budgétaires de la modulation des allocations familiales en fonction des revenus préalablement à la mise en place d'une telle réforme."

    Michel Janva