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économie et finance - Page 631

  • Urba : la « pompe à fric » du Parti socialiste

    Juin 1971, congrès d’Epinay. Sitôt désigné Premier secrétaire du nouveau PS, François Mitterrand songe à l’étape suivante, l’élection présidentielle de 1974. Et pour cela, il lui faut un solide trésor de guerre. Sur ses instructions, Pierre Mauroy et Guy Marty mettent en place, dès 1973, un bureau d’études, nommé Urba. Si on ne présente plus le premier, qui dirige alors la Fédération socialiste du Nord, il faut dire deux mots du second : membre du Grand Orient (GODF), ancien conseiller ministériel de l’ancien président du Conseil de la IVème République Paul Ramadier, Marty s’est recasé au Conseil économique et social. Entregent garanti. Urba vend une « assistance commerciale » aux entreprises soucieuses d’obtenir des marchés auprès des collectivités locales, essentiellement les municipalités. Le bureau d’étude encaisse entre 1% et 2% du montant des contrats, puis répartit l’argent collecté selon une règle bien établie : 40% pour ses frais de fonctionnement, 30% pour la fédération locale du PS, 30% pour sa direction nationale. 

         Racket ou véritable prestation commerciale ? Pour les entreprises, Urba est le ticket d’entrée des mairies socialistes, un passage presque obligé. Ensuite, tout dépend de la « brutalité » de ses collecteurs locaux éparpillés sur le territoire, résume un élu. Par ce système bien huilé, la direction du PS pense éviter les dérives, comme l’enrichissement personnel d’élus indélicats. Mais la commission prélevée par Urba est répercutée par les entreprises sur leur prix de vente. En bout de chaîne, c’est le contribuable local qui paie. Le PS bénéficie indirectement de cet argent public. En jargon pénal, cela s’appelle un « recel d’abus de biens sociaux ». 

         La vague rose aux municipales de 1977 donne des ailes à Urba et ses satellites (Urba-Conseil, Urba-Technic, Urba-Graco...). Le PS vient d’en confier les rênes à Gérard Monate. Ancien engagé dans les Forces françaises libres (FFL), ancien gardien de la paix, Monate a été le légendaire fondateur de la Fédération autonome des syndicats de police (FASP), qui fut longtemps le premier syndicat policier marqué à gauche. A sa retraite, ce membre du GODF se met à la disposition du PS, qui lui confie Urba. Hommes de confiance et fidèle serviteur, il tient scrupuleusement les cordons de la bourse. Après un aller-retour au cabinet de Gaston Defferre au ministère de l’Intérieur, Gérard Monate devient P-DG d’Urba en 1983. 

         Des courants minoritaires du PS, exclus de cette « centralisation », s’en remettent à une structure parallèle, la Sages (Société auxiliaire générale d’études et de services), fondée par Michel Reyt. Ancien steward à Air France, ancien vendeur de voitures, lui aussi membre du GODF, cet étonnant personnage exerce le même métier que Monate à la tête de la Sages, mais avec une clé de répartition différente des fonds collectés : un tiers pour lui-même, deux tiers pour les élus locaux, rien pour Solferino. De plus, Michel Reyt ne s’interdit pas d’intervenir parfois dans des mairies de droite. Le système ronronne pendant une quinzaine d’années, au vu, au su et à la satisfaction de tous. Sur la seule période 1987-1989, marquée par la réélection de François Mitterrand, Urba finance le PS à hauteur de 107 millions de francs sans que personne ne s’en offusque. Plus pour longtemps. 

         Un grand déballage tient souvent à peu de chose. A Marseille, le décès de Gaston Defferre, le 7 mai 1986, a ouvert les hostilités entre héritiers à la mairie : Michel Pezet, leader des socialistes locaux, et Robert Vigouroux, soutenue par Edmonde Charles-Roux, veuve de Gaston. Antoine Gaudino, inspecteur de police à Marseille, enquête sur une petite affaire de fausses factures. En février 1989, il convainc un entrepreneur local de dénoncer le « racket » des politiques. Pour aller plus loin, il lui faut le soutien de ses chefs. Il l’aura : « Dès que nous avons eu Pezet dans nos filets, notre hiérarchie, et donc Pierre Joxe, à l’époque ministre de l’Intérieur, nous a encouragés et soutenus alors que la justice essayait de freiner. » Gaudino a le feu vert pour perquisitionner, le 19 avril 1989, le bureau régional d’Urba à Marseille. La pêche est miraculeuse : les enquêteurs tombent sur des carnets où Joseph Delcroix, directeur administratif du bureau d’études, notait scrupuleusement toutes les entrées et sorties d’argent. Un coup de chance : Delcroix, à quelques semaines de la retraite, venait de transférer de Paris ses archives. Les « cahiers Delcroix » sont une véritable bombe. Ils contiennent notamment cette mention : « 4 juillet 1987, les premières prévisions de la campagne présidentielle se situent à 100 000 francs. 25 000 000 francs seront pris en charge par le GIE [Urba-Graco]. » 

         La justice fait ce qu’elle considère être son travail : elle verrouille. Pendant dix mois, le parquet de Marseille conserve les carnets sous le coude, dans les attentes des instructions du garde des Sceaux. Antoine Gaudino, finalement lâché par sa hiérarchie, est révoqué en mars 1991, après avoir raconté dans un livre son Enquête impossible. Il faudra la plainte d’un élu écologiste marseillais, après avoir obtenu du tribunal administratif le droit de se substituer à la mairie de Marseille défaillante, pour remette la justice sur les rails. 

         Pendant ce temps, dans la Sarthe, le juge Thierry Jean-Pierre enquête sur un banal accident de travail sur un chantier de la communauté urbaine du Mans. Un coup de fil anonyme lui suggère d’entendre un médecin du travail, Pierre Coicadan, qui se trouve être également premier secrétaire de la Fédération PS de la Sarthe... Le juge Jean-Pierre peut remonter la piste, jusqu’à perquisitionner, le 7 avril 1991, au siège national d’Urba. Le jour même, le tribunal de grande instance du Mans prend la curieuse initiative de le dessaisir de l’enquête. Le juge Jean-Pierre en est réduit à s’enfermer dans les locaux parisiens d’Urba, le temps de mettre la main sur la documentation utile à l’enquête. Son dessaisissement ne lui sera notifié qu’à la sortie, sur le trottoir. La justice française n’est pas sortie grandie de cet épisode rocambolesque. 

         La mécanique Urba s’est trouvée fort bien décortiquée par les enquêteurs, mais pas forcément bien jugée au fil de différentes procédures. Le dossier a en effet été saucissonné en une dizaine d’affaires locales. Dans deux d’entre elles, celles initiées par l’inspecteur Gaudino et le juge Jean-Pierre, les responsabilités à Henri Emmanuelli, trésorier du PS entre 1988 et 1992 – son prédécesseur à ce poste exposé, André Laignel, a, lui, bénéficié de la loi d’amnistie. Lors des deux procès tenus en 1995, Henri Emmanuelli affirme que les versements d’Urba relevaient simplement du « sponsoring » ou du « mécénat » politique. Bien sûr, « comme tous les responsables du PS », il « connaissait son existence, son activité nullement occulte ni clandestine, et son utilité ». Mais jamais, à l’en croire, il ne se serait mêlé de près ou de loin à la petite cuisine d’Urba. Henri Emmanuelli se pose en bouc émissaire de la contestation judiciaire d’un « mode de financement parmi les plus adéquats, notamment pour éviter d’autres circuits beaucoup plus aventureux ». 

         Condamné à dix-huit mois de prison avec sursis, Henri Emmanuelli fait appel. La cour lui inflige deux années d’inéligibilité en plus, le 16 décembre 1997. Le Premier ministre Lionel Jospin lui témoigne sa solidarité en proclamant une « responsabilité collective visant l’ensemble du PS ». Les deux moines-soldats, Gérard Monate et Michel Reyt, entament pour leur part un pénible tour de France des tribunaux et cumulent les condamnations sans jamais vraiment se défausser sur le PS. Reyt est ruiné : le fisc lui inflige un redressement fiscal sur les sommes versées par la Sages aux élus. Il dénonce un acharnement sur sa personne – on ne peut lui donner complètement tort. 

    Renaud Lecadre, Histoire secrète de la 5ème République

    http://www.oragesdacier.info/2014/08/urba-la-pompe-fric-du-parti-socialiste.html

  • La guerre des graines

    Les graines sont-elles une marchandise ou un bien commun de l’humanité au même titre que l’eau ou l’air ? Dans un avenir très proche, les agriculteurs n’auront peut être plus le droit de replanter leurs propres graines.

    En Europe, une loi émerge pour contrôler l’utilisation des semences agricoles… Derrière cette confiscation, 5 grands semenciers qui possèdent déjà la moitié du marché des graines et cherchent à étendre leur privatisation.

    De l’Inde à Bruxelles, en passant par les campagnes françaises et l’Ile du Spitzberg à 1000 kms du Pôle Nord, Stenka Quillet et Clément Montfort enquêtent sur cette Guerre des Graines qui menace plus d’un milliard d’agriculteurs sur la planète.

    Les réalisateurs rencontrent des paysans qui doutent, des militants qui tentent d’alerter les opinions publiques et des politiques qui discutent les futures lois. Monsanto, leader sur le marché des semences leur ouvre exceptionnellement la porte de la plus grande usine en Europe.

    http://fortune.fdesouche.com/350275-la-guerre-des-graines

  • Métier: Assisté!

    Les peu nombreuses mairies FN/RBM font beaucoup parler d’elles vu qu’elles sont les seules à annoncer des mesures qui divergent un tant soit peu de tout ce que nous sommes habitués à entendre. Récemment, c’est Joris Hébrard, maire du Pontet, qui a déclaré vouloir supprimer la gratuité totale de la cantine scolaire pour les familles « aux revenus les plus modestes » afin de «responsabiliser les parents d'élèves et leur montrer que tout n'est pas gratuit». Horreur ! Robert Ménard, à Béziers, ne veut plus quant à lui, que les élèves dont les deux parents sont au chômage puissent être accueillis avant le début des cours. C’en est trop !

    Levée de boucliers ! C’est horrible ! Stigmatisant ! Scandaleux ! On ose s’attaquer aux « pauvres » du pays ! Certes… mais de quels pauvres parle-t-on ? De ceux qui triment pour un smic ? De ceux qui sont au chômage et qui peinent à retrouver un emploi décent ? Evidemment non, nous parlons ici ceux qui ont été créés par le système ! En majorité, il s’agit de gens qui accèdent à des tonnes d’aides diverses et variées car simplement ils ne travaillent pas. Et qui considèrent la plupart du temps que tout leur est dû et que tout doit être gratuit. Eux n’ont aucune contrepartie à donner, ils veulent, ils exigent, on doit les servir, c’est normal : on les a habitués comme ça depuis bien longtemps. Alors que beaucoup d’entre eux vivent finalement mieux que des familles modestes où les deux parents bossent et ont largement moins d’aides, on arrive encore à les plaindre. Car oui, la France est devenu un pays d’assistés revendicatifs. 

    Cela a été encouragé par un Etat incapable qui n’a ni su ni voulu protéger l’emploi en France pour des raisons qui résident tant dans la forme (son incompétence, sa nullité) que dans le fond (soumission aux dogmes capitalisto-mondialistes). Résultat : des millions de chômeurs et d’oisifs qui ne peuvent compter que sur l’Etat pour subsister ! Comme sous l’empire romain où l’on tenait une bonne partie de la plèbe par du pain et des jeux ! Même chose aujourd’hui : l’Etat, complètement dépassé par ce qu’il a créé, est obligé de tout faire pour ses propres rejetons, ingrats et capricieux  avec ça ! Et comment ? En fournissant lui aussi du pain et des jeux !

    Au lieu de se révolter pour travailler et recouvrer un certain honneur et une certaine dignité (si tant est que ces mots veuillent encore dire quelque chose dans leur esprit…) chaque nouvelle fournée de chômeurs se voit mettre systématiquement des bâtons dans les roues quant à sa recherche d’emploi. Finalement, ceux-ci seront consolés par le miroitement des aides à outrance qui les feront entrer dans la spirale de l’assistanat facile et les rendront encore plus dépendants de l’Etat… Mission accomplie ! L’Etat corrompu que l’on connaît possède une « clientèle » immense qui lui doit désormais tout et ne voudra jamais, sauf cas exceptionnels, le voir tomber… vu qu’il les nourrit, les entretient… et leur lave le cerveau ! Chômage signifie temps libre. Et comment occupe-t-on le temps libre aujourd’hui ? Par la télévision, le shopping (des merdes produites par des esclaves chinois qui sont vendues à des chômeurs français), l’abrutissement constant et massif de la part des médias et des loisirs phares de notre époque. Tout cela est destiné à promouvoir chez ces individus toutes les tares en vogue dans notre belle société libérale (multiculturalisme, pornographie, tolérance maladive, hédonisme incapacitant…)… C’est l’apologie du QI bas, la Ribéry attitude, l’involution totale et assumée !

    L’assistanat, soit vivre « aux crochets de l’Etat », est devenu un mode de vie, away of life, qui, en ces temps de nihilisme et de renversement des valeurs, n’est plus honteux mais même revendiqué haut et fort par de plus en plus de personnes (et pas seulement chez les immigrés, loin de là)… Qui pensent niquer le système alors qu’elles n’en sont qu’un des rouages! Les cassos le revendiquent avec fierté, les « chances pour la France » également ! Quelle allégresse de pouvoir compter sur l’Etat pour pouvoir consommer tranquille chez Lidl et Apple ! Et être oisifs à n’en plus finir ! Ne considérant que leur intérêt immédiat (vivre sans travailler) et se moquant de ceux qui, pauvres fous, continuent à trimer pour un SMIC qui ne leur ouvre aucun droit aux chères aides ni aucune perspective de construction d’avenir (devenir propriétaire de son logement, se racheter une voiture correcte…). Pour notre part, le travail n’est certainement pas une valeur absolue mais nous trouverions logique que celui qui travaille mène une vie plus digne et plus gratifiante que celui qui ne fait rien…

    Nous en avions déjà parlé ici. Il est évident que les salaires de misère accordés par le capital à la majorité des travailleurs aujourd’hui sont quasiment équivalents aux aides accordées par l’Etat et ce pour un temps de travail nul. Et encore ! Sachant qu’un individu percevant le RSA bénéficie d’aides en chaînes car il ouvre des droits à l’APL, puis à la CMU qui débouche directement à une réduction des factures EDF et GDF, sans compter les aides aux vacances, au transport, à la rentrée scolaire, la prime de Noël et une fois par an, le secours exceptionnel renouvelable, les crédits à 0%, les tickets repas et on en passe ! En bref, les allocations perçues sont de l’argent de poche qui permet de consommer largement plus qu’un travailleur. Voyez le nombre de ces familles qui roulent en 7 places flambant neuf, qui vivent dans des logements sociaux spécialement réservés pour eux (bien meilleurs parfois que ceux que peuvent se payer des salariés modestes), qui changent d’Iphone tous les 6 mois et qui passent leur temps (et Dieu sait qu’ils en ont) à claquer leur argent dans les futilités merdiques que le système propose pour la distraction... Et tout cela, sans travailler ! D’autant que lorsque l’on parle d’assistanat, il s’applique à tout. Le référent qui fait tout, qui remplit tous les papiers, tire les ficelles insoupçonnées des aides, qui se fait le « tuteur » au nom de l’Etat bienfaiteur de familles entières qui sont loin d’être véritablement aidées puisqu’elles sont annihilées intellectuellement. Mais contentes avec ça ! Le sentiment de honte ou de gêne, on connaît pas, c’est tellement simple de glisser vers le bas aujourd’hui…

    Quand a-t-on vu une société qui place les fainéants au dessus des gens qui triment durement ? Non contents d’être considérés comme des esclaves par les gros profiteurs que sont les capitalistes, les honnêtes travailleurs sont également discrédités et dépréciés par des millions de petits profiteurs !

    Cette « générosité » maladive et compulsive de l’Etat providence amène depuis longtemps en France une immigration massive et avide venant simplement « prendre le pognon ». Normal après tout, le système le leur offre sur un plateau ! Car on a besoin soi-disant de davantage d’immigrés chez nous… pour l’économie, les retraites et tout ça… C’est bien mal barré vu que 95% d’entre eux vivent aux crochets de l’Etat et que ceux qui les font venir le savent très bien… Mais attention ! Les immigrés ne sont pas les seuls à se servir ! Une multitude de Français « de souche » font de même et leur nombre est croissant, exponentiel, infini ! La démographie des assistés explose suite à une reproduction intensive (pour les allocs et/ou par culture) et le pire dans tout ça, c’est que les générations se succèdent très rapidement, sans transmission de valeurs saines. Tout ce qui compte, c’est procréer quitte à ce qu’on leur retire les gosses, pas grave, les allocs tombent toujours… et le nombre des futurs assistés ne fait que croître… Le futur de la France: immigrés et assistés!

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    Dans l’idéal, le fait d’aider une personne dans le besoin, financièrement parlant, est tout à fait louable mais devrait rester un acte limité dans le temps jusqu’à ce que celle-ci puisse sortir de ses moments difficiles ou ait, au moins, l’intention de le faire ! Aider ad vitam eternam des gens qui ne veulent rien faire est stupide et montre bien qu’aujourd’hui, la société où nous vivons est mortifère.

    On entend déjà les hurlements de prétendus socialistes défendant corps et âme l’assistanat proposé par un système que souvent, ils prétendent dénoncer et combattre. Non, le socialisme ne signifie pas entretenir des cohortes de personnes ne voulant rien faire et vivre dans l’oisiveté. Quelle vision de la société ! Car le problème est là : la volonté. Et elle sépare deux types d’individus : ceux qui veulent réellement s’en sortir et souffrent du chômage, de la précarité et de la pauvreté et ceux qui se complaisent à ne rien faire, à attendre les aides de l’Etat et, le plus souvent, à railler ceux qui travaillent. Cette seconde catégorie pompe un fric et une attention maximums de la part des pouvoirs publics alors que la première comprend une bonne partie des « oubliés » de notre époque… dont l’Etat n’a rien à foutre vu qu’il a tout fait pour que l’on en arrive là, soumis au mondialisme destructeur et désireux de tout sauf du bien-être commun. Le peuple n’est plus considéré que comme un amas d’esclaves potentiels du capital, de consommateurs débiles ou comme une clientèle politique visant à assurer la perpétuation du Système.

    Pour nous, le socialisme, c’est la mise en place de la justice sociale pour les nôtres, pas la subvention à vie de tous les fainéants !

    Rüdiger et Ann / C.N.C.

  • L'euthanasie rapporte

    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    "La Clinique de fin de vie qui fonctionne depuis 2012 aux Pays-Bas se porte bien : après des débuts difficiles, elle annonce pour 2013un résultat positif voisin de 300.000 euros, alors qu’avant l’ouverture de l’exercice elle tablait encore sur une perte de près de 125.000 euros.

    La Levenseindekliniek à La Haye a su tirer profit de ses négociations avec les compagnies d’assurance-maladie qui se partagent le marché néerlandais au sein d’un système en grande partie socialisé. Après une intense campagne de publicité, le fournisseur d’euthanasie a réussi à convaincre l’ensemble des gros assureurs. Cela n’allait pas de soi puisque l’euthanasie est une mort organisée et qu’elle aurait pu, au même titre que le suicide, empêcher le versement de primes. [...]

    Michel Janva

  • Emprunts toxiques : Un sale été pour les communes touchées

    Les banques peuvent souffler : le Conseil constitutionnel, qui avait été saisi par le groupe UMP de l’Assemblée nationale, a, la semaine dernière, jugé conforme la loi sur les emprunts dits « toxiques » contractés par des collectivités locales. La validation rétroactive de ces emprunts à risque est définitivement actée, et les intérêts de l’État sont donc saufs.

    En résumé, le gouvernement a préservé ses intérêts, en refusant aux communes la possibilité de se retourner contre les banques qui leur avaient conseillé de souscrire ces prêts à risque. Et les communes, telles des spéculateurs piégés par des produits financiers indomptables, restent de ce fait très endettées. 

    Cette confirmation de la sécurisation des emprunts atterre les collectivités « victimes » : le texte validé par les « sages » vise à mettre ces emprunts pourris à l’abri d’une annulation par le juge civil qui pourrait, comme cela a déjà été le cas à Nanterre et Paris, les remplacer par des emprunts au taux d’intérêt légal, quasi nul. 

    Ce qui n’arrangerait ni les banques, ni Bercy, qui a assumé avec la Belgique le sauvetage de Dexia et transféré dans la SFIL (société de financement local) le stock de prêts sensibles.

    Des taux à 15 %

    Cette décision douche d’autant plus les espoirs des collectivités que leurs finances sont inexorablement gangrenées par les emprunts toxiques. Les emprunts structurés à risque correspondent à des produits financiers très attractifs parce qu’ils proposent, dans un premier temps, des taux d’intérêt bien plus intéressants que le marché, mais ils comportent une « deuxième phase » qui se déclenche au bout de quelques années et comprend une part de risque importante, liée à l’évolution d’indices, de monnaies…

    Pour certaines collectivités, l’heure de la fixation du nouveau taux d’intérêt a sonné ce mois-ci : le site d’information emprunttoxique.info, animé par l’ancien cadre de banque Emmanuel Fruchard, montre que la revalorisation du montant des intérêts à régler par les communes a atteint jusqu’à 15 %.

    15,48 %

    C’est le taux de l’emprunt que doit rembourser Deuil-la-Barre (Val-d’Oise), en région parisienne, à Dexia. Nice (Alpes-Maritimes) emprunte à la même banque à 14,89 % tandis qu’à Grasse (Alpes-Maritimes), on paie 11,61 % d’intérêt. A Seynod (Haute-Savoie), un emprunt SFIL voit son taux fixé à 13,75 %.

    « Désastreux » pour les finances locales

    L’association Acteurs publics contre les emprunts toxiques (APCET) juge la décision du Conseil constitutionnel « désastreuse pour les finances locales (…) au moment même où plusieurs décisions de justice donnaient raison aux collectivités, en ramenant le taux d’intérêt de leurs prêts (…) au taux d’intérêt légal proche de 0 % ».

    L’institution présidée par Jean-Louis Debré avance, pour sa défense, un motif d’intérêt général « eu égard à l’ampleur des conséquences financières ».

    Le risque de recours des collectivités contre des banques alimentées en partie, ou en totalité dans le cas de la SFIL, par l’État, aurait pu représenter un risque financier pour ce dernier de 17 milliards d’euros, selon les calculs de Bercy.

    Trois cents contentieux environ ont été générés par l’affaire des emprunts toxiques, qui concerne quelque 1 500 collectivités ou organismes publics ayant souscrit, dans les années 1990 et 2000, des contrats de prêts structurés à taux qui peuvent connaître de très fortes variations etamener les communes proches d’une situation de surendettement.

    Après Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) et le conseil général de la Seine-Saint-Denis, c’est Angoulême (Charente) qui avait obtenu, début juillet, le remboursement par Dexia de 3,4 millions d’euros pour une erreur de calcul des taux d’intérêt (sur un emprunt de 16 millions d’euros).

    La ville, qui voit la somme s’éloigner avec la confirmation de la loi de validation rétroactive, pourrait à nouveau saisir le tribunal administratif et attaquer la banque pour défaut de conseil, voire même contester la validation du Conseil constitutionnel devant la Cour européenne des droits de l’homme, selon le quotidien régional Sud Ouest.

    Le combat de l’État et des collectivités en 5 dates

    8 février 2013 : le tribunal de grande instance de Nanterre donne raison au département de la Seine-Saint-Denis, qui attaque Dexia Crédit local – la banque franco-belge auprès de laquelle il a souscrit en 2007 un emprunt toxique – au motif que le contrat de prêt a été conclu sur la base de documents ne mentionnant pas le taux effectif global (TEG).

    25 septembre 2013 : le projet de loi de finances intègre un dispositif destiné à « apporter une solution pérenne et globale au problème des emprunts structurés les plus risqués » ; un dispositif qui protège les établissements de crédit contre des recours éventuels en justice.

    29 décembre 2013 : le Conseil constitutionnel censure ce dispositif car la validation, telle qu’elle est formulée, recouvre « un champ d’application extrêmement large », ce dont se félicitent les collectivités qui critiquaient une « amnistie bancaire ».

    17 juillet 2014 : le Parlement adopte un nouveau projet de loi de protection des intérêts de l’État ; le nouveau texte est limité aux seuls prêts structurés souscrits par des personnes morales de droit public.

    24 juillet 2014 : le Conseil constitutionnel, saisi par le groupe UMP de l’Assemblée nationale qui continuent de contester la portée du texte, valide la loi.

    Le Monde

    http://fortune.fdesouche.com/350233-emprunts-toxiques-un-sale-ete-pour-les-communes-touchees

  • La tentation du schiste (Vidéo)

    Évaluation de l’alternative énergétique que présentent les hydrocarbures de roche-mère des points de vue écologique, climatique, énergétique et financier.

    Réalisé par Hervé Nisic et Pierre Stoeber (2014)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Les élites de Detroit déclarent que « l’eau n’est pas un droit social »

    Les coupures d’eau à des dizaines de milliers d’habitants de Detroit ont attiré l’attention nationale et internationale. Les scènes de jeunes mères, d’enfants, de personnes âgées, de travailleurs malades et à faible revenu privés d’eau potable, pour se laver et cuisiner – dans ce qui est censé être le pays le plus riche au monde – ont provoqué étonnement et répulsion.
    Cette politique barbare est devenue une question politique majeure à Detroit. La semaine dernière, un juge fédéral supervisant la procédure de faillite de la ville s’est plaint que les coupures d’eau produisaient « beaucoup de colère » et donnaient à Detroit « toute une réputation, non seulement dans le pays, mais dans le monde entier ».
    L’opposition produite par les coupures d’eau, a-t-il prévenu, pourrait menacer le plan de la ville d’imposer des réductions profondément impopulaires sur les pensions des employés municipaux et dans les prestations de soins de santé.
    La condamnation quasi universelle, accompagnée d’accusations de l’ONU selon lesquelles les coupures d’eau sont une violation des droits de l’homme internationaux, n’a pas entraîné de changement dans la politique. Dans une interview publiée jeudi dernier dans le Detroit News, le gestionnaire non élu de la ville, Kevyn Orr, a défendu les coupures d’eau.
    « J’appuie tout à fait la décision des commissaires du Conseil du service d’aqueduc municipal de faire comme tous les autres services publics réglementés font aux États-Unis. Si vous consommez de l’eau, vous devez la payer », a déclaré Orr au Detroit News.
    Orr se moque de l’« hystérie selon laquelle nous coupons l’eau à des dizaines de milliers de personnes », soutenant que « moins de cinq pour cent » de ceux qui voient leur eau coupée « avaient des besoins légitimes ». Il calomnie les victimes de cette politique inhumaine en les qualifiant de « toxicomanes, de squatters, de fraudeurs et de profiteurs du système ». Ces personnes, insiste-t-il, n’ont pas droit à « des services gratuits ».
    Orr répète le mensonge que les « fraudeurs » sont à l’origine de la hausse des taux des clients payants. En fait, le service d’aqueduc municipal a admis que la hausse des taux – qui ont bondi de 120 pour cent au cours de la dernière décennie – est principalement due à la disparition du financement fédéral pour réparer le réseau d’aqueduc vétuste et au coût élevé du service de la dette. Cinquante cents sur chaque dollar de revenus vont en effet directement aux banques de Wall Street et aux riches obligataires qui utilisent le système d’aqueduc de la municipalité comme une vache à lait.
    Derrière tous ces mensonges et ce cynisme, le message est clair : les gens n’ont pas le droit à l’eau, pas plus qu’ils ne l’ont pour la nourriture, le logement, les soins de santé ou tout autre besoin vital. Aux États-Unis capitalistes, si vous ne payez pas pour quelque chose, même quelque chose d’aussi essentiel que l’eau, vous devez vous en passer.
    Cette perspective brutale de la classe dirigeante américaine a été explicitée par Nolan Finley, le chroniqueur de droite du Detroit News, dont la chronique jeudi dernier était intitulée : « There is no right to free water » (L’eau gratuite n’est pas un droit).
    Finley est depuis longtemps un porte-parole sans vergogne des intérêts corporatifs et financiers qui dominent Detroit. Il a déjà appelé à la destruction de la « mentalité des ayants droit » dans la ville – c’est-à-dire le point de vue selon lequel les travailleurs ont droit à des salaires, des pensions et des soins de santé décents. Il y a deux ans, il a déclaré que « la démocratie a échoué » à Detroit et a appelé à l’intervention d’un « dictateur à court terme » (incarné plus tard en la personne de Kevyn Orr) pour « créer un modèle d’exploitation durable ».
    Cherchant une autorité supérieure pour justifier la politique inhumaine des coupures d’eau, Finley se tourne vers l’Ancien Testament, écrivant dans sa chronique la plus récente : « Depuis qu’Adam et Ève ont été chassés du paradis, les gens ont consacré l’essentiel de leur énergie et de leur labeur à satisfaire leurs besoins de base en nourriture, en eau, en vêtements et en abri. C’est là l’origine du travail – vous êtes affamé, vous avez soif, vous avez besoin de vêtements décents et d’un toit sur votre tête ? Vous devez donc vous lever le matin et faire quelque chose de constructif. »
    Avec une arrogance et un mépris éhontés pour la population, Finley accuse les résidents de gaspiller leur argent pour des téléphones cellulaires et la télévision par câble. Après que l’eau leur ait été coupée, affirme-t-il, de nombreux ménages ont payé leurs factures », suggérant du coup qu’ils auraient pu les payer s’ils avaient voulu. Ce qui se passe à Detroit, a-t-il déclaré, ce n’est pas une crise humanitaire, mais bien une réorganisation forcée des priorités. »
    Or il ne fait aucun doute que de nombreux résidents ont dû cesser d’acheter de la nourriture, des médicaments et d’autres nécessités quotidiennes pour obtenir le rétablissement de leur eau courante. Des milliers d’autres personnes cependant continuent de vivre sans eau, transportant des seaux depuis les maisons de leurs voisins ou les bouches d’incendie, ou sont dépendantes de bouteilles d’eau distribuées par des bénévoles.
    Selon l’élite patronale et financière et leurs sbires politiques et médiatiques comme Orr et Finley, les travailleurs n’ont pas de droits sociaux. Les pensions, les soins de santé, l’éducation publique, l’accès à la culture ne doivent être disponibles qu’à ceux qui peuvent se le permettre. Si les capitalistes pouvaient privatiser l’air que les gens respirent, l’air ne serait pas un droit selon eux.
    Les coupures d’eau à Detroit font partie d’un processus national et international dans lequel les gains obtenus par plus d’un siècle de lutte par la classe ouvrière sont détruits. Ce processus s’inscrit dans le vaste transfert des richesses entre les mains des super-riches. Que ce soit à Detroit, à Athènes ou à Madrid, des centaines de milliers d’enseignants, de pompiers, de travailleurs des transports en commun et autres du secteur public sont en train de perdre leurs emplois et de se faire voler leurs pensions pour rembourser les banques responsables de la crise financière de 2008.
    La faillite de Detroit est utilisée pour mener cette attaque aux États-Unis. Le dictateur financier Orr et le tribunal fédéral des faillites ont créé un précédent pour l’éviscération des prestations de retraite garanties par la Constitution, tout en vendant et en privatisant l’eau, l’éclairage des rues, les musées d’art, les parcs et autres biens appartenant à l’État.
    Les résidents à faible revenu sont chassés de la ville, alors que Orr met en œuvre un plan pour essentiellement fermer des pans entiers de Detroit qui sont considérés comme trop pauvres pour être attrayants pour les investissements. Pendant ce temps, des centaines de millions de dollars sont remis en subventions à des promoteurs immobiliers qui accaparent les terrains et les immeubles pour quelques cents. C’est çà la « réorganisation des priorités » que préconise Finley.
    Finley dirigeait ses plaintes contre une manifestation prévue par Netroots vendredi. La manifestation coïncidait avec une conférence organisée en fin de semaine dernière à Detroit par une coalition de membres du Parti démocrate, de permanents syndicaux, de publications comme le magazine The Nation et d’autres organisations orientées vers les démocrates. Netroots cherche à détourner l’attention de la responsabilité des démocrates qui dirigent Detroit, dont Orr même qui est démocrate. Les coupures d’eau sont en fait une politique bipartite, et la restructuration de Detroit bénéficie du plein soutien tant d’Obama que des deux partis bourgeois.
    De façon significative cependant, la cible réelle de la chronique de Finley est une position qu’aucune section de l’establishment politique, y compris les groupes organisateurs du rassemblement de vendredi, ne soulève, à savoir que l’eau est un droit social, librement accessible à tous. Ce que Finley et la classe dirigeante dans son ensemble craignent, c’est que la réclamation de ces droits devienne un cri de ralliement d’un mouvement de masse, et que les travailleurs en viennent à comprendre que ces droits sont incompatibles avec le système capitaliste.
    En conclusion de son éditorial, le chroniqueur écrit : « Les bons citoyens charitables ne se sont jamais opposés à ce que l’on aide leur prochain incapable de prendre soin de lui même. Mais ils n’ont naturellement pas vraiment envie de porter sur leur dos ceux qui choisissent de céder à leurs désirs avant de pourvoir à leurs besoins. »
    Ici Finley en dit peut-être plus qu’il ne le veut, car les vrais « fraudeurs », ce ne sont pas les travailleurs de Detroit, mais bien les parasites financiers pour qui il parle. C’est cette couche sociale que les travailleurs ne peuvent plus se permettre de « porter sur leur dos ». Cette politique scandaleuse, inhumaine et barbare dictée par Orr, Finley et leurs co-conspirateurs politiques, ne fait que rendre ce fait encore plus clair.

    http://www.wsws.org/fr/articles/2014/jul2014/coup-j24.shtml

    http://www.legrandsoir.info/les-elites-de-detroit-declarent-que-l-eau-n-est-pas-un-droit-social.html

  • Paul Singer : une ordure capitaliste et homosexualiste

    Qui est Paul Singer ? C’est le patron de NML Capital qui est une filiale du fonds d’investissement Elliott Management Corporation enregistré dans les îles Caïman. Ce sont les fameux « fonds vautours » qui ont mis l’Argentine en défaut de paiement partiel et qui s’attaque à l’Espagne.

    Qu’est ce qu’un fond vautour ?

    « Les fonds vautours se font de l’argent en spéculant sur les pays en difficultés, comme en Argentine durant la crise de 2001. Ils achètent alors des bons de la dette à bon prix avant d’en exiger, le moment opportun, le remboursement à un prix élevé par voie judiciaire, en y incluant des intérêts de retard et des frais de justice. Ils spéculent ainsi sur la dette publique, en compromettant les dépenses sociales pour la grande majorité de la population. Ces fonds vautours ont choisi le litige après avoir refusé de faire partie des 93% des créanciers qui avaient négocié avec le gouvernement argentin. Et maintenant le juge du district de New-York Thomas Griesa, donne la priorité au paiement aux fonds vautours. Ce qui ouvre la porte à une avalanche de demandes en justice qui pourrait déboucher sur le défaut de paiement de l’Argentine le 30 juillet. (Note de CI : L’Argentine est bien en défaut de paiement partiel aujourd’hui)
    Comme le dit bien Julio C. Gambina, « Personne ne sait avec exactitude à combien peut s’élever la demande des créanciers de la dette impayable », mais nous savons que le prix pour le peuple argentin peut être catastrophique. » Source tlaxcala-int.org via LME

     

    Paul Singer militant acharné

    En plus d’être l’artisan de ce pillage des nations, Paul Singer est un militant inverti fanatique. Il plume les peuples mais il donne des fortunes aux associations homosexualistes.

    Merci à Walfroy d’avoir trouvé et traduit ce passage du Wikipédia anglais pour Contre-Info :

     

     

    Singer a contribué à la cause des droits des homosexuels et aux campagnes en faveur du mariage homosexuel et a aussi activement cherché à persuader d’autres conservateurs de soutenir le mariage homosexuel. Il s’est joint à d’autres cadres de Wall Street pour appuyer l’égalité LGBT dans le lieu de travail comme un moyen de conserver des salariés et améliorer des résultats globaux d’affaires.
    Il a dit que le mariage homosexuel promeut « la stabilité familiale » et a dit que dans un temps où « l’institution de mariage en Amérique s’est tout à fait effondré, le fait que les couples homosexuels veulent se marier « est une sorte de charmante chose et une chose cool et une merveilleuse chose. »

    Singer, dont le fils a épousé son partenaire dans le Massachusetts, a aussi fait don 425,000 $ de son propre argent, augmenté de 500,000 $ pour supporter la légalisation de mariage homosexuel à New York et en octobre 2012, Singer a fait don de 250,000 $ à la campagne du Mariage [inverti] en Maryland.

    En 2012,Singer a fourni 1 million de $ pour commencer un PAC (Political action commitee) nommé l’Américan Unity PAC. Selon le New York Times, sa mission sera d’encourager des candidats Républicains à soutenir le mariage homosexuel, en parti en les aidant pour se sentir financièrement protégé de n’importe quel « retour de flamme » (en anglais : blowback) des groupes bien financés qui s’y opposent. »

    En 2014, Singer a contribué à hauteur de 375,000 $ pour soutenir le groupe d’activistes gays  » Americans for Workplace Opportunity » pour faire passer la loi de de Non-discrimination en matière d’emploi. ce projet de loi exige que des protections de lieu de travail s’étendent à la communauté LGBT.
    Singer a dépensé plus de 10 millions de $, depuis 2010, afin d’inciter des Républicains et des Etats à soutenir la légalisation du mariage homosexuel.

     

    Cerise sur le gâteau

    Le Président George W. Bush a nommé Singer au sein de la Délégation Honoraire pour l’accompagner à Jérusalem pour la célébration du 60ème anniversaire de l’État Israël en mai 2008.

    http://www.contre-info.com/paul-singer-ruine-des-peuples-et-militant-sodomite#more-34025

  • La ville de Nancy ne sait pas comment dépenser son argent

    La ville de Nancy va prochainement s’équiper d’une maison LGBT. André Rossinot, ancien maire (UDI) de Nancy a initié le projet.

    Addendum 

    Pourtant la ville de Nancy avait une dette de 109 millions au 31 décembre 2013, et la communauté urbaine du grand Nancy de 667 millions, soit une dette supérieure à 3 500 € par habitant...ce qui doit placer Nancy dans le peloton des villes les plus endettées.

    Michel Janva

  • La ville de Nancy ne sait pas comment dépenser son argent

    La ville de Nancy va prochainement s’équiper d’une maison LGBT. André Rossinot, ancien maire (UDI) de Nancy a initié le projet.

    Addendum 

    Pourtant la ville de Nancy avait une dette de 109 millions au 31 décembre 2013, et la communauté urbaine du grand Nancy de 667 millions, soit une dette supérieure à 3 500 € par habitant...ce qui doit placer Nancy dans le peloton des villes les plus endettées.

    Michel Janva