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élections - Page 249

  • Vers un probable gouvernement identitaire italien: Le retrait de Berlusconi lève l’obstacle à une alliance de principe

    Désormais la Ligue et le Mouvement 5 Etoiles semblent en mesure de former un gouvernement en Italie. La grande question semble être le choix du chef de cette probable alliance, sachant que Luigi di Maio est à la tête du mouvement qui a obtenu le plus de voix. En effet Silvio Berlusconi qui était allié de la Ligue accepte désormais de rendre sa liberté de gouverner sans Forza Italia à l’ex-Ligue du Nord dont le leader est le très identitaire et eurosceptique Matteo Salvini. Le Mouvement 5 Etoiles, anti-parti, se disant ni de gauche ni de droite est dirigé quant à lui par Luigi di Maio. Le M5S qui est très écologiste est cependant anti-migrants et eurosceptique,  ce qui explique cette probable alliance de gouvernement avec La Ligue.

    Silvio Berlusconi vient de lever l’obstacle qui empêchait une alliance de gouvernement entre le M5S et la Ligue qui sont actuellement en tractation pour s’entendre sur un chef de gouvernement et un programme commun:

    «Si une autre force politique de la coalition de droite veut assumer la responsabilité de former un gouvernement avec les 5 étoiles, nous prendrons acte de ce choix avec respect», a annoncé le Cavaliere.

    Cependant les élus de son parti Forza Italia, déçu de leurs maigres résultats aux élections générales préviennent qu’ils ne sont pas disposer à voter la confiance au M5S, qui «n’a pas la maturité politique pour assumer cette responsabilité», sans toutefois vouloir rompre l’alliance avec la Ligue, notamment au niveau régional.

    Cela fait deux mois que les discussions vont bon train pour tenter de trouver une alliance de gouvernement entre les diverses forces politiques, dont aucune n’a obtenu suffisamment de voix pour gouverner seule. La coalition de droite, menée par La Ligue a obtenu 37% des voix, le M5S, seul a obtenu 32%, tandis que le Parti démocrate de centre gauche n’a obtenu que 19% des voix.

    http://www.medias-presse.info/vers-un-probable-gouvernement-identitaire-italien-le-retrait-de-berlusconi-leve-lobstacle-a-une-alliance-de-principe/91558/

  • EMMANUEL MACRON : FIN DE L’INNOCENCE OU DÉBUT DE LA ROUERIE ?

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    « Macron président, la fin de l’innocence », le documentaire diffusé ce lundi dernier sur France 3, n’a rien à voir avec de la « communication », assure le principal intéressé : « C’est de la politique ! »

    De la « politique », les commentateurs des principaux médias en ont assez peu fait le lendemain, se contentant de se focaliser sur cette seule phrase opposant l’attitude du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame à celle « des gens qui pensent que, en quelque sorte, le summum de la lutte, c’est les cinquante euros d’APL ».

    Pour éventuellement maladroite qu’elle soit, cette sortie méritait-elle de monopoliser le débat ? À croire que la commission qui délivre les cartes de presse est présidée par Raquel Garrido et que les journalistes en question étaient pressés de profiter des ponts du mois de mai.

    Car, lors de cette émission, même à forte tonalité hagiographique, Emmanuel Macron a bel et bien fait de la « politique », parfois même à haut niveau. Lorsque, par exemple, il évoque le vide de notre société, cause d’impuissance face à de jeunes djihadistes qui, eux, développent un idéal assez fort pour donner à la fois raison de vivre et de mourir – c’est précisément là qu’il évoque la mémoire du gendarme Beltrame –, il touche juste.

    Pareillement, le simple fait d’évoquer « le tressage du temporel et de l’intemporel qui fait partie de notre pays », ce château de Versailles, où il invite Vladimir Poutine, « lieu de toute l’Histoire de France » et symbole d’une « histoire commune qui enracine nos pays dans quelque chose de plus important que les contingences du moment », ne peut qu’agréablement sonner à nombre d’oreilles.

    Seulement voilà, lorsque Emmanuel Macron en appelle à une certaine forme de transcendance, est-il raisonnablement possible de lui faire crédit ? Bref, sa « politique » n’est-elle pas seulement une forme de « communication » plus finaude et plus aboutie ?

    Laquelle permettrait, en même temps, d’en appeler aux mannes du passé pour sacrifier au « bougisme » ambiant, en matières familiale et fiscale, par exemple ? C’est ainsi sous son début de règne que la famille, pourtant fondement et donnée invariable de toute société digne de ce nom, est encore plus attaquée de toutes parts, de PMA en GPA. C’est aussi l’ISF, impôt supprimé pour ceux qui investissent leur argent dans des affaires souvent internationales, mais maintenu pour les biens immobiliers : soit la résidence secondaire, modeste ou non, qui permet à ces mêmes familles de se rassembler toutes générations confondues.

    Ce qui fait dire à Marine Le Pen, non sans raison : « Fiscalement, une ultra-minorité de Français, ceux qui n’avaient pas besoin d’être aidés, ont été très lourdement aidés, tandis que les classes populaires et les classes moyennes se sont retrouvées à nouveau avec un poids fiscal pesant sur eux et qui, pour certains, est insupportable. »

    On peut y voir un choix de société, un choix politique parfaitement logique pour qui considère la France comme une start-up. Et le fait que ce choix favorisant manifestement « ceux qui ont réussi » par rapport à « ceux qui ne sont rien » puisse s’articuler autour d’une rhétorique aux accents « traditionalistes », propres à berner les naïfs, peut légitimement amener à penser qu’Emmanuel Macron, parce qu’intelligent, est autrement plus dangereux que ses prédécesseurs qui, eux, poursuivaient les mêmes objectifs mortifères, mais avec une balourdise des plus confondantes. Comme quoi ces nigauds, même hauts placés, ne présentaient pas que des inconvénients.

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-fin-de-linnocence-debut-de-rouerie/

  • UN AN APRÈS LE DÉBAT AVEC EMMANUEL MACRON : MARINE LE PEN PEUT-ELLE ENCORE REBONDIR ?

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    24ec62c3705f165c45cada17f039cf3b.pngIl y a tout juste un an, entre les deux tours de l’élection présidentielle, le débat qu’on sait opposait Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Depuis, le paysage politique français a connu un bouleversement inédit, avec la quasi-disparition des écologistes, des communistes et des socialistes. L’opposition de gauche est désormais la chasse gardée de Jean-Luc Mélenchon, tandis qu’une grande partie des électeurs et élus de droite ont rejoint La République en marche, les autres tentant vaille que vaille de faire survivre Les Républicains emmenés par Laurent Wauquiez. Et Marine Le Pen ?

    La présidente du Front national, après avoir léché ses plaies, peine manifestement à remettre de l’ordre au sein d’un mouvement qui devrait être prochainement rebaptisé Rassemblement national. Sur sa gauche, elle doit composer avec le départ de Florian Philippot et, sur sa droite, celui de Marion Maréchal-Le Pen. Après le demi-échec des législatives, les élections partielles ont confirmé la tendance à la baisse. Bref, une dynamique s’est objectivement brisée : Marine Le Pen n’incarne plus le même espoir qu’en 2017. Pour autant, elle est toujours là, et bien là ; dans les sondages, tout au moins.

    Certes, celui de l’institut YouGov, commandé par CNews et Le Huffington Post, la place en avant-dernière position, juste devant Manuel Valls, en queue de peloton des personnalités préférées des Français, avec seulement 15 % d’opinions positives, soit trois points de moins que le mois dernier. Pis : seuls 66 % des sympathisants « d’extrême droite » lui maintiendraient leur confiance. Un pourcentage que vient, néanmoins, nuancer un recul de deux points des opinions négatives, qui retombent à 48 %. Et Le Huffington Post de titrer avec gourmandise : « Marine Le Pen au fond du trou après le débat d’entre-deux-tours ».

    Un autre sondage vient pourtant doucher ce bel enthousiasme, celui de l’IFOP, commandé par Paris Match à la mi-avril dernier et déjà commenté en ces colonnes. Là, il n’est plus question de « popularité », notion politiquement très vague, mais d’intentions de vote en cas d’élection présidentielle. Dans toutes les configurations, avec 23 %, Marine Le Pen concourrait de nouveau au second tour, avec même deux points de plus que l’année dernière. Quant à Laurent Wauquiez, il devrait, lui, se contenter de seulement 8 % des suffrages.

    Ce qui signifie que, malgré les turbulences, le Front – ou Rassemblement ? – national demeure incontournable. Ce qui n’a rien d’étonnant, les problèmes ayant contribué à son ascension n’ayant pas disparu par magie. L’autre élément favorable est la stratégie menée par Laurent Wauquiez. D’un côté, il singe le discours lepéniste, ce qui fait fuir les électeurs « modérés » de l’ancienne UMP dans les bras de LREM. De l’autre, il exclut toute velléité d’alliance avec Marine Le Pen, désespérant ainsi sa frange « réactionnaire ». Face, il perd ; pile, elle gagne…

    Dans le même temps, en refusant de condamner en bloc les actuels mouvements sociaux, Marine Le Pen ne perd pas les voix de gauche que Florian Philippot lui avait apportées. En cherchant des alliances à droite, avec Nicolas Dupont-Aignan, mais aussi, désormais, avec Thierry Mariani, elle se taille ce nouvel espace qu’elle n’avait pas pu, ou pas su, trouver durant la campagne présidentielle.

    De son côté, Emmanuel Macron, malgré ses appels du pied aux électorats conservateur, rural et catholique, nonobstant quelques réformes de bon sens – retour de la méthode syllabique à l’école – et un style tranchant agréablement avec celui de ses prédécesseurs, n’en demeure pas moins l’homme stigmatisé par Marine Le Pen lors de ce fameux débat : celui d’une France déterritorialisée et considérée comme simple « open space » pour « start-up » nation.

    Alors, si Marine Le Pen a perdu quelques cœurs, elle démontre sa capacité à gagner les cerveaux. Lesquels paraissent être, aujourd’hui, plus nombreux qu’hier, toujours à en croire ces mêmes sondages. Pas mal, pour quelqu’un donné pour être « au fond du trou ».

     Journaliste, écrivain
  • Rejoindre l'appel d'Angers pour l'unité de la droite

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La seule révolution qui vaille

    Horace_Vernet-Barricade_rue_Soufflot-300x234.jpgLa convergence des luttes?  Ce 1er mai s’est signalé par la faiblesse  numérique des différents défilés syndicaux,  démobilisation qui s’accentue chaque année davantage. A Paris même, le chiffre très faiblard de 20 000 manifestants a été avancé, les syndicats s’étant de toute façon fait voler la vedette par les 1200 black blocks et autres antifas qui se sont livrés à des dégradations de magasins et du mobilier urbain d’une ampleur jamais atteinte ces dernières années. C’est heureux,  une toute petite poignée de blessés légers est à déplorer  mais seulement une centaine de casseurs ont été placés en garde à vue. Ce qui ne manque pas  d’interroger sur les consignes qui ont été données aux forces de l’ordre qui ont largement laissé faire selon les témoignages de certains manifestants pacifiques.

    Jean-Marie Le Pen, invité hier soir de cnews, évoquait si ce n’est une connivence – discréditer des revendications en les amalgamant avec des violences insurrectionnelles est une technique utilisée de longue date par tous les pouvoirs- du moins une complaisance. Celle dont bénéficie traditionnellement l’extrême gauche sous nos latitudes. A cette aune il fallait vraiment une mauvaise foi typiquement trotskiste pour affirmer comme l’a fait hier Jean-Luc Mélenchon que les casseurs qui ont sévi hier appartenaient à des bandes d’extrême droite.

    Une extrême droite dont le maire de Nice, Christian Estrosi  voit la réincarnation dans le Front National et ses alliés européens – la Ligue (Italie), le FPÖ (Autriche) , le PVV (Pays-Bas) , le  KNP (Pologne),SPD (République tchèque), Volya (Bulgarie)  Nea Dexia (Grèce)… qui étaient dans sa ville  hier autour de Marine. Occasion de  célébrer non seulement  le 1er mai mais aussi  une Europe des nations et du réveil des peuples libres qui, au vu des dernières élections chez nos voisins, a plus que jamais le vent en poupe.  Faut-il rappeler que M. Estrosi était partisan en 1998  d’une alliance entre la droite et le Front National?  Il verse  aujourd’hui dans l’antifrontisme rabique et atrabilaire que d’autres macrono-compatibles ou constructifs expriment souvent sur un mode moins hystérique et moins con…venu.

    Une Front National dont l’émergence doit aussi beaucoup aux trahisons et aux échecs des partis du Système et qui ont  conduit notamment une très large fraction du monde ouvrier,  celui là même qui votait (assez)  massivement RPR  ou PC dans les années  70-80,  à se tourner vers l’opposition nationale, populaire et sociale. 

    Quelques jours avant le 1er mai,  le site atlantico publiait un extrait du dernier livre de Jérôme FourquetLe nouveau clivage, témoignant du basculement des catégories populaires vers le vote national. Il note ainsi, s’arrêtant sur les  résultats de la présidentielle de 2017, qu’Emmanuel Macron ” est loin de rivaliser avec Marine Le Pen, qui domine  (chez les ouvriers)  avec 4 électeurs sur dix (39 %). Alors que son père obtenait déjà ses meilleurs scores parmi les ouvriers et que cette catégorie lui resta relativement fidèle en 2007, quand Nicolas Sarkozy réalisa une OPA sur l’électorat frontiste, Marine Le Pen a considérablement renforcé et étendu l’assise du frontisme dans le monde ouvrier. Elle avait ainsi obtenu 33 % en 2012 et elle a progressé de 6 points en 2017.”

    M. Fourquet  relève  que ” l’audience électorale et l’influence idéologique frontistes sont du même ordre de grandeur que celles qui firent la puissance du PC des années 1950 à la fin des années 1970 dans les milieux ouvriers. Et à l’instar de ce que l’on observe dans les autres pays industrialisés, une bonne partie des ouvriers rejettent les orientations économiques et idéologiques dominantes, comme le faisaient les ouvriers communistes dans les années 1950 à 1970. La dissidence des ouvriers les porte aujourd’hui à voter pour l’extrême droite populiste et à abandonner l’extrême gauche communiste.”

    Extrême gauche qui s’interroge donc au lendemain de ce 1er mai sur les raisons de ses échecs électoraux, de la déliquescence du nombre de syndiqués dans notre pays – le plus faible taux des pays industrialisés. Toutes choses qui traduisent  son incapacité à fédérer les adversaires de l’Europe libérale, de l‘impérialisme atlantiste, des multinationales apatrides et  des dérives du capitalisme spéculatif.

    Bien sûr, constate Bruno Gollnisch,   les recettes économiques prônées par la gauche de la gauche  sont un repoussoir pour une large fraction du monde ouvrier structurellement de droite. Mais  c’est aussi  la  promotion – portée également par  des  cénacles euromondialistes - des minorités, du transfrontiérisme  et de l’immigration massive  qui est rejetée  par les catégories populaires en prise avec le réel. On l’aura compris ce n’est pas en faisant défiler en  début de cortège le 1er mai  des collectifs de sans-papiers, des migrants clandestins que nos syndicalistes et autres  révolutionnaires transgenres  s’attireront  les faveurs  de la France qui se lève tôt attachée à son identité et à sa souveraineté. Marine en avait fait un mot d’ordre, la seule révolution qui  vaille est la Révolution patriotique. Nationaux de tous les pays unissez-vous! 

    https://gollnisch.com/2018/05/02/la-seule-revolution-qui-vaille/

  • Question : Pourquoi la majorité des Français continuent-ils à voter pour les partis imigrationnistes ? Réponse : Parce qu’ils ont peur…

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°198 – avril 2018)

    Une large majorité des Français de souche européenne sont opposés à la poursuite de l’immigration, les études et sondages le montrent depuis plus de 20 ans (voir notamment pour la seule année 2018 iciici, ici, ici, iciici et encore ici). Ces mêmes Français pourtant votent encore majoritairement pour les partis immigrationnistes. C’est ainsi que M. Macron a obtenu en 2017 un nombre de voix double de celui de Mme Le Pen. Comment expliquer cette situation paradoxale ? Et comment conduire les Français à adopter une attitude plus cohérente et à réagir enfin, par leur vote, à l’invasion qui menace de les faire disparaître ?

    Si les Français votent encore majoritairement pour les partis immigrationnistes c’est avant tout par peur de la violence et de la guerre

    La plupart des Français souhaiteraient que l’immigration s’arrête. Ceux qui, au nom de l’idéologie des citoyens du monde, approuvent l’invasion de l’Europe sont peu nombreux. Si l’on proposait aux Français d’être par un coup de baguette magique débarrassés de l’immigration du jour au lendemain, presque tous applaudiraient avec enthousiasme. Pourquoi dans ces conditions continuent-ils malgré tout à voter en majorité pour les partis immigrationnistes ? La médiocrité de la candidate du FN lors des deux dernières élections explique certes une partie du phénomène. Mais là n’est pas selon nous l’essentiel. Si la majorité des Français continuent à voter pour les partis immigrationnistes c’est avant tout parce qu’ils ont peur de la violence et de la guerre. Ils jugent qu’une politique anti immigration déclencherait nécessairement des violences, des affrontements, le chaos, la guerre même, et ils s’y refusent, préférant à tout prendre subir l’immigration et ses effets.

    Lire la suite sur LES CHRONIQUES DE PAYSAN SAVOYARD

  • La campagne d'Emmanuel Macron a bénéficié de cadeaux

    6a00d83451619c69e20224e035af4b200d-800wi.pngLa Commission nationale des comptes de campagnes et des financements politiques (CNCCFP) a relevé les promotions "d’un pourcentage anormalement élevé" de la part de la société GL Events, à qui Emmanuel Macron a loué plusieurs salles lors de ses meetings de campagne. Son patron, Olivier Ginon, est un proche de Gérard Collomb qu’il a côtoyé à Lyon.

    La note du meeting du 10 décembre 2016 à la porte de Versailles a chuté de 9000 euros : certaines prestations ont été rabotées à -30%, -50%, voire carrément offertes. Ces ristournes aurait déjà démarré lors du meeting de la Mutualité le 12 juillet 2016. La location avait été offerte au candidat qui venait de lancer En Marche !. Le lendemain, la facture est abaissée de 15000 euros. Le patron de l’événementiel Olivier Ginon explique qu’il s’agit d’une "négociation commerciale habituelle". La commission a retenu cette justification. Selon Mediapart, François Fillon, qui travaillait avec la même société, n’aurait pas eu droit à de telles ristournes...

    Gérard Collomb assure de son côté qu’il n’est pas intervenu dans les négociations tarifaires avec l’entreprise. Même discours du côté d’Olivier Ginon. Mediapart soulève que ces relations privilégiées entre Emmanuel Macron et GL Events durent depuis 2015, où, encore ministre de l’Economie, ce dernier avait proposé à Olivier Ginon d’animer un "comité stratégique de filière" censé proposer un contrat stratégique à la veille de l’organisation de l’Euro 2016 et de la candidature de Paris à l’organisation des JO 2024.

    Selon le socialiste Jean-François Debat :

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/04/la-campagne-demmanuel-macron-a-b%C3%A9n%C3%A9fici%C3%A9-de-cadeaux.html

  • Face aux islamo-conservateurs d'Erdogan : va-t-on vers un renouveau nationaliste et kémaliste en Turquie ?

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    À deux mois de l'élection présidentielle turque qui doit se tenir le 27 juin prochain, Méral Aksener, surnommée "la louve" par ses partisans, incarne le renouveau nationaliste et kémaliste dans le pays.

    Lire cet article intéressant sur le sujet cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le projet d’université de Marion Maréchal-Le Pen se précise

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Retirée de la vie politique depuis la fin de son mandat en juin 2017, Marion Maréchal-Le Pen a toutefois le souci de continuer à s’engager au service du bien commun. C’est dans cette optique qu’elle a annoncé vouloir créer une académie de sciences politiques.

    Quelle serait la nature exacte de cette institution ?

    Si l’Institut de formation politique (ou IFP) est parfois cité en exemple, le projet a clairement une ambition universitaire, et pourrait se rapprocher ainsi de l’Institut catholique de Vendée (ICES) créé en 1990. En effet, à la différence de l’IFP, il ne s’agirait pas uniquement d’un lieu de formation ponctuelle non diplômante et de réseau, mais d’un établissement qui serait habilité à délivrer des diplômes. Les candidats seront recrutés sur dossier, et la première promotion constituée à la rentrée 2018. La composition du corps professoral n’a pas encore été dévoilée.

    Faut-il y avoir une école de formation spécifiquement politique ?

    Si Marion Maréchal assume la dimension politique, ancrée à droite, de son futur établissement, elle le souhaite toutefois libre et indépendant. Les matières enseignées concerneraient les sciences sociales, et non les sciences de la nature comme c’est le cas pour l’ICES. Le but de cette école serait ainsi d’assurer une formation solide à une future génération de décideurs et de dirigeants.

    Comment comprendre le choix de la ville de Lyon pour accueillir les locaux ?

    C’est premièrement un moyen de montrer que les forces vives ne sont pas toutes contenues dans la capitale. Deuxièmement, la ville de Lyon offre une dynamique politique et culturelle intéressante. Le siège de l’école serait situé dans le quartier Confluence, tout près de la région Rhône-Alpes Auvergne. Certains y verront un message adressé à son président Laurent Wauquiez, mais aucun retour sur la scène politique ne semble prévu à court terme.

  • Campagne électorale en belgique : le candidat musulman refuse de serrer la main aux candidates et de les regarder

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html