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élections - Page 334

  • Aux urnes, au nom du peuple!

    ayxlqlkhjvzwhch-400x400-nopad-300x300.jpgC’est une confirmation des craintes exprimées par le FN, de l’évidence des mesures prônées par Marine Le Pen dont nous nous serions bien passées. La candidate national rappelait hier soir dans l’émission 15 minutes pour convaincre diffusée sur France 2 et France Inter,  la nécessité impérieuse  d’« expulser les imams étrangers qui prêchent la haine », «  tous les étrangers vivant sur notre territoire et qui ont un lien avec le fondamentalisme islamiste » et « l’intégralité des fichés S étrangers. Pourquoi garder sur notre territoire des bombes potentielles ? ». Elle pointait la mollesse de la réponse des partis au gouvernement dans la lutte « contre l’insécurité et le terrorisme », sujets « absents » du débat et pour lesquels « rien n’a été fait». Au même moment vers 21h, sur les  Champs-Élysées à Paris, un policier était abattu  et deux autres grièvement blessés à l’arme lourde par un islamiste qui a été mortellement touché par des tirs de riposte, agissant au nom de l’Etat Islamique (EI) qui a revendiqué cet attentat.  

    La personnalité de l’assaillant, Karim Cheurfi,  un français de papier né en 1977 à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), est emblématique de la dérive islamo-racaille d’une certaine immigration, encouragée de facto par le laxisme criminel d’une justice gauchisante. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion criminelle en 2003 devant une cour d’assises, pour trois tentatives d’homicide volontaire dont deux visant des policiers en 2001, à l’issue d’une course-poursuite et deux jours plus tard contre un policier qui le sortait de sa cellule et dont il avait saisi l’arme. Une peine ramenée à 15 ans en février 2005, ce criminel étant décrit par ses soutiens  comme une pauvre victime de la société, de l’exclusion et du racisme. Cheurfi avait été brièvement interpellé et interrogé il y a quelques semaines suite aux menaces de mort contre des policiers dont il s’était rendu coupable… avant d’être libéré rapidement par le parquet selon  certaines sources proches de l’enquête…

    « Je laisserai à mon successeur un pays en bien meilleur état que celui que j’ai trouvé » déclarait sans rire François Hollande hier ,  se vantant de manière ahurissante d’un bilan en tout point désastreux dont Emmanuel Macron porte toute sa part. Ce dernier  affirmait ce matin  sur RTL que « Marine Le Pen n’est pas celle qui pourra protéger nos concitoyens ». Le programme du gourou d’En marche !, qui a avoué de manière bien  pathétique dans cette même émission qu’il n’avait pas de plan pour lutter contre le terrorisme ( !)  est pourtant  aussi anémique que celui  de M Fillon. Ils partagent ainsi le même refus de retrouver nos frontières, de limiter l’immigration, de restaurer le droit du sol, de doter nos forces de l’ordre et nos armées des moyens et des effectifs nécessaires pour parer aux menaces grandissantes.

    D’autant que M. Macron, dans la logique purement anglo-saxonne et mondialiste qui est la sienne,  défend plus ou moins implicitement le développement d’un communautarisme lourd de conséquence pour notre unité nationale, dans une France en voie de babélisation-tiers-mondisation accélérée.  Une drague communautaire qui explique certainement qu’il est refusé d’exclure d’En marche ! Mohamed Saou, « un type bien » a-t-il dit,  son référent dans le Val d’Oise, un proche de Marwan Muhammad. Ce monsieur rappelons-le,  est  le président du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui prône le communautarisme et pourfend le « racisme » des  Gaulois,  comme Macron insulte la France et les Français en les accusant d’avoir commis un crime contre l’humanité en Algérie.

     Un CCIF qui a toute sa place dans le projet d’un candidat « qui est allé en Allemagne récemment pour dire toute l’admiration qu’il avait pour l’accueil de 1,5 million de migrants Outre-Rhin »,  « pour justifier l’autoroute migratoire qu’il veut instaurer entre Alger et Paris», comme l’a noté Marine. Un CCIF qui a touché des subsides  de l’Open Society Institute de l’idéologue  immigrationniste  et bruxellois  George Soros. Lequel a été mis en accusation par les autorités italiennes, sur la foi d’un rapport de Frontex,  au moment ou l’Italie est confrontée à une invasion migratoire sans précédent. Medias-presse.info  rapportait  ainsi  que «  les bateaux des ONG qui viennent en aide aux migrants devraient les ramener au port d’escale le plus proche, le long de la côte nord-africaine, mais au lieu de cela, ils les emmènent en Italie. » Les bateaux en question sont «  notamment ceux de Migrants offshore aid station (MOAS). Or, l’une des principales sources de financement de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Et Avaaz.org est une émanation de MoveOn.org qui (…) organise des manifestations en faveur de l’accueil des immigrés illégaux. Or MoveOn.org appartient à George Soros. »

    Face à la montée des périls, aux défis migratoires, démographiques, sociaux, économiques  gigantesques auxquels sont confrontés la France , les pays européens affirme Bruno Gollnisch, les Français ont besoin d’une main  ferme à l’Elysée  pour  naviguer dans la tempête, (re)prendre le bon cap,  éviter les écueils.  Nous nous rendrons aux urnes le  23 avril, fête de Saint-Georges. Cet  officier romain mis à mort au IVème siècle pour avoir refusé de rendre un culte aux Dieux de l’Empire, torturé plusieurs fois jusqu’au trépas  mais qui chaque fois  ressuscita et multiplia  les miracles. Saint-Georges, symbole lumineux  du courage du soldat, des vertus martiales, dont la geste puise sa source dans notre plus longue mémoire. Saint-Georges   qui dans « La légende dorée » de Jacques de Voragine,   terrassa le dragon qui exigeait son tribut quotidien de chair fraîche   et empoisonnait de son souffle tous ceux qui se trouvaient à sa portée… Cette élection présidentielle  est en effet « un enjeu de civilisation ». Pas une voix patriote, souverainiste,  national  ne doit manquer à Marine. Tous aux urnes, au nom du peuple !

    https://gollnisch.com/2017/04/21/aux-urnes-nom-peuple/

  • Discours de Marion Maréchal-Le Pen et Stéphane Ravier à Marseille (19/04/2017) | Marine 2017

  • Hier soir, les islamistes se sont invités dans la campagne

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    Un policier (de 26 ans) a été assassiné sur les Champs-Élysées.

    C’était le dernier débat avant les élections et, jusqu’à présent, on avait réussi à laisser peu ou prou les islamistes avec leurs godillots sales derrière la porte de la campagne soigneusement verrouillée. Pont-levis levé, herse abaissée. Soulagé, on ne pensait pour ainsi dire presque plus à ces tristes sires. On avait décidé de parler avec componction entre gens de bonne compagnie de choses plus ou moins insignifiantes comme le travail de Penelope, le prix des costumes, la sortie de l’euro, l’augmentation de la CSG et la cote immobilière au Touquet.

    Et puis, sans crier gare, les terroristes ont débarqué. Un policier (de 26 ans) a été assassiné sur les Champs-Élysées. Au début, on ne voulait pas y croire : sûrement un vol de sac à main qui a mal tourné. À la kalachnikov ?

    Sur les réseaux sociaux, Bruno Masure a recommandé de ne surtout pas s’échauffer, de ne pas tirer de conclusions hâtives, de garder son sang-froid et d’attendre… las, on a attendu, mais le problème n’a pas été résolu.

    Le maire du IVe arrondissement, Christophe Girard, un chouia complotiste, a tweeté quant à lui qu’il devait sûrement s’agir d’un coup de Poutine (vous avez compris, hé hé, pour servir sa blonde copine…). Et pourquoi pas, aussi, de Trump, d’ailleurs ? À cause des 140 caractères auxquels Twitter donne droit, sans doute. Il fallait faire un choix.

    Las, Daech a revendiqué. L’assaillant, qui a été abattu, était fiché S et avait été condamné en 2003 à 20 ans de prison pour tentative d’homicide sur… des policiers. Karim Cheurfi (c’est son nom) a même été arrêté – puis relâché – en février dernier, pour avoir claironné vouloir tuer des gardiens de la paix.

    Sur les réseaux sociaux, on a pleuré, on s’est lamenté. Un peu sur le sort de ce pauvre et vaillant policier (d’autant qu’un autre a été blessé), beaucoup sur celui des présidentielles, risquant d’être « impactées ». Très vite, on a accusé – les salauds ! – Le Pen et Fillon de « récupérer ». Sans tenir le moins du monde grief à la gauche d’avoir laissé l’engeance terroriste proliférer, ni cet islamiste dûment repéré en liberté. Poutou, d’ailleurs, a continué, à la télé, de pérorer : désarmons les policiers ! Tout cela faisait pour le moins… comment dire cela gentiment… décalé. C’est cela. Pas tout à fait ajusté.

    Pour contrer le hashtag #ChampsElysées – par trop déprimant -, voilà que des twittos ont décidé de lancer le mot-dièse #BellesChoses, tellement plus ravissant. Et pourquoi pas #PolitiqueDeLAutruche » et #VoilonsNousLaFace ?

    Jusqu’à quand ? Et si, au contraire, dimanche, dégrisés, les idées remises en place, les Français décidaient de voter en regardant leur destin en face ?

     Ecrivain, journaliste Son blog
  • 48% des Français se déclarant très proches de La Manif pour tous envisagent de voter pour Marine Le Pen et 42% pour François Fillon

    Selon un sondage en ligne.

    Ludovine de La Rochère appelle à voter :

    « Nous appelons nos sympathisants à se mobiliser massivement lors de tous les scrutins et naturellement pour le plus important de tous : la présidentielle ». «Notre mouvement est engagé depuis plus de 4 ans pour défendre la complémentarité des sexes, le droit des orphelins, la filiation et la famille. Nous ne cessons d'encourager les candidats à proposer une vision et une politique ambitieuse pour la famille, premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables, particulièrement en période de crise. Cellule de base de la société, atout pour notre cohésion sociale et garant de la paix civile, la famille échappe aux clivages partisans. A l'issue d'un quinquennat qui aura fait mal, très mal, aux familles, au point de faire chuter la natalité, les sympathisants de La Manif Pour Tous souhaitent une réponse politique à la hauteur des enjeux. La Manif Pour Tous fait campagne pour un seul candidat : la famille ! C'est sans doute ce qui explique ce sentiment partagé qui, à l'image de l'ensemble des Français, est susceptible d'évoluer dans la dernière ligne droite d'une drôle de campagne ».

    Un second tour Le Pen - Fillon, en plus d'être cocasse, marquerait l'entière victoire de LMPT.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ÇA SE PASSE COMME ÇA À SYNTHÈSE NATIONALE : ON SE RETROUVE, ON SE RÉCONCILIE ET ON PART À LA BATAILLE...

    Quand Street press.com (cliquez ici) souligne le rôle central de Synthèse nationale, ça donne :

    LES BANNIS DU FN FONT LISTES COMMUNES POUR LES LÉGISLATIVES

    Le gratin de l’extrême droite radicale fait front commun pour les législatives de juin. Les Comités Jeanne de Jean-Marie Le Pen, les cathos tradi de Civitas, les natios du Parti de la France (PDF), la Ligue du Sud de Bompard, le Siel, ancien mouvement satellite du FN et même quelques royalistes de l’Action française se présenteront sous une bannière commune. Ils promettent entre 200 et 300 candidats et espèrent décrocher un financement public.

    LES FONDATEURS

    La rumeur progresse depuis de nombreux mois. L’idée du cartel viendrait tout droit du domaine de Montretout. Après son exclusion du Front en 2015, Jean-Marie Le Pen a ressenti le besoin de « regrouper les forces qui lui sont fidèles. C’est-à-dire beaucoup de monde », insiste Lorrain de Saint-Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne.

    Mais c’est le 2 octobre dernier, à Rungis, que l’affaire prend forme. Le boss du PDF, Carl Lang, Alain Escada de Civitas et Jean-Marie Le Pen partagent la tribune pour les 10 ans de la revue identitaire Synthèse nationale de Roland Hélie :

    « C’était la première entrevue entre les responsables de ces organisations. Ensuite, ça a abouti à une entente électorale en vue des élections législatives. »

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    L’accord est officiellement signé en début d’année et ce sont ces trois structures qui apporteront le gros des troupes. Selon Carl Lang, le Parti de la France devrait mettre 80 candidats au pot commun :

    « 40 hommes pour 40 femmes. Mais ce sera même peut-être un petit peu plus. Et moi, je serai candidat en Normandie, très probablement. »

    Civitas et les Comités Jeannes ne communiquent pas encore de chiffres précis, mais Alain Escada promet au moins 200 candidats.

    LES RALLIÉS

    Les 3 fondateurs font chauffer les téléphones.Contacté par Carl Lang, Jacques Bompard, patron de la Ligue du Sud, a rapidement accepté de les rejoindre. Si le député-maire d’Orange est certain d’y aller, sa femme, « pas très chaude », devrait passer son tour. Ce ralliement est un atout majeur pour le cartel. L’homme d’extrême droite pèse au niveau local. Joint par Streetpress, M. Bompard confirme l’accord trouvé avec le boss au crâne chauve du Parti de la France.

    Karim Ouchikh, président du Siel a aussi eu droit à son coup de téléphone. Depuis novembre 2016, le Siel a coupé les ponts avec le Front national dont il était un parti satellitaire. Exit les rassemblements bleu-marine, le parti est désormais « libre de ses prises de décisions ». Il devrait rejoindre le cartel qui porte l’autre face de la marque Le Pen, celle du père. « Des contacts sont effectivement en cours », confirme K. Ouchikh. Avant de détailler :

    « Pour être tout à fait sincère, nous sommes confiants [et devrions] parvenir à un accord signé avec cette droite d’unité nationale dans les tout prochains jours. Un cartel purement électoral et non un accord de partenariat politique. »

    Ouchikh promet d’« aligner au moins 70 candidats ». Des individualités viendront gonfler les rangs de l’alliance de l’ultra-droite. Des royalistes de l’Action française (AF) ont été approchés, confirme Élie Hatem. Le militant de l’AF a reçu un coup de fil de Jean-Marie Le Pen himself. Le Menhir verrait d’un bon œil sa candidature sous la bannière des Comités Jeanne :

    « Il se peut que je sois candidat. Mais cela n’engage que moi, pas l’Action française qui n’est pas un parti politique. »

    GABRIAC DANS LES STARTING-BLOCKS 

    Les candidats seront tous affublés des trois étiquettes principales : Civitas, Comités Jeanne et Parti de la France. Mais chacun sera libre de mettre en avant l’une ou l’autre des bannières. Alexandre Gabriac, candidat Civitas dans la 2e circonscription de l’Isère et fervent admirateur du père Le Pen, espère bien pouvoir profiter son aura :

    « Il y aura mon nom. Ainsi que Civitas. Puis l’idée, c’était de mettre “Avec le soutien de Jean-Marie Le Pen”, en bandeau simple. Mais il faut voir si cela colle avec les lois électorales. »

    Le fondateur des Jeunesses nationalistes, dissoutes après le décès de Clément Méric, entrera en campagne après les présidentielles. Exclu du FN en 2011, pour une histoire de bras tendu, il apprécie l’idée du cartel :

    « On a toujours été pour l’union des nationaux. Et là, c’est une très belle réalisation. Avec le soutien de Jean-Marie Le Pen qui est, au niveau public, un soutien inestimable. Surtout qu’on va sûrement se trouver face à des candidats estampillés bleu-marine. »

    La liste complète des candidats devrait être présentée à la presse, lors d’un raout organisé le 13 mai prochain. Mais quelques noms ont déjà filtré. Marie D’Herbais, ex-FN longtemps proche de Marine Le Pen, se présentera sous les couleurs de Civitas dans la 2e circo de la Sarthe. Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, sera candidat dans l’Oise.

    JEAN-MARIE PAS CANDIDAT MAIS EN CAMPAGNE

    Du côté des Comités Jeanne, aucune tête d’affiche à se mettre sous la dent si ce n’est Lorrain de Saint-Affrique qui nous a confirmé sa candidature en région parisienne. Sauf contre-ordre, Jean-Marie Le Pen ne devrait, lui, pas être au rendez-vous électoral. Impossible d’en causer en direct avec le prez’ : « il ne parle pas à la presse avant le premier tour », nous explique son secrétaire. Mais selon de Saint-Affrique, il devrait battre campagne et multiplier les réunions de soutien aux candidats du cartel.

    À la droite du Front national, nombreuses sont les organisations qui voient l’aventure d’un bon œil. Joints par StreetPress, le MNR fondé par Bruno Mégret, Henri de Lesquen, figure provoc’ du P.N.L et la Ligue du Midi de Richard Roudier se félicitent de l’initiative. Seuls Les Identitaires restent à bonne distance. Fabrice Robert explique ainsi avoir « cessé toute confrontation électorale avec le FN ».

    LE BANNI DE CHEZ LES BANNIS

    Et puis, il y a en un que les exclus du FN ne veulent même pas sur leurs listes. Yvan Benedetti,  exclu du Front en 2011 pour s’être publiquement déclaré « antisioniste, antisémite et anti-juif », sent un peu trop le souffre. Pourtant l’ancien président de l’Œuvre française, dissoute par Manuel Valls en 2013, a tenté de rejoindre le navire par un coup de téléphone à Thomas Joly du Parti de la France, resté sans réponse. Le Pen, lui, a décroché son portable, mais selon Benedetti, il a fait la sourde oreille :

    « Je lui ai dit que nous [Le Parti nationaliste français] présenterions peut-être quelques candidats et que nous étions disponibles pour une alliance électorale. Il m’a répondu qu’il verrait ça avec de Saint-Affrique. Mais ils font leur petite soupe à trois et n’ont pas répondu à mes différents appels ».

    MONEY, MONEY, MONEY,

    Chafouin Benedetti lâche le fond de sa pensée :

    « Ils veulent faire comme les grands mouvements en présentant des candidats partout. Ça n’a pas de sens si ce n’est pour essayer de récupérer un financement public. Ça n’a pas d’avenir. »

    Du côté du cartel, le premier à cracher le morceau, c’est Karim Ouchikh, le président du Siel :

    « C’est une démarche purement mécanique qui permet de créer des synergies afin d’obtenir l’accès au financement public. » 

    Pour obtenir un financement public, une structure politique doit recueillir au moins 1% des suffrages dans cinquante circonscriptions. Seul, aucun des partis de l’alliance ne peut ambitionner un tel résultat. Ensemble, tout devient possible, assure Lorrain de Saint-Affrique :

    « Si on présente plus de 200 candidats, il y a de fortes chances [d’obtenir un tel score]. Ensuite, il y a une clé de répartition entre nous, de manière à ce que les efforts de chacun soient récompensés par le financement public. »

    RIFIFI ENTRE MEILLEURS ENNEMIS

    Jusqu’où tiendra l’attelage ? Yvan Benedetti en remet une couche :

    « C’est un accord pour essayer de jouer aux grands. Pas de la politique. Le PDF est résolument contre Marine Le Pen. Jean-Marie finance sa fille et a appelé à voter pour elle. Et puis Civitas, on ne sait pas ce qu’ils veulent… »

    Aucune fusion post-élection n’est envisagée et les querelles d’antan pourraient remonter à la surface. Carl Lang ne s’est rabiboché avec Jean-Marie Le Pen que depuis 2015. Le prez’ l’avait mis à la porte en 2008. Et Le Pen ne parle toujours pas à Jacques Bompard, qui a quitté le FN avec pertes et fracas en 2005, comme l’explique Lorrain de Saint-Affrique :

    « Il est de notoriété publique que les rapports entre Jacques Bompard et Jean-Marie Le Pen n’ont jamais été améliorés depuis qu’ils ont rompu. Donc, il est difficile de se parler. Il n’y a pas eu de tentative d’ailleurs. »

    Le lieutenant de Le Pen semble d’ailleurs ignorer l’accord passé entre Carl Lang et le maire d’Orange. Mais Bompard, candidat aux législatives envers et contre tout, ne s’en formalise pas :

    « Moi, je passe un accord avec tous ceux qui le veulent. Si Jeanne ne veut pas de moi, ce n’est pas mon problème. »

    Reste à savoir comment réagira ce cartel face aux candidats estampillés bleu-marine. Civitas prône une bonne entente avec certains amis du FN. Le PDF, lui, ne veut pas en entendre parler.

    NDLR SN : il convient bien entendu de prendre tout cela avec le recul qui s'impose...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Terrorisme : lourdes menaces sur Marine Le Pen, inconséquence mégalo de Mélenchon

    Chez Mélenchon, la solidarité a des limites. Apprenant de la bouche du ministre de l’Intérieur que les têtes d’affiche à l’élection présidentielle étaient particulièrement visées par la menace terroriste, le patron de La France insoumise a, nous dit-on de télé en radio, « affirmé sa solidarité avec ses adversaires ».

    Une solidarité très sélective, toutefois.

    À François Fillon, ce message : « Totale solidarité face à la menace. Que notre campagne en complète opposition soit le meilleur des démentis au programme totalitaire des terroristes. »

    À Emmanuel Macron, celui-ci : « Émotion et complète solidarité personnelle. Que notre campagne et notre opposition républicaine soit (sic) la démonstration de l’échec du projet des violents. »

    Oubliée, Marine Le Pen, pourtant particulièrement visée… avant de rectifier en meeting ! On apprend, en effet, en lisant Le Figaro qu’à la découverte d’une menace imminente, « le ministre de l’Intérieur en personne, Matthias Fekl, prévient François Fillon. L’Unité de coordination et de lutte antiterroriste (Uclat) prend également attache avec le candidat pour lui annoncer qu’il passe en procédure “Uclat 2”, un degré intermédiaire dans l’échelle de la menace antiterroriste définie par ces policiers spécialisés (1 étant le niveau le plus élevé ; 4 le moins).

    Marine Le Pen est au niveau “Uclat 3”, Macron et Mélenchon, “Uclat 4”. »

    Mais cette menace terroriste qui se précise met en lumière une autre facette du personnage Mélenchon, dont les nouveaux airs de « bon papa » et la veste de garde-chasse ont fait oublier un peu vite sa mégalomanie naturelle.

    En effet, pour des raisons évidentes de coût et d’image – louer une salle coûte plus cher que d’occuper l’espace public, et 10.000 personnes sur le Vieux-Port de Marseille sont plus spectaculaires que 10.000 personnes au Zénith –, le candidat Mélenchon a choisi majoritairement les réunions de plein air. Jusqu’à s’offrir, le lundi de Pâques, une descente des canaux et la traversée de Paris en « péniche insoumise ».

    Certes, cela fait de belles images ; ça en met même plein la vue des badauds qui digèrent l’agneau pascal et les chocolats en attendant le « leader charismatique » devant l’Hôtel du Nord. Mais, surtout, cela coûte infiniment plus cher aux contribuables en forces de sécurité mobilisées !

    Comme l’expliquait notamment Alain Bauer dans l’émission « C dans l’air » ce 18 avril, sécuriser des meetings en extérieur, c’est beaucoup plus compliqué et infiniment plus coûteux que des meetings en salle, et « malgré les demandes dissuasives du gouvernement », certains candidats s’en sont donné à cœur joie : essentiellement Mélenchon, qui a privilégié l’extérieur durant toute sa campagne, Hamon dans une moindre mesure, et Fillon au Trocadéro.

    Multiplication des personnels déjà exténués, tireurs d’élite sur les toits… « Je ne suis pas sûr qu’ils se rendent compte de ce que cela représente en termes d’investissement pour ceux qui assurent leur protection, dit Alain Bauer. Que ce soit les policiers ou leur propre service de sécurité, la pression qu’ils leur mettent en faisant un meeting en extérieur plutôt que dans une salle les amène de temps en temps à prendre des décisions de com’ qui prennent assez peu en compte les dures réalités de la sécurisation. »

    Reste, enfin, la question du coût, exorbitant, que semblent totalement ignorer « ceux qui mobilisent des moyens aussi considérables sans vraiment en prendre en compte la portée, comme si le service public était à leur disposition ». Mais peut-être s’en moquent-ils, tout simplement ?

    Après tout, Mélenchon nous a promis une réforme fiscale particulièrement sanglante, alors un peu plus un peu moins… tant que c’est pour sa promotion, pas besoin de compter, on est là pour banquer !

    http://www.bvoltaire.fr/terrorisme-lourdes-menaces-marine-pen-inconsequence-megalo-de-melenchon/

  • Marine Le Pen largement en tête aux USA qui se passionnent pour son élection – Des chiffres réels

    Ce graphique illustre la part réelle de la place que Marine Le Pen occupe dans les échanges en ligne en ce qui concerne l’élection présidentielle française. Les anglophones se passionnent pour l’élection de Marine Le Pen et plus particulièrement les USA: la moitié des conversations en ligne qui sont consacrées à la présidentielle française citent la candidate du FN. Il ne s’agit pas d’une estimation, mais bien de la somme des conversations réellement tenues en langue anglaise.