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élections - Page 350

  • La vidéo intégrale de Marion Maréchal-Le Pen face à Natacha Polony

    Marion Maréchal-Le Pen était hier soir l’invitée de Polonium, l’émission de Natacha Polony sur Paris Première. Voici la vidéo intégrale de l’entretien avec « l’autre présidente du FN », le titre affiché par l’émission…

    « Les personnes qui n’aiment pas la France, a notamment déclaré l’élu de Vaucluse, doivent être incitées à rentrer chez eux. »

    https://fr.novopress.info/204700/la-video-integrale-de-marion-marechal-le-pen-face-a-natacha-polony/

  • L'erreur de vocabulaire de M. Mélenchon.

    La Monarchie est souvent citée en ce moment, querelle présidentielle oblige,  mais il y a erreur des partisans de la Sixième République sur le sens et la portée de ce mot et des institutions qu'elle peut définir en France. La « monarchie présidentielle » évoquée par M. Mélenchon n'est pas une monarchie au sens historique du terme, elle n'en est que la caricature, et elle semble être une monocratie quinquennale renouvelable plutôt qu'une monarchie héréditaire et successible telle que l'a connue la France et telle que les royalistes le souhaitent.

    La monocratie, c'est le pouvoir d'un homme de parti qui gouverne sans autre légitimité que celle, provisoire et désormais toujours contestée, du suffrage universel, que cela soit directement ou par le biais de la représentation démocratique et parlementaire. Le président peut se croire Antigone, mais il n'est que Créon, et il manque à l'élu, parfois présenté comme « homme providentiel », cette hauteur donnée par la liberté originelle de la Couronne qu'elle doit à son mode de transmission, la succession héréditaire. Né fils de roi et « presque roi », devenu entièrement roi par l'effacement de son prédécesseur (par la mort ou le renoncement), le monarque ne doit rien aux intrigues et aux alliances électorales, et il peut, au cours de son règne, « supporter » (mais non pas soutenir, gare à la confusion !) des gouvernements de tendance différente et antagoniste de l'un à l'autre, sans être soumis à l'un comme à l'autre. L'indépendance royale, dans la Monarchie à la française, n'est pas un obstacle à la direction du pays mais une garantie de la continuité de l’État et de sa permanence malgré les aléas de la vie politique et parlementaire : un gouvernement peut tomber, avoir failli ou être en difficulté, la magistrature suprême de l’État est toujours là, visible et active. C'est une présence rassurante en des temps qui le sont moins... 

    Quand la monocratie personnalise le pouvoir présidentiel à l'extrême, la Monarchie le « familiarise » et le monarque incarne le pouvoir arbitral sans se confondre avec l'arbitraire et avec un parti quel qu'il soit : si le portrait du roi peut trôner dans les administrations et les salles municipales, il n'est pas une affiche électorale permanente comme le dénonçaient jadis quelques militants opposés au président du moment quand celui-ci était candidat à sa propre réélection (ce qui n'est pas le cas avec l'actuel locataire en fin de bail de l’Élysée).

    La confusion entre monocratie et monarchie, confusion entretenue (parfois de bonne foi, d'ailleurs) par les partisans de MM. Mélenchon et Hamon, est néanmoins compréhensible, non au regard de la réalité historique mais au regard de l'image que certains (fort nombreux, au demeurant) se font de la Monarchie elle-même qu'ils confondent avec l'apparat que la République a récupéré sans pour autant en comprendre toujours le sens et la portée qu'il pouvait avoir sous la Monarchie absolue de François Ier à Louis XVI, voire au-delà avec la Restauration : quand la Monarchie pense le prestige comme un moyen de gouverner et de se représenter aux yeux des autres États en assumant la part de « spectaculaire utile » qui, d'ailleurs, peut survivre à travers un riche patrimoine aujourd'hui devenu attraction touristique (un des atouts de la France...), la République se l'approprie sous la forme d'avantages privés avec, parfois, quelques corruptions certaines qui émaillent la longue suite des Républiques sans s'en défaire autrement qu'en promesses et qu'en paroles... Est-il nécessaire de donner des noms ? Cette dernière décennie présidentielle a de quoi remplir encore quelques gazettes à scandales et tant d'éprouvettes à indignations...

    Non, décidément, la République n'est pas la Monarchie royale : se battre « contre la Monarchie » n'a pas grand sens dans notre pays, surtout si c'est juste l'alibi pour renouer avec les mauvais précédents de la Troisième et de la Quatrième Républiques... La Cinquième, si elle peut parfois emprunter quelques aspects de la Monarchie (et parfois les meilleurs, comme un hommage du vice à la vertu) et si elle a pu vouloir, par la volonté de son fondateur, renouer avec une tradition monarchique d'autorité et de liberté de l’État, reste bien une République, malgré tout : c'est d'ailleurs ce dernier aspect-là du régime né en 1958 qui, en grignotant peu à peu les vestiges de la logique capétienne remise en valeur par le général de Gaulle, a motivé l'effacement de moins en moins discret de notre pays sur la scène diplomatique mondiale, processus accéléré depuis une décennie à travers les deux quinquennats successifs de MM. Sarkozy et Hollande.

    En fait, contrairement à une idée reçue et évidemment fausse, ce n'est pas d'un excès de Monarchie dont souffre la France aujourd'hui mais, bien au contraire, d'une républicanisation de plus en plus accentuée des institutions, de cette déresponsabilisation contemporaine de la magistrature suprême de l’État au risque de ne plus assumer les fonctions qui devraient être les siennes : ce n'est pas, soulignons-le, une bonne nouvelle, ni pour l’État ni pour la nation et encore moins pour les peuples de France...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1399:lerreur-de-vocabulaire-de-m-melenchon&catid=51:2017&Itemid=62

  • François Fillon se dit prêt à un dialogue constructif avec Manuel Valls

    6a00d83451619c69e201b8d27117bc970c-320wi.jpgCeci n'est ni un poisson d'avril (trop tôt) ni un mauvais cauchemar. C'est le fruit d'un dialogue par média interposés entre deux anciens premiers ministres d'un même système européiste et mondialiste :

    Manuel Valls le 30 mars 2017 dans un interview à L'Obs, sur BFM et RMC :

    "Même si François Fillon sortait vainqueur de ce combat, il faudrait aussi chercher à trouver des compromis avec la droite parlementaire. Sans se renier, sans gommer nos différences. Mais il faut en finir avec les dogmes. Ne plus s'enfermer dans des postures figées, politiciennes, repliées sur elles-mêmes" 

    François Fillon le même jour sur RTL :

    "J'ai toujours entretenu un dialogue constructif avec Manuel Valls. Le pays est dans une situation très grave et tous ceux qui ont le courage de vouloir le redresser doivent pouvoir parler ensemble"

    Ils seront au moins d'accord pour appeler à voter contre Marine le Pen au soir du premier tour....

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • J’accuse les Français de se laisser manipuler !

    J’accuse ceux qui ont décidé de se mettre en marche derrière le minet de la politique de participer à la mort de notre nation.

    Je ne suis pas Zola, et l’air du temps n’est heureusement pas à celui de l’antisémitisme primaire de son temps. Mais la situation de la France est beaucoup plus dramatique qu’elle ne l’était alors : dans cinq semaines, nous risquons d’avoir à la tête de l’État un jeune homme inconséquent qui n’existait pas il y a encore six mois et qui, par le biais d’une manipulation sans précédent historique des médias et d’une certaine justice, peut conduire la France à une véritable insurrection.

    Alors, oui, j’accuse, non pas Hollande l’instigateur probable de cette odieuse manipulation, mais tous les Français qui oseraient voter pour ce sourire béat. Sans entrer dans le détail de ce qu’il appelle un programme dont il disait que, de toute façon, il ne servait à rien d’en avoir un, ce jeune blanc-bec va conduire la France à une faillite économique, financière et morale avec la rapidité de l’éclair. Et puisque les propositions de ses concurrents ont été épluchées par des journalistes et des experts de pacotille « drahistiques », il serait temps, à trois semaines du premier tour, de jeter à bas ce qu’Éric Brunet, le seul homme libre du groupe Drahi, a appelé « une catastrophe majeure ».

    

Oui, j’accuse les Français de faire le jeu des oligarchies et des financiers de tous bords.

    J’accuse tous ceux et celles qui ont décidé de se mettre en marche derrière le minet de la politique de participer à la mort de notre nation. Car si Macron succède à son patron Hollande, la France sera non seulement la risée du monde entier, mais le peuple de France va souffrir dans sa chair et son portefeuille. C’est inévitable car il sera impossible à son gouvernement recruté sur Internet de trouver les milliards que ses promesses vont nous coûter.



    Alors, oui, j’accuse les Français d’accepter de se faire manipuler en toute connaissance de cause par les médias qui n’en peuvent plus de nous vendre du Macron à longueur d’antenne. J’accuse aussi les juges nommé(e)s par Hollande et Taubira de refuser d’envisager une seule seconde qu’ils ou elles se sont laissé(e)s abuser par ce nouveau gender de la politique. La réponse de la Haute Autorité pour la transparence aux interrogations sur la déclaration de M. Macron est une véritable, triste et lamentable blagounette.

    Vous que j’accuse, il vous reste quelques jours pour revenir sur Terre, pour éviter de vous laisser piéger par cette horde de socialistes qui s’accrochent au pouvoir en vous présentant un jeune homme vierge, affirment-ils, un homme qui n’aurait aucun passé public, aucun défaut. Un homme à qui l’on pardonne tout : ses bourdes, sa méconnaissance de notre passé, son manque de vision non virtuelle pour notre avenir.

    

Vous avez le choix entre François Fillon, l’homme à abattre qui, lui, a une longue carrière politique derrière lui et un programme ambitieux mais pas vraiment révolutionnaire, et Marine Le Pen, qui n’a jamais exercé le pouvoir mais qui souhaite prouver sa capacité à y réussir, en adoptant un programme radical pour tenter de nous sauvegarder d’une politique qui a failli depuis 30 ans !

    Et, de grâce, Françaises, Français, puisque vous ne pouvez pas compter sur une information objective, formez-vous votre propre opinion et pas celle des Pujadas, Bouleau et autres Bourdin !

    http://www.bvoltaire.fr/jaccuse-francais-de-se-laisser-manipuler/

  • Docteur Macron et Mister Système, par Marine Le Pen

    Manuel Valls a donc rallié Emmanuel Macron. La réalité de la candidature Macron apparaît dès lors au grand jour : c’est une vaste entreprise de recyclage des sortants du système.

    Manuel Valls dit ne pas accepter « la marginalisation de la gauche de gouvernement ». On entend plutôt qu’il n’accepte pas « la marginalisation du gouvernement de gauche » qu’il a dirigé avec Hollande.

    L’arrivée de Manuel Valls confirme qu’Emmanuel Macron est devenu un simple rouage dans ce grand plan de sauvetage de la Hollandie. Sa candidature est manifestement sous la tutelle des sortants, sous la tutelle du système qui veut se recaser à tout prix.

    Il a beau se démener à nous faire croire le contraire, s’il était élu en mai prochain, il est évident qu’Emmanuel Macron aurait à s’appuyer à l’Assemblée nationale sur une majorité de sortants. Il est aussi évident qu’il continuerait sans en changer une virgule la politique désastreuse menée ces dix dernières années, application stricte de la feuille de route de Bruxelles.

    On savait que la candidature d’Emmanuel Macron était la candidature du vide, on sait désormais qu’elle n’est que le paravent du système.

    Je suis frappée par l’indécence du comportement de la classe politique française vis-à-vis de la démocratie. D’un côté ou d’un autre s’affiche le mépris pour le résultat des primaires pourtant présentées à l’époque comme le summum de la vie démocratique. A droite, la candidature de François Fillon a failli être remplacée par celle du perdant et elle reste aujourd’hui contestée de toute part. A gauche, le perdant de la primaire, Manuel Valls, qui s’était pourtant engagé à soutenir le gagnant, s’assoit désormais sur sa promesse et rejoint toute honte bue Emmanuel Macron.

    On voit bien que pour le système, c’est toute la vie démocratique qui est sous tutelle : le seul objectif, en permanence, est de recaser les sortants, de garder les postes et les places. Du peuple on ne fait jamais aucun cas.

    Tout cela est pitoyable et montre à quel point il est temps de tourner la page de la vieille politique. Dans toute cette agitation politicienne, rien n’est sain, rien n’est sincère. Les Français rejetteront dans les semaines qui viennent ces tentatives désespérées d’un système aux abois. Ils se tourneront vers la seule candidature sincère dans cette élection, la seule qui s’appuie sur une vision et un projet clairs, c’est-à-dire ma candidature, celle que je porte au nom du peuple.

    Marine Le Pen

    Texte repris du blog de Marine Le Pen, Mes carnets d’espérance

    https://fr.novopress.info/

  • Emmanuel Macron n'est "ni pour ni contre, bien au contraire"

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    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Robert Ménard : « La Droite hors les murs est indispensable à Marine Le Pen si elle veut la victoire »

    Le Figaro évoque, dans ses colonnes, la proximité récente et inédite de Marine Le Pen avec la Droite hors les murs.
    Robert Ménard, l’un des fondateurs de la DHLM, constate, en effet, que Marine Le Pen est prête à recevoir et écouter un certain nombre de gens qu’elle n’avait pas – ou peu – fréquentés jusque-là. Il ne désespère pas, par ailleurs, que Marine Le Pen fasse les gestes programmatiques nécessaires pour que cette Droite hors les murs, sûrement plus libérale et conservatrice qu’elle ne l’est, se retrouve. Selon lui, on perçoit déjà des inflexions programmatiques, par exemple dans le discours sur la sortie de l’Europe, moins caricatural.

    Si François Fillon n’est pas au 2e tour, une partie de la droite, prédit-il, éclatera et une autre droite se recomposera dans l’urgence derrière Marine Le Pen.

    http://www.bvoltaire.fr/droite-murs-indispensable-a-marine-pen-veut-victoire/