élections - Page 350
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Bernard Monot invité du débat autour de l'immigration sur LCP.
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Tout sauf Macron à Marseille !
Général Christian Piquemal, Richard Roudier, Olivier Roudier à la manœuvre sous l’averse
Richard Roudier
Malgré de fortes averses, la Ligue du Midi était présente au Rond-Point du Prado à Marseille pour dénoncer les incohérences et les subterfuges d’Emmanuel Macron, candidat des beaux quartiers à l’élection présidentielle.
Celui qui a été omni-présent à l’Elysée pendant prés de 4 ans et demi veut nous faire croire qu’il est un “jeune perdreau de l’année” en politique et qu’il propose une rupture avec le pouvoir socialiste omettant de rappeler cette phrase de François Hollande “Macron c’est moi !”.
Il semblerait que l’échec, reconnu par la plupart des médias, du meeting de Marseille soit le point de départ de l’effritement du candidat, qualifié depuis lors de “ Micron en Marche arrière”. Une salle aux trois quarts vide (2.500 personnes) alors que les premières dépêches d’agences en indiquaient 7 à 10.000; une ambiance morose; des spectateurs qui quittent la salle par grappes au bout de 10 minutes; un discours calqué sur François Hollande encore plus creux qu’à l’accoutumée ... et une tentative de faire peuple avec un pathétique “on craint degun” qui faisait penser plus à Monsieur Brun qu’à un pêcheur du bar de la Marine.
Preuve de cette dégringolade, plusieurs reportages de médias montrant les spectateurs quittant la salle et d’émissions en plateau (y compris sur des chaines TV de propagande), où le bellâtre se fait dézinguer, ont été supprimés sous un vague prétexte de droits d’auteur qui n’a convaincu personne.
Une joyeuse ambiance, malgré la pluie, chez les contre-manifestants en présence du général Christian Piquemal, de David van Hemelryck qui organisa un lancer de tomates sur un portrait géant et de plusieurs centaines de chauffeurs de taxi et de leurs véhicules (sirènes et pétards en action) -
Emmanuel Macron en flagrant délit de mensonge gravissime
Le site internet « lagauchemorale.com » publie une vidéo terrible qui révèle un mensonge gravissime d’Emmanuel Macron.
Regardez.
Et partagez.
http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-flagrant-delit-de-mensonge-gravissime/
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Éric Zemmour : « Léon Trotsky serait fier de ses élèves français »
Lors du Grand Débat, mardi 4 avril, ce sont surtout les deux candidats trotskistes, Nathalie Arthaud et Philippe Poutou, qui ont crevé l'écran. Que peut signifier aujourd'hui cet engagement ? Eric Zemmour répond à la question par une courte analyse, petit chef d'œuvre de lucidité, de science politique et d'esprit. LFAR
Retranscription par ...
« C'est encore une exception française. Une exception que l’on croyait disparue, ensevelie dans les poubelles de l’Histoire. Une exception qui a fait le spectacle. Une exception qui a sauté comme un bouchon de champagne, et a bien arrosé François Fillon et Marine Le Pen », décrypte Éric Zemmour. « Plus grand monde ne connaît Léon Trotsky », constate le journaliste, « mais la France est pourtant le dernier pays au monde où des groupuscules trotskistes parviennent à subsister et même à présenter deux candidats à la présidentielle ». Il fait référence à Philippe Poutou et Nathalie Arthaud, mais n'oublie pas Jean-Luc Mélenchon, qui « a fait ses classes dans sa jeunesse à l’école trotskiste ».
« Poutou et sa gouaille d’ouvrier gréviste, Arthaud et sa hargne de tricoteuse au tribunal révolutionnaire, Mélenchon et son onctuosité souveraine de professeur à l’ancienne : de la belle ouvrage, du travail soigné », juge Éric Zemmour, qui ajoute : « Léon Trotsky serait fier de ses élèves français ». -
TRIBUNE LIBRE : Ainsi font font font les petites marionnettes…
Pieter Kerstens
Certains nous présentent Emmanuel Macron comme l’homme nouveau tant attendu, le charmeur de ces dames, mais il est surtout le bateleur de foire qui hypnotise une clientèle crédule.
Produit marketing du Nouvel Ordre Mondial, fabriqué par les banksters, représentant de la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI), il récoltera sans nul doute l’assentiment des bourgeoises endiamantées et des fanatiques de la compromission.
Quant à François Fillon, il a démontré sa capacité de persévérance et de résistance face au Régime qui cherche à tout prix à préserver ses prébendes, en le noyant sous un tombereau d’ignominies. Son programme de réformes structurelles permettrait, nous dit-on, à l’Etat de retrouver son lustre terni par le quinquennat hollandais.
Rien n’est moins certain. Parce que ces 15 dernières années, plus de 40 milliardaires et 60.000 millionnaires ont quitté la France, sous les présidences de Chirac (deux fois), de Sarközy et de Hollande. « Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche » affirmait le président américain Abraham Lincoln en 1860, devant le Congrès.
Ainsi font font font 3 p’tits tours et puis s’en vont !
Alors pourquoi donc Fillon ferait-il demain, et dans l’avenir, ce qu’il n’a pas pu, pas su ou pas voulu faire entre 2007 et 2012 ? ? ?
En effet, face aux problèmes, l’ex-premier ministre a pratiqué la politique de l’autruche :
- Il les a tout d’abord niés.
- Puis occultés et ensuite sous-estimés.
- Les avait dénommés « exceptions » pour justifier son inaction.
- Il a créé des commissions, suivies de l’élaboration de multiples rapports.
- Ces rapports furent transmis à l’Assemblée pour légiférer dans la précipitation.
- Et au final on en est arrivé à des plans de crises et d’urgence. Pour quel résultat ?
Remarquons aussi que la dette publique augmente encore de 20 millions d’euros par jour, que le chômage est un vrai fléau, que l’immigration sauvage ne diminue pas, que les impôts et les taxes augmentent en permanence, que les drogues envahissent l’espace public avec les salles de « shoot » et que la corruption persiste dans tous les secteurs.
Tous ces maux n’ont jamais été réellement combattus ces 20 dernières années, ni par la Droite, ni par la Gauche ou le Centre mollasson.
Et la France n’a pas non plus besoin d’un jeune Polichinelle, aux ordres des gnomes de Wall Street, qui conduirait à donner toujours plus de pouvoirs aux eurocrates de Bruxelles.
Alors, même si l’on n’aime pas les blondes, à défaut d’autre chose, on votera le 23 avril et le 7 mai pour le Front national, bon gré mal gré, avant d’entreprendre l’indispensable Reconquista de nos quartiers, avec détermination.
PS : Pour vous changer les idées, il faut absolument aller voir le dernier film « A bras ouverts », une comédie hilarante.
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«On nous bassine avec le Front Républicain contre le FN, mais ni Poutou ni Arthaud ne sont Républicains!»
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Têtes à clash #3 : le débat de BFM, Florian Philippot et construction de prisons
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Pourquoi Marine Le Pen peut l’emporter
L’affrontement Le Pen/Macron, c’est celui de De Gaulle contre Lecanuet revu à la sauce Internet.
L’évolution des sondages, depuis un mois, ne laisse entrevoir aucune modification substantielle des rapports de force : au-delà de la polémique sur les marges d’erreur ou la sincérité des publications, il y a une analyse possible, différente de celles présentées par les médias. Rappelons les chiffres OpinionWay des 3 et 4 avril : Le Pen 25-26, Macron 24-24, Fillon 19-20, Mélenchon 15-15, Hamon 11-10, Dupont-Aignan 4-3, Lassalle 1-1, Poutou 1-1. Les autres candidats étant considérés à 0 du fait de la non-prise en compte des décimales.
La première observation est que Macron fait le plein des voix de la gauche bobo-atlantiste et de celles des centristes libéraux-européistes, ce qui, néanmoins, ne devrait pas le mettre à ce niveau. Ce score de Macron est d’autant plus étonnant que Hamon et Mélenchon totalisent le quart de l’électorat, avec l’apport, il est vrai, des écolos-gauchistes de EELV et des communistes. 50-51 % pour la gauche et le centre anti-Fillon : cela paraît tout de même beaucoup ; à moins que l’on ne considère que le vote Macron est déjà majoritairement celui du centre, et que le dégoût de Hollande a provoqué une cristallisation précoce et bicéphale – Mélenchon, Hamon – de la gauche.
La seconde observation tient à la relative faiblesse du vote souverainiste, Le Pen et Dupont-Aignan (+ UPR) à 29 %, alors qu’au premier tour des régionales en 2015, il s’approchait des 33 %.
Dans un contexte de moindre abstention avec une situation économique et politique dégradée, Marine Le Pen ferait moins que le FN ? Cela semble improbable.
De ces observations, ne peut-on pas conclure que les 19-20 % de Fillon correspondent réellement et intégralement au fonds UMP : droite sociétale, droite gaulliste (peu mondiale-libérale économiquement), droite des rentiers, droite provincialiste ?
La sûreté de choix des électeurs pour les différents candidats conforte cette analyse : à gauche, le repli sectaire a eu lieu avec la montée du choix certain, de même pour le bloc des convaincus du FN ou de NDA, lequel mord peu sur la partie de l’électorat de Fillon orpheline du gaullisme. Ce dernier bénéficie aussi d’une forte stabilité des électeurs l’ayant choisi. Seule l’intention « Macron » laisse paraître un doute des centristes et, probablement, un regret de certains socialistes.
En fait personne n’a, pour l’instant, déplacé de voix en sa faveur, à part un centre devenu indépendant et un peu hypertrophié par le ralliement d’urbains peu politisés et persuadés que la mondialisation est indépassable. L’affrontement Le Pen/Macron, c’est celui de De Gaulle contre Lecanuet revu à la sauce Internet.
Quel sera le second tour ? La présence de Mélenchon serait le signe du double effondrement à gauche de la mystique européiste et du paradigme social-démocrate. L’incertitude des putatifs électeurs de Macron pourrait le reléguer à la troisième place et permettre l’élection de Fillon, qui ne peut perdre face à Marine Le Pen.
Mais l’hypothèse Le Pen/Macron reste la plus probable et, au fond, la plus juste sur un plan politique. Marine Le Pen dit juste en parlant d’un choix de civilisation, et c’est sans doute pour cela que les média ne répercutent pas ses propos en ce sens.
Macron, centriste étendu, ne bénéficiera pas d’un report parfait des électeurs de Mélenchon, dont une part majeure se réfugiera dans l’abstention, la lepénisation de sa position sur l’Union européenne et l’euro permettant ce soutien indirect à Marine Le Pen.
Déjà délesté de la part centriste, l’électorat de Fillon, au contraire, franchira le cap d’un vote « à droite » persuadé que les législatives lui redonneront le pouvoir confisqué par les manigances. De même, des abstentionnistes ordinaires pourraient être tentés par un bouleversement politique.
Dans ces conditions, et si cette analyse est juste, Marine Le Pensera la première femme président de la République française.
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La décomposition de la Gauche - Journal du jeudi 6 avril 2017
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Luc Chatel, porte-parole de François Fillon, se réjouirait de l'élection de Macron
Source : Le Canard enchaîné.