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élections - Page 348

  • Discours de Marine Le Pen au meeting d'Ajaccio (08/04/2017) I Marine 2017

  • Le vrai danger, c’est lui : Emmanuel Macron, l’homme de la guerre civile

    Minute-MLP-Macron-251x350.jpgA Marseille, samedi 1er avril, Emmanuel Macron a montré son vrai visage, et c’est celui de la haine. La haine de la droite et la haine de la France. Macron, c’est Hollande ? Oui, mais en pire. Un Hollande qui n’aurait pas peur de déclencher la guerre civile. Contre la France.

    Il a déjà existé dans l’histoire du monde un Macron. C’était à peu près à l’époque où le Macron de 2017 fixe le début de Marseille comme « terre d’immigration », il y a 2000 ans. Alors régnait à Rome, et donc sur Massilia, un empereur, Tibère, sans doute le meilleur empereur que connut Rome après Auguste, car déjà, peu ou prou, comme pour nous, il était dit que chaque nouvel empereur de la dynastie des Julio-Claudiens serait moins bon que le précédent.

    Tibère, donc, était empereur et comme tout empereur il entretenait des favoris aux destins incertains. Un jour, les Romains en découvrirent un nouveau. Il s’appelait Macron. D’origine modeste, et même obscure, il était monté par la force de son intelligence et son don pour les intrigues. Le temps passa. Tibère déclinait. Son héritier, le futur Caligula, s’impatientait. Pour plaire au futur maître, Macron tua Tibère et, une fois la chose faite, pour lui plaire encore un peu, car les empereurs comme les présidents de la République oublient vite les services qu’on leur rend, il lui prostitua sa femme jusqu’au jour où, à son tour, pris dans un complot, réel ou imaginaire, le maître lui conseilla vivement de se suicider.Ce qu’il fit, comme le premier Bérégovoy venu.

    Macron élu, on regrettera Hollande !

    Hormis leur nom, les deux Macron n’ont rien en commun, mais gageons que si le Romain n’avait pas été un aussi effroyable personnage, BFM n’aurait pas manqué d’y faire référence, tant cette campagne électorale est pleine de tout ce qui est inutile à la compréhension des choses et vide de tout ce qui pourrait peut être permettre aux électeurs les moins sots de comprendre que la comédie dont on les fait rire n’est jamais qu’un drame en marche.

    Ce samedi 1er avril, Macron était à Marseille. Petite sardine frétillante dans son costume luisant de champion médiatique, bien incapable de bloquer le port de Marseille, il fit un miracle : dans une salle à la contenance maximale de 3 200 places, il rassembla 6 000 personnes. Il est vrai que chaque personne comptait pour deux. Là où la police comptabilisait un spectateur, Macron voyait un Comorien et un Français, un Ivoirien et un Français, un Algérien et un Français, un Malien et un Français, tant et si bien que s’il avait également vu un Européen en chaque Français, le parc Chanot aurait pu tripler de volume.

    Doit-on en rire ? Oui, car d’ici un mois, nous ne le pourrons plus. Si Macron est élu, alors, il ne nous faudra pas un an pour regretter… Hollande.

    Hollande, c’est le socialisme à l’ancienne, pépère. Un socialisme vicieux, corrompu, corrupteur, menteur, lâche, tout ce que l’on veut. Mais encore pétri de la terre de Corrèze et fleurant bon la merde des motions de congrès. Macron, c’est la fin du socialisme français car c’est aussi la mort de la France. Il est l’homme de la dernière pelletée sur sa tombe. Macron est un homme hors de la France, hors de notre réel. Il ne marche pas, il lévite. Un homme ? Disons-le tout net, l’est-il bien, au sens viril du mot ? Epaules étroites, corps sans puissance, voix de fausset, il est ce que les magasines désignent du terme de metrosexuel. Comme le dit sa propre mère : « On pourrait déshabiller Laetitia Casta devant lui que cela ne lui ferait rien. »

    Chasser les Français hors de France !

    Là où ses prédecesseurs se tapaient des journalistes, des actrices ou des mannequins, levaient leur verre « à nos femmes, à nos chevaux et à ceux qui les montent », bref là où les autres s’empiffraient de femmes pour hommes dominants, pour hommes arrivés, lui a choisi de vivre avec un croisement de Mme Pompidou et des frères Bogdanoff. Quel lien avec la politique ? Un lien essentiel, sauf pour ceux qui veulent ignorer que nos actes privés annoncent nos actes publics. Pour Macron, les peuples, les familles, les frontières, les normes, les sexes n’existent que si on veut qu’ils existent. Quant à la culture française, elle n’a jamais existé…

    Et il y a un public pour ça ? Oui. Que celui-ci pèse 25 % ou 15 %, peu importe, ce public existe. Il est le révélateur de notre peuple. Un peuple qui, pour partie, ne veut plus être un peuple et n’aspire plus qu’à la paix des télés, la jouissance des galeries marchandes, la sécurité des zones pavillonnaires. Quant au peuple qui ne veut pas mourir, Macron le hait et le voue à la vindicte. Pour lui, l’ennemi, c’est la droite. Sens commun ? Que Fillon travaille avec lui prouve qu’il « a tourné le dos à la république. » Le Front national ? « Il faut chasser le parti du mépris. » Chasser les Français qui veulent le rester hors de France !

    Que tous ceux, au FN ou chez les Républicains, qui pensent s’acheter une virginité en envoyant aux fauves plus à droite qu’eux sachent qu’ils partageront le même sort que leurs victimes. Macron élu, ce sera la guerre civile faite à la droite car aujourd’hui le peuple et donc la France, c’est la droite.

    Philippe Martin

    Article paru dans Minute daté du 5 avril 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Le meilleur du meeting de Fillon, c’était Fillon

    Incontestablement, Fillon est bien le meilleur d’entre eux. C’était vrai à la primaire, face à Sarkozy et Juppé. Et c’est vrai, aussi, dans cette campagne.

    Incontestablement, Fillon est bien le meilleur d’entre eux. C’était vrai à la primaire, face à Sarkozy et Juppé. Et c’est vrai, aussi, dans cette campagne.

    Et c’était encore plus vrai lors de ce meeting du 9 avril, à Paris. Il a revendiqué, en balayant les questions internationales, son gaullisme, estimant que les chamboulements actuels aux États-Unis, au Royaume-uni, au Moyen-Orient et dans l’Union européenne, s’ils sont porteurs de dangers et d’incertitude, créaient aussi des occasions nouvelles pour que la France devienne la première puissance européenne et retrouve l’audience perdue après la désastreuse présidence Hollande. Incontestablement, la situation internationale lui permet de mettre en avant une stature internationale faite d’expérience, de sérénité et de pragmatisme (sur le dossier syrien) que l’on est bien en peine de trouver chez ses trois rivaux.

    Mais, pour qui a pris la peine de regarder ce meeting, plusieurs figures étonnaient. Celles de revenants d’abord : M. Copé, le rival, mis en évidence sur l’estrade.

    Et puis M. Balladur, aux cotés du candidat dans l’assistance. Étrange symbole que la proximité avec ces deux vaincus… Il y avait, à côté de Penelope, et dans le discours de M. Baroin, futur Premier ministre paraît-il, Luc Ferry, le philosophe ministre de l’Éducation nationale d’il y a 15 ans qui, visiblement, devrait récupérer ce portefeuille en cas de succès. Scepticisme…

    Et puis il y eut, avant le discours de Fillon, ceux de Baroin et de NKM… Baroin et NKM pour appliquer le programme de Sens commun ? On a raison de reprocher à Macron d’être le grand recycleur des hollandais honteux. Mais M. Fillon n’a-t-il vraiment pas d’autre figure à nous proposer que ces personnages de son camp qui ne se sont guère illustrés par la défense courageuse des convictions de la droite ?

    On aurait donc envie de dire à M. Fillon, s’il parvient à être élu, qu’il se souvienne qui l’a fait Président, qui l’a soutenu, qui l’a élu. S’il est élu Président le 5 mai, M. Fillon ne le devra ni à M. Larcher, ni à M. Baroin, ni à M. Lagarde, ni à NKM. Et ne parlons pas des traîtres de la première heure : MM. Apparu, Le Maire et leurs amis.

    Si M. Fillon est élu, il ne le devra qu’à sa capacité de résistance et à la force des convictions de la droite. On veut bien le croire sur sa volonté « sans faille » d’appliquer son programme et de défendre ses convictions une fois à l’Élysée. Mais on ne peut que nourrir quelques doutes sur le courage et les convictions de cet entourage appelé à gouverner.

    Il serait regrettable que sa résistance vertueuse dirigée contre les médiocres de son camp, pendant les moments critiques de la campagne, ne s’exerce pas davantage encore, une fois qu’il les aura menés à la victoire.

    Être gaulliste, c’est aussi être capable de cette résistance-là.

    http://www.bvoltaire.fr/meilleur-meeting-de-fillon-cetait-fillon/

  • Le bon sens s'introduit dans la campagne avec Jean Lassalle

     http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
  • Que retenir du quinquennat d'Hollande ? Les Manifs Pour Tous

    6a00d83451619c69e201bb098e90ef970d-250wi.jpgUn ouvrage vient de paraitre sur "La France de François Hollande, chronique d'un quinquennat 2012-2017". L'auteur, qui est économiste, tient un journal sur les principaux événements du quinquennat, dont entre autre, les manifs pour tous de l'année 2013. Il les décrit avec honnêteté et bienveillance, ce qui est tout à son honneur. Philippe Chalmin écrit ainsi page 53 :

    24 mars 2013 :

    "Combien étions-nous en ce froid dimanche des Rameaux à battre un pavé parisien fort limité par les autorités à l'avenue de la Grande Armée : beaucoup plus que maints sceptiques ne l'imaginaient et probablement autour du million (la fourchette "officielle" est [ce soir] de 300000 à 1400000...) On retrouve les mêmes participants qu'en janvier : des familles, beaucoup de provinciaux, une ambiance bon enfant, pas de dérapages ni aucune homophobie. La Manif pour tous est un INCONTESTABLE succès et elle montre bien que le mouvement ne s'est pas essoufflé, bien au contraire".

    Pages 55 et 56 :

    21 avril 2013 :

    "Encore une belle après-midi sous le soleil printanier avec plusieurs dizaines de milliers d'opposants au "mariage pour tous". L'ambiance est familiale et bon enfant, à mille lieues des violences. [...] La journée s'est terminée, comme cela devient une tradition, par une veillée non violente à la lumière des bougies. De manière spontanée depuis quelques jours, des groupes de jeunes ont retrouvé les racines de la non-violence gandhienne. Des images de ces jeunes couchés sur le sol et désarmant par leur attitude les CRS chargés de les évacuer ont fait le tour des réseaux sociaux. C'est là l'attitude la plus juste face à un gouvernement, une majorité et même une presse dont le raidissement "laïcard" au plus mauvais sens du terme est perceptible dans le mépris de plus en plus affiché des manifestants. La non-violence est belle lorsqu'elle s'exerce ainsi, lorsqu'elle est un message d'amour et non de haine, lorsqu'elle est humilité et non arrogance, lorsqu'elle écoute aussi ceux qui souffrent. Espérons que ces petites flammes ne s'éteindront pas".

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • J-13: quel est le pire pour barrer la route à Marine?

     Vendredi, le cœur de la très multiculturaliste capitale suédoise a été ensanglantée par une attaque au camion bélier qui a fait quatre morts, selon le même mode opératoire utilisé à Nice et à Berlin. Le suspect principal a été arrêté à Stockholm peu après.  Il s’agit d’un  ouzbek  débouté du droit d’asile, ayant porté  « de l’intérêt pour des organisations extrémistes comme l’Etat islamique » selon la police. En Egypte hier, se sont  déroulées les funérailles des  44 personnes victimes  des deux attentats revendiqués par le groupe Etat islamique au Sinaï qui ont frappé deux églises coptes à Alexandrie et Tanta.  En France même, la menace terroriste est toujours là, tapie dans l’ombre,  et nous savons que nos services, loin de l’attention médiatique, ont fort à faire pour protéger notre pays. Une  cible que les islamistes entendent encore frapper avec un maximum de retentissement en cette période électorale.
    A deux semaines jours du premier tour de l’élection présidentielle justement,  dans cette dernière ligne droite, les candidats jouent leur va-tout  notamment pour la qualification pour le second tour. Il n’y avait certes pas les 25 000 militants annoncées Porte  de Versailles pour écouter hier François Fillon à Paris et encore moins les 70 000 personnes  claironnées par Jean-Luc Mélenchon pour son discours  sur le vieux port de Marseille.  Mais les resserrements dans les intentions de vote font (re)naître des espoirs chez les fillonistes dont le champion martèle ce qu’il considère comme ses atouts.  A savoir  ses promesses de faire demain  ce qu’il n’a pas su ou voulu faire hier, sa capacité à  obtenir une majorité à l’Assemblée (?) pour mener sa politique et son  expérience de la conduite de l’Etat.

    Un argument à double tranchant si les Français veulent bien se souvenir que le gouvernement Fillon c’est un million d’immigrés en plus, une montée continue de l’insécurité, une explosion de la pression fiscale.  C’est aussi plus largement  une mauvaise gestion  des deniers publics dont la droite au pouvoir s’est défaussée très hypocritement sur  la crise de 2008 (comme l’Europe à laquelle ils se sont tous soumis, elle a souvent  le dos large! ), mais qui lui est largement imputable comme l’a dit la  Cour des comptes. Le gouvernement  Fillon   c’est une dette de l’Etat  qui passe de  921 milliards en 2007 à  1 386 milliards en 2012 (+ 465 milliards) ; une dette de la France (selon les critères de Maastricht)  qui passe dans le même laps de temps de  1 221,1 milliards à  1 818,1 milliards (+597 milliards).

    Quant à M. Mélenchon, il  met désormais en public  beaucoup  d’eau  dans son vin rouge. Il a arrêté les odes trop bruyantes  à l’immigration comme ce fut le cas notamment le cas il y a cinq ans  déjà à Marseille  sur la page du Prado; un  immigrationnisme militant  qu’il a troqué hier pour une allocution sur la paix, branche d’olivier dans la poche. Mais son programme repoussoir pour les catégories populaires et les classes moyennes est bien le même qui a pour socle une  vision désincarnée et abstraite de l’identité française:  régularisation  des clandestins, droit de vote des immigrés,  poursuite de l’immigration, hausse de 100 milliards des impôts, non remise en cause de Schengen…

    Les sondages semblent enregistrer cette poussée en  faveur du candidat de la France Insoumise soutenu par le  Parti communiste. L’enquête   Kantar Sofres OnePoint pour LCI, le Figaro et RTL, réalisée après le débat télévisé  des 11 candidats, le donne même gagnant au second tour face à Marine Le Pen avec un meilleur score que celui de François Fillon dans la même hypothèse! Chacun appréciera à sa juste valeur comme Bruno Gollnisch,  la fiabilité de cette prédiction scientifique…  En attendant,  ce même sondage crédite Marine et Emmanuel  Macron tous deux de 24% des suffrages, M. Mélenchon se glissant dans  le rôle du troisième homme (18%), suivi par François Fillon (17%) et Benoit Hamon (9%) principale victime de l’embellie sondagière de M. Mélenchon. Quant au sondage Opinionway-Orpi pour Les Echos et Radio classique publié vendredi, il donne Marine en tête le 23 avril avec 25% des intentions de vote, devant  Emmanuel  Macron (24%),  François Fillon (20%),  Jean-Luc Mélenchon ( 16%),  Benoît Hamon (10%), Nicolas Dupont-Aignan (3,5%)…

    Les frontistes les plus chevronnés ne seront pas surpris que dans ce contexte de maintien en tête de la course de la candidate de l’opposition nationale, populaire et sociale - qui bénéficie par ailleurs du socle le plus solide  d’électeurs sûrs de leur choix -,  les attaques se fassent plus pressantes et hargneuses.  On l’a constaté avec l’opération commando  menée   samedi  à Ajaccio (Corse-du-Sud), sur une terre corse où le vote Le Pen a toujours été très élevé. Une vingtaine de militants d’extrême gauche, se réclamant de l’indépendantisme  corse ( Gjhuventù Independentista, Jeunesse indépendantiste), ont perturbé violemment la réunion publique de Marine. Des nationalistes  anti FN,  qui ont comme de juste les faveurs d’un pouvoir qui répète pourtant sur tous les tons que le nationalisme c’est la guerre… mais qui sont utilisés ici contre les patriotisme défendu par le Mouvement national Certes,  les Corses fiers de leur identité ne sont pas dupes…

    On le constate encore avec la tentative de  créer une mauvaise polémique autour des propos de Marine hier, alors qu’elle était l’invitée de l’émission Le Grand Jury RTL-LeFigaro-LCI.   La candidate national a fait glapir la meute,  juste parce qu’en réponse à une  question d’Olivier Mazerolles, elle a  eu le  le front de rappeler son refus de la repentance. En l’espèce son désaccord avec le discours de Jacques Chirac en 1995, repris ensuite par tous ses  successeurs qui, abandonnant la jurisprudence gaullienne, avait reconnu le premier la responsabilité de la France dans la rafle du Vel d’Hiv. 

    Emmanuel Macron qui a déjà maintes  fois étalé ses approximations et son empressement à endosser toutes les postures du politiquement correct n’a pas été le dernier à réagir. Mais la question qui inquiète les antinationaux est aussi celle de sa capacité à barrer la route de l’Elysée à Marine L’humanité dimanche cite Rémi Lefebvre, chercheur au CNRS, spécialiste du PS, qui dans Le Mondeconfesse des craintes très partagées au sein du Système:  « Désorientés, les électeurs de gauche se raccrochent à la boussole des sondages et cèdent à un vote utile qui (…) risque de faire, mais aussi de défaire, l’élection, si par là on entend la délibération raisonnée autour de projets.  Macron, vote utile ? À voir. Électoralement, le profil du banquier d’affaires puis conseiller du prince sied à merveille comme adversaire à une Madame Le Pen qui se rêve en égérie du peuple (sic).  Macron est un pur produit du système et incarne une tentative de celui-ci de se sauver, une illusion dangereuse face à la réalité du FN, selon (le cadre communiste, NDLR) Olivier Dartigolles. « C’est la même configuration qu’aux États-Unis, analyse Éric Coquerel (du Parti de Gauche, NDLR). Hillary Clinton était moins bien placée que Bernie Sanders pour éviter la victoire de Donald Trump. Comme le craint Rémi Lefebvre, le candidat Macron est moins soutenu pour ses propositions politiques que comme un vote tactique. Selon une enquête BVA, 32 % de ses électeurs le choisissent par défaut, car c’est le moins pire de tous »… Vraiment?

    https://gollnisch.com/2017/04/10/j-13-pire-barrer-route-a-marine/

  • Macron ou Le Pen ? Le fossé entre le parti LR et son électorat

    Lu dans L'Opinion :

    C8-d4JZU0AAqRaX

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une faction LR menée par Estrosi est en négociation avec Emmanuel Macron

    Lu sur Sud Radio :

    "Voici une scène qui s'est déroulée dans le bar le Brazza, dans le quinzième arrondissement de Paris rue Vaugirard, à 200 mètres du siège du parti Les Républicains. Christian Estrosi et Jean-Paul Delevoye, le président de la commission d'investiture du mouvement En Marche, se sont rencontrés. Et la discussion ne se faisait pas avec un accueil de façade comme c'était le cas à Marseille, afin de masquer le fait qu'une négociation était en cours. Les termes de la négociation sont les suivants, Christian Estrosi prépare un appel d'élues dès le soir du premier tour, si Macron est en situation, afin de voter en sa faveur. En échange Les Républicains et les candidats En Marche vont s'aider dans la région PACA pour les élections."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html