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élections - Page 397

  • Rappel : Macron va devoir payer l'ISF, il avait sous-évalué son patrimoine

    Les vérifications faites autour de la situation fiscale d'Emmanuel Macron après son entrée au gouvernement, en août 2014, ont révélé que le ministre de l'Economie devait payer l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) pour les années 2013 et 2014 révèle Mediapart ce mardi. 
    Le rattrapage ne devrait pas dépasser les 10 000 euros. 
    Depuis «l'affaire Cahuzac», chaque membre du gouvernement fait l'objet d'une enquête sur sa situation fiscale. Au moment d'arriver à Bercy, Emmanuel Macron n'y a pas échappé. Le ministre estimait alors qu'il n'avait pas à payer l'ISF, dont le seuil est fixé à 1,3 million d'euros, mais aurait sous-évalué la maison de son épouse de 200 000 euros d'après les chiffres du Canard Enchaîné. Après un an et demi de discussion avec le fisc, Emmanuel Macron s'est donc résolu à payer l'ISF. 
    Il voulait supprimer l'ISF 
    Ces révélations arrivent alors que le locataire de Bercy a lancé son propre parti politique «En Marche» et que certains de ses proches le voient se lancer dans la course à l'Elysée en 2017. Du côté du cabinet d'Emmanuel Macron, on assure qu'il n'y a pas d'affaire et qu'il s'agit seulement d'une erreur d'estimation. 
    Alors qu'Emmanuel Macron enchaîne les initiaves sur des sujets qui bousculent la gauche et le gouvernement, le ministre s'en est justement pris à l'impôt de solidarité sur la fortune le 19 avril dans la revue spécialisée Risques : «Si on a une préférence pour le risque face à la rente, ce qui est mon cas, il faut préférer la taxation sur la succession aux impôts de type ISF.» Dès le lendemain, le Premier ministre l'avait recadré estimant que « supprimer l’impôt sur la fortune (...) serait une faute». Le tout accompagné d'un petit tacle : «Je demande à chaque ministre, puisqu’il reste encore un an, d’être pleinement attelé à sa fonction, à sa mission».

  • Discours de Marine Le Pen à la convention sur l’entrepreneuriat et l’innovation.

  • Les fonctionnaires votent Marine Le Pen

    8773-20170107.jpgQue les fonctionnaires soient de fidèles électeurs de gauche a été longtemps une donnée incontestée de la sociologie électorale. La gauche étant étatiste quand elle n’est pas collectiviste, elle a besoin de nombreux serviteurs de l’Etat à mesure que ce dernier étend le champ de son action. Les fonctionnaires ne peuvent donc que soutenir ceux qui les soutiennent. Ainsi expliquait-on ce tropisme vers la gauche. Mais les temps changent !

    Car, selon l’enquête du centre de recherche de Sciences Po, le Cevipof, pour la prochaine élection présidentielle, effectuée du 2 au 8 décembre, c’est Marine Le Pen qui devance tous les autres candidats chez les fonctionnaires et ce dans les trois fonctions publiques, hospitalière (21,5 %), d’Etat (18,5 %), territoriales (19,4 %), ainsi que dans les entreprises publiques (25,4 %). Globalement, au premier tour, elle[BG1] recueillerait entre 20,7 % et 22,2 % des suffrages des fonctionnaires. Elle est suivie de François Fillon, crédité de 18,8 % à 21 % des voix. La place du meilleur candidat de gauche se disputerait entre Valls et Mélenchon qui, dans le meilleur des cas, ne pourraient dépasser les 16 % dans cet électorat.

    Cette étude permet de comprendre pourquoi les fonctionnaires ne sont plus liés à la gauche. Ce n’est pas seulement parce que Hollande n’a pas plus tenu ses promesses à leur égard qu’à celui de ses autres électeurs. Leurs préoccupations dépassent cette déception, générale au demeurant.

    Le fait qu’ils se répartissent principalement entre Fillon qui veut supprimer 500 000 de leurs postes, et Marine Le Pen dont ce n’est pas le projet, montre que la défense de leur intérêt corporatif et de leur statut n’est plus un élément important de leur choix électoral. Avant d’être salariés de l’Etat, ce sont des citoyens qui, subissant les mêmes maux et les mêmes contraintes que les autres dans la cité, réagissent de la même manière. L’insécurité, la pression migratoire, l’islamisation de la société, touchent également ceux qui travaillent dans le privé et le public. Mais l’évolution rapide de ces derniers vers la droite nationale s’explique parce qu’ils sont le plus souvent en première ligne pour constater les conséquences de l’immigration, du communautarisme et de l’islamisation.

    A l’hôpital, dans les commissariats, les prisons, les établissements scolaires de banlieues, les services sociaux, etc. les salariés ne peuvent se payer de mots pour désigner ceux qui rendent leur vie infernale comme celle de leurs concitoyens. Aux médias, les euphémismes, les litotes, les dénis, les mensonges par omission sur les « jeunes » sans origine ni visage ! Eux, savent parce qu’ils voient et s’ils ne peuvent dire publiquement leur colère ils l’expriment dans les urnes, comme leurs compatriotes de plus en plus nombreux.

    On ne s’étonnera donc pas que Marine Le Pen domine largement les intentions de vote (46,3 à 46,8 %) chez les policiers et les militaires, loin devant François Fillon. De même, elle connaît son meilleur score dans la fonction publique hospitalière. Les fonctionnaires les plus modestes, ceux de catégories B et C, préfèrent majoritairement la présidente du Front national (entre 21,3 % et 27,6 %). Ainsi les fonctionnaires rejoignent-ils le reste des Français dont l’espoir a le visage de Marine Le Pen.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 7 janvier 2017

    http://fr.novopress.info/202616/les-fonctionnaires-votent-marine-le-pen/

  • Droitisation : chez les fonctionnaires aussi

    La droitisation de l'électorat fonctionnaire se poursuit et s'inscrit dans la durée, révèle une note du Cevipof, centre de recherches de Sciences Po, dans la vague 9 de son enquête électorale pour 2017, publiée cette semaine. Luc Rouban, auteur de l'étude, analyse :

    «Cette évolution s'inscrit dans la perspective d'une demande générale d'autorité mais aussi de la crise sociale qui secoue la fonction publique la plus modeste».

    En mai 2016, 41% des salariés du public (en suffrages exprimés) auraient voté pour un candidat de gauche au premier tour de l'élection présidentielle de 2017. En décembre 2016, ces chiffres sont sérieusement revus à la baisse puisqu'ils ne seraient plus que 29% à 39,5% en fonction de l'offre de candidature. Le PS subit un affaissement électoral considérable.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zoom - Hervé Juvin : "Une vraie révolution : le gouvernement du désir !"

  • Table ronde « Produire et innover en France » à la convention sur l’entrepreneuriat et l’innovation.

  • Trump, les débuts d’un mandat 2.0

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie: « Avec tout le respect que je vous dois, M. le président élu, l’Amérique ne peut s’offrir le luxe d’une présidence Twitter. » C’est par ces mots que le nouveau chef de l’opposition, Charles Schumer, espère arrêter une politique qui semble bien réussir à M. Trump. On se souvient que les médias nous avaient dit que Trump avait été privé de son compte Twitter (18,8 millions d’abonnés !) les quelques jours qui précédèrent son élection.

    Depuis, le virtuose des 140 caractères ne se prive pas de ce moyen de communication lapidaire. Au travers de quelque 400 tweets qui ont suivi son élection, cela lui permet de commencer dès maintenant à diriger. Il a ainsi fait plier Ford, Général Motors, ou sur un plan plus politique, jeté un froid avec Pékin, et félicité M. Poutine. Il est probable que son arrivée à la Maison‑Blanche n’arrange pas les choses avec deux comptes Twitter officiels, @POTUS (l’acronyne de President Of The United States), 13 millions d’abonnés, et @WhiteHouse, 13,2 millions.

    http://fr.novopress.info/

  • Le SIEL présentera des candidats aux élections législatives

    De Jérôme Guéry, Délégué départemental SIEL 78 :

    6a00d83451619c69e201bb09669587970d-800wi.jpg"Le SIEL 78 vous souhaite à tous une Sainte et Heureuse année 2017. 

    L’année 2017 sera marquée par de nouveaux combats pour notre patrie, notre civilisation, la défense de la Vie, de la Famille et de notre chrétienté ainsi que par deux scrutins décisifs pour notre pays. 

    Plus que jamais, le SIEL se pose comme un pôle patriotique authentique, civilisationnel et enraciné entre des Républicains qui n’ont cessé de nous trahir et un  Front National où souffle actuellement  un esprit «  jacobin  laïcard » impulsé par Florian Philippot. Une ligne chevènementiste s’est ainsi progressivement emparée du Front national.

    Le SIEL, pour sa part, maintient le combat pour les valeurs fondatrices de notre civilisation et qui implique notamment le refus de l’invasion migratoire et d’un islam conquérant. La  remigration des populations qui refusent de se plier à nos lois et nos coutumes, l’affirmation de la culture chrétienne de notre pays, la défense de la famille traditionnelle et le respect absolu de la vie, de la conception à la mort naturelle, la liberté pour les parents d’éduquer leurs enfants, l’autorité d’un Etat respecté, recentré sur ses missions régaliennes, la protection de toutes nos libertés, dont la liberté d’entreprise sont autant de réponses qui guident notre projet politique.

    A chacun de faire preuve d’audace, de courage et de liberté. 

    Le SIEL sera à vos côtés et défendra comme il l’a toujours fait ce qui a fait la France et combattra tous ceux qui veulent la défaire.

    Le SIEL va s’engager résolument dans ces combats sans aucune concession, ni reniement. 

    C’est donc dans cette perspective, pour répondre à toutes ses inquiétudes, pour relever les défis qui s’annoncent, pour réveiller les consciences et s’émerveiller à nouveau que le SIEL 78 a d’ores et déjà fait le choix de présenter des candidats aux élections législatives de juin prochain, avec d’autres forces politiques patriotes, avec l’objectif d’envoyer au Palais Bourbon des députés pour faire entendre avec force la voix du pays réel et de la France éternelle aujourd’hui silencieuse.

    La vocation de la France est d’être une puissance forte et respectée, qui assure la prospérité de son peuple, tout en garantissant l’autorité et le rayonnement de notre pays hors de ses frontières. Ensemble, nous devons agir pour œuvrer ainsi au redressement spirituel et moral de la France

    Que cette année 2017 soit celle de la France éternelle."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html