élections - Page 399
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2017, en toute simplicité #4 : « Pourquoi je soutiens Marine »
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Zoom - Hervé Juvin : "Une vraie révolution : le gouvernement du désir !"
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Table ronde « Produire et innover en France » à la convention sur l’entrepreneuriat et l’innovation.
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Trump, les débuts d’un mandat 2.0
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : « Avec tout le respect que je vous dois, M. le président élu, l’Amérique ne peut s’offrir le luxe d’une présidence Twitter. » C’est par ces mots que le nouveau chef de l’opposition, Charles Schumer, espère arrêter une politique qui semble bien réussir à M. Trump. On se souvient que les médias nous avaient dit que Trump avait été privé de son compte Twitter (18,8 millions d’abonnés !) les quelques jours qui précédèrent son élection.
Depuis, le virtuose des 140 caractères ne se prive pas de ce moyen de communication lapidaire. Au travers de quelque 400 tweets qui ont suivi son élection, cela lui permet de commencer dès maintenant à diriger. Il a ainsi fait plier Ford, Général Motors, ou sur un plan plus politique, jeté un froid avec Pékin, et félicité M. Poutine. Il est probable que son arrivée à la Maison‑Blanche n’arrange pas les choses avec deux comptes Twitter officiels, @POTUS (l’acronyne de President Of The United States), 13 millions d’abonnés, et @WhiteHouse, 13,2 millions.
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Le SIEL présentera des candidats aux élections législatives
De Jérôme Guéry, Délégué départemental SIEL 78 :
"Le SIEL 78 vous souhaite à tous une Sainte et Heureuse année 2017.
L’année 2017 sera marquée par de nouveaux combats pour notre patrie, notre civilisation, la défense de la Vie, de la Famille et de notre chrétienté ainsi que par deux scrutins décisifs pour notre pays.
Plus que jamais, le SIEL se pose comme un pôle patriotique authentique, civilisationnel et enraciné entre des Républicains qui n’ont cessé de nous trahir et un Front National où souffle actuellement un esprit « jacobin laïcard » impulsé par Florian Philippot. Une ligne chevènementiste s’est ainsi progressivement emparée du Front national.
Le SIEL, pour sa part, maintient le combat pour les valeurs fondatrices de notre civilisation et qui implique notamment le refus de l’invasion migratoire et d’un islam conquérant. La remigration des populations qui refusent de se plier à nos lois et nos coutumes, l’affirmation de la culture chrétienne de notre pays, la défense de la famille traditionnelle et le respect absolu de la vie, de la conception à la mort naturelle, la liberté pour les parents d’éduquer leurs enfants, l’autorité d’un Etat respecté, recentré sur ses missions régaliennes, la protection de toutes nos libertés, dont la liberté d’entreprise sont autant de réponses qui guident notre projet politique.
A chacun de faire preuve d’audace, de courage et de liberté.
Le SIEL sera à vos côtés et défendra comme il l’a toujours fait ce qui a fait la France et combattra tous ceux qui veulent la défaire.
Le SIEL va s’engager résolument dans ces combats sans aucune concession, ni reniement.
C’est donc dans cette perspective, pour répondre à toutes ses inquiétudes, pour relever les défis qui s’annoncent, pour réveiller les consciences et s’émerveiller à nouveau que le SIEL 78 a d’ores et déjà fait le choix de présenter des candidats aux élections législatives de juin prochain, avec d’autres forces politiques patriotes, avec l’objectif d’envoyer au Palais Bourbon des députés pour faire entendre avec force la voix du pays réel et de la France éternelle aujourd’hui silencieuse.
La vocation de la France est d’être une puissance forte et respectée, qui assure la prospérité de son peuple, tout en garantissant l’autorité et le rayonnement de notre pays hors de ses frontières. Ensemble, nous devons agir pour œuvrer ainsi au redressement spirituel et moral de la France
Que cette année 2017 soit celle de la France éternelle."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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#LeVraiFillon : quand François Fillon efface son programme...
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Le Havre : Jean-Yves Métayer-Robbes sera le candidat de la droite nationale aux législatives de juin prochain
Un communiqué de Jean-Yves Métayer-Robbes :
Je suis heureux de vous annoncer ma candidature aux élections législatives de Juin 2017, au Havre, soutenu par mon ami Carl LANG, le Parti de la France dont il est le Président et les Comités Défense Républicaine dont je suis le Président-Fondateur.
Le Havre va enfin pouvoir choisir librement entre le député sortant laïcardo-mondialiste E.Philippe, ex-porte-parole "d'Alain Juppé le grand perdant" et la vraie droite nationale que j'aurai l'honneur de représenter, dans l'espoir de devenir le futur député de la Porte Océane. Tous vos soutiens sont les bienvenus. Ensemble, nous allons défendre l'identité française. Oui, nous allons tout faire pour stopper l'islamisme et ceux qui l'encouragent tous les jours. Nous serons la droite de conviction, la droite des valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, la droite de défense de nos entreprises et du patriotisme économique et social.
Vous allez enfin pouvoir vous faire entendre à l' Assemblée Nationale. Vous pouvez compter sur moi et sur ma détermination.
Le site de Jean-Yves Métayer-Robbes cliquez ici
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Samedi 21 janvier : Jean-Marie Le Pen tiendra un grand meeting à Palavas Les Flots dans l'Hérault
Jean-Marie Le Pen tiendra le 21 Janvier 2017 à 18H00 un meeting national et dîner politique à Palavas-les-Flots dans l'Hérault.
Renseignements et hébergements :
comitejeanne34@gmail.com
@comitejeanne - 06 74 88 96 10
Vous avez également la possibilité de vous inscrire en ligne cliquez ici
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Le parti de la haine et du rejet de l’autre
C’est sa ville de Chicago, troisième des Etats-Unis par la taille, ravagée par la crise et la criminalité, qui a été choisie par Barack Obama, pour y prononcer la semaine prochaine son discours d’adieu. Celui des illusions perdues peut-être pour un président sous le mandat duquel 43 millions d’Américains tombés dans la pauvreté ne survivent que grâce à l’aide alimentaire, dans un pays toujours aussi violent. Tout un symbole, quatre adolescent noirs vivant à Chicago ont été inculpés hier de crime raciste envers un jeune blanc handicapé qu’ils ont kidnappé, séquestré pendant près de deux jours et soumis à des sévices corporels. Ils ont diffusé leurs tortures en direct sur Facebook, assorties de remarques anti Trump et anti blancs. On arrête pas le progrès. De nombreux commentateurs ont avancé que les agresseurs étaient en lien avec la très subversif et nocif mouvement «Black Lives Matter» qui attise les tensions raciales, officine financée par le très défavorablement connu milliardaire mondialiste George Soros.
En France, les médias nous resservent ces dernières heures l’affaire des assistants parlementaires du FN qui serait un boulet pour la campagne de Marine, alors qu’elle n’est qu’une énième déclinaison de la persécution dont sont victimes les nationaux de la part de l’institution bruxelloise et de ses relais politiques en France. Toutes choses parfaitement comprises et analysées par la journaliste Elisabeth Lévy qui était hier soir à l’antenne de l’émission On refait le monde sur RTL.
Gros médias qui, débordés par les réseaux sociaux et internet, sont désormais obligés d’évoquer, même a minima, le cas Christophe Bejach, directeur général des actions européennes de la société d’investissement Monument Capital Group Holdings LLC. Ce monsieur, de nationalité française et vivant à Londres, a été condamné en décembre dans la capitale britannique à 100.000 euros d’amende, 20 jours de travaux d’intérêt général et 100 jours de traitement médical pour pédopornographie. Piégée par une policière, il a été soupçonné de vouloir mettre sur pied une séance de photos érotiques avec trois fillettes âgées de 8, 10 et 12 ans. Les policiers ont trouvé à son domicile des photos de viols de fillettes; il a par ailleurs avoué son attirance pour les petites filles « de deux fois cinq ans ».
M. Bejach fut aussi un membre fondateur d’un cercle de réflexion archétypale du PS du XXIème siècle, de la gauche progressiste, à savoir Terra Nova, et conseiller technique au ministère des finances de Bercy sous la direction d’Arnaud Montebourg jusqu’en 2014. Certes, nous croyons bien volontiers M. Montebourg et son entourage quand ils affirment que ce pédophile n’avait pas de contacts privés avec le candidat à la primaire socialiste. Certes, ce malade a mené une existence de techno plus en retrait par exemple que ce soutien de François Bayrou, l’eurodéputé Modem Robert Rochefort, vice-président du parti centriste, condamné en août dernier pour exhibition sexuelle a proximité d’enfants dans un magasin de bricolage. Mais imagine-t-on qu’un ex-collaborateur, un soutien même éloigné de la candidate du FN, n’aurait pas été épinglé plus bruyamment par les médias dans les mêmes circonstances?
Du bruit, Vincent Peillon, nous l’avons vu, en fait à tort et à travers, et ses soutiens aussi, à l’image du député PS de Haute-Garonne Kader Arif, fédéraliste européen, Secrétaire d’Etat aux anciens combattants jusqu’en 2014, avant de démissionner suite à l’ enquête préliminaire du parquet financier au sujet de la société d’un de ses frères.
Invité de la webémission du HuffPost, M. Arif, comme M. Peillon dénonçant le « fascisme rampant » du FN, a repris de vieux éléments de langage. Après tout, comme le disait déjà Staline, «si vous parlez avec un homme de droite, traitez-le de fasciste, pendant le temps qu’il mettra à se disculper, il n’argumentera pas…». Une vieille ficelle qui sert aussi désormais à cacher le vide abyssal des propositions des candidats antinationaux, à dissimuler leurs lieux communs programmatiques, leurs vieilles recettes éculées, leur absence d’imagination.
« Je suis inquiet» a affirmé ce député PS. «Les mots ont du sens. Le FN est un parti d’extrême droite (…). Oui, je pense que ce parti-là, accompagné par la fachosphère, est un parti fasciste sur un certain nombre du sujet », se disant « très inquiet des porosités qui s’opèrent entre une partie de la droite et du FN ». « Je veux pas dramatiser les choses, mais je me méfie des lâchetés individuelles et collectives dont on est tous capables. Quand je regarde ce qu’ont été les années 30. Une république affaiblie, une crise économique, la montée progressive du nazisme, qui a pris le pouvoir par les urnes… L’Europe tournait la tête. Je ne fais pas de parallèle, mais il faut que l’histoire ne se répète pas ».
Les mantras stupides et grossiers de M Arif, constate Bruno Gollnisch, ont été rabâchés jusqu’à la nausée ces dernières décennies par ce Système qui assiste effrayé à ce retour du réel en politique qu’il a tenté de dissimuler aux Français. Ils prennent aussi une résonance particulière alors qu’ont été commémorés cette semaine les deux ans du massacre commis par les frères Kouachi dans les locaux de Charlie-Hebdo.
Une des victimes de cette tuerie fut l’économiste eurosceptique Bernard Maris qui était une des plumes de Charlie. Un homme intelligent qui dans son livre « Et si on aimait la France » avait eu le courage intellectuel de dénoncer (sur le tard) avec lucidité les errements idéologiques de la gauche, le drame de l’immigration sans frein, le masochisme anti-français, la bobo-attitude… Il reprenait aussi à son compte les analyses des Fractures françaises de Christophe Guilluy sur la France des relégués, des oubliés, des petits blancs, des classes moyennes et populaires abandonnés par une gauche sous influence Terra Nova.
Quelques mois avant cette tuerie, en mai 2014, M. Maris écrivait cependant dans Charlie-hebdo : «Dans le village où j’habite, peuplé de quelque 650 habitants, 38% d’entre eux ont voté pour le FN. Les 62 autres % ne comprennent pas. Pourquoi choisir le parti de la haine, du rejet des autres, de la peur, du repli sur soi? (…). Comment faire confiance à un parti qui a promis de faire la chasse aux journalistes, de les attaquer à mort, de leur marcher dessus?».
Le parti de la haine et du rejet de l’autre existe bien, mais assurément il se trouve du côté des adversaires de ceux qui entendent défendre les valeurs de notre incomparable civilisation helléno-chrétienne, préserver, fortifier, assurer un avenir français à notre nation et à notre peuple. Cette évidence-là ne cesse d’être démontrée par les événements.
https://gollnisch.com/2017/01/06/parti-de-haine-rejet-de-lautre/
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Pour Alain de Benoist, le « moment populiste » remplace le clivage droite/gauche
Le Moment populiste – Droite/Gauche c’est fini ! : tel est le titre du fort essai que publie le 26 janvier Alain de Benoist, le directeur de la revue Krisis, aux éditions Pierre-Guillaume de Roux, qui en diffusent cette présentation :
« L’extraordinaire défiance de couches de population toujours plus larges envers les “partis de gouvernement“ et la classe politique en général, au profit de mouvements d’un type nouveau, qu’on appelle “populistes“, est sans nul doute le fait le plus marquant des transformations du paysage politique intervenues depuis au moins deux décennies.
Le phénomène tend même à s’accélérer, comme l’a montré l’élection de Donald Trump, survenant quelques mois après le Brexit britannique. Partout se confirme l’ampleur du fossé séparant le peuple de la Nouvelle Classe dominante. Partout émergent de nouveaux clivages qui rendent obsolète le vieux clivage droite-gauche.
Mais que faut-il exactement entendre par populisme ? S’agit-il d’un simple symptôme d’une crise générale de la représentation ? D’une idéologie ? D’un style ? Ou bien le populisme traduit-il une demande fondamentalement démocratique face à des élites accusées de ne plus faire de politique et de vouloir gouverner sans le peuple ? C’est à ces questions que répond ce livre, qui part de l’actualité la plus immédiate pour situer les enjeux politiques, sociologiques et philosophiques du débat.
A quelques mois d’une élection présidentielle où le thème du populisme ne va pas manquer d’être discuté avec vigueur, Alain de Benoist publie un véritable manuel de la question. »
Alain de Benoist, Le Moment populiste, Pierre-Guillaume de Roux, 352 p., 23,90 € (en librairie le 26 janvier).