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élections - Page 530

  • Le changement c’est maintenant

    «Partout en Europe les peuples disent non à la submersion migratoire» s’est félicitée  Marine Le Pen: le mouvement de  droite identitaire, anti-immigration  Union Démocratique du Centre (UDC), a progressé de manière spectaculaire  en Suisse hier lors des élections législatives. Les «populistes»  envoient ainsi 65 élus (sur 200)  à la  chambre basse du parlement, soit onze élus de plus que lors de la précédente législature, trois de mieux  que lors du scrutin «historique» de 2007. La campagne de l’UDC, premier parti de la confédération helvétique,  a été menée sous le slogan «Rester libres»  et a été basée sur le refus de la nouvelle vague immigrée et du laxisme bruxellois. Une préoccupation partagée: l’enquête  de l’institut gfs.bern  indiquait que pour 48% des  Suisses interrogés,  les questions de l’asile et de l’immigration était la «première priorité », loin devant les relations entre la confédération helvétique et  l’UE .

    Toujours dimanche mais en Allemagne cette fois, Henriette Reker a été élue dés le premier tour maire de Cologne avec le soutien assez inédit d’une large coalition CDU (conservateurs), verts (Grünen, écologistes) et jaunes (FDP, libéraux). La veille, elle  avait été agressée  assez grièvement au  couteau  par un homme présenté de manière pléonastique dans les médias comme un «néo-nazi» et un «xénophobe».  Mme Reker était jusqu’alors chargée de l’accueil des réfugiés à la mairie de Cologne.

    Heureusement la vie de Henriette Reker n’est pas en danger, et s’il faut  condamner bien évidemment énergiquement cette violence, il est à noter que les nombreuses agressions et  viols commis par les immigrés depuis leur arrivée en Allemagne n’ont pas bénéficié du même retentissement dans la presse audiovisuelle, ni des mêmes commentaires  dans le classe politicienne allemande.

    Nul besoin d’être « néo-nazi » ou animé par de bas instincts pour s’élever contre la folle politique migratoire. C’est pourtant ce  que veut nous faire croire  une certaine  propagande médiatique qui tend à culpabiliser les Européens. Elle vise  à  assimiler tout reflexe identitaire, tout réflexe de survie, toute volonté du corps social de réactiver ses défenses immunitaires,  aux  «heures les plus sombres de notre histoire.»

    Dans un article récent consacré à l’ avenir d’Israël, Guillaume  Faye, sur son blogue J’ai tout compris,  posait  les termes de la  problématique qui s’applique parfaitement  à nos pays européens : « la démographie détermine l’histoire et oriente le destin des peuples et des États. Plus encore que les évolutions politiques, idéologiques, religieuses. La démographie est l’infrastructure principale et non pas l’économie (position marxiste et libérale). Les menaces catastrophiques sur l’identité européenne, par exemple, avec l’immigration et l’islamisation incontrôlées, relèvent de la démographie.»

    Selon  la dernière une enquête  de l’institut de sondage YouGov, 56% des citoyens allemands considèrent que le nombre de demandeurs d’asile est trop élevé (+10 points par rapport au mois de septembre).  Seuls 19% des sondés  pensent que l’Allemagne peut encore accueillir des demandeurs d’asile (28% en septembre).Selon cette  même enquête publiée dans le  Frankfurter Allgemeine Zeitung le 14 octobre et relayée par Polemia, moins d’un tiers des Allemands (32%) «partage aujourd’hui l’opinion d’Angela Merkel qui a affirmé à plusieurs reprises, en considérant le nombre élevé de réfugiés mais aussi leur accueil et leur soutien matériel : Nous allons réussir. Début septembre, ils étaient encore 43%. 64% des sondés pensent désormais que cette affirmation est infondée ».

    En France, les élections régionales de décembre devraient confirmer une nouvelle poussée de l’opposition nationale, populaire et sociale. Dans une région  particulièrement  scrutée  et emblématique comme la PACA, un sondage Odoxa pour Le Parisien/BFM TV, publié dimanche,  place la liste FN conduite par  Marion Maréchal-Le Pen en tête des intentions de vote par. Elle est  créditée de 37 % au second tour, devant  la liste LR/UDI/Modem de  Christian Estrosi (34%)  et celle du PS et des Radicaux de gauche de Christophe Castaner (29 %).

    Dans ce climat peu réjouissant pour la gauche, le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, s’est essayé à la méthode Coué en se félicitant hier  du succès du très gaguesque  référendum pour «l’unité de la gauche». A la question, « face à la droite et à l’extrême droite, souhaitez-vous l’unité de la gauche et des écologistes aux élections régionales?»,  89 % des  251 327 votants annoncés auraient  répondu «oui». Un chiffre à l’évidence gonflé, même si l’objectif officiel des 300 000 participants n’a pas  été atteint, car  il était possible de voter plusieurs fois sur internet. « Mieux » encore,  plusieurs personnalités comme Emmanuelle Cosse, David Rachline  ou Edwy Plenel ont ainsi reçu des confirmations de vote, alors qu’ils n’y avaient pas participé à ce référendum !

    Pour tenter de limiter la déroute électorale et/ou la  déferlante nationale que certains prédisent dans les urnes dans huit semaines, l’RPS s’emploie à dramatiser le débat, à faire peur.  Utilisant le même registre que  MM. Cambadélis et Sarkozy, François Hollande, invité ce matin de RTL,  a évoqué assez longuement les possible victoires du FN dans certaines régions. Il a utilisé pour se faire,  sans grande imagination,  toujours le même mantra  usé jusqu’à la corde : «Un grand pays comme la France ne doit pas se refermer (…) Je dois tout faire pour que l’on puisse vivre ensemble.» La possibilité d’un  boycott international a même été imaginée par les communicants de M. Hollande pour frapper les esprits!  Il a ainsi annoncé   qu’une victoire du FN aurait  des conséquences sur  la croissance ou l’investissement de pays étrangers en France : « Je préfère le dire pour que chacun soit au courant » (sic).

    Même panique, même mensonge  hier de l’allié des Républicains, le président de l’UDI  Jean-Christophe Lagarde. Invité de Radio J, il a estimé qu’une  victoire du FN en PACA   serait «dramatique pour notre pays parce que ce ne serait pas une solution» mais «une impasse». «Il y a beaucoup de gens qui veulent le changement dans notre pays, mais s’ils votent pour le Front National, ils votent contre le changement.»

    De quel changement parle M. Lagarde? Celui qu’il   défend  comme toute une partie de la  droite juppéo-sarkozyste et de la gauche réformiste? Celui  de l’euromondialisme?  Ce changement dans la continuité  là,  les Français n’en veulent plus constate Bruno Gollnisch, de même qu’ils rejettent le grand changement définitif qui  a pour nom  grand remplacement.

    http://gollnisch.com/2015/10/19/le-changement-cest-maintenant/

  • En Suisse, la poussée de la droite populiste se confirme

    La projection nationale vient de tomber pour les élections fédérales suisses. Comme les sondages le prévoyaient, la droite fait une poussée au Parlement dimanche 18 octobre. Au Conseil national, l’équivalent de l’Assemblée Nationale en France, le parti d’extrême-droite Union démocratique du centre (UDC), déjà la première formation politique du pays, gagne 11 sièges par rapport à 2007, sur les 200 que compte au total cet organe législatif. A ce stade l’UDC représente 28 % du Parlement.

     

    L’autre grand gagnant des élections est le parti libéral-radical (PLR), qui gagne trois sièges. Même si le parti socialiste suisse reste la deuxième force politique au Conseil national, l’institution penche désormais un peu plus à droite. Pour le président du PS suisse Christian Levrat la législature sera sans aucun doute « un peu plus serrée ».

    Les Verts et les Verts Libéraux subissent de leur côté une défaite cuisante en perdant respectivement 5 et 6 sièges au Conseil national. La coprésidente des Verts suisses, Adèle Thorens Goumaz, se dit « inquiète car c’est le prochain Parlement qui devra voter la stratégie énergétique du pays... ».

    Vu sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?En-Suisse-la-poussee-de-la-droite

  • La dérive gauchère de la liste de Bruno Retailleau

    Charles-Henri Jamin, élu d’opposition au Conseil municipal de Saumur et candidat du Parti Chrétien démocrate pour le Maine-et-Loire, dénonce :

    Unknown-22« Je préfère ne pas avoir à cautionner la dérive gauchère de cette liste présentée de droite. Écarté de la liste Retailleau-Jeanneteau, je suis stupéfait que les engagements initiaux n’aient pas été tenus. Ils étaient à ce point fermes et définitifs que j’ai largement contribué depuis plusieurs mois à faciliter la prise de contact entre les têtes de liste et le Saumurois. Et leur permettre d’obtenir ici une notoriété et une connaissance affinée de notre territoire qu’ils n’avaient pas ».

    « Mais dans les conditions de ce qui est devenu sous la pression, un rassemblement cacophonique, je préfère ne pas avoir à cautionner, comme élu saumurois d’opposition à une majorité de gauche et comme représentant du Parti Chrétien Démocrate, la dérive gauchère de cette liste de confusion plus que d’union. Ce qu’atteste la présence disproportionnée et choquante d’un Modem, qui s’est vu offrir au plan régional six places, dont trois éligibles. Ce même Modem, dont les français n’ont pas oublié qu’il a volontairement favorisé l’arrivée de la gauche au pouvoir en 2012 ».

    « Quand les élites partisanes entendront-elles les Français du terrain qui ne cessent de dire qu’ils rejettent ces combines destructrices ? Quand écouteront-ils les électeurs attachés aux valeurs d’une droite encore ancrée sur ses convictions, mais refusant tout autant le miroir aux alouettes sans avenir du Front national ? Si gagner les Régions est un passage obligatoire pour regagner la Présidentielle, exclure de cette conquête ceux qui sont le plus en adéquation avec une droite de conviction risque de coûter cher à la France. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les socialistes tueraient père et mère pour éliminer le FN : la preuve

    Quand on me l’a racontée, j’ai cru à une blague et pourtant cette histoire est tout ce qu’il y a de plus vrai. Elle illustre parfaitement la rage anti-FN des parlementaires PS et ex-UMP, une rage qui les a conduits à prendre une décision ahurissante que les Français doivent absolument connaître. La scène se déroule au Parlement de Strasbourg au début du mois.

    Quelques semaines auparavant, le 10 septembre, une cour de justice américaine saisie par plusieurs associations écologistes avait interdit l’utilisation du Sulfoxaflor, un pesticide produit par Dow AgroSciences (groupe Dow Chemical), au motif qu’il était aussi un redoutable tueur d’abeilles. Dans son arrêt, la cour avait d’ailleurs cru bon de rappeler que les plantes pollinisées par les abeilles représentaient environ le quart de toute la nourriture consommée aux États-Unis. Alertée, madame Sylvie Goddyn, député européen du Front national, engageait aussitôt une procédure d’urgence pour faire obstacle à ce produit qui venait juste d’être autorisé par la Commission européenne, suite à une intense pression des lobbies de l’agrochimie.

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  • Victoire de la droite anti-immigration en Suisse

    Ins_wahlaufruf_web_frDéjà premier parti du pays avec 54 députés sur 200, l’UDCde Christoph Blocher,décroche, selon les projections de dimanche soir, 11 sièges de plus au Conseil National, l’équivalent de l’Assemblée Nationale. 

    Cette progression de la droite souverainiste et populiste, s’explique par la crainte d’une poussée migratoire, du fait notamment du contexte international et de la question des réfugiés. Or l’immigration, la préservation de l’identité suisse, c’est le terreau sur lequel l’Union Démocratique du Centre a fondé sa marche. « Rester libre », le slogan de la campagne, a, ces dernières semaines, cédé la place à la lutte contre « le chaos migratoire » que Christoph Blocher a annoncé à chacun de ses meetings électoraux à succès.

    L’autre grand rassemblement de droite, le Parti Libéral Radical, améliore sa représentation de 3 sièges, à 33 députés. L’UDC et le PLR pourraient se rapprocher pour imprimer leur marque dans les prochaines années. En face, le Parti Socialiste Suisse limiterait la casse en perdant seulement 2 de ses 46 députés. Les Verts perdraient 10 de leurs 16 sièges, tandis que les Verts libéraux en perdraient 6 sur 12.

    Michel Janva

  • Elections régionales. Le FN veut créer la surprise en Normandie

    En Normandie, Nicolas Bay est le premier candidat aux élections régionales à présenter ses listes complètes. C’était samedi au Havre, en présence de plus de 80 des candidats.

    L'ambition : arriver en tête

    « Les jeux sont très ouverts, analyse Nicolas Bay, le candidat du Front national aux régionales en Normandie. Le FN est arrivé en tête aux européennes en 2014, en tête au premier tour des départementales en mars. Nous pensons arriver en tête au premier tour des régionales, le 6 décembre. Si c’est le cas, nous pouvons transformer l’essai le 13 décembre. »

    La Normandie ne devrait pas basculer en faveur du FN. Mais le parti jouera à n’en pas douter les trouble-fête.

    Le parti se structure

    D’abord parce qu’en région, le Front national se structure. Nicolas Bay, 37 ans, secrétaire général du parti, président du groupe au conseil régional de Haute-Normandie, est le premier candidat à avoir bouclé ses listes départementales. Il a présenté ses listes complètes hier, au Havre : 112 hommes et femmes dans les cinq départements (pour 102 sièges à pourvoir) avec une moyenne d’âge de 50,1 ans. Plus de 80 étaient présents, au Havre.

    Déjà des mandats locaux

    La plupart de ces candidats a déjà défendu les couleurs du parti, notamment aux élections départementales de mars, avec un FN présent dans tous les cantons. Près de la moitié de ces candidats exerce un mandat local. Deux sont conseillers régionaux sortants (le FN comptait six élus en Haute-Normandie, aucun en Basse-Normandie). « Cela n’a pas toujours été le cas, admet Nicolas Bay. Mais nous présentons aujourd’hui des candidats bien implantés partout en Normandie, des candidats qui ont acquis leur légitimité. »

    Le contexte national

    Au-delà de la Normandie, il y a la tendance nationale, très favorable à l’extrême droite : la semaine passée, un sondage publié par le Journal du dimanche révélait qu’un Français sur trois serait prêt à voter Marine le Pen en 2017. Nicolas Bay sait qu’il a moins besoin de terrain que les candidats de la gauche et de la droite. « Il suffit de regarder froidement les choses, la situation de politique générale, en France comme en Normandie, nous donne une vraie crédibilité. » Retrouvez le détail des listes départementales dans les éditions Ouest-France de lundi.

    Stéphanie Séjourné

    source : ouest-france :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuuVEVyEFZGMkXEMiw.shtml

  • Qui a dit...?

    Qui a dit les mots ci-dessous ?

    "Moi, ce qui me panique c'est de passer 30 ans, 40 ans, 50 ans de ma vie dans des fonctions électives. Je vois, je ne veux critiquer personne mais, un certain nombre d'élus qui à 75 ans, 80 ans ont du mal à décrocher. Alors ça, c'est ma terreur absolue, je ne vous le cache pas."

    Celui qui les a dits, ces mots, c'et lui, en 1989 :

    Sans-titreLa preuve :

    Et ce qui nous panique, nous, les Français lambda, c'est que cela fait 39 ans qu'il collectionne les fonctions électives comme d'autres les timbres poste, et qu'il envisage sérieusement d'aller user le fauteuil présidentiel à partir de 2017. C'est notre terreur absolue, ça, nous ne le lui cacherons pas.

    Marie Bethanie

  • LMPT, un mouvement agressif selon NKM

    NKM est interrogée dans Grazia :

    CRgvkKOWoAAGfUt

    CRgvkrLWoAAdF2b

    Michel Janva

  • Quelles places pour le PCD et Sens Commun sur les listes LR ?

    RJean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien démocrate, est "extrêmement agacé par la composition des listes" du parti Les Républicains aux élections régionales. Au point qu'il est "prêt à remettre en cause la participation" de son parti à ces listes.

    "Je suis mécontent et très agacé par la composition des listeset de la place accordée "au MoDem et à certains centristes de l'UDI", à qui l'on fait "des ponts d'or". Il fait notamment allusion aux listes des pays-de-la-Loire et à celle du Rhône-Alpes-Auvergne.

    Et à côté de cela, les militants de Sens Commun sont-ils en position éligible ?...

    Michel Janva