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élections - Page 526

  • Effarant : voici comment sont votées nos lois…

    La sympathique Catherine Lemorton est député socialiste et depuis 28 juin 2012, présidente de la Commission des affaires sociales à l’Assemblée.
    Ici, la loi de Santé en passage devant cette commission, le 9 novembre 2015.

    À 0:10 « L’amendement est rejeté » puis à 1:25 « Il est adopté ».

    Des femmes vulgaires et hystériques comme de vieilles institutrices lesbiennes et de vieilles badernes émasculées, voilà où mène la pensée dominante de gauche (incluant l’UMP).

    Ce spectacle est d’une totale obscénité, de même que celui d’une assemblée nationale aux trois quarts vide où les derniers irréductibles dorment, jouent à Candy Crush, se lancent des boulettes de papier ou papotent entre eux ; ou encore, aussi obscène qu’une Myriam El Khomri incapable de répondre à une question digne d’un oral de concours de catégorie B alors qu’elle incarne l’élite de l’Administration française avec tout ce que cela implique en terme de rémunération et de privilèges.

    http://www.contre-info.com/

  • Estrosi, ou la politique roulis-roulas

    Christian Estrosi s’est dit, dimanche, « choqué par l’attitude de madame Le Pen qui veut faire des musulmans les boucs émissaires de ce que nous subissons aujourd’hui ». En cause, les propos de Marion Maréchal-Le Pen dans le quotidien Présent : « Il faut que [les musulmans] acceptent d’[exercer leur foi] sur une terre qui est culturellement chrétienne. Ça implique aujourd’hui qu’ils ne peuvent pas avoir exactement le même rang que la religion catholique. Ne serait-ce que parce que nous avons des traditions populaires qui ont des connotations spirituelles qui peuvent s’exercer dans le cadre public, ce qui aujourd’hui ne peut pas être le cas de l’islam. »

    Si Christian Estrosi était entouré de bons communicants, ceux-ci lui auraient dit : « Ne va pas par là, Christian, terrain glissant ! »

    Car il en est ainsi des devoirs de philo, des créneaux en ville, des manœuvres militaires et des campagnes électorales : les changements de direction in extremiset dans l’affolement se terminent toujours dans le mur. Ne jamais céder à la panique. Panique de se sentir dans une impasse. Panique, en l’occurrence, après les résultats d’un sondage IPSOS donnant le FN vainqueur en PACA, avec 3 points de plus que lors d’un sondage similaire effectué avant les attentats.

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  • Les candidats de la région PACA face à La Manif Pour Tous

    En raison des attentats qui ont eu lieu au moment où le meeting LMPT de Marseille s'achevait, Le Salon Beige n'avait pas rendu compte des débats de cette soirée.

    Noël Chuisano (DLF), Jacques Bompard (DIV) et Marion Maréchal-Le Pen (FN) :ce sont donc 3 têtes de liste, dont 2 parlementaires, qui ont répondu favorablement à l’invitation de La Manif Pour Tous pour partager leur vision de la famille et leurs projets pour la région devant plus de 300 personnes rassemblées au Florida Palace de Marseille. Christian Estrosi (LR) manquait à l'appel. 10 jours, on constate qu'il est en difficulté dans les sondages... Quant à la tête de liste PS-PRG-MRC, Christophe Castaner, elle a répondu en expliquant qu’il ne souhaitait pas participer.

    Tous les candidats tête de liste ont répondu à une série de questions posées par Geoffroy Lejeune, journaliste politique, sur leur vision de la famille et sur leurs propositions pour la région PACA : transports, solidarité, emploi, loisirs, culture… D’où le nom de l’événement, « Questions pour un président de région ».

    C’est Jacques Bompard,tête de liste divers droite pour la région PACA, s’est prêté au jeu en premier, en remerciant La Manif Pour Tous pour l’organisation de cet événement et« pour son remarquable engagement. » Invité à partager sa vision de la famille, il a expliqué que« sans famille, il n’y a pas d’humanité ; puisque c’est la cellule de base de la société et qu’elle doit donc être absolument respectée. » Jacques Bompard a dénoncé « l’obsession de l’intelligentsia à détruire la famille » et a souligné sa « volonté de soutenir une politique respectueuse de la vie. » Tête de liste régionale en PACA sur une liste indépendante, il a précisé que « l’engagement politique, c’est de servir les autres et non se servir ou servir un parti politique. » Rappelant sa responsabilité actuelle de parlementaire, il estime possible de « changer les choses. » Interrogé sur son projet pour la région, Jacques Bompard a cité « les atouts de la région PACA : tourisme, agriculture, vins… autant de leviers pour développer la région. » Poursuivant sur la vie quotidienne des familles, il a insisté sur la sécurité qu’il a qualifié de « premier droit pour les familles. »Favorable au « pass région famille », il s’est engagé à « baisser la fiscalité », pronant « une gestion de la région en bon père de famille. » Concernant le sujet sensible des subventions, il a clairement dénoncé « le scandale de la politisation des subventions versées aux associations. » Pour le candidat, « il doit y avoir une totale clarté sur les associations financées par la région. » Enfin, Jacques Bompard a rappelé son opposition à la loi Taubira, appelant à « libérer la famille de la fausse filiation léglaisée par la loi Taubira qui l’ouvre à tous les business possible », faisant ainsi référence à la PMA sans père et à la GPA.

    Candidat tête de liste pour Debout La France, Noël Chuisano a expliqué son engagement politique« pour la France. »Favorable à « un assainissement de la vie politique », il a précisé qu’il venait d’être grand-père et que naturellement il voulait « un meilleur avenir pour ses petits-enfants. » Interrogé sur sa conception de la famille, il a plaidé pour « la famille Père-Mère-Enfant, cadre stable et cellule de base de la société. » Noël Chuisano souhaite « remettre la famille au cœur de tout, et donc au cœur de la vie politique. » Présentant son projet pour la région PACA, il a estimé que « la région peut agir au service des familles, sur la fiscalité ou l’aménagement du territoire. » Il n’a pas oublié de parler des lycées, une des compétences phare de la région en plaidant pour une égalité entre l’enseignement public et l’enseignement privé. Il s’est déclaré « favorable à la création d’une commission famille et à la mise en place d’un pass région famille. » Sur le plan économique, sa première mesure sera de faire « un état des lieux des finances de la région. » Il entend « identifier, contrôler et suivre l’usage des subventions en les dirigeant vers les œuvres éducatives. » Pour Noël Chuisano, « la politique doit être un engagement rigoureux, notamment sur les finances. Il ne doit pas y avoir de projets inutiles. » Enfin, concernant la loi Taubira, il a annoncé être« favorable à sa réécriture voire à son abrogation pour tout ce qui touche la filiation, la PMA et la GPA. »

    Marion Maréchal-Le Pena expliqué son engagement politique comme « une réponse à l’appel du devoir. » Pour la députée et candidate tête de liste FN en région PACA, « la finalité de la politique, c’est discerner le bien commun. » Invitée à partager sa vision de la famille, elle a affirmé que « l’Etat ne remplacera jamais ces liens de solidarité naturels propres à la famille, cellule de base de la société. » Pour Marion Maréchal-Le Pen, « la famille, construite sur l'altérité et l'union entre un homme et une femme, est un outil de recherche du bien commun. » Dénonçant la PMA et la GPA, elle s’est insurgée contre l’Etat qui « cherche sciemment à priver un enfant de son père ou de sa mère. » Pour la candidate tête de liste FN, « les familles souffrent de la destruction du principe de subsidiarité. » Interrogée sur son projet pour la région PACA, elle ne souhaite pas créer une commission famille, proposition qu’elle qualifie de « gadget », mais elle entend « faire porter la vision de la famille dans chaque commission régionale déjà existante. »Satisfaite de « la gratuité des transports pour les apprentis », elle est favorable au pass région famille et souligne sa volonté de « ne pas oublier la France qui travaille et les familles nombreuses. La vision qui nous porte, c’est un rééquilibrage de la politique régionale au profit des oubliés. » Elle souhaite également améliorer l’accès aux gares, développer les internats pour les étudiants et favoriser l’accès à la culture pour tous. Concernant la question des subventions, « il ne sera pas question de verser un euro aux associations LGBT de la région. » Pour Marion Maréchal-Le Pen, il y a « un gros ménage à faire dans les subventions aux copains, aux associations politisées… La région donne trop de subventions qui ne répondent pas au bien commun. » Enfin, s’agissant de la loi Taubira, elle a expliqué être en accord avec la position du Front National : « abrogation de la loi Taubira sans démarier des gens. » Elle a affirmé croire en la famille « qui est loin d’être ringarde. » En conclusion, Marion Maréchal-Le Pen a également précisé son opposition au travail du dimanche qui doit rester « un jour dédié aux famille. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France doit des excuses au Front national

    Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si Jean-Marie Le Pen avait été élu président de la République en 2002.
    François Hollande amorce un virage sécuritaire et la droite applaudit. C’est sans doute une bonne nouvelle, mais d’un genre de bonnes nouvelles dont on ne peut que se lamenter. Car dans l’absolu, donc dans un monde imaginaire, ce que les députés de droite auraient dû faire au Congrès, ce n’est pas applaudir François Hollande, c’est au contraire lui tourner le dos et s’adresser à madame Marion Maréchal-Le Pen pour lui présenter leurs excuses.
    La France doit en effet des excuses au Front national, car c’est bien trente ans de diabolisation du FN qui ont jeté les bases du drame du Bataclan. Petit rappel:
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si les flux migratoires, dès 1981, avaient été strictement maîtrisés.
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan avec 30.000 places de prison supplémentaires.

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  • La France doit des excuses au Front national

    Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si Jean-Marie Le Pen avait été élu président de la République en 2002.
    François Hollande amorce un virage sécuritaire et la droite applaudit. C’est sans doute une bonne nouvelle, mais d’un genre de bonnes nouvelles dont on ne peut que se lamenter. Car dans l’absolu, donc dans un monde imaginaire, ce que les députés de droite auraient dû faire au Congrès, ce n’est pas applaudir François Hollande, c’est au contraire lui tourner le dos et s’adresser à madame Marion Maréchal-Le Pen pour lui présenter leurs excuses.
    La France doit en effet des excuses au Front national, car c’est bien trente ans de diabolisation du FN qui ont jeté les bases du drame du Bataclan. Petit rappel:
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si les flux migratoires, dès 1981, avaient été strictement maîtrisés.
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan avec 30.000 places de prison supplémentaires.

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  • La Gauche est tellement désespérée qu’elle sait que tout enfant à naître deviendra un opposant

    Extrait du discours que Jacques Bompard n'a pas pu prononcer, sur le projet de loi santé :

    "[...] Vos bons amis des associations idéologiques n’ont d’ailleurs cessé d’insulter les médecins : je pense par exemple à l’Association Pour le Droit à Mourir dans la dignité, dont les pratiques de communication indigne revenaient à l’instrumentalisation perpétuelle de la relation entre le patient et son médecin. Décidément, ce quinquennat aura été marqué par la catastrophe des promesses du candidat Hollande.

    Vos ministères sont malades de l’idéologie et du refus de servir le bien commun, plutôt que d’imposer partout l’intrusion étatique dans les périphéries de la société. Prenons plusieurs exemples frappants : d’abord la chute de notre démographie. Cette année 2015 sera vraisemblablement la moins féconde des 15 dernières années. A force d’attaques contre la famille, il fallait s’y attendre.

    La première des protections contre les maladies et les fragilités c’est la famille. Et les chiffres de la médecine se ressentiront très longtemps des méfaits de votre gouvernement. Ne serait-ce que d’un point de vue fiscal : gel de la revalorisation des prestations familiales, baisse des allocations liées à l’accueil du jeune enfant, modulation des allocations familiales. On a l’impression que la Gauche est tellement désespérée qu’elle sait que tout enfant à naître deviendra automatiquement l’un de ses opposants !

    Le ministère de la santé devient alors tributaire de toutes les dérives idéologiques. Pensons par exemple aux remarques de la Fondation Lejeune sur vos arrêtés concernant le dépistage de la trisomie 21. Nous assistons aujourd’hui à un véritable phénomène de « fichage des fœtus ». Ainsi, ce sont toutes les données concernant les femmes enceintes faisant l’objet d’un dépistage prénatal de la trisomie 21 (85% des femmes enceintes), tous les fœtus dépistés puis diagnostiqués trisomiques 21, et toutes les issues de grossesse, qui sont fichés au niveau national. La constitution de ce fichier est couteuse : en temps, comme en argent, et créer une inertie propice aux pires dérives éthiques.

    La question de la recherche sur l’embryon est centrale et évidemment bâillonnée dans notre pays. Ainsi le 10 juin dernier, le comité de l’INSERM a encore réclamé la libéralisation de la gestion des embryons alors qu’il est censé le réguler ! On y lit une volonté de gestion améliorée des embryons non transférables. Je rappelle que le prix nobel de médecine a été attribué à un chercheur qui propose des solutions alternatives à ces méthodes affligeantes.

    Je note d’ailleurs qu’aucune réforme visant à réduire le nombre d’avortement par an n’est présente dans ce texte. Alors, vous pourrez hurler autant que vous le souhaitez, mais une France qui subit 225 000 avortements est une France blessée, blessée par un drame que personne ne veut prendre à bras le corps ! [...]"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Retour à deux "blocs" après 2017 : quand Valls et Le Pen sont d'accord

    À l'approche des régionales, Manuel Valls n'exclut plus la thèse d'un rapprochement droite-gauche pour éviter une victoire de Marine Le Pen.

    Après un quinquennat marqué par le tripartisme, un retour à deux blocs ? Manuel Valls et Marine Le Pen partagent ce pronostic stratégique sur l'après-2017 : affrontement des "progressistes" contre les "réactionnaires" pour le premier, de l'"UMPS" contre les "patriotes" pour la seconde. "Avec un FN à ce niveau-là, il peut y avoir des recompositions", estime-t-on dans l'entourage du Premier ministre. "On ne dit pas que c'est ce qu'on souhaite. Mais qu'il faut s'y préparer ou au moins y réfléchir."

    À l'issue du scrutin de décembre, les régions pourraient se répartir entre PS, "Républicains"-UDI et, pour la première fois, FN, concrétisant une tripartition désormais largement reconnue dans l'espace politique en France. Mais ce tripartisme, "on verra combien de temps il durera", a récemment observé Manuel Valls. En 2017, le scrutin majoritaire à deux tours de la présidentielle et des législatives, les deux élections reines de la Ve République, sera un puissant facteur de rebipolarisation.

    "Le message est passé"

    Si Marine Le Pen parvient au second tour de la présidentielle, et y obtient en plus un score élevé, comme le prédisent les sondages, "il est clair qu'aux législatives les choses ne peuvent pas être comme avant", dit-on encore à Matignon. Face à cela, Manuel Valls n'exclut plus la thèse d'un rapprochement droite-gauche. Sa thèse sur les régionales est apparue concrètement cette semaine, en privé d'abord puis assumée publiquement : le Premier ministre n'exclut pas une fusion des listes du PS et des Républicains pour éviter une victoire de Marine Le Pen en Nord-Pas-de-Calais-Picardie.

    Tollé dans son camp. Mais "le message est passé dans les états-majors", juge un proche. Valls distille pourtant depuis plusieurs mois son idée, comme en octobre 2014, défendant "une maison commune des progressistes" - déjà facteur de remous au PS -, ou dans ses discours, avertissant de la montée du FN et décrivant deux blocs, "progressistes" ou "républicains" contre "réactionnaires". Cette "rebipolarisation" éventuelle de la vie politique française fait sans aucun doute le miel de Marine Le Pen. Le discours du FN depuis ses débuts consiste à se poser, avec plus ou moins d'intensité, en seul opposant aux avatars d'un "système" voué aux gémonies, de la "Bande des quatre" à l'"UMPS".

    "Pourquoi pas", répond François Bayrou

    "Merci", a donc simplement lâché le FN dans un communiqué alors que l'ensemble des têtes d'affiche frontistes se réjouissait sur Twitter. Valls, en adoptant sa thèse favorite, "clarifie le débat", juge le parti. Mais stratégiquement, outre Marine Le Pen, les principaux bénéficiaires d'un rapprochement entre centre gauche et centre droit pourraient être ceux qui se trouvent le plus au centre de l'échiquier politique, comme un certain Manuel Valls, qui pourrait ainsi dépasser un PS dont l'aile gauche risque de rechigner à en faire le chef de l'opposition. Avec ces propos, d'ailleurs, Valls écarte l'option stratégique d'une alliance générale à gauche.

    François Bayrou ne s'en plaint pas non plus. Si la fusion des listes n'est "pas réaliste", le maire de Pau a aussi glissé jeudi qu'à "toute personnalité qui est prête à faire bouger les choses" de ce point de vue, il sera "là pour dire pourquoi pas". D'autres au contraire flairent le piège politique, comme le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, qui pourfend le "choix réducteur entre d'un côté le système politique PS-Républicains et de l'autre le FN", qui l'obligerait à se rallier à l'un ou à l'autre. Chez Les Républicains, surtout, des candidats aux régionales aux ténors, à de rares exceptions près, on balaie tout rapprochement pour décembre.

    Quant à l'idée d'une présidentielle 2017 qui se résumerait au second tour à un affrontement entre un bloc centré sur le PS et un bloc autour de Marine Le Pen, c'est naturellement le parti de Nicolas Sarkozy qui aurait le plus à y perdre : "Un duel Hollande-Le Pen ? On explose", s'inquiète un ténor Républicain. "Une partie rejoindrait Le Pen. C'est un scénario catastrophe, il vaut mieux ne pas y penser !"
    source

    Afp via Le Point ::ien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuZuFpuZphUNOxPZS.shtml