Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 711

  • La liste des 50 villes - chiffre minimal - où le FN vise la tête selon l'Ifop.

    La liste des 50 villes - chiffre minimal - où le FN vise la tête selon l'Ifop.

    Amnéville Moselle 57

    Anzin Nord 59

    Auchel Pas-de-Calais 62

    Baucaire Gard 30

    Berre-l’Etang Bouches-du-Rhône 13

    Bollène Vaucluse 84

    Brignoles Var 83

    Bruay-sur-l’Escaut Nord 59

    Buchy-les-Mines Pas-de-Calais 62

    Carpentras Vaucluse 84

    Cavaillon Vaucluse 84

    Chateauneuf-les-Martigues Bouches-du-Rhône 13

    Châteaurenard Bouches-du-Rhône 13

    Courrières Pas-de-Calais 62

    Dombasle-sur-Meurthe Meurthe et Moselle 54

    Douchy-les-Mines Nord 59

    Fos-sur-Mer Bouches-du-Rhône 13

    Freyming-Merlebach Moselle 57

    Frontignan Hérault 34

    Gignac-la-Nerthe Bouches-du-Rhône 13

    Hames Pas-de-Calais 62

    Hénin-Baumont Pas-de-Calais 62

    La Trinité Alpes Maritimes 06

    Le Pontet Vaucluse 84

    Les Pennes-Mirabeau Bouches-du-Rhône 13

    Liévin Pas-de-Calais 62

    Marignane Bouches-du-Rhône 13

    Méricourt Pas-de-Calais 62

    Mèze Hérault 34

    Miramas Bouches-du-Rhône 13

    Monteux Vaucluse 84

    Orange Vaucluse 84

    Pemmes-les-Fontaines Vaucluse 84

    Pierrelatte Drome 26

    Plan-de-Cuques Bouches-du-Rhône 13

    Pont-Saint-Esprit Gard 30

    Rognac Bouches-du-Rhône 13

    Saint Gilles Gard 30

    Saint-Laurent-de-la-Salanque Pyrénées-Orientales 66

    Sallaumines Pas-de-Calais 62

    Septèmes-les-Vallons Bouches-du-Rhône 13

    Sorgues Vaucluse 84

    Stiring-Wendel Moselle 57

    Tarascon Bouches-du-Rhône 13

    Vauvert Gard 30

    Vedène Vaucluse 84

    Vidauban Var 83

    Vieux-Condé Nord 59

    Wittelsheim Haut-Rhin 68

  • Nicolas Sarkozy préfère la gauche à la droite

    En vacances au Maroc, Nicolas Sarkozy a évoqué le tiercé de de ses responsables politiques de droite préférés : Nathalie Kosciusko-Morizet, François Baroin et Alain Juppé. "Son "tiercé gagnant"? François Baroin (son futur Premier ministre) ; Alain Juppé (celui qu'il soutiendra si lui-même ne se représente pas) et sa protégée, Nathalie Kosciusko-Morizet, qu'il ira aider à Paris." Le tiercé perdant de la droite la plus bête du monde. Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/nicolas-sarkozy-pr%C3%A9f%C3%A8re-la-gauche-%C3%A0-la-droite.html

  • Génération Identitaire présente sa nouvelle campagne « Génération anti-racailles »

    https://twitter.com/novopress/status/396586013528965120/photo/1

  • Les droits de l'homme, alpha et oméga du front républicain

    Le front républicain prétend s'enraciner dans les droits de l'homme. Mais lesquels ? Ceux de 1789, ceux de 1948 ou les « nouveaux droits de l'homme » ?
    La différence entre le Front national de Jean-Marie Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine de sa fille pourrait être illustrée par l'opposition de deux formules. Lors du bicentenaire de la Révolution française, en 1989, le premier avait déclaré que la « Déclaration des droits de l'Homme marque le début de la décadence de la France » ; tandis qu'à l'occasion du Congrès du parti lepéniste à Tours, en janvier 2011, la seconde, citant l'article 2 de la Déclaration de 1789(1), demandait : « Qui, mieux que nous, a défendu ces principes ? »
    De quoi faire trembler sur ses bases le mur du « front républicain », qui a ses fondations dans le terreau des droits de l'homme. Les francs-maçons, qui se présentent en quelque sorte comme les gardiens du Temple, l'ont compris et contre-attaquent : en juillet dernier, la Ligue des droits de l'homme, courroie de transmission du Grand-Orient de France, rappelait les bons principes en fustigeant des propos tenus par Jean-Marie Le Pen à rencontre des Roms : « Cette déclaration indigne confirme la réalité de la pensée de ce parti d'extrême droite, qui demeure fondée sur le racisme, la xénophobie et la haine des étrangers. Un parti qui porte de tels discours doit être combattu avec la plus grande fermeté, sans être dupe des opérations de séduction fallacieuses engagées par ses autres dirigeants. La Ligue des droits de l'Homme appelle à la plus grande vigilance et à dénoncer les alliances ou convergences envisagées avec ce mouvement anti-républicain, notamment en vue des prochaines élections municipales. »
    Ennemi des droits de l'homme, le Front national ? À supposer que la Ligue en soit la gardienne, ce qui est grandement contestable, encore faut-il savoir de quelle déclaration l'on parle. On aurait, à vrai dire, quelque mal à opposer aux propositions du Front national des articles tirés de celle des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Pour l'attaquer, les adversaires du parti lepéniste préfèrent donc se référer à la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, qui prévoit dans son article 2 qu'« il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté ».
    La conception de la préférence (ou priorité) nationale, que défend le Front national, contredirait cet article, ainsi d'ailleurs que l'article 1er de la Constitution française, selon lequel la République « assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion ».
    De même, la volonté, inscrite dans le programme mariniste, de prendre des mesures « d'ordre constitutionnel, législatif et réglementaire » pour « stopper aussi bien l'immigration légale que clandestine », ou encore de remettre en cause les accords de Schengen sur la libre circulation des personnes, n'entre-t-elle pas en conflit avec l'article 13 de la déclaration de 1948, qui stipule que « Toute personne a le droit de,quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays » ?
    René Cassin favorable à la préférence nationale
    À ces objections, Marine Le Pen elle-même avait répondu, au cours d'un débat qui l'opposait à Manuel Valls, le 6 décembre 2012, sur France 2 : « Monsieur Valls, disait-elle au ministre de l'Intérieur, je vais vous demander ce que vous pensez d'une déclaration qui à mon avis est extrêmement intéressante. Elle porte sur la préférence nationale et elle est de René Cassin. René Cassin, c'est le père des droits de l'homme. C'est le rédacteur, en 1948, de la Déclaration universelle des droits de l'homme. C'était le président de la Cour européenne des droits de l'homme. Et il disait, en parlant de la préférence nationale : "une société démocratique peut instaurer des limitations des droits fondamentaux dictées par de justes exigences de l'ordre public et du bien-être, plus rigoureuses pour les étrangers que pour les nationaux. On ne saurait donc considérer que le progrès vers l'universalité dont témoigne la déclaration conduise à l'uniformité du régime de l'étranger et du national." Voilà ce que pensait le père des droits de l'homme de la possibilité de mettre en œuvre la préférence nationale. » Manuel Valls s'était réfugié dans le déni, en accusant contre l'évidence son interlocutrice de déformer les propos et la pensée de Cassai (dont il prenait au passage les mânes à témoin, ce qui tendrait à prouver que le ministre socialiste de l'Intérieur croit au moins à la survivance de l'âme après la mort).
    Reste à savoir, au-delà de la stratégie de « dédiabolisation » de son parti que Marine Le Pen a choisie et qui fonctionne en partie au moins, s'il ne faut pas inverser la question, en se demandant, non pas si le Front national est compatible avec les droits de l'homme, mais si les droits de l'homme sont eux-mêmes compatibles, à terme, avec une conception nationale de la politique. Car leur conception est évolutive, comme on le constate non seulement en comparant la déclaration de 1789, inspirée par les Lumières mais encore très axée sur la notion de citoyenneté, à celle de 1948, beaucoup plus universaliste comme son nom l'indique ; mais aussi en observant son extension, depuis 1948, à de « nouveaux droits de l'homme », comme l'a montré Mgr Michel Schooyans dans son livre La face cachée de l'ONU. Ce professeur émérite à l'Université de Louvain y décrivait de manière très convaincante une « réinterprétation perverse des droits de l'homme » de 1948, aboutissant à contester la souveraineté des États et visant à instaurer un État mondial, appuyé sur un ordre juridique approprié.
    Dans quelle mesure ce projet et cette conception mondialiste et progressiste des droits de l'homme (qui s'expriment aussi à travers l'idéologie du genre et le pseudo « mariage » homosexuel), ne constituent-ils pas, aujourd'hui, les vraies fondations du front républicain ?
    Hervé Bizien monde & vie 22 octobre 2013
    1. « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression. » art. 2 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen.

  • Fin de quinquennat : Hollande a déjà achevé son action de président

    Article sans concession de Jean-Marc Vittori pour les Echos qui décrète la fin du quinquennat de François Hollande provoquée par trois facteurs : le jeu politique qui impose de dérouler ses grandes réformes dans les premiers mois de son quinquennat, les institutions françaises taillées pour des hommes forts et autoritaires et la gauche enfin, confinée depuis des années dans un rôle d'opposition et incapable du moindre projet constructif. Alors, à quand la prise de conscience par l'intéressé de cet état de fait et la décision qui en découle ? http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La grande peur des bien-pensants

    A mesure que l’impopularité de la gauche au pouvoir atteint des sommets et qu’il est constaté que celle-ci ne profite pas à l’aile droite du Système ou à ses chiens de garde d’extrême gauche, l’hystérique machine anti-FN se remet en branle avec une énergie accrue. Rien de nouveau sous le soleil, si ce n’est peut être la conviction inquiète des officines se partageant le pouvoir que les Français essorés, matraqués, envahis, paupérisés, sont vraiment décidés cette fois à renverser la table, à sanctionner comme jamais dans les urnes les échecs des partis euromondialistes .

    Cette frousse de la Caste de perdre ses privilèges, qui nous permet en retour de craindre bien des manœuvres, des coups bas, des manipulations d’un Système qui incapable de protéger la France, sait en tout cas très bien défendre ses intérêts, était patent dans les propos d’un Jean-François Copé, interrogé mardi matin sur RTL.

    Alors que l’UMP se déchire sur la stratégie à tenir pour contenir la poussée de l’opposition nationale, M. Copé expliquait à l’adresse du tout aussi calamiteux Alain Juppé que « ce qui fait monter le FN, c’est le déni de réalité. Personne ne vote FN avec plaisir. » Il est bien connu a contrario que c’est en proie à une allégresse et à un enthousiasme débordant que électeurs se précipitent avec un bulletin PS ou UMP dans l’isoloir!

    A la vérité, le vote FN est tout autant, voire même plus, un vote d’adhésion à des idées que peut l’être un vote UMP, FG ou PS, comme l’ont enregistré dernièrement de récurrentes enquêtes d’opinion. Un déni de réalité peut en cacher un autre M. Copé…

    Au PS, les humanistes s’inquiètent aussi de l’éventualité de la fin du jeu de balancier stérile, de la (fausse) alternance gauche-droite, de cette incapacité de l’UMP à récolter les raisins de la colère nationale. Dans Le Figaro, le président socialiste du Sénat, Jean-Pierre Bel, en fait clairement l’aveu: »Si la gauche échoue, ce sera pour longtemps » dit-il. « Ce ne sera pas forcément au profit de la droite républicaine, pas plus que de la gauche de la gauche. Le danger du Front National est évident. On a tout à perdre« …

    Conscient du danger, le Grand Orient de France (GODF) tire la sonnette d’alarme et mobilise ses réseaux, ses frangins, tandis que se multiplie les menaces de couper les vivres aux villes dont les électeurs auront démocratiquement choisi de se doter d’une municipalité FN ou RBM.

    René Olmetta, 79 ans, Vice-Président PS du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, incarnation emblématique du si progressiste et honnête socialisme marseillais, Président GODF du Cercle Ramadier de PACA, a toujours le compas dans l’œil. La Fraternelle des élus de gauche se mobilise. Il organise le 5 novembre prochain, en compagnie d’un autre humaniste, Loïc Gachon , maire de Vitrolles, Conseiller Général des Bouches-du-Rhône, une réunion maçonnico-politique de mobilisation pour contrer après Brignoles « la montée du Front National »; à l’heure est-il énoncé par le grand sachem local Olmetta, ou » nos valeurs (sic) sont une nouvelle fois attaquées ».

    De nouveau élu à la présidence du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), ou il a succédé en mai dernier à Richard Prasquier, Roger Cukierman, 76 ans, également vice-président du Congrès Juif Mondial, y va lui aussi de son couplet grandiloquent (grand-guignolesque).

    Dans une tribune publié hier dans Le Monde, il s’essaye bien lourdement et sans grand talent, dans le fond comme dans la forme, à la politique fiction: « il est 20 heures ce 14 mai 2017. Le visage de Marine Le Pen se dessine lentement sur les écrans de télévision de millions de Français, au soir du second tour de l’élection présidentielle.Elle devient le 8e président de la Ve République. C’est un séisme politique.Quelques semaines plus tard, portée par ce succès et à l’issue de tractations avec des parlementaires en dissidence de leurs propres partis, Marine Le Pen dispose de la majorité à l’Assemblée nationale ».

    Un préambule réjouissant de prime abord mais « Le scénario de (son) cauchemar varie selon les nuits » poursuit M. Cukierman qui expose ensuite tous les clichés possibles et variantes de celui-ci en instrumentalisant, toujours selon le même procédé que l’on a le droit de juger intellectuellement indécent et moralement répréhensible, son passé d’ « enfant caché pendant la seconde guerre mondiale ».

    « Il est des réveils brutaux, mais salutaires » conclut M Cukierman. « Nous avons la responsabilité collective de tout faire pour qu’il continue d’en être ainsi. Le Conseil représentatif des institutions juives de France, que je préside, sera de ce combat.«

    « Après vous avoir livré mon cauchemar, je veux vous dire quel est mon rêve : que le FN revienne à son ancien statut de groupuscule. Je n’exonère pas pour autant ceux qui, à l’extrême gauche, à l’autre bout du spectre politique, font également preuve d’intolérance et de radicalité, et qui méritent aussi de rester des groupuscules. Attention ! Il y a péril dans la maison commune ! »

    Péril qui ne sautait pas aux yeux de M. Cukierman en 2002 quand, dans un entretien accordé au quotidien israélien Haaretz au lendemain de la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle, il avait affirmé avec balourdise que « Le score de Le Pen sert à réduire l’antisémitisme musulman et le comportement anti-israélien, parce que son score est un message aux musulmans leur indiquant de se tenir tranquilles ».

    Femme de gauche, Esther Benbassa, titulaire de la chaire d’histoire du judaïsme moderne à l’Ecole pratique des hautes Etudes, s’interrogeait il y a quelques années sur la légitimité de la structure que préside Roger Cukierman : « Mais que représente véritablement le Crif et combien sont-ils en son sein ? On ne le saura jamais. Ce qui compte, c’est qu’il est perçu comme un lobby (mot horripilant en France) par les politiciens. Et considéré comme tel, il l’est bien, un lobby, en fait. Ceux qui s’agglutinent à son dîner croient vraiment qu’il joue un rôle important dans la machine électorale. On y vient à la pêche aux voix juives, et pour être adoubé par des juifs dont l’influence serait déterminante, en raison de la place qu’ils occupent, ou sont censés occuper, dans la société française ».

    Ce jugement sur une structure communautariste comme le Crif peut aisément s’étendre à l’ensemble des porte-voix (porte-flingues) des différentes boutiques et écuries du Système. La réalité constate Bruno Gollnisch, c’est que les admonestations, les leçons de morale, les anathèmes anxiogènes, moralisateurs de M. Cukierman ne portent pas plus que ceux de l’UMPS.

    Car ces gens là dont le discours ronronne et tourne à vide dans l’entre soi, ont perdu la connexion avec le peuple français , dans toutes ses composantes, et sont incapables de répondre à ses attentes. Alors oui, le déni de réalité est toujours tôt ou tard sanctionné.

    http://www.gollnisch.com/2013/10/30/grande-peur-bien-pensants/

  • Les 50 villes où le FN vise la tête

    Une étude de l'Ifop révèle que les candidats de Marine Le Pen pourraient sortir en tête du premier tour dans 50 villes de plus de 10.000 habitants.

    C'était en 1995. Le Front national avait conquis trois villes (Orange, Marignane et Toulon), puis une quatrième en 1997, avec Vitrolles. Pour les municipales de 2014, le parti en vise entre 5 et 10. Et pourquoi pas 15 ou 20? Selon une compilation des résultats obtenus par Marine Le Pen à la présidentielle de 2012, réalisée par l'Ifop pour le JDD, ce sont plus de 50 villes dans lesquelles le Front peut être en position de force et même arriver en tête au premier tour des municipales.

    Dans ces communes de plus de 10.000 habitants, la patronne du parti avait séduit plus de 28,2% des électeurs. Dans 29 d'entre elles, elle dépassait les 30%. À Sorgues (Vaucluse), dans son fief d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) et à Saint-Gilles (Gard), son score était même supérieur à 35%. "Au-dessus de 30%, on sait que l'on peut gagner à la faveur d'une triangulaire ou d'une quadrangulaire", assure Nicolas Bay, le responsable des élections au sein du Front.

    Ces scores sont-ils réplicables en mars prochain? "À la présidentielle, il y a une équation Marine Le Pen qui est très forte, explique Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion et stratégies d'entreprise à l'Ifop. Et le FN fait d'habitude moins bien aux élections locales que nationales", ajoute-t-il. Mais, depuis mai 2012, une forte poussée du Front a été remarquée dans les sondages, la gauche au pouvoir s'affaisse et l'UMP stagne…

    La géographie électorale frontiste reste particulière. Ces 50 communes sont en effet concentrées tout à fait au nord et au sud de l'Hexagone. Avec une légère disparité : 18 villes au-dessus de la Loire, 32 au-dessous. "Ce sont deux terreaux très différents, et où le FN a des stratégies différentes. Au nord, dans des terres ouvrières en crise, le parti est en lutte avec la gauche et la droite inexistante. Au sud-est, c'est un électorat populaire chez qui la question de l'immigration est centrale", analyse Jérôme Fourquet.

    A l'est et dans les petites villes, un sentiment de déclin

    Aucune commune n'apparaît à l'ouest d'une ligne allant de Lens à Perpignan. Et ce ne sont pas des communes importantes à l'est. La plus grande : Marignane (Bouches-du-Rhône), avec 35.000 habitants. Suivie de Liévin (Pas-de-Calais, 32.000 habitants) et Carpentras (Vaucluse, 31.000 habitants). Comme si il y avait "deux France" : celle où le FN est fort et celle où il reste faible. "C'est une géographie qui recoupe presque la carte des perdants et des gagnants de la mondialisation. À l'est, il y a ceux qui ont depuis longtemps un sentiment de déclin. Même chose entre les petites villes et les grandes villes, où le vote FN ne prend pas", abonde le sondeur.

    Le FN ne devrait donc pas récupérer un gros poisson comme Toulon (Var), prise en 1995. Sauf si le candidat à Marseille, Stéphane Ravier, parvient à conquérir la mairie du septième secteur et ses 150.000 habitants. Marine Le Pen y avait fait 25,77% des voix. Si on abaisse le seuil à 25% au premier tour de la présidentielle, ce sont 120 communes où le FN peut espérer avoir des bases très solides. Dans le lot, des noms connus : Istres (Bouches-du-Rhône), Ajaccio (Corse-du-Sud), Lens (Pas-de-Calais), Fréjus (dans le Var, une ville sur laquelle le FN fonde de grands espoirs), Saint-Dizier (Haute-Marne), Forbach (en Moselle, où Florian Philippot, le numéro 2 du parti, se présente), Calais (Pas-de-Calais), Béziers (Hérault), Florange (Moselle), Bastia (Haute-Corse), Arles (Bouches-du-Rhône)…

    Un vivier de militants réduit dans les petites villes

    Reste que le FN n'est pas sûr de réussir dans toutes ces villes : "Les municipales, qui sont avec la présidentielle les élections qui mobilisent le plus les Français, conservent une dimension locale qui joue très fortement", rappelle Jérôme Fourquet. "Le parti ne sera pas forcément capable de monter une liste complète dans chaque ville avec, comme la loi l'y oblige, une parité homme-femme sur toute la liste", ajoute-t-il. En effet, dans ces petites villes, le "vivier" de militants FN reste réduit.

    "À l'heure actuelle, nous n'avons qu'une quarantaine de listes complètes sur les 700 que nous avons. Et la parité ne nous pose pas de problème, sauf dans ces villes de 10.000 à 20.000 habitants", rappelle le frontiste Nicolas Bay. Sur les 50 villes que l'Ifop a retenues, 26 ont déjà trouvé leur tête de liste. Et nombre d'entre elles ont leur liste entièrement bouclée ou aux deux tiers. Le FN a bon espoir : "Nous sommes encore à six mois de l'échéance. Aucun parti n'a fini ses listes."
    Vivien Vergnaud http://www.voxnr.com/cc/politique/EFlFpFlAFusivkWKce.shtml

  • Les bons conseils du Père Ubu (12) : Sermon sur la chute des Roms

    François, il y a longtemps que je ne t’ai plus parlé de notre pote Manu. Ne voilà-t-il pas, Cornegidouille, qu’il vient d’atteindre un nouveau sommet ? Ce qu’il a osé déclarer sur les Roms m’arrache du fond des tripes des barrissements d’enthousiasme. C’est avec volupté que je les partage avec toi (les barrissements, pas les tripes). Ça te consolera de ne pas jouer au vengeur en Syrie. Tu vois, on peut s’amuser aussi chez soi. On peut trouver at home des vilains à punir, Cornefinance !

    La génialité de Manu, c’est de sauter d’un bond au jugement définitif et global : pas d’intégration possible. C’est d’aller d’un seul coup à la solution drastique : l’expulsion, sinon rien. Constat simple comme un slogan, verdict tranchant comme un hachoir. Du grand art. Ton quinquennat, depuis le début, ne manque pas de piquant, mais cette fois on s’élève au sublime. Je te le dis comme je le ressens, la main à l’endroit supposé de mon cœur, et si mes glandes lacrymales ne s’étaient pas atrophiées au fil des décennies (ça ne pleure pas beaucoup, les tyrans), j’aurais des larmes de joie, Cornephysique !

    Le génie, c’est la simplicité. Sinon, tout devient d’un compliqué ! S’il fallait frustrer la Mère Taubie de ses passionnantes expérimentations d’un monde post-carcéral (et il faudrait dans ce cas supporter ses colères), s’il fallait renoncer à la pause fiscale pour phynancer de nouvelles prisons, s’il fallait s’emmerdrer à sécuriser méthodiquement ces villes qui, déjà, devraient se contenter d’avoir du soleil presque toute l’année et la mer tous les jours, s’il fallait s’infliger des calculs archi-complexes pour répartir rationnellement les sbires et les argousins sur tout le territoire national, s’il fallait s’épuiser à appliquer les verdicts des magistrats arriérés qui croient encore à la justice, s’il fallait renoncer à protéger prioritairement tes valeureux ministres contre l’agression lancinante des poussettes, des mères de famille et des drapeaux rose bonbon, s’il fallait affronter la dure non-violence des veilleurs et des sentinelles à moins de six ou sept contre un, s’il fallait avoir la cruauté d’imposer à la virtuose épouse de notre Manu le spectacle des SDF de son quartier (au lieu d’envoyer ceux-ci au violon), s’il fallait se donner la migraine à faire la différence entre des Roms qui jouent de la trompette dans les rues et des Roms qui volent des téléphones mobiles dans le métro (sans parler de ceux qui jouent de la trompette dans le métro ni de ceux qui volent des téléphones dans les rues), s’il fallait se compliquer la vie à inventer une politique cohérente de l’immigration et de l’intégration, bref, s’il fallait prétendre, toi Président, qu’un semblant d’ordre régnât dans ton pays, alors Manu et toi devriez bosser jour et nuit, et vous n’auriez plus une minute pour faire des déclarations à la presse, bougre de merdre !

    Tandis qu’avec les Roms comme fusibles, comme abcès de fixation, comme boucs émissaires, tout devient simple. Solution économique : on les flanque dehors. Pas besoin de déranger des juges ni de remplir des prisons. Mieux que ça, Dictatounet : on les flanque dehors en plusieurs vagues successives, qu’on peut médiatiser selon les besoins de ta propagande. Actuellement, en France, ils sont moins de vingt mille (autre chose qu’un cortège national de La Manif Pour Tous !). C’est là une population qu’on peut maîtriser, et le plaisir de leur botter le derrière peut se répartir sur plusieurs mois. Le rêve. L’idéalitude.

    Surtout que, Jarnicoton bleu, les Roms, qui s’y intéresse ? Au grand casting mondial de la victimisation, c’est toujours eux qu’on écarte ! Excuse-moi si je ricane, François, c’est plus fort que moi. Et je trouve ça trop réjouissant, de voir comme notre Manu veut virer aujourd’hui les Roms, pendant qu’il laisse de sympathiques récidivistes courir les rues et brade votre nationalité à des gens qui réservent à vos compatriotes, pour demain et après-demain, de saisissantes surprises ! Pardon, Tyrannichou, mais c’est cornegidouillement drôle !

    Et il y a des subversifs qui en veulent au génial Manu ? « Dur avec les faibles, faible avec les durs », qu’ils disent de lui. Mais, bande de bouffres, z’avez pas encore compris ? Cette formule, ce n’est pas un reproche, c’est une sage devise. C’est comme ça que, moi Ubu, j’ai toujours fait ! C’est comme ça qu’on garde le pouvoir, Cornephysique !

    Allez, François, vas-y, expulse les Roms. Tu voleras peut-être ainsi quelques voix au FN. C’est sans danger pour tes voix islamiques. Et ça fera toujours quelques chrétiens de moins dans ton attrayant pays !

    Le Père Ubu
    http://www.printempsfrancais.fr/3641/les-bons-conseils-du-pere-ubu-12-sermon-sur-la-chute-des-roms/

  • "Le FN a une marge de progression immense dans l'ouest de la France"

    Christophe Guilluy, géographe et auteur de « Fractures françaises », analyse le potentiel électoral du Front national.

    Marine Le Pen vise à présent la Bretagne, où elle était en déplacement ce samedi. Vous pensez que son parti a une réelle possibilité de progression là-bas?

    Le FN a globalement une marge de progression immense dans tout l'ouest. Et ce parti l'a bien compris. Les représentations de la France d'hier, tout comme la géographie électorale d'hier, sont en train de s'effacer. C'est la conséquence de la reconstruction sociale mais aussi économique des territoires. Aujourd'hui, il y a deux France, celle des métropoles, en phase avec la mondialisation, qui inclut les banlieues, et celle où se redéploient les nouvelles classes populaires. Des zones rurales, des petites villes, des petits villages, certaines zones périurbaines. Cela forme la France périphérique, où progresse le vote FN. Cette fracture touche à présent toutes les régions, y compris la Bretagne.

    Sur notre carte, les villes prenables par le FN sont pourtant toutes situées dans l’Est de la France…
    C’est parce qu’il faut avant tout regarder la dynamique électorale, la poussée très importante du vote FN dans l’Ouest aux dernières cantonales et évidemment à la présidentielle. Il augmente à l’extérieur des grandes métropoles, dans des territoires à l’écart de Rennes, Nantes, Brest ou Bordeaux.

    C'est la crise qui accélère ce processus?
    Ce qui vient de se produire en Bretagne est assez représentatif. Quand une entreprise du centre de la région vient à fermer, c'est le chômage total qui arrive. Dans cette France périphérique qui pèse 60% de la population, les mobilités sociale et résidentielle sont en train de s'effondrer. Compte tenu des logiques foncières et économiques, les gens sont coincés. Et c'est ce qui génère la radicalisation. Ce ne sont pas des territoires que la droite pourra conquérir. Ces populations ne sont pas pour le libre-échange, ne souscrive pas au programme économique de l’Ump. Depuis vingt ou trente ans, elles vivent l’échec des choix de gouvernements, qu’ils soient Ps ou Ump. Le FN parle maintenant à des actifs et à des jeunes qui ne sont plus du tout dans le clivage gauche-droite. Quand les champs du possible se restreignent, le vote FN augmente.

    Il n’y a que le FN qui soit audible dans ces territoires ?
    Le programme économique et social de Jean-Luc Melenchon est le même que celui de Marine Le Pen. Mais dans ces territoires, la question d’ordre culturel et identitaire est prégnante. Ce sont des personnes qui vivent à l’écart de la vie du monde, à l’écart de l’immigration. Quand Melenchon parle de l’ouverture des frontières, cela n’a pas d’impact. Il y a un discours à la fois social et culturel qu’a entièrement capté Marine Le Pen. Dire que c’est quelque chose de protestataire et de conjoncturel, c’est d’ailleurs se tromper sur l’analyse. Cela vient de très, très loin.

    Vous avez rencontré le président il y a dix jours. Vous écoute t-il ?

    Le gros problème de la classe politique dans son ensemble, c’est la représentation qu’elle se fait de la France. Elle est encore dans la France des trente glorieuses. L’enjeu est de prendre la mesure de cette nouvelle question sociale. Le vote FN n’est qu’un symptôme. En ce sens, il a un intérêt : il permet la prise de conscience des élus. Aujourd’hui, la France qui reste un pays très riche, tourne sans ses classes populaires. Tous ces gens, cela fait du monde. Et c’est le cœur du malaise français.

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFlkAVpFuFjUWgsRzk.shtml

  • Le réveil français est en marche…

    Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale

    Editorial du n°33 de Synthèse nationale

    Amis et camarades lecteurs de Synthèse nationale, c’est avec une nouvelle présentation de notre revue que nous nous retrouvons en cette rentrée 2013. Cette 33e livraison, vous pourrez le constater par vous-même, adopte une maquette sensiblement différente, rajeunie et, espérons-le, encore plus attractive. Mais, rassurez-vous, les motivations et la détermination ne changent pas. Synthèse nationale entend être plus que jamais au cœur du combat pour sauver la France française et l’Europe européenne.

    Il faut dire que si nous avons décidé de renouveler notre présentation, c’est que les lecteurs de notre revue, et ceux du blog correspondant, sont de plus en plus nombreux. Depuis le début de l’année, grâce à la multiplication des manifestations contre la loi Taubira puis, hélas, en raison du climat malsain instauré à la suite de la malheureuse affaire de la rue Caumartin, dite « affaire Méric » que nous avons largement abordée dans notre précédente livraison, l’impact de Synthèse nationale s’est élargi considérablement.

    Mais, en fait, cela n’est pas vraiment surprenant lorsqu’on fait le point sur l’année écoulée…

    Qui aurait en effet imaginé, il y a à peine un an, que des centaines de milliers de Français, voire plus d’un million, allaient, au cours du printemps 2013, descendre plusieurs fois dans les rues pour s’opposer à une décision gouvernementale qui remet en question la nature même de la famille, cellule de base de notre société ?

    Qui aurait aussi imaginé qu’en quelques semaines, entre le mois de juin et le mois de juillet, le gouvernement socialiste, prenant prétexte d’une manipulation politico médiatique digne de celle de Carpentras, au début des années 90, dévoilerait sa véritable nature liberticide en procédant à la dissolution de plusieurs mouvements et associations patriotiques et nationalistes ?

    Ces différents événements prouvent, s’il en était encore besoin, que l’instinct de survie et la combativité de notre peuple ne sont pas encore tout à fait anesthésiés. N’en déplaise à l’hyperclasse mondialiste qui aimerait tant voir la France, comme d’ailleurs toutes les autres nations, disparaître au profit d’un monde uniformisé et standardisé dans lequel les Humains ne seraient plus que des consommateurs dociles, totalement déracinés et privés de toutes identités, y compris sexuelles (avec l’intrusion de la théorie dite « du genre » à l’école), et juste bons à enrichir les comptes des actionnaires des multinationales apatrides.

    En effet, qu’il s’agisse des manifs contre la loi Taubira sur le mariage homosexuel, qu’il s’agisse des manifs qui se multiplient à la suite de telle ou telle agression de commerçants ou de simple citoyens (comme cet été à Montpellier ou à Nice…), par des racailles venues souvent d’ailleurs, qu’il s’agisse de réactions socio-professionnelles ou autres face à telle ou telle mesure, souvent accablante, contre les entreprises ou les simples contribuables, tout cela relève de la prise de conscience par bon nombre de nos compatriotes de graves problèmes qui, jusqu’à présent, les effleuraient à peine. Il reste encore beaucoup de travail à faire mais force est de reconnaître que les Français se réveillent, de plus en plus nombreux, en colère et partout les nationalistes sont à leurs côtés afin de refuser les diktats du Système et proposer les réponses alternatives qui sont les nôtres au mondialisme destructeur des peuples et des nations.

    Dans ce contexte, Synthèse nationale entend contribuer le plus possible à la radicalisation des revendications. Au-delà de la lutte légitime contre la loi Taubira, il y a le combat pour la défense de notre identité. Au-delà de la dénonciation compréhensible de la montée en flèche de l’insécurité, il y a la lutte contre l’inversion des valeurs et la nécessité de rétablir une Justice au service des honnêtes gens. Au-delà de la lutte contre le fiscalisme, il y a l’urgence de relancer une véritable politique économique au service de notre nation et non pas de la spéculation boursière mondiale. Nous sommes engagés dans un combat final. Si le mondialisme, sous toutes ses formes, triomphe, il en sera définitivement terminé de notre existence en tant que Français et Européens libres de choisir notre destin. Le grand brassage que l’on nous impose aboutira forcément à « un grand remplacement » de populations pour reprendre l’expression si chère à l’écrivain Renaud Camus,

    Chaque peuple et chaque race ont leurs particularités, bonnes ou mauvaises. Et c’est justement  parce que dans 100 ans nous voulons que nos descendants puissent encore continuer à parler de « peuples » et de races » au pluriel que nous nous battons aujourd’hui contre le rouleau compresseur mondialiste. Et cela, les tenants du pouvoir ne peuvent le tolérer. Voilà pourquoi ils multiplient les actes répressifs contre la résistance patriotique. Un jour, on jette en prison des jeunes gens dont le seul tort est de s’être défendus alors qu’ils étaient agressés par une bande de nervis intitulés pompeusement « antifas ». Le lendemain, on dissout des organisations politiques ayant pignons sur rue depuis parfois fort longtemps pour des motifs tous aussi fallacieux les uns que les autres. Un autre jour, on ferme un bar associatif parisien, Le Local, où se retrouvent régulièrement des militants nationalistes et dans lequel jamais aucun incident n’a été à déplorer. Puis, pour couronner le tout, dès le début septembre, on interdit les manifestations prévues pour défendre les libertés publiques qui on le voit, n’ont jamais été autant menacées. Pour légitimer ces interdictions, la Préfecture de Police invoque le risque de troubles de l’ordre public en raison de contremanifestations annoncées par ses supplétifs de circonstance que sont les antifas. La France socialo-mondialiste du quatuor infernal Hollande-Ayrault-Valls-Taubira n’est pas à une hypocrisie près dès lors qu’il s’agit de défendre les intérêts de Wall street . Sa conception de la « liberté » n’a rien à envier à celle des pires régimes marxistes.

    A chaque occasion, que ce soit grâce à notre revue, à notre blog d’informations quotidiennes, lors de nos colloques et réunions, par nos campagnes militantes, nos manifestations ou nos journées annuelles du 11 novembre, nous serons toujours là, aux-côtés de ceux qui se battent, pour contribuer à l’avènement d’un ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire, seule solution salvatrice pour notre nation et pour notre civilisation. Oui le réveil français est bel et bien en marche…

    Synthèse nationale n°33 Septembre – octobre 2013

    Sommaire cliquez ici

    Abonnez-vous cliquez là

    Source Article  http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2013/10/28/titrele-reveil-francais-est-en-marche-de-la-note-5207386.html

    http://www.altermedia.info/france-belgique/