Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 707

  • 11 novembre, Hollande ne doit rien célébrer… Il doit dégager !

    Le discours pathétique qu’a fait hier François Hollande pour lancer les commémorations de la Grande Guerre constitue la énième provocation d’un président totalement déconnecté de son peuple et des réalités.

    11 novembre, Hollande ne doit rien célébrer... Il doit dégager !

    Tellement obsédé par son idéologie fondée sur la culpabilisation des Français, François Hollande en est même arrivé à confondre la première et la seconde guerre mondiale.

    Alors qu’on voit déjà poindre un hommage démesuré aux soldats (minoritaires) des colonies, allons-nous laisser Hollande représenter nos 1 300 000 aïeux morts pour la France ?

    Mariage homo, régularisations massives de clandestins, humiliation dans la grotesque affaire “Leonarda”, attitude belliqueuse insensée à l’encontre de la Syrie, la liste n’en finit plus de s’allonger… Alors qu’il s’acharne à détruire tout ce qui a fait la grandeur de notre pays, Hollande n’a plus qu’une seule alternative : dégager !

    La commémoration de la Grande Guerre appartient au peuple et pas à cettte clique d’idéologues qui ne représentent plus personne. C’est pourquoi nous appelons tous les Français à rejoindre ce lundi 11 novembre sur les Champs Élysées la manifestation organisée par le collectif “Hollande-Démission”

    Tous ensemble, au delà des attaches partisanes, venez récupérer un bonnet rouge et lui dire de partir, maintenant. Rendez-vous sur les Champs Élysées le 11 Novembre à 11h11, vers la place de l’Étoile.

    Collectif PAS MON PRESIDENT

    http://www.pasmonpresident.org/2013/11/11-novembre-hollande-ne-doit-rien-celebrer-il-doit-degager/

  • Vincent Peillon, ce grand démocrate

    Le ministre de la Rééducation antinationale a précisé ce matin qu'il se présentait bien aux élections européennes comme tête de liste socialiste dans le grand Sud-Est... mais pour démissioner aussitôt de son mandat d'élu et rester au gouvernement. Une pratique à la fois démocratique...

    "Vous ne voulez pas d'homme politique qui n'ait pas le suffrage universel !"

    ... et républicaine :

    "qui est candidat dans le Sud-Est ? C'est Jean-Marie Le Pen en face de moi. Où sera l'élection la plus dure ? Où le Front national, que je considère comme un parti anti-républicain, mène la campagne ? C'est là-bas".

    Vous avez bien compris : se faire élire pour renoncer à être élu, c'est défendre la démocratie et la République. Et éventuellement s'assurer un siège au cas où la gronde contre la réforme des rythmes scolaires s'amplifiait ?

    Louise Tudy

  • Encore 9 % de Français satisfaits ? Vite, des noms !

     

    Encore 9 % de Français satisfaits ? Vite, des noms !
    Ce qu’il y a d’étonnant dans le sondage du Journal du Dimanche réalisé par l’IFOP, c’est moins le chiffre de 91 % de Français réclamant un changement – de politique et de méthode avant même tout remaniement ministériel – que les 9 % de sondés estimant que tout va bien et que le Président ne doit rien changer.

    9 %, encore ! Mais qui peuvent-ils bien être, ceux qui trouvent ainsi leur compte dans l’augmentation inexorable du chômage, de l’insécurité, de la paupérisation chaque jour plus visible, de la vision chaque heure plus angoissante de l’avenir ?

    Qui aurait cru, tout de même, que les fabricants de bonnets rouges étaient si nombreux ? On ne parle pas de ceux qui les ont coiffés samedi dernier, ceux-là étaient mécontents, forcément… Non, seuls ceux qui les vendaient ont pu légitimement estimer que le changement promis par le candidat Hollande avait bel et bien porté ses fruits sonnants et trébuchants. Pour eux, en tout cas.

    Mais qui d’autre ? Quelques milliers de crapules libérées de prison par Christiane Taubira, peut-être, et quelques dizaines de milliers d’autres qui, grâce à ce fameux changement assumé de la Hollandie, peuvent espérer éviter plus tôt que tard la case prison…

    Ce ne sont pas les homosexuels – femmes, hommes ou sans opinion – qui peuvent en tout cas ainsi grossir cette armée de joyeux sondés pour qui tout va si bien. Outre qu’à peine 6 % de la population est concernée, on a bien vu qu’une grande partie ne goûte guère l’idée de passer un jour devant le maire.

    À gauche, ça renâcle de toutes parts… Les derniers communistes mendient au Parti socialiste une alliance chaque fois plus humiliante pour conserver quelques mairies rémunératrices, tandis que leur chef en CDD, Jean-Luc Mélenchon, tente par tous les moyens de les en empêcher…

    Au Parti socialiste, on ne parle plus de courants, mais plutôt de vents contraires qui font échouer tous leurs candidats sur les récifs du premier tour de chaque élection partielle. À droite, l’UMP n’en finit pas d’attendre, à chaque fois qu’un non-lieu est prononcé en sa faveur, le retour de Nicolas Sarkozy, alors que Nestor (l’ex-majordome de Matignon cinq ans durant) n’en finit plus de se disputer avec Jean-François Copé dont on ne peut s’empêcher de penser qu’il ferait mieux de postuler pour un rôle dans « La Vérité si je mens ! IV » plutôt que de s’obstiner à vouloir faire président.

    Par charité, oublions les malheureux qui ont cru un jour dans Europe Écologie Les Verts, et les partisans de Jean-Louis Borloo et de François Bayrou que les doigts d’une main suffisent amplement à compter…

    Le Front national ? Mais n’importe quel sondage, même le plus défavorable, estime ses électeurs à près de 20 %… Ce n’est pas eux non plus !

    Mais par Belzébuth, Jaurès et Mitterrand, qui sont donc ces 9 % de ravis de la politique de François Hollande ? C’est sans doute ce qui doit le plus dérouter le Président, dans son bureau de l’Élysée. À moins qu’il ne lise Nietzsche, pourquoi pas ! Il pourrait y découvrir que « l’absurdité d’une chose n’est pas une raison contre son existence, c’en est plutôt une condition ».
  • Jacqueries, rébellions, révolution : quelle forme finira par prendre la révolte des Français ?

    Par Serge Federbusch

    C’est une révolte ? Non sire, c’est une ralbolution !“. Si l’écotaxe cristallise tous les mécontentements, les vraies raisons de la révolte grandissante des Français sont plus profondes.

    1 – C’est une révolte ? Non sire, c’est une ralbolution !

    L’écotaxe n’est évidemment qu’un abcès de fixation. Les vraies raisons de la révolte grandissante des Français ont pour noms récents la Redoute, Fagor, Cristal d’Arques, Alcatel, Michelin, Fralib, Electrolux et Gad. Altares, société spécialisée dans la collecte d’informations sur les entreprises, a recensé au troisième trimestre 13 140 procédures collectives (sauvegardes, redressements et liquidations judiciaires d’entreprises) avec 52.700 emplois directs menacés.

    Mieux vaut ne pas parler de leur impact indirect, sur le commerce, les revenus des familles, etc. Et il s’agit de vrais emplois, pas des cataplasmes dont Mou-Président espère une cosmétique et purement transitoire “inversion de la courbe du chômage“. Cette incantation a du reste tendance à se faire discrète ces derniers temps dans les services de communication du pouvoir. Les jobs bidons et subventionnés ne sont même pas capables de faire illusion quelques semaines !

    La vraie question est donc : quel chemin prendra la rébellion qui vient ?

    Les échauffourées bretonnes font pour le moment penser aux jacqueries médiévales qui perdurèrent jusqu’au 18ème siècle. Elles ont un caractère régional, sont plutôt ancrées dans les zones rurales et dirigées contre la cherté de la vie, la difficulté à joindre les deux bouts, la noblesse protégée – sous sa forme actuelle c’est à dire la fonction publique et les élus à vie – et, surtout, les impôts et octrois mis en place par l’État.

    L’écotaxe est le nouveau nom de la gabelle. Les foules défilantes en ont d’ailleurs conscience lorsqu’elles revêtent le bonnet rouge qu’arborèrent leurs lointains prédécesseurs. La France que l’Enfumeur(*) nous prédisait apaisée est en pleine régression historique et sociale, conséquence de son déclin économique.

    Pour que la jacquerie devienne révolte, il faut qu’elle se “nationalise”, qu’elle se transforme en contestation générale du pouvoir.

    Des premiers bonnets rouges ont été signalés en région parisienne, signe d’un début de contagion. Les portiques d’Ecomouv risquent de devenir les portes d’entrée de la maladie, comme on dit en épidémiologie. Un d’entre eux a été incendié dans les Landes. La révolte en progression doit également, pour peser, fédérer des intérêts divers, ne pas se limiter aux agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et autres petits entrepreneurs.

    Elle se nourrira quoi qu’il arrive du discrédit de la classe dirigeante. La grande jacquerie de 1358 fut attisée par les déboires de la noblesse d’épée, après les défaites de Crécy en 1346 et de Poitiers en 1356. La sourde colère actuelle est le fruit des défaites de Maastricht (1992) et Lisbonne (2007) qui ont ouvert les marchés français au grand vent de la concurrence internationale tout en leur imposant une monnaie, l’euro, qui les handicape gravement par sa surévaluation. La classe dirigeante française a failli à ces deux occasions. Elle commence à en payer le prix.

    Mais ces accès de brutalité populaire, qui voient les équipements publics vandalisés et les représentants locaux du pouvoir malmenés, peuvent-ils se transformer en une révolution en bonne et due forme ?

    Ce qui caractérise le processus révolutionnaire, par rapport aux jacqueries et révoltes ordinaires, est d’abord qu’il est précédé d’un travail idéologique, d’un soubassement théorique dont l’ambition est d’offrir une véritable alternative au pouvoir en place, un ordre nouveau en quelque sorte. Ce fut le rôle des philosophes des Lumières dans la France du 18ème siècle ou des marxistes cent ans plus tard.

    L’opposition est encore aux balbutiements de cette entreprise intellectuelle. Elle est tiraillée entre critiques libérales de l’État, mots d’ordre protectionnistes et réflexes conservateurs. Que l’économie française ne puisse s’abriter plus de deux ou trois ans derrière de nouvelles barrières sans sombrer dans la sous productivité et l’inflation galopante est certes problématique. Mais l’essentiel n’est pas d’être convaincant, c’est d’être fédérateur. Les victimes de l’ordre européen sont en passe d’être majoritaires en France. D’une manière ou d’une autre, ce mouvement trouvera sa traduction idéologique, probablement dans la contestation de la représentation politique et l’exigence de démocratie directe.

    Il manquera alors un dernier ingrédient, indispensable à toute révolution : que les forces protestataires se fédèrent, d’où qu’elles viennent, contre les maîtres du moment. Que, comme sur la barricade peinte par Delacroix, le peuple, l’étudiant, l’artisan se retrouvent. C’est là que le bât révolutionnaire blesse encore.

    Pour l’heure, la “ralbolution” progresse en ordre dispersé. Le meilleur allié du pouvoir s’appelle Jean-Luc Mélenchon. Il ne peut s’empêcher de ressortir le préchi-précha gauchiste sur le fait que la révolte bretonne serait téléguidée par un petit patronat revanchard. Il défile dans son coin, fustigeant les chouans et leurs croyances. Il est isolé mais il divise, jouant le rôle d’idiot utile du hollandisme qu’il avait déjà incarné lors de la dernière élection présidentielle. On peut également faire confiance à Sa Normalité élyséenne pour tenter d’affaiblir le mouvement de contestation en le noyant dans les méandres des tables rondes et autres processus de concertation, usines à parlote dont le parti socialiste détient les brevets.

    Cependant, la persistance de la crise économique et des difficultés budgétaires peut finalement coaliser les forces de contestation, comme elles le firent sous Louis XVI et Necker. Le pouvoir n’ayant plus la moindre marge de manœuvre pour augmenter les impôts et n’ayant pas le courage de s’attaquer aux dépenses, est frappé de tétanie. Après l’écotaxe, dans quelques semaines, quelques mois, un prétexte quelconque, une mesure vénielle mettra à nouveau le feu aux poudres. Si ce n’est, à plus long terme, l’euro qui ne finisse par s’effondrer, semant le chaos dans l’économie.

    Faisons confiance à François Hollande : il finira bien par trouver l’équivalent de la convocation des États généraux pour précipiter la fin du nouvel ancien régime…

    2 – L’horizon fuyant du déficit

    La Commission de Bruxelles, qui préfère ne pas voir que la hausse actuelle de l’euro va anéantir le timide début de reprise en Europe, est en tout cas pessimiste sur les chances de la France de passer en dessous des 3% de déficit public en 2015. Il sera selon elle d’au moins 4,1% du PIB cette année, 3,8% l’an prochain et 3,7% en 2015, très éloigné donc du chant des sirènes entendu depuis le pédalo présidentiel.

    Dans ces conditions, la remontée des taux d’intérêt deviendra insupportable et la croissance de la dette publique ingérable. Tout ce qu’il faut pour justifier que la Commission, forte des nouveaux pouvoirs qui lui ont été conférés, demande au gouvernement français de réécrire son budget. Le grand problème de cette forme d’Europe est qu’elle ne parvient à étendre son pouvoir que sur les décombres des États membres.

    3 – Senatus Consulte

    100 % des sénateurs ont voté contre un projet de loi du gouvernement socialiste et pas le moindre puisqu’il s’agit de la réforme des retraites ! Comment disait-il déjà ? Une démarche d’écoute, consensuelle et apaisante.

    Après tout, l’unanimité contre soi, c’est une façon de faire consensus. Il faut dire qu’au Sénat, on prend sa retraite très tard.

    Atlantico.fr

    (*) Titre du livre de Serge Federbusch (Ixelles éditions, 2013).

    http://fortune.fdesouche.com/332163-jacqueries-rebellions-revolution-quelle-forme-finira-par-prendre-la-revolte-des-francais

  • Les collabos donnent de la voix

    chassealhomme.jpgL’extrême gauche manifestait hier en fin d’après-midi à Champigny (Val-de-Marne) aux abords de la salle où  un Jean-Marie Le Pen en grande forme était  venu soutenir le lancement de la campagne de la liste municipale menée par Jean-Marie Rougier. Le PC, le Parti de Gauche, le NPA, la CGT,  Solidaires et Snuipp avaient raclé les fonds de tiroir pour réunir péniblement environ 200 de leurs salariés, permanents et cadres  pour  beugler des slogans haineux, dénier aux Français le droit de voter pour l’opposition nationale. Le sénateur et président communiste du conseil général,  Christian Favier, élu dans la ville de Champigny, a pris la parole pour se féliciter  à cette occasion de la  poursuite de l’immigration à haut débit  et exiger   «la régularisation de tous les sans-papiers (clandestins) ». Au moins les choses sont claires…

    Une extrême gauche qui tente de se refaire une santé électorale en tentant de capitaliser sur la campagne anti FN menée actuellement par le gouvernement et l’UMPS.  Avec le soutien  des médias qui se saisissent  de quelques faits divers  et de propos bien  évidemment condamnables pour manier l’amalgame,  culpabiliser les Français en assénant que la volonté de défendre son identité et le refus de la submersion migratoire participent d’un insupportable racismeRien de nouveau sous le soleil, « ils » nous font le coup  régulièrement depuis trente ans,  à chaque fois le Front National  est porté par une dynamique importante. 

    Un racisme nous l’avons  dit, dont les  premières victimes dans notre pays, dans l’indifférence quasi  générale de nos élites négationnistes, sont bien  pourtant,   et dans leur écrasante majorité,  les Français de souche européenne. Ces derniers sont pourtant invités à faire profil bas.

    Invité hier soir de l’émission C dans l’air sur France 5  consacrée au débat du moment - »la France est-elle raciste?- »le très contesté et contestable Patrick  Lozés, ancien président du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires) avant d’en être écarté -voir notre article en date du 30 novembre 2011-  en a fait l’aveu implicite. Il a ainsi suggéré d’en finir avec ce qu »‘il appelle la »catho-laïcité » , à savoir dans son esprit la prééminence culturelle qui est (encore) accordée au catholicisme dans la société française. Au nom de la lutte contre les discriminations bien sûr…

    Soucieux de se rappeler au bon souvenir (?) des Français, l’ex ministre centriste de la Défense,  Hervé Morin , qui a rallié avec  sa coquille ville Nouveau Centre,    l ‘UDI  de Jean-Louis Borloo,  a tenu à apporter sa contribution  au lynchage médiatique des Français qui se tournent vers le Front National.

    Jusqu’alors le très opportuniste  M. Morin ne s’était guère signalé que par ses appels à voter en faveur de la gauche contre les candidats nationaux lors des derniers scrutins. Son seul  autre titre de gloire  constate Bruno Gollnisch,  fut d’avoir prestement obéi  aux ordres du lobby atlantiste qui,  en 2009,  demanda et obtint  la tête du   géopoliticien Aymeric Chauprade, enseignant au Collège Interarmées de Défense (CID) , car  coupable d’avoir énoncé un certain nombre de vérités sur « l’allié américain », ses objectifs et ses méthodes…

     Hier,  Hervé Morin  a donc fait un petit coup marketing en expliquant sur RFI que la « proposition politique » du Front National est   »folle » et « nationale-socialiste. C’est-à-dire plus collectiviste que Mélenchon et d’un patriotisme mortel ». Comme on soulignait qu’il évoquait  clairement le parti nazi, Morin, a insisté : « oui, c’est un parti national-socialiste ».

    M.  Morin  ne se grandit  pas  en  diffamant  effrontément le FN,  ses électeurs  et en mettant ces pas  dans ceux des agités du bocal  les plus extrémistes du combat contre l’opposition nationale. Sur son blog  Ivan Rioufol,  note avec raison que ce dernier « chausse de vieux sabots » et   »surtout laisse voir son désarroi« . « Si le FN est un parti nazi comme il le suggère alors il faut l’interdire. » Et il le serait depuis belle lurette si tel était le cas!

    L’éditorialiste du Figaro relève plus largement que « la campagne antiraciste menée par le gouvernement  suggère une généralisation (du racisme, NDLR) or cet amalgame ne peut être perçu que comme une insulte par le nouvel (et ancien! NDLR)  électorat frontiste »;  » rien ne permet de dire a priori qu’il est plus raciste qu’un autre ». « Les grandes âmes sont les meilleures alliées de Marine Le Pen qui par leur négation des évidences laissent apparaître (Marine) comme celle qui dit des vérités interdites »,   » comme une victime du sectarisme ». « Il n’est pas sain conclut-il,  de laisser le FN sans concurrents répondre au désarroi des gens ». Il n’est surtout pas sain de banaliser un totalitarisme mort et enterré depuis longtemps pour maintenir à  flot les gamellards du Système,  les collabos du  totalitarisme mondialiste, vaste machine  à tuer les peuples.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/08/les-collabos-donnent-de-la-voix/

  • L’antisarkozysme se retourne contre Hollande

    D8 diffusait dimanche une émission sur la campagne intime, émission qui a eu du succès puisque regardée par plus d’un million et demi de téléspectateurs. Les sarkozistes n’ont pu s’empêcher de faire l’éloge de celui qui, pour eux,  est un vrai homme d’état, par opposition à Hollande. Hollande n’a pas réussi à effacer Sarkozy au contraire…

    Tout le monde connait la stratégie du « je me retire » pour qu’on vienne « me rechercher » quand la situation sera désespérée. De Gaulle a su patienter plus de dix ans. Sarkozy ne fera sans doute pas de même mais une chose est sûre, il prépare ses pions pour son retour et des gens y travaillent. Il y a d’abord eu cette guerre Copé-Fillon où il a réussi à rester assez mesuré pour ne pas trop s’investir tout en faisant une brève réapparition. Mais il y a surtout eu aussi l’invalidation de ses comptes de campagne qui ont été une véritable publicité. On l’a cru tout à coup reparti en campagne. Il est apparu comme une victime et il a su insuffler un vrai élan de solidarité.  Preuve, il a pour la première fois twitté sur son compte à l’arrêt depuis sa défaite électorale  pour commenter la décision puis pour remercier les donateurs. Tout le monde à l’UMP ne serait pas ravi de son retour mais ce n’est pas l’avis des militants même si certains sont mesurés. Pour l’instant Sarkozy tâte le terrain pour savoir s’il se représentera en 2017. Hollande lui ouvre des boulevards.

    Lire la suite

  • Un grand cartel anti-européiste et souverainiste : Marine Le Pen tend la main à Beppe Grillo

    C’est avec une grande admiration que toute une sphère politique italienne regarde la progression de Marine Le Pen, que ce soit le résultat encourageant des présidentielles de 2012, la victoire à Brignoles, ou bien encore l’engouement populaire reflété à travers divers sondages nationaux.

    Les élections européennes s’approchent à grand pas et qui mieux que le Front national peut exprimer son désaccord dans le Temple de Bruxelles contre cette Union ? En Occident, le vent est en train de tourner. D’une part, il y a la volonté d’aller au-delà de la stérile alternance gauche-droite ; d’autre part, il y a un contraste effarant entre la politique ultra-libérale de l’Union européenne et les conditions sociales des citoyens. En effet, il ne relève pas du hasard que l’ascension électorale du Mouvement 5 étoiles en Italie se dirige dans la même direction, dans la mesure où ces organisations et mouvements politiques se jettent au cœur des failles du système, provoquées par les contradictions du capitalisme lui-même.

    Le Front national cherche des alliés sur le continent, puisque pour former un groupe parlementaire au Parlement européen, il faut au minimum vingt-cinq députés européens d’au moins sept pays différents. Il est donc nécessaire de réunir sous un seul et même drapeau, bien qu’en gardant chacun sa propre identité, les différents leaders qui luttent contre cette Europe. Pas contre l’Europe en tant que telle, que ce soit clair, mais bien contre cette Europe. Chaque mouvement ou parti doté de voix devient utile. Qui peut donc être l’interlocuteur de Marine Le Pen en Italie ?

    Ces derniers mois, quelques représentants du centre-droit italien (de la Ligue du Nord aux Frères d’Italie en passant par Forza Italia et divers groupuscules minoritaires) ont tenté d’apprivoiser le phénomène « Le Pen » et, bien à leur habitude, de se l’accaparer. Berlusconi sortira de la scène politique, il y passera certes encore un peu de temps mais finira par disparaître. Bien évidemment pas grâce à la magistrature ou à la gauche, qui en réalité n’a cessé de le maintenir en vie en faisant de l’anti-Berlusconi son cheval de bataille. Ses démissions ont été provoquées, « le coup d’État en douceur » réussi par Mario Monti, émanation de l’oligarchie (de Goldman Sachs aux pouvoirs européistes). De fait, le centre-droit est sans idées, sans véritable leader charismatique et sans grandes prospectives pour l’avenir. Il y a ceux qui, pour changer de cap dans cette phase d’immobilisme, ont regardé en direction de la France, celle vue par Marine Le Pen. Il y a Matteo Salvini, vice-président de la Ligue du Nord, il y a Francesco Storace, secrétaire de « La Droite », il y a Gianni Alemanno, leader de l’association « D’abord l’Italie » et ex-maire de Rome, et enfin il y a Giorgia Meloni de « Frères d’Italie ».

    Tous ces partis, même unis, ne dépasseraient pas les 12 % si nous allions voter demain. Mais il y a un facteur d’autant plus important : toutes ces organisations n’ont aucunement la même crédibilité que le Front national, notamment en raison du fait que le parti français n’ait jamais vanté les partis traditionnels, participé à quelconque majorité gouvernementale ni même joui du soutien de l’appareil médiatique, contrairement aux personnalités citées plus haut. Pendant des décennies ces personnages ont eu les effectifs nécessaires au Parlement pour renverser le pouvoir de Bruxelles, mais ils ont surtout eu les moyens de communication nécessaires (de Mediaset aux différentes unes de journaux, en passant par les maisons éditrices aux mains de la famille Berlusconi) pour informer de la dérive ultra-libérale de la Banque centrale européenne et préparer l’opinion publique à une éventuelle sortie de l’Union.

    D’un autre côté, il y a le Mouvement 5 étoiles de Beppe Grillo et Gianroberto Casaleggio (personnage énigmatique dont il faudrait traiter à part), fort de ses résultats obtenus lors des élections de février (25,55 % des voix). Malgré de nombreuses limites, il s’apparente à une alternative transversale, courageuse et avant-gardiste, qui a réussi en seulement trois années à forcer l’admiration d’intellectuels comme Massimo Fini, Dario Fo, Giulietto Chiesa, Serge Latouche, de blogueurs comme Claudio Messora, d’économistes comme Alberto Bagnai, Loretta Napoleoni, le professeur Rinaldi ou bien encore Claudio Borghi, de juristes comme Lidia Undiemi, de journalistes comme Marco Travaglio pour ne citer qu’eux. Toutes ces différentes personnalités que l’on pourrait identifier en France à d’autres, comme l’essayiste Alain Soral, le professeur Pierre Hillard, le journaliste Thierry Meyssan ou bien encore le chercheur Aymeric Chauprade.

    Le Mouvement 5 étoiles est surtout parvenu à réunir étudiants et retraités, citoyens de droite et de gauche, ouvriers et petits entrepreneurs. Un modèle politique révolutionnaire d’un caractère le plus démocratique qu’il soit, qui est sorti des barrières idéologiques en refusant le langage imposé par le pouvoir (droite/gauche). C’est un mouvement qui, en quelques mois, a réaffirmé l’économie réelle sur la finance apatride, le citoyen sur le consommateur, la lire sur la monnaie unique, le travail sur le capital, l’identité communautaire sur l’hyper-individualisme, l’Italie sur l’Europe, la paix sur l’ingérence impériale américaine, les valeurs pré-politiques (honnêteté, humilité, honneur, dignité) sur les valeurs politiques (corruption, compromis, clientélisme, favoritisme), la nationalisation des secteurs clés du pays sur le libéralisme, le secteur public sur le privé.

    « Portez votre voix haut et fort sinon l’Italie sera perdue. Vous ne pouvez pas croire que, avec l’aide d’une SARL et avec une poignée d’hommes au Parlement, je puisse combattre tout seul la partitocratie, la maçonnerie, le système bancaire, la BCE, le crime organisé, tous les médias. Sans vous, ce sont eux qui vaincront », avait écrit Beppe Grillo sur son blog quelques semaines après les élections. Le Mouvement 5 étoiles est seul contre tous, tout comme le Front National en France.

    Récemment interviewée par la 7 (émission télé italienne), Marine Le Pen n’a pas tari d’éloges sur Beppe Grillo : « En Italie, il n’y avait pas un seul parti critique sur la question européenne, Grillo a comblé ce manque. Je suis d’accord avec lui sur la nationalisation des banques et sur le referendum pour la sortie de l’euro, je l’ai moi-même proposé. » Des rapports directs avec lui, non (« s’il souhaite me rencontrer , je suis ici »), mais « nos équipes sont en contact. La personne en charge des questions européennes m’a dit qu’elle attendait un appel téléphonique d’un des responsables du Mouvement 5 étoiles. D’ailleurs, pourquoi attendre ? Une responsabilité historique nous attend. Les forces eurosceptiques doivent se rencontrer. » Casaleggio a, par la suite, démenti sur le blog (« Aucun des collaborateurs de Beppe Grillo n’a eu des contacts avec Marine Le Pen, ni même souhaité en avoir »), peut-être pour ne pas dévoiler les cartes avant la présentation des listes électorales ou bien parce qu’il n’y a absolument aucune intention de créer le moindre contact en vue des élections de mai 2014.

    Bien que le Front national ait pour symbole une flamme tricolore – reprise par le Mouvement social italien –, Marine Le Pen ne doit pas se tromper d’interlocuteur en Italie (éviter plus exactement le centre-droit italien dans son ensemble), et doit créer un regroupement anti-européiste qui rassemble toutes les entités aspirant à la souveraineté. Avec par exemple l’UKIP de Nigel Farage, l’Alternative für Deutschland (AfD) allemand et le Mouvement 5 étoiles, le concept de souveraineté nationale pourrait être mis au cœur du débat, aussi bien du point de vue économique que politique ; les prémices d’un dialogue avec la communauté musulmane d’Europe sur de nouvelles bases pourraient être lancées ; les intérêts des ouvriers, tout comme ceux des agriculteurs, des éleveurs et des petits entrepreneurs pourraient être défendus. On pourrait également s’opposer aux guerres atlantistes et aux ingérences américaines dans la politique intérieure des nations, voire même se tourner en direction de la Russie de Poutine en vue d’un monde multipolaire.

    Sebastiano Caputo pour Égalité & Réconciliation

    (Corrections de Damien Bondavalli)

    Sebastiano Caputo est fondateur et directeur du quotidien en ligne L’Intellettuale Dissidente. Il a collaboré pendant deux ans avec le quotidien de gauche national Rinascita et écrit actuellement pour La Voce del Ribelle, dont le directeur politique est Massimo Fini. Le 5 décembre prochain, il sortira son premier essai politique, Le Pouvoir. Le monde moderne et ses contradictions (Historica Edizioni, 180 pages), préfacé par Carlo Sibilia (député du Mouvement 5 étoiles) et dont l’épilogue est réalisé par Diego Fusaro (essayiste, professeur, philosophe).

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-grand-cartel-anti-europeiste-et-souverainiste-Marine-Le-Pen-tend-la-main-a-Beppe-Grillo-21148.html

  • « L’Alternative » n’en est pas une

    Hier mardi en fin de journée, le MoDem et l’UDI ont présenté à la presse une charte sur laquelle repose leur nouvelle union politique. C’est l’occasion pour Jean-Louis Borloo et François Bayrou de lancer un nouveau mouvement politique baptisé « L’Alternative », qui espère faire sa percée lors des élections municipales de mars 2014. Voici une alliance dont la durée de vie fait déjà l’objet de tous les paris.

    Les deux « leaders » ont un vrai point commun : l’un comme l’autre erraient sans véritables troupes pour leur permettre encore la moindre illusion d’obtenir une victoire sous leur seul étendard.

    Dans la droite ligne de ce centrisme qui s’apparente à la démocratie chrétienne insipide, et à l’instar de l’UDF qui a couvé Simone Veil et sa loi autorisant l’avortement, Borloo et Bayrou ne s’expriment jamais sur les questions morales, éthiques et familiales que pour soutenir l’immoralité, la dénaturation du mariage et la destruction de la famille.

    Ne les attendez pas non plus pour s’exprimer utilement sur l’immigration, l’insécurité ou l’identité nationale. Ils sont le centre mou de la vie politique.

    lire la suite 

  • Effrayer le bourgeois… ça fonctionne encore ?

    Un moment  bien choisi? Alors que la cote de popularité de l’action de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault   a  de nouveau fortement reculé au mois d’octobre, les politiciens  centristes François Bayrou (MoDem) et Jean-Louis Borloo  (UDI) ont choisi hier d’officialiser par une « charte » leur mariage de raison, après onze de séparation, en créant une nouvelle structure baptisée l’Alternative. Une manière de se positionner sur un créneau qu’ils espèrent porteurs, celui  des déçus de l’UMP tout en espérant rallier à la marge  des  électeurs de la gauche modérée.  Selon le baromètre Ifop-Paris Match publié hier, 75 % des personnes interrogées désapprouvent l’action du chef de l’État, soit six points de plus qu’en septembre, et ce décrochage des avis positifs se constate en effet non seulement auprès des sympathisants socialistes (63 %, – 12), mais aussi  auprès des sympathisants du Front de Gauche, dont un tiers seulement  expriment un avis positif (35 %, – 14) et des Verts (39 %, – 10). 

    Si ce mariage inquiète une UMP en voie d’implosion et ne fait pas l’unanimité au sein de l’UDI de M.  Borloo - beaucoup n’ont pas digéré l’appel à voter Hollande de Bayrou au second tour de la présidentielle- , Marine Le Pen a constaté l’évidence en relevant dans cette union tactique un «élément de clarification bienvenu» . «Les Français y verront donc un peu plus clair: quatre partis défendaient hier les mêmes choix de fond, UMP/PS/UDI/MoDem ; aujourd’hui ils ne sont plus que trois. Tant mieux.»

    Car en fait d’alternative, elle n’est pas en effet tant programmatique que dans la volonté d’offrir en tête de gondole  aux électeurs lassés par l’UMPS tentés par l’abstention, la possibilité d’acheter, sous un  habillage différent,  peu ou prou la même politique sociale-démocrate et européiste. Cette alternative doit donc  se comprendre  aussi comme un moyen  de contrecarrer la progression du FN qui sème l’effroi dans les cénacles du Système.

    Plus prosaïquement encore,  nos deux compères vont aussi  tenter par le  biais de cette structure de sauver les meubles lors des élections de 2014 et/ou d’exister médiatiquement, pour autant une addition de faiblesses  n’a jamais fait une force…

    Le député PS de Paris,  Jean-Christophe Cambadélis,  l’a bien compris. Dans un entretien accordé hier  au quotidien Ouest-France et au site internet linternaute.com, l’ex militant trotskyste et membre dirigeant de SOS Racisme réitéré sa conviction selon laquelle  la France s’apprêtait à basculer dans un « tripartisme » avec un  » FN (qui) va occuper entre 18 et 25% de l’électorat ».

    Avec un culot assez phénoménal et une mauvaise foi toute aussi énorme, M.  Cambadélis a aussi  déclaré  que « Depuis 15-20 ans, et c’est tant mieux, les mairies ont été dépolitisées, le débat a été exclusivement sur ce qui était bon pour la ville ». C’était donc le bon temps et tout fonctionnait formidablement bien dans le meilleur des mondes. Oui mais voilà prévient-il , soucieux d’effrayer le bourgeois,   »l’entrée du FN (dans les mairies, NDLR) va modifier ce paramètre. »

    En effet, assène-t-il, « On ne va pas discuter de la rocade, de la 2e piscine ou de la bibliothèque mais vous aurez dans 700, 800 conseils municipaux des responsables du FN qui poseront la question de la priorité nationale, de la préférence nationale. Tout ceci va être un facteur de trouble dans chacune des villes et un élément de la tentative de conquête du Front National ».

    « Il y a une dynamique propre du Front National poursuit-il,  appuyé sur la xénophobie (mot utilisé par l’UMPS pour désigner  la volonté  légitime de défendre la France et les Français d’abord NDLR) et une volonté punitive des élites, des gouvernements et de tout ce qui représente Paris, Bruxelles, etc., qui est très forte en France, avec des Français qui désespèrent de la situation ».

    Dans ce schéma, il est certain que l’UMPS et son clone triste l‘Alternative ont du souci à se faire, d’autant que  l’aveuglement  de « nos élites » ne se dément pas. En témoigne le surréaliste entretien accordé par  Christiane Taubira à Libération et  publié aujourd’hui.

    Nous rappelions  à l’occasion de sa nomination dans le gouvernement Ayrault,  les propos de Mme Taubira qui,  invitée quelques temps auparavant sur RMC dans l’émission « Les grandes gueules », expliquait, croyant être en off, qu’elle se verrait bien quitter notre pays d’ingrats pour aller faire carrière « au Brésil ou en Afrique du Sud »…pays qui ne sont pas minés par le racisme comme chacun le sait…

    Dans Libération, le ministre de la Justice manifeste de nouveau son dépit.  Elle   y fait part de son étonnement   qu’aucune « belle et haute voix (ne) se soit levée pour alerter sur la dérive de la société française », pour pointer le danger pour « la cohésion sociale » que constituent les attaques racistes dont elle a été victime, notamment la phrase entendue dans la bouche  d’une fillette qui ‘l’a traitée de « guenon » lors d’un récent déplacement. »Des millions de personnes sont mises en cause quand on me traite de guenon. Des millions de gamines savent qu’on peut les traiter de guenons dans les cours de récréation! » affirme-t-elle.

    « Est-on encore capable de réagir lorsque la société est ébranlée sur ces fondations ? Les réactions n’ont pas été à la mesure. (…) Ce sont des analyses, pas une alerte, dans le sens où des consciences dans la société française pourraient dire: Attention, ce n’est pas périphérique, c’est une alarme. »

    « Lorsqu’on regarde les chiffres de l’immigration assène encore l’ex militante indépendantiste guyanaise, il faut arrêter d’en faire un feuilleton quotidien! En quoi l’immigration est-elle un problème? En quoi met-elle en danger la société française ? » Avant d’affirmer qu’ »incontestablement », « l’institutionnalisation » du FN favoriserait cette montée du racisme.   »Même si Mme Le Pen fait semblant d’être présentable, les Français savent ce que représente son parti – et son idéologie, qu’elle n’a d’ailleurs jamais reniée, » dit-elle.

    Ses propos sont consternants à plus d’un titre juge Bruno Gollnisch. Sur quelle planète,  dans quel monde vit Mme Taubira?  Sa dénonciation du racisme, contre lequel le programme du FN est le seul véritable rempart,  est totalement hémiplégique et en ce sens nulle et non avenue.

    Ignore-t-elle vraiment, aveuglée par son cosmopolitisme,  que c’est la submersion migratoire non européenne, les profonds bouleversements démographiques de ces trente dernières années  qu’elle feint de ne pas voir (?) qui  sont  la première cause de la montée des tensions ethniques et religieuses?

    Ignore-t-elle que le premier  racisme dont souffre nos compatriotes -ce qui n’excuse en rien les propos dégradants proférés à l’encontre d’autres ethnies-  est le racisme antifrançais et plus précisément  anti-blanc?  Que dans les quartiers pluriels,  dans les cours de recréation, dans les transports en commun,  ce sont les sales français , les insultes contre les gaulois, les bouffeurs de porc , les  fromages et autre faces de craie qui sont de très très loin les plus répandues? Et  cela, sans que de « belles voix » ne s’élèvent  jamais  pour les dénoncer, à commencer dans les allées du pouvoir.

    « Qui veut faire l’ange fait la bête » disait Pascal, ce jugement s’applique pleinement aux figures politiciennes d’un Systéme  qui  s’écroulera inévitablement  sous le poids de ses contradictions, de ses reniements et  de ses fautes.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/06/yrou-et-jean-rine-mbadelmis/

  • Sur les comptes de M. FALCO à Toulon Provence Méditerranée

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE BRUNO GOLLNISCH

    Candidat à la Mairie de Hyères

    Dans Var Matin de ce jour, M. Hubert Falco justifie son bilan de président de la communauté d’agglomération TPM (Toulon Provence Méditerranée). Il argumente notamment sur le bénéfice que les Hyérois en auraient tiré. Quelques réalisations ont eu lieu en effet au nom de cette communauté. Mais cela a surtout ajouté 53 millions d’Euros à l’endettement de la commune : en 2012,  chaque Hyérois était endetté à raison de 959€ du fait de TPM.

    L’absence de toute représentation démocratique d’élus du Front National dans cette institution, ajoute à notre légitime suspicion, M. Falco ayant préféré y voir siéger un élu socialiste. L’élection prochaine au suffrage direct nous permettra enfin d’y voir plus clair, et de dire si les Hyérois reçoivent autant que ce qu’ils donnent, ce qui est (très) loin d’être si évident !

    En fait, ces protestations traduisent surtout une tension croissante entre l’UMP de la communauté et l’UMP hyéroise ou l’UMP-UDI départementale… Les électeurs, eux, ont cessé de donner du crédit à ces jeux politiciens. Ils l’ont montré hier à Brignoles, et peuvent le montrer à Hyères en mars prochain !

    http://www.gollnisch.com/2013/11/05/sur-les-comptes-de-m-falco-toulon-provence-mediterranee/