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Gollnisch : « Nous n’avons jamais varié dans notre combat et notre fidélité »
À l’occasion de la « manif pour tous » du 5 octobre, La Nouvelle Gazette a interrogé Bruno Gollnisch.La délégation des élus du Front National était nombreuse lors de la dernière Manif Pour Tous. PMA, GPA, nous avons interrogé Bruno Gollnisch, député Front National au Parlement Européen, sur ces questions ainsi que l’implication de son parti vis-à-vis de ces problèmes sociétaux.1) Bruno Gollnisch, vous étiez ce dimanche à la Manif Pour Tous aux côtés de nombreux élus du Front National. Comment avez-trouvé cette nouvelle manifestation ? La mobilisation était-elle toujours aussi forte ?Nous étions dans la rue, toutes sensibilités confondues, plusieurs centaines de milliers, dont énormément nous ont témoigné de la sympathie : cela démontre s’il en était besoin que les valeurs défendues mobilisent toujours autant. La Société semble prise dans l’engrenage fou de la culture de mort et de la négation des évidences naturelles, et voilà qu’un sursaut visible témoigne de la persistance de notre civilisation. Ces événements encouragent à ne jamais rien lâcher. Permettez moi aussi de lier cela à la vitalité d’un courant de pensée national, populaire et social qui n’a jamais abandonné son combat malgré les anathèmes et les calomnies.2) La délégation du Front National était assez importante. Certains ont accusé le parti de ne pas s’être emparé du sujet de la loi Taubira sur le mariage homosexuel de manière assez forte contrairement à l’UMP. Cette fois-ci, les élus du FN avaient été officiellement invités à manifester. Qu’est-ce qui a changé?Rien n’a changé, en tout cas dans notre discours. Je vous rappelle que dès le début, le Front National, à l’unanimité de sa plus haute instance, le Bureau politique, la présidente incluse, a condamné sans la moindre ambigüité la loi Taubira, alors que l’UMP était divisée. Marine Le Pen est à ce jour le seul leader politique d’importance à avoir dit qu’elle voulait abroger la loi. En revanche, notre formidable succès, par exemple, aux élections européennes, modifie la donne: les parlementaires étaient 8 fois plus nombreux dans la manifestation d’octobre 2014 car 8 fois plus nombreux au Parlement européen qu’à l’époque des précédentes manifestations, sans compter les deux nouveaux sénateurs, les dizaines de conseillers régionaux et municipaux. La preuve que voter FN ça marche! Nous avions appelé par voie de communiqué nos sympathisants qui le désiraient à rejoindre le cortège, comme pour les autres manifestations « pour tous ».3) Malgré ses affirmations, le gouvernement a tenté de démobiliser les manifestants notamment avec l’interview de Manuel Valls au journal La Croix sur la GPA. Pensez-vous que la majorité socialiste est-elle encore crédible pour ses sujets d’éthique ?D’une certaine façon, c’est plutôt positif : cela montre que la pression exercée par « La Manif pour Tous » a payé. Mais depuis le RPR puis UMP Charles Pasqua, on sait bien que « les promesses politiques n’engagent que ceux à qui elles sont faites« . Or nos amis savent que, notamment sur des questions sociétales, elles sont toujours suivies de lois inverses. Les mensonges ne marchent plus. En tous cas espérons que seuls les actes passés serviront de guide dans la confiance que les uns et les autres placeront (ou non) chez les politiques. Et puis le pouvoir socialiste s’est tellement acharné à diaboliser le grand mouvement populaire contre la Loi Taubira que plus personne ne peut être dupe sur leur vrai visage.4) La France s’oppose à la GPA tandis que la CEDH prend une décision contraire. La mobilisation ne doit-elle pas se porter aussi au sein des institutions européennes ?Le combat doit se porter à tous les échelons législatifs. Ce que nous appelons « l’UMPS » ayant abdiqué la souveraineté de la France à Bruxelles, il faut bien sûr lutter aussi au Parlement européen. Le cas du rapport Estrela est connu de tous, et je m’honore d’y avoir fait personnellement échec, si vous m’autorisez cette immodestie! Et il est heureux que notre dénonciation, la salvatrice mobilisation des réseaux, et la pression des courriers venant « de la base » aient finalement contraint la plupart des députés UMP (PPE au Parlement européen) à voter contre l’affreux texte dit de « compromis » qui suivait l’immonde rapport Lunacek, autrement dit à voter contre un texte qui avait cependant été déposé en leur nom et au nom de leur groupe !5) Pensez-vous qu’il faudra rester vigilants sur les sujets sociétaux comme la théorie du genre, la PMA ou la GPA ? Quelle place devra prendre le FN dans ses débats ?Non seulement je le pense, mais soyez assurés que nous le serons! J’espère que le Front National restera très ferme sur ces thématiques. Il le sera peut-être sans exclusive, mais nous avons prouvé jusque là que nous n’avons jamais varié dans notre combativité et notre fidélité. Certains nous accusent d’une visibilité insuffisante sur ces sujets. Mais il faut dire aussi que jusqu’à présent, et malgré notre disponibilité réaffirmée, les organisateurs de la « Manif pour Tous » n’ont pas fait grand chose pour mettre en valeur ceux d’entre nous qui étaient le plus engagés à leurs côtés. Et en disant cela, je reste poli ! Encore une fois, ce sont nos paroles, nos votes, nos actes, qui plaident en notre faveur. Nombreux sont ceux qui le savent, et par votre intermédiaire, je l’espère vivement, un plus grand nombre encore. Et puis à tous ceux qui estiment encore que nous n’en faisons pas assez, je dirai: « Nous n’attendons que vous pour faire plus et mieux! » -
Entretien avec Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro
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Céline Lafontaine : “La bioéconomie, c’est le stade ultime du capitalisme”
Dans son livre “Le Corps-Marché”, la sociologue canadienne Céline Lafontaine, professeure à l’université de Montréal, dénonce la “bioéconomie”, une économie fondée sur la marchandisation du corps.
S’attachant en particulier à l’industrie biomédicale, Céline Lafontaine délivre une enquête documentée et pragmatique sur les enjeux de la bioéconomie. Elle éclaire les règles d’un marché mondialisé du corps humain, dont les éléments (sang, ovules, cellules, tissus…) sont de plus en plus marchandisés, comme dans l’industrie de la procréation. Par-delà les clivages éthiques que tous ces débats suscitent entre les citoyens – par exemple au sujet de la gestation pour autrui –, elle consigne précisément les enjeux réels de cette bioéconomie souveraine. Un éclairage à partir duquel les positions éthiques de chacun peuvent s’ajuster en fonction de plusieurs conceptions possibles de la liberté et de l’égalité…
Le monde vivant est devenu aujourd’hui, selon vous, “une mine à exploiter”. Une mine qui définit ce que vous appelez la “bioéconomie” ? Qu’est-ce qui la caractérise ?
1Céline Lafontaine – La bioéconomie, c’est le nouveau modèle de développement économique, promulgué par l’OCDE. La bioéconomie est au cœur du processus de globalisation. L’origine du concept se rattache à l’écologie et au modèle de la décroissance. Face à l’épuisement des ressources naturelles, la bioéconomie, dans sa première version, devait tenir compte des limites imposées par la planète, des limites du vivant. Historiquement, la bioéconomie est directement liée à la crise du pétrole du début des années 70, à l’abandon de l’étalon-or, au moment où le rapport du Club de Rome annonçait l’épuisement de l’énergie fossile.
Les Etats-Unis ont alors réagi en développant un nouveau modèle de l’économie qui place les processus vivants au centre de tout. Dès le début des années 80, le pays a investi massivement dans les biotechnologies. La bioéconomie, c’est donc un mode de production qui touche tous les secteurs économiques (agriculture, industrie, santé…), qui prend les processus vitaux, au niveau de l’ADN et des cellules, pour les transformer et leur conférer une nouvelle productivité.
Ces processus biologiques sont à la source d’une nouvelle productivité. Plutôt que d’utiliser la force de travail des ouvriers, la bioéconomie est fondée sur l’exploitation du vivant, la manipulation des gènes, des processus cellulaires et des processus vitaux. La vie elle-même est devenue la source de la productivité économique.[....]
La suite sur Les Inrocks.com
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Celine-Lafontaine-La-bioeconomie-c
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La Manif Pour Tous va recomposer le paysage politique français
La manifestation des familles du 5 octobre 2014 a été, une fois de plus, un succès. Mouvement de masse transcendant l’ensemble des partis, la manif pour tous, qui puise dans la redécouverte de la nature comme norme est amenée à bouleverser le paysage politique français. Entretien avec Henri Hude :
Quel est le poids de la manif pour tous ?
Nous ne sommes pas en face d’un mouvement groupusculaire, ou catégoriel, mais d’un mouvement de masse. Le concept de base, pour l’analyse, est la tripartition en trois segments d’opinion : les « proches », les « indifférents » et les « éloignés ». En chiffres ronds, 30% de proches dont 15% de très proches. Ces derniers forment un bloc d’environ dix millions de personnes, tous âges confondus. C'est le chiffre qu'il faut garder en tête. Cela montre que nous sommes en face d’un mouvement massif, luttant pour un intérêt profond et non négociable, déterminé, ancré dans la durée. Il n’y a aucune vraisemblance qu’un mouvement aussi profond s’amortisse dans les années à venir. Le plus intéressant est que ce mouvement national divise la totalité des partis, des classes sociales et des cultures. Bref, toutes les divisions habituelles sont recoupées par une nouvelle division longitudinale qui les traverse toutes.
Comment expliquer que le mouvement reste marginalisé ?
Ce mouvement massif n’est pas majoritaire et faute d’une stratégie d’alliance, une politique isolationniste le condamnerait à l’échec. Mais, pour pouvoir négocier des alliances, ce mouvement devra savoir ce qu’il est et où il va. Sans doute va-t-il « objectivement » dans une certaine direction. Mais son leadership devrait définir ce que serait pour lui la victoire, au-delà du retrait de quelques textes législatifs ou réglementaires, et se donner une stratégie ambitieuse et claire. Une telle stratégie se doit d’être au niveau des enjeux de tout le pays et de tous les Français.
Quels sont les fondements du mouvement ?
Philosophiquement, ce mouvement se définit comme une redécouverte par un peuple de la nature comme norme. Cette redécouverte a d’abord eu lieu de manière plus superficielle dans les milieux écologistes, face aux dégâts causés à l’environnement. Elle s’est accomplie ensuite de façon bien plus profonde, en silence, et dans un nombre considérable d’esprits, face à la confusion pathogène causée en l’Homme et en la Société par la négation radicale de lanature et de sa normativité. Or, cette idée d’une nature comme facteur d’harmonie, est adaptée au multiculturalisme contemporain. En outre, cette idée force peut s’accorder à la tradition de l’humanisme.
Quelles seront les conséquences politiques du mouvement ?
Nous sommes en face d’un mouvement qui cherche sa place sur l’échiquier politique. Il fait partie des forces politiques modernes qui ont vocation à restructurer l’espace politique tout entier, mais n’en ont pas encore pris conscience. Modérés par tempérament, par éducation, par position sociale, les leaders du mouvement voudraient exister dans l’espace libéral classique. Ils préféreraient cela de beaucoup à d’autres tentatives plus ambitieuses. Mais, l’énergie propre de leur mouvement contrarie leur prudence. C’est pourquoi ils peinent à trouver leur place dans le paysage, entre les partis existants. Si ces derniers ne se résolvent pas à lui faire une place et même, peu à peu, à se laisser restructurer à partir de son dynamisme, nous verrons les gens décrocher peu à peu du système politique et le rejeter dans son ensemble. C’est alors que les événements pourraient prendre un tour assez différent.
Propos recueillis par Thomas Flichy de La Neuville.
Henri Hude, dernier ouvrage paru La force de la liberté, Economica, 2013.
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Jean-Paul Gourévitch, "les Migrations pour les Nuls"
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"Le vice obscur de l'Occident" par Massimo Fini - Entretien exclusif avec "Le Retour aux Sources"
Célèbre journaliste italien depuis plus de 30 ans, Massimo Fini est l'auteur de 17 livres dont la ligne directrice s’inscrit dans une critique radicale du modernisme. Il y montre les limites du modèle de développement occidental, dénonce ses paradoxes et déconstruit ses mythes fondateurs. Les éditions "Le retour aux sources" ont traduit et publié deux ouvrages en un : Le vice obscur de l'Occident et la démocratie et ses sujets.
Les équipes des Non-alignés et de Scriptoblog ont rencontré Massimo Fini pour un entretien exclusif : (Traduction et montage : Agence Info Libre)
"Vice obscur de l'Occident et la démocratie et...par agenceinfolibre -
Reportage Robin Richard - Ministère de la santé
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Mères porteuses : le cynisme glaçant des LGBT
Julie Graziani, porte-parole d'Ensemble pour le bien commun, répond au Figaro, suite à son intervention face à Alain Juppé hier :
"Ce dont je suis convaincue c'est qu'il faut maintenir la pression et marteler qu'en l'état de sa rédaction cette loi est une loi de contournement des interdictions de la PMA et de la GPA, qui demeurent interdites en théorie et qui sont désormais autorisées en pratique. L'échange d'hier a montré qu'en révélant ce caractère intrinsèquement frauduleux de la loi Taubira on oblige les hommes politiques à reconnaître qu'il n'est pas envisageable de laisser cette loi en l'état. Vous savez, les hommes politiques n'ont que le courage qu'on leur donne et ne tiennent leurs engagements que si on les leur rappelle régulièrement.
Dans un entretien au journal la Croix, le premier ministre annonce que la GPA sera interdite en France. S'agit-il d'une vraie victoire ou d'un recul temporaire de Manuel Valls avant la Manif de dimanche?
Manuel Valls n'annonce rien de concret ni de neuf, puisqu'en théorie la GPA est déjà interdite et qu'en pratique elle est tolérée.Comment compte-t-il s'y prendre? S'il s'engage lui aussi à réécrire la loi Taubira on avance ; sinon on est dans l'effet d'annonce. Cette déclaration a au moins le mérite de reconnaître que la manifestation de dimanche se tient pour un juste motif. C'est appréciable quand on se rappelle qu'il nous traitait il y a quelques mois encore comme des extrémistes.
Ces propos interviennent après la condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) pour son refus de transcrire les actes de filiation d'enfants nés par GPA à l'étranger, une décision qui n'a pas fait l'objet d'appel. Comprenez-vous cette décision?
Bien sûr je la comprends, et c'est toute la perversité du système mis en place par les LGBTqu'elle met en lumière. Ces gens-là conçoivent des orphelins pour les rendre adoptable, puis placent tout le monde, et l'enfant le premier, devant le fait accompli en invoquant son intérêt à être adopté. C'est d'un cynisme glaçant. Ils piétinent l'intérêt de l'enfant en le privant de son père ou de sa mère, puis invoque l'intérêt de l'enfant pour l'adopter. Un principe fondamental du droit dit que «nul ne peut se contredire au détriment d'autrui». C'est ce que font les LGBT.
Si la France n'a pas fait appel de la décision de la CEDH, c'est parce que «nous pensons que les enfants ne sont pas coupables du mode de conception que leurs parents ont choisi», a argumenté la secrétaire d'Etat à la famille Laurence Rossignol. A-t-elle raison de ne pas vouloir pénaliser les enfants?
Les enfants ne sont jamais coupables d'avoir des parents toxiques.Faire le choix d'un mode de conception qui prive l'enfant de son père ou de sa mère c'est causer une injustice à cet enfant et commettre un abus de pouvoir. La question n'est pas de pénaliser les enfants, les pauvres, mais de sanctionner efficacement ceux qui se permettent ces pratiques.Aujourd'hui la loi Taubira récompense ces pratiques en faisant de la complice de l'infraction la mère adoptive."
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Identité française et islam : débat houleux entre Edwy Plenel et Alain Finkielkraut
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Aymeric Chauprade : « Face à la barbarie de l’EI, il faut rappeler la hiérarchie des civilisations »
Aymeric Chauprade, géopoliticien français reconnu et auteur notamment de Géopolitique : Tendances et changements dans l’Histoire, a récemment publié une tribune sur la place de la France face à la question islamique, qu’il définissait comme une priorité. Récemment engagé aux côtés du Front National, avec lequel il a été élu au parlement européen, M. Chauprade a répondu à nos questions suite au débat qui a suivi sa prise de position radicale contre l’État islamique et, secondairement, en faveur d’Israël face au Hamas.
LBDP : Est-ce la mort de Dominique Venner qui dicte votre engagement politique aujourd’hui ?
A. Chauprade : Ce qui dicte mon engagement politique aujourd’hui c’est d’abord une réalité charnelle et sentimentale : une famille, des enfants auxquels je veux laisser un avenir français et européen. Mais il y a aussi trois écrivains qui, à la fois sur le plan intellectuel et amical, ont beaucoup compté pour moi, trois hommes radicalement différents.
Charles Saint-Prot, le maurrassien, pro-arabe, fervent défenseur de la Francophonie, soutien du baasisme irakien devenu islamophile (il a suivi l’évolution du monde musulman au fond), Dominique Venner qui m’a consolidé dans mon combat pour l’identité de notre civilisation. Et François Thual, un homme du Grand Siècle français (raison et classicisme), juif d’origine et orphelin, converti au christianisme orthodoxe, franc-maçon, un conservateur d’une intelligence fulgurante et qui m’a appris à dépasser le déterminisme scientifique et à me passionner pour la philosophie de l’Histoire.
Je les considère tous les trois comme des maîtres qui ont compté dans ma formation intellectuelle et je les tiens en grande estime mais je sais que chacun des trois aurait aujourd’hui quelques motifs de désaccord avec moi. C’est normal, chacun suit son chemin en homme libre.
Y a-t-il une différence de ligne entre le Chauprade géopoliticien indépendant et le Chauprade candidat du Front National ?
Une différence de ligne certainement pas. Je me suis engagé pour faire gagner mes idées et non pour en changer. Une différence d’approche et de traitement des idées oui et c’est normal. Le champ libre de la politique est plus réduit que le champ libre de l’écriture. Il y a des contraintes de formulations évidentes. L’autre différence c’est que l’écriture est tendue vers l’explication tandis que la politique est tendue vers la solution.
Je n’ai pas dit la solution idéale laquelle n’existe pas puisqu’on ne refera pas le monde, mais la solution crédible. Moi je suis entré en politique avec un objectif simple : aider Marine Le Pen à arriver au pouvoir pour que celle-ci stoppe le changement de population qui est en train de nous vider de notre substance, de notre civilisation. Je suis comme le militaire, je commence par définir l’EFR (l’effet final recherché) et je bâtis ensuite une stratégie politique en fonction de cet objectif.
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