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entretiens et videos - Page 820

  • Sur Canal+ «Hollande a parlé aux bobos. Qu'il parle au reste des Français maintenant.»

    Pour ses trois ans de mandat, François Hollande a laissé les caméras du Supplément de Canal+ le suivre une semaine durant, à l'occasion d'une émission de deux heures qui lui était entièrement consacrée. Un moyen, de l'avis général, de séduire l’électorat bobo branché de gauche en vue de la présidentielle de 2017. Mais le chef de l'Etat a-t-il réussi son coup? Philippe Moreau-Chevrolet, président et fondateur de l'agence de communication MCBG, évalue la performance du président.
    Hollande a déclaré «Je dois être celui qui incarne les Français. (…) Je ne veux pas être familier avec les Français». Bon point ou faux pas ?
    C'est une erreur et cela peut sembler méprisant, même si de sa part ce n'est sans doute qu'une maladresse. Ses détracteurs ne se priveront d'ailleurs pas de lui renvoyer cette phrase au visage. Et puisque François Hollande «ne veut pas être familier avec les Français», personne ne sait vraiment qui il est. Or c'est en étant plus familier que les Français, donc les électeurs, le connaîtront mieux: un président doit être familier. En comparaison, Nicolas Sarkozy, on peut le détester, mais on ne peut pas lui reprocher de ne pas être familier.
    Qu'a-t-il bien maîtrisé alors ?
    Comme à son habitude, François Hollande a extrêmement bien géré la séquence militaire, les questions de politique internationale et l'après Charlie. Il s'en est aussi très bien sorti dans son face-à-face avec les lycéens. Il a su les écouter, sans leur faire la morale ni les juger, faisant preuve d'empathie pour tenter de les comprendre. Le chef de l'Etat apparaît aussi comme quelqu'un de sympathique, avec le sens de l'humour. Mais ces bons points n'ont pour autant pas renforcé sa stature présidentielle ni son image de futur présidentiable.
    L'opération séduction n'est donc pas une réussite ?
    Non, c'est une opération ratée. Manuel Valls, lui, est un maître de la communication, sérieux, dans l'action, qui sait s'adapter en fonction du média dans lequel il apparaît. L'émission de ce dimanche a été à l'image de la communication de François Hollande: décalée. Il n'a pas commis trop d'erreurs, il apparaît sympathique mais l'exercice met en lumière un décalage entre le président et la réalité des Français. Surtout lorsqu'on le voit travailler au soleil sur une terrasse puis grimper dans un luxueux jet privé. Et il n'a pas été bon lorsque la progression du Front national a été abordée. On en retiendra ce qu'on retient habituellement des conférences de presse de François Hollande, à savoir pas grand-chose. Il a parlé aux bobos, à un tout petit segment de la population. Qu'il parle au reste des Français maintenant.

    Propos recueillis par Anissa Boumediene 20 minutes :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EukAVuyZElknZTnUBh.shtml

  • La France est devenue un satellite de la politique américaine

    Bachar Al-Assad était interviewé par France 2. Extrait de son intervention :

    "Il y a des contacts [avec la France,ndlr]  mais il n’y a pas de coopération. Nous avons rencontré certains responsables de vos services de renseignement mais il n'y pas de coopération, ni d'échanges d'informations. [Ils] sont venus en Syrie mais nous ne sommes pas allés en France. Ils sont peut-être venus pour échanger des informations mais quand vous voulez avoir ce type de collaboration, il faut de la bonne volonté des deux côtés.  Nous sommes toujours intéressés au dialogue avec quiconque.Mais comment peut-on établir un dialogue avec un régime qui soutient le terrorisme dans notre pays? (...) Les fers de lance contre la Syrie ont été : un la France, deux le Royaume-Uni. Personne ne prend plus au sérieux les déclarations des responsables français. La France est devenue en quelque sorte un satellite de la politique américaine dans la région. Elle n'est pas indépendante, et n'a aucun poids, elle n'a plus aucune crédibilité.

    L’EI a été créé en Irak en 2006 sous la supervision des Américains. Je ne suis pas en Irak. Je n’y ai jamais été. Je ne contrôlais pas l’Irak. C’était les Américains qui contrôlaient l’Irak. L’EI est venu d’Irak en Syrie, car le chaos est contagieux (...) Si vous comparez le nombre de frappes aériennes effectuées par les forces de la coalition composée de 60 Etats à celles que nous avons effectuées, nous petit Etat, vous constaterez que nous bombardons parfois dix fois plus que la coalition en une journée"

    Philippe Carhon

  • Entretien avec Grégoire Gambier, de l’Institut Iliade : « Il y a urgence à décoloniser notre imaginaire »

     L’Institut Iliade organise le 25 avril prochain un colloque, « l’univers esthétique des Européens ». Novopress est allé interroger son porte-parole, Grégoire Gambier.

    Rien ne nous oblige à accepter « la loi du pognon », et pire encore la « soumission » à une culture étrangère à nos valeurs.

    NOVOpress : L’Institut ILIADE organise son colloque annuel le 25 avril prochain à la Maison de la Chimie, avec pour thème « l’univers esthétique des Européens ». Pourquoi un tel choix ?

    Grégoire Gambier : Parce que la réaffirmation de notre univers esthétique, et donc éthique, nous apparaît impérieuse. L’art européen est fondamentalement un art de la représentation, celle de l’homme et du divin. Il est à la fois le terreau et le vecteur d’une vue du monde où la beauté et le sacré sont indissociables. Et où notamment la figure de la femme, de Diane chasseresse à la Vierge Marie, de la Dame de Brassempouy à la Vénus de Botticelli, occupe une place essentielle. Or cette spécificité plurimillénaire est aujourd’hui attaquée, voire niée par deux formes de totalitarisme.

    Celui de l’islam radicalisé, bien sûr, dont la fureur iconoclaste et fortement misogyne apparaît au grand jour partout où il peut se déployer sans limites : en Afghanistan hier, en Irak et en Syrie aujourd’hui – en Europe demain ? Mais aussi le totalitarisme du marché, la prétention de « l’avoir » à supplanter « l’être », qui nous impose une forme de dictature de la laideur, dont les provocations dérisoires de « l’art contemporain » ne constituent qu’un des aspects. Dans les médias comme dans nos villes, les zones commerciales et jusque dans nos champs et sur nos rivages avec la prolifération des éoliennes, c’est bien notre univers esthétique, mental, qui est agressé par le règne de la vulgarité, de la consommation et de l’utilitarisme « technicien ». Or rien ne nous oblige à accepter « la loi du pognon », et pire encore la « soumission » à une culture étrangère à nos valeurs !

     

    NOVOpress : Mais dès lors, que proposez-vous ?

    Grégoire Gambier : Commencer par le commencement ! En retrouvant dans les plis de notre plus longue mémoire, dans les sources premières et toujours pérennes de notre identité, de notre histoire, les ressources nécessaires au réveil de la conscience européenne, aujourd’hui « en dormition ». C’est tout l’objet de l’Institut Iliade, qui s’inscrit dans le sillage de Dominique Venner afin d’œuvrer à la transmission de l’héritage et des valeurs de la civilisation européenne. Une transmission qui passe par l’information et la communication en direction du plus grand nombre, mais aussi par la formation de nouvelles générations d‘acteurs du débat intellectuel, de militants, d’animateurs capables de donner à l’action civique ou politique la dimension culturelle et métapolitique indispensable. À rebours du « droit » des individus à s’affranchir de toute réalité civilisationnelle et anthropologique, jusque dans les liens du mariage, et même du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », nous entendons rappeler le devoir de chaque peuple et de chacun de ses membres à rester lui-même. Car nous sommes avant tout des héritiers, comptables du sacrifice de nos aïeux, responsables des enfants à venir.

    Lorsque l’islamologue René Marchand affirme que « les grandes civilisations ne sont pas des régions sur une planète, mais des planètes différentes », nous entendons que ne sommes pas de nulle part : nous sommes ici chez nous. Encore faut-il l’affirmer, sereinement mais fermement, en démontrant toute la richesse et la singularité de notre culture, la légitimité de notre inscription dans l’histoire, sur un territoire déterminé. C’est cette certitude qu’il convient de forger, cette légitimité qu’il faut rendre incontestable. Il n’y aura pas de réponse au défi du « grand remplacement » sans un « grand ressourcement » préalable, un refus du « grand effacement » de notre mémoire et de notre identité. C’est ce à quoi nous travaillons. C’est ce qu’illustrera notamment notre colloque, car il y a urgence à décoloniser en premier lieu notre imaginaire, à promouvoir une vue du monde en rupture avec le moment mortifère que nous connaissons aujourd’hui.

    NOVOpress : Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur le contenu du colloque du 25 avril ?

    Grégoire Gambier : Organisé comme l’année dernière dans la prestigieuse enceinte de la Maison de la Chimie, à Paris, il proposera une approche « polyphonique » de l’univers esthétique des Européens. Polyphonique quant à sa présentation, avec des interventions de fond mais également des évocations plus oniriques et imagées de quelques hauts-lieux « où souffle l’esprit européen », comme autant d’invitations au voyage, ainsi qu’une décoration originale de la salle et, bien sûr, des stands variés. Seront notamment proposés à la vente, uniquement à l’occasion de ce colloque, un retirage exceptionnel du premier numéro de La Nouvelle Revue d’Histoire consacré à « 40 siècles d’identité française », ainsi que l’affiche officielle et celles réalisées par des artistes à qui nous avons donné « carte blanche » pour illustrer leur vision de la civilisation européenne. La plupart d’entre eux seront d’ailleurs présents afin d’échanger avec les participants et dédicacer leurs œuvres.

    Cette manifestation se veut également polyphonique sur le fond, puisque seront évoqués tout à la fois l’art figuratif et la musique, la poésie, les textes religieux, le rapport à la nature ou au sacré… Sans prétendre faire le tour du sujet, il s’agira d’en aborder quelques points saillants, mais toujours opératifs pour aujourd’hui. Ainsi, lorsqu’Alain de Benoist traitera de l’art européen comme d’un « art de la représentation », il s’agira de souligner notre altérité par rapport à des cultures et des religions qui refusent le principe même de la représentation de l’homme et du sacré. La présence de Slobodan Despot et de Christopher Gérard, les évocations de la forêt de Brocéliande par Marie Monvoisin, du château de la Wartbourg par Philip Stein, ou encore de la tour de Belém, à Lisbonne, par Duarte Branquinho, attesteront de la réalité de l’Europe comme communauté de destin – une réalité charnelle qui ne saurait être sacrifiée au prétexte d’une dénonciation par ailleurs nécessaire de la « construction européenne ».
    Quant à Javier Portela, il appellera à une « dissidence par la beauté » qui passe également par le sens retrouvé de la fête, dans notre capacité à « réenchanter le monde » jusque dans les actes les plus quotidiens. Comme le souligne Adriano Scianca, qui évoquera pour sa part le Mont Palatin : « Dans un monde à la laideur inouïe, celui qui sait donner des expériences de beauté est révolutionnaire ! » Soyons donc révolutionnaires !

    Propos recueillis par Yves Lejeune

    Renseignements et inscriptions : institut-iliade.com/2015-lunivers-esthetique-des-europeens

    Voir aussi

    Radio Courtoisie : Libre Journal des idées politiques du 17 avril 2015 : “Plongée au cœur des réseaux de pouvoir ; De la défense culturelle à la défense physique” (extrait)

    http://fr.novopress.info/186062/entretien-gregoire-gambier-linstitut-iliade-il-y-urgence-decoloniser-notre-imaginaire/#more-186062

  • Radio Courtoisie en couleurs, c'est sur Le Salon Beige !

    Le Salon Beige est heureux de vous présenter cette première émission filmée et réalisée en commun avec Radio Courtoisie. Voici en exclusivité un extrait du dernier Libre journal de Lumière de l’Espérance, la Radio du dimanche de Radio courtoisie, dirigé par Grégoire Boucher.

    Émission du dimanche 19 avril 2015, consacré au thème d’actualité : être missionnaire de la Miséricorde divine face à la montée de l’Islam. Grégoire Boucher reçoit :

    • L’Abbé Fabrice Loiseau, Fondateur et supérieur de la Société des Missionnaires de la Miséricorde divine
    • Virginie de Préval, Mère veilleuse, catholique et missionnaire
    • Mgr Dominique Rey, Évêque du Diocèse de Fréjus-Toulon

    Nous espérons que vous apprécierez ce nouveau format d’émissions réalisées en collaboration avec radio Courtoisie. N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques et vos suggestions. Nous travaillons sur l’amélioration de ces entretiens originaux, et nous espérons pouvoir vous proposer très rapidement ces émissions en direct sur votre Salon préféré !

    Durée 27mn :

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jean-Pierre Dickès : « Nous avons perdu beaucoup de richesses en tuant les provinces »

    Jean-Pierre Dickès préside l'Association catholique des Infirmières et Médecins et dirige les cahiers Saint-Raphël.

    Monde et Vie : A votre avis, les notions de droite et de gauche ont-elles encore un sens ?

    Jean-Pierre Dickès : Non. On s'aperçoit, dans le domaine qui m'intéresse, celui de la bioéthique, la défense de la morale chrétienne, que la gauche et la droite sont aussi toxiques pour notre civilisation. Ces notions ne signifient donc rien. Même dans le programme du Front national, le côté « démocrate » et « républicain » ne me convient pas. Je me situe hors du système.

    Historiquement, n'y a-t-il pas néanmoins une différence ? Des catholiques sociaux comme La Tour du Pin ou Albert de Mun se situaient à droite, même s'il ne s'agissait pas de la même «droite».

    Historiquement, oui, mais aujourd'hui le système démocratique s'impose partout. Il peut convenir à l'Amérique, qui est un pays jeune, mais certainement pas à notre vieux pays de chrétienté, construit par une monarchie plus que millénaire.

    Nous en sommes à la Ve République, or un philosophe de gauche, Michel Onfray, déclare qu'il faut encore en changer. Va-t-on en essayer une sixième ? J'en ai connu deux, qui ont été aussi mauvaises l'une que l'autre. La Ve République a correspondu au retour de De Gaulle, à l'abandon de l'Algérie, à celui des harkis livrés à la torture et à la mort par centaines de milliers - on n'a jamais su combien exactement - et des pieds-noirs. Puis, les idées socialistes ont abouti à l'augmentation de la puissance de l'Etat, qui se développe toujours davantage et appesantit le fonctionnement du pays. La pieuvre étatique se nourrit, sa tête grossit sans cesse, et plus on s'éloigne du centre, plus la richesse diminue, à tel point que l'on en arrive à une société très inégalitaire, au nom de la République, de la liberté, de l'égalité et de la fraternité ! Je partage l'analyse maurrassienne, selon laquelle la république oscille entre Démos et César - c'est-à-dire entre la démocratie et le totalitarisme - et nous sommes actuellement sur le versant totalitaire. Cela paraît indéniable quand on voit que les socialistes ont remplacé le tiers des magistrats, des préfets, des sous-préfets, ou quand on se rappelle de la répression de la Manif pour tous. Même si l'on n'arrête pas les gens dans la rue, c'est du totalitarisme ! Il faut changer de régime et en revenir à un régime monarchique, ce que l'omniprésence de l'Etat rendra très difficile.

    Etes-vous favorable, comme l'était Maurras, à la décentralisation ?

    Oui. Le pays doit être organisé à partir d'une décentralisation effective et l'Etat ne doit intervenir que dans les domaines qui lui sont propres, c'est-à-dire la sûreté extérieure, la sûreté intérieure et le respect de la justice. C'est à cela que devraient se limiter ses prérogatives, alors qu'aujourd'hui il intervient perpétuellement et partout. Maurras disait : « le roi en ses conseils, le peuple en ses Etats ». Nous avons perdu beaucoup de richesses en tuant les provinces : on a tué la joie de vivre, la joie de s'exprimer dans sa propre langue, d'avoir ses propres traditions, ses habitudes, ses proverbes... Je suis un défenseur effréné du régionalisme, j'ai écrit six livres, j'ai fait un dictionnaire du patois de ma région qui fait autorité, pendant des années j'ai rassemblé ses dictons et ses proverbes, qui sont en train de disparaître, comme les richesses culturelles, les costumes traditionnels, etc. Je suis en revanche favorable à la suppression des départements, qui sont une création artificielle. J'habite le Boulonnais, qui pendant des siècles avait dépendu de la Picardie, pour des raisons de langue, de richesse, ou même géologiques.

    Aujourd'hui nous dépendons de l'Artois : ce sont des régions complètement différentes, c'est complètement idiot ! Il faut revenir aux provinces naturelles, qui continuent d'ailleurs à se revendiquer comme telles, comme la Bretagne, l'Alsace, etc... Nous sommes entrés dans le mondialisme : les provinces disparaissent au profit de la France, qui se dilue elle-même dans un gigantesque magma dominé par la finance. Le premier rôle de la monarchie consistait à défendre les frontières ; maintenant qu'elles ont disparu nous sommes devenus un aspirateur de toute la misère du monde et nous en venons à favoriser ceux que nous avons invités chez nous, qui nous imposent leurs idées et leurs religions !

    La laïcité est-elle fatalement, à vos yeux, une notion antichrétienne ?

    Absolument, car cette notion a été créée par des gens qui étaient antichrétiens, les socialistes du début du XXe siècle pour démolir le christianisme, avec la loi de 1905, l'expulsion des religieux, etc. C'est eux qui ont introduit cette notion de laïcité, en substituant une entité de type administratif ou légal aune entité ontologique : la religion donne un sens à la vie et la laïcité supprime, ce sens, ce qui est gravissime parce que cela provoque chez les personnes une insatisfaction par rapport à leur propre destinée. C'est générateur d'une grande partie des maladies contemporaines : quand les gens n'ont pas d'espoir après la mort, ils sont démunis face à la souffrance, à la maladie et à la mort Priver les gens du sens de la vie revient à les amputer. Mais les questions philosophiques continueront de se poser : c'est d'ailleurs pour cela que la philosophie que l'on enseigne aujourd'hui en faculté n'est plus de la philosophie, mais de la sociologie. Autrefois on y étudiait les grands courants de la philosophie : Kant, Descartes, saint Thomas ou la phénoménologie ; maintenant on résume la philosophie à des phénomènes de sociologie ou de psychanalyse. Et il n'est bien sûr plus question de métaphysique...

     

    Propos recueillis par Eric Letty  monde&vie avril 2015

  • Entretien avec le directeur de Rivarol suite à l’affaire JMLP

    Il a beaucoup été question dans les médias de l’hebdomadaire nationaliste Rivarol, suite à l’entretien prétendument choquant qu’y a donné le président d’honneur du Front national.

    Le choix du journal ayant réalisé puis publié cet entretien a été parfois vivement critiqué dans les milieux patriotiques.
    Contre-info a voulu poser quelques questions à Jérôme Bourbon, directeur de publication, histoire de connaître l’avis de l’un des acteurs de cette « affaire » aux conséquences politiques (à l’intérieur du FN surtout) étonnantes.

    C’est le premier entretien video que nous effectuons et espérons vous en proposer désormais régulièrement.

    http://www.contre-info.com/

  • Vidéo intégrale du débat entre Vladimir Poutine et ses compatriotes russes

    Chaque année, Vladimir Poutine répond aux questions de ses compatriotes durant plus de trois heures. C’est l’occasion de l’entendre aborder l’actualité politique nationale et internationale.

    http://www.medias-presse.info/video-integrale-du-debat-entre-vladimir-poutine-et-ses-compatriotes-russes/29635

  • TVL : Charles Beigbeder. Le collectif Phénix pour que la France renaisse de ses cendres.

  • 14/03/2015 - Entretien avec Fabrice Robert à la Traboule (Lyon)