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Europe et Union européenne - Page 1073

  • L’Europe est-elle aussi responsables des ouvriers bangladais ?

     

    La mort de plus de 400 personnes dans une usine textile au Bangladesh révèle une fois de plus les conditions déplorables dans lesquelles les entreprises occidentales font fabriquer les vêtements. L’UE a raison d’exercer des pressions sur les autorités locales, mais elle devrait aussi regarder ce qui se passe dans d’autres pays.

    C’est une catastrophe dont l’ampleur augmente chaque jour. Il s’agit de l’effondrement de l’immeuble Rana Plaza, dans la ville de Savar au Bangladesh, qui a coûté la vie à au moins 400 personnes d’après les dernières informations [on en dénombre actuellement 500]. Le compteur s’est mis en marche il y a plus d’une semaine avec 87 morts et 1.000 blessés. Un autre chiffre circule désormais et il ne présage rien de bon, c’est celui des disparus : il serait de 1.000, même si certains sont peut-être comptés deux fois.

    Le complexe de huit étages, dont trois auraient été ajoutés illégalement, abritait entre autres une usine textile. Des ouvriers avaient signalé à leur patron des fissures dans les murs, mais ce dernier les a obligés à venir au travail, en les menaçant de retenir une pénalité sur leur maigre salaire.

    Les importateurs, en partie responsables

    Le propriétaire de l’immeuble a été arrêté. C’est bien, car c’est le premier responsable, mais on est très loin du compte. Il aurait été, par exemple, nettement préférable que les autorités prennent des mesures préventives, compte tenu de l’état périlleux dans lequel l’immeuble se trouvait. Et aussi ailleurs dans le pays, car l’effondrement de ce bâtiment n’est pas un incident isolé. Les conditions de travail abominables au Bangladesh font bien trop fréquemment des victimes.

    Le drame explique le prix du textile dans certains magasins occidentaux. Comme ces t-shirts ou bikinis qui ne coûtent que quelques euros. Cela pourrait faire réfléchir le consommateur, mais il ne faut pas rejeter la responsabilité sur lui. Celle-ci incombe plutôt aux importateurs [comme Mango et Benetton], qui doivent s’assurer, mieux qu’actuellement, des conditions dans lesquelles leurs vêtements sont fabriqués.

    L’Union européenne est le principal partenaire commercial du Bangladesh.

    La menace exprimée cette semaine, dans une déclaration, par le Haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères, Catherine Ashton, et le commissaire européen au commerce, Karel De Gucht, aura peut-être un effet positif. Ils avertissent le Bangladesh que le pays pourrait perdre les avantages dont il profite du fait de son statut de pays en développement, comme l’exonération des droits d’importation dans l’UE.

    Une possible perte de revenus pour le pays

    Le problème de ce type de mesure, et d’un boycott, c’est que le Bangladesh pourrait perdre sa principale source de revenus, et que ces activités seraient alors poursuivies dans un autre pays pauvre, dans des conditions tout aussi lamentables, voire pires.

    L’UE demande à juste titre au Bangladesh de respecter les normes reconnues au niveau international de la RSE, la responsabilité sociale des entreprises. Mais il faut aussi qu’elle l’exige de la part d’autres pays. Les ouvriers exaspérés, qui sont descendus dans les rues du Bangladesh, exigent la même chose, en termes moins diplomatiques. C’est aux autorités bangladaises de mettre fin à ces scandales.

    NRC Handelsblad via Presseurop

    http://fortune.fdesouche.com

  • Dumping social de l'Allemagne sur les produits agricoles : Marion Maréchal Le Pen interroge le ministre de l'agriculture

    Type de questions QE

    Ministère interrogé : AGR – Ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt

    Question n° 17-00781 : du :date non fixée

    Mme Marion Maréchal-Le Pen interroge M. le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt sur l’attitude du Gouvernement face au dumping social massivement pratiqué par l’Allemagne dans les domaines de l’agriculture et de l’agroalimentaire. Dans l’élevage, l’arboriculture, le maraîchage ainsi que dans les industries d’abattage et de transformation de la viande, ce dumping, mis en place depuis dix ans, menace des dizaines de milliers d’emplois. L’absence de salaire minimum et d’accord de branche dans ces secteurs Outre-Rhin permet en effet à nos concurrents de tirer un maximum de profit de la directive européenne sur le détachement des travailleurs, en important massivement de la main d’œuvre roumaine, bulgare et polonaise. Ces travailleurs sont payés quatre euros de l’heure, ce qui représente deux à trois fois moins que les salaires pratiqués en France. Le résultat ne s’est pas fait attendre: on constate une baisse très inquiétante de ces productions en France, pourtant vitales à l’économie de nos territoires ruraux, déjà lourdement impactés par la crise. Alors que la Belgique vient de porter plainte contre l’Allemagne pour dumping auprès de la Commission Européenne, il est demandé au Ministre s’il entend faire de même et quelles dispositions il entend prendre face à ces pratiques.

  • Les Polonais n’aiment pas les pédophiles : Cohn-Bendit viré d’un débat

    Ils n’aiment ni les pédophiles ni la crasse, ni la pourriture…
    Le 24 avril, le député européen d’extrême-gauche devait participer à un débat sur l’Europe à l’Institut de Politologie de l’université de Wroclaw, en Pologne. Face à la vague de protestations que cela a soulevé, et craignant sans doute d’y être conspué, « Dany le Rouge » a préféré annuler sa participation.
    Les protestataires reprochaient aux organisateurs d’avoir invité un activiste d’extrême-gauche qui a reconnu dans son autobiographie Le Grand Bazar publiée en 1975 avoir eu des attouchements pédophiles avec des enfants de 5 ans d’une école maternelle de Francfort sur le Main où il travaillait. Des aveux réitérés dans l’émission Apostrophes du 23 avril 1982. (Voir notre vidéo en fin d’article)¢
     
    Une partie de la presse polonaise a cité l’extrait de l’autobiographie de Daniel Cohn-Bendit où celui-ci déclare que, à plusieurs reprises, des enfants de l’école maternelle lui ont ouvert la braguette et ont commencé à le caresser et que lui-même les caressait en retour.
    Le site conservateur « wPolityce.pl » a même mis en ligne un extrait de la fameuse émission après l’avoir sous-titré en polonais. Daniel Cohn-Bendit y déclare : « Vous savez, la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. [...] J’ai travaillé avec des gosses qui avaient entre 4 et 6 ans. Vous savez, quand une petite fille de cinq ans – cinq ans et demi commence à vous déshabiller, c’est fantastique. C’est fantastique, parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque… »
    Ceci accompagné des ricanements stupides de ses interlocuteurs.
    Le metteur-en-scène polonais Grzegorz Braun, auteur de films documentaires et fervent anticommuniste, a même informé le parquet polonais des déclarations pédophiles de « notre Dany franco-allemand » car même si celui-ci revenait sur ses aveux, le simple fait de vanter publiquement la pédophilie est un délit en Pologne. Théoriquement, une enquête pourrait donc être ouverte en Pologne sur le possible passé pédophile de Daniel Cohn-Bendit.¢

  • Déficits : Bruxelles applique à la France le même chantage qu'à la Grèce

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

     

    Les deux ans de délai supplémentaire accordés par la commission européenne à la France afin de ramener son déficit budgétaire sous la barre des 3% sont un véritable chantage.
    Le commissaire chargé des affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, assortit en effet ce délai de conditions qui annoncent un saccage économique et social sans précédent de notre pays et de notre peuple : nouveaux sacrifices pour les retraites, désintégration du marché du travail, privatisations de nouveaux services publics et déréglementations.
    En lui donnant ces « 2 ans », la commission européenne fournit aussi à François Hollande la feuille de route à appliquer. Elle sera impitoyable pour les petits, les travailleurs et les retraités. Elle ressemblera furieusement à ce qu’ont connu avant nous la Grèce, le Portugal ou l’Espagne.
    Elle démontre que nos pays sont victimes d’une Europe devenue dangereuse et folle.
    Nous pouvons faire autrement, sortir de l’hyper austérité : pour cela il nous faut retrouver notre souveraineté nationale et nous réarmer face aux défis de demain par des frontières, une monnaie et un État stratège.
  • Désinfo parisienne contre Cameron

    Faisons comme d'habitude et comme tout le monde, en ce petit matin du 4 mai. Interrogeons dès potron-minet, à 5 heures 08, le moteur de recherche dominant. On sait d'ailleurs que son principal concurrent, devenu si sympathique après la plus récente goujaterie de Montebourg, donne des résultats équivalents. Donc, à la question "royaume uni élections locales" voici la réponse:

     

    "Actualités. Royaume-Uni. Percée des antieuropéens aux élections locales

     

    Le Nouvel Observateur - il y a 14 heures - Autres articles (54).

     

    La formation Ukip inflige un sérieux revers aux Conservateurs et s'impose désormais comme un acteur politique incontournable du pays.

     

    Grande-Bretagne : percée "historique" des antieuropéens aux élections locales

     

    Le Point - il y a 6 heures Élections en Angleterre : Cameron sous la pression de l'UKIP".

     

    Il existe certes 54 autres articles que ceux du Nouvel Obs et du Point. Ils ne font que broder sur le même thème. Et en effet le bruitcourt. Par des bribes de Journal de 20 heures ou autres, nous avons tous cru recevoir la même pseudo-information. David Cameron, son gouvernement, ses réformes de l'assistant, sa coalition réactionnaire, peut-être même la monarchie britannique se trouveraient en graves difficultés. Par ricochet d'ailleurs, ces poussées "populistes" mettant en cause, par définition la commission de Bruxelles et la banque centrale de Francfort, interpellent la, chancelière Angela Merkel, ce pelé ce galeux d'où nous vient tout le mal. Fichus les ultralibéraux, moribonde l'Europe, foin de l'austérité, à nous la croissance keynésienne. Bon anniversaire François Hollande. À défaut d'une Marilyn Monroe pour le lui chanter, ce murmure subliminal vient ici contredire l'impression d'échec qu'il nous avait semblé entrevoir au gré des bilans de cette première année de la présidence Normale de Monsieur Nullot.

     

    Car voici les faits, les résultats de ces élections locales en Angleterre Les conservateurs obtiennent 1 116 sièges de conseillers, leurs alliés libéraux démocrates participant au gouvernement de coalition 352, les opposants travaillistes 538.

     

    Quant au parti "Ukip" sigle du "parti de l'Indépendance du Royaume-Uni", se prononçant en anglais "You keep", sous entendu "vous conservez votre pays" il obtient en effet 147 sièges locaux. Ceci va lui permettra d'aborder les élections européennes dans des conditions favorables. Son chef de file Neil Farage fera d'éclatants discours sarcastiques à la tribune de l’assemblée de Strasbourg. Et il pourra de la sorte constituer aux prochaines législatives britanniques une force d'appoint non négligeable... pour les conservateurs.

     

    Ceci permettrait alors à David Cameron d'équilibrer l'influence des imprévisibles "lib dems". Ayant promis un référendum pour l'année qui suivra ce scrutin, il pourra négocier avec les 27 États-Membres de l'Union européenne un compromis très favorable aux intérêts de son pays. Et ceci lui permettra au moment décisif où les sujets de Sa Gracieuse Majesté auront à choisir entre rester ou quitter les traités, de se prononcer en faveur du "oui", qui l'emportera. Parallèlement on peut même fort bien concevoir que, aussi bien à Londres qu'à Berlin, on dessine durablement une entente se substituant au fameux couple franco-allemand dont les élites parisiennes s'emploient ces derniers temps à dénigrer l'interlocuteur d'outre Rhin.

     

    Pas sur dans ces conditions que David Cameron apparaisse comme si affaibli par les résultats de ces élections locales.

     

    Mais je ne vous importunerai pas plus longtemps et je laisse maintenant mes lecteurs et amis savourer les désinformations et surinformations de notre presse parisienne, toujours la plus intelligente du monde.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

  • Niveau des dépenses publiques : point de situation par Hervé Juvin


    Le niveau des dépenses publiques par realpolitiktv

    Avec des appellations, avec des niveaux, avec aussi des qualificatifs très divers, le sujet du niveau de dépenses publiques est à l’agenda de l’Union européenne et de combien d’autres pays dans le monde. Il est aussi, surtout pour les contribuables, à l’agenda de l’opinion publique et du débat politique français. Un chiffre résume une grande partie de la situation : c’est dorénavant entre 56 et 58% de l’argent généré par l’activité économique qui passe sous une forme ou sous une autre par les canaux publics. C’est un niveau jamais atteint dans l’histoire.

    Hervé Juvin rappelle qu’il y a un conflit d’intérêt évident : ce sont en majorité des fonctionnaires ou professions assimilées, vivant de l’impôt, qui votent le budget et qui votent l’impôt et les dépenses publiques.

     

    A signaler, une erreur à la fin de la vidéo attribue la présentation à Emmanuel Lincot et non pas à Hervé Juvin, c’est bien Hervé Juvin.

    À propos de l’auteur
    Hervé Juvin est écrivain et conférencier. Auteur d’essais sur l’économie, la société et la mondialisation, il est spécialiste de la banque et des marchés financiers. Grand arpenteur du monde, il a publié plusieurs centaines d’articles, notamment dans Le Débat ( Gallimard), L’Expansion, Agir, et préside par ailleurs une société de conseil aux gouvernements, aux institutions et aux entreprises.

    Source : Realpolitik.tv.

    http://fr.novopress.info

  • La Suisse, cauchemar de François Hollande

    Les médias étrangers parlent ouvertement de l’affaire Trierweiler entretenue à l’Élysée –et à quel titre ?- sur les deniers du contribuable. En France, c’est le « black out » total : pas un mot à la TV ni à la radio. Quelques journaux de province commencent toutefois à l’évoquer. Même Mediapart commence aussi à en parler. Mais de Suisse pourrait bien venir le plus mauvais coup porté à François Hollande. Ce ne serait que justice… immanente.

    En effet, François Hollande, lors de sa rencontre avec la conseillère fédérale Evelyne Widmer-Schlumpf début décembre 2012, avait exprimé sa volonté de réchauffer les relations entre la France et la Suisse, peu de temps après avoir décidé unilatéralement que les droits de succession d’un ressortissant français, vivant en Suisse, ne seraient plus acquittés en Suisse, mais en France si ses héritiers y résident…

     

    Fin décembre, sans doute pour réchauffer davantage les relations franco-suisses, François Hollande décide tout aussi unilatéralement, pendant la trêve des confiseurs (entre Noël et Nouvel An), l’abolition des forfaits fiscaux pour les quelque deux mille Français bénéficiaires en Suisse de cette imposition sur les dépenses.¢

     

     
    Il y a une semaine, lors de sa conférence de presse, à l’issue du Conseil des ministres, désignant implicitement la Suisse, François Hollande déclare que sera considéré comme un paradis fiscal «tout pays qui refuserait de coopérer pleinement avec la France», autrement dit qui refuserait l’échange automatique sur les revenus des Français à l’étranger et sur les patrimoines qu’ils y détiennent.

     

     

    Un Français, vivant en Suisse, à Genève, depuis 16 ans, Xavier Kemlin, arrière-petit-fils deGeoffroy Guichard, le fondateur du groupe Casino, près de quatre semaines auparavant, dépose plainte le 14 mars 2013 contre la «first girlfriend» du président de la République française. A l’époque l’info est relayée brièvement par quelques médias qui ne mesurent pas toutes les conséquences d’une telle plainte et la classent sans suite.

     

     

    Xavier Kemlin, élisant domicile au cabinet de Maître André Buffard, 15 place de l’Hôtel de ville à St Etienne (42000), devant le Tribunal de Grande Instance de St Etienne, a en fait déposé plainte pour «détournement de fonds publics» contre Madame Valérie Trierweiler, née Massonneau(maîtresse attitrée de Monsieur François Hollande, président de la République française en exercice) :

     

    « En effet en tant que citoyen de nationalité française, j’estime qu’en vue de l’article 13 de la Constitution, mes impôts ne peuvent servir à loger, nourrir, blanchir, vêtir, payer les voyages ainsi que le personnel, d’une dame avec qui la nation n’a aucun lien juridique.»

     

    En vertu de l’article 432-15 du Code pénal français, le détournement de fonds publics est punissable de 10 ans d’emprisonnement et de 150’000 € d’amende…

     

    François Hollande, qui est favorable au mariage pour tous, à l’exception de lui-même, n’a effectivement aucun lien juridique connu avec sa maîtresse. Depuis le divorce de cette dernière, en 2010, tout ce que l’on peut dire est qu’il vit ouvertement à la colle avec Valérie.

     

    À ma connaissance un seul média en a tiré les conséquences qui s’imposent. Il s’agit du blog deH16, Hashtable, dans un article du 11 avril 2013, intitulé « François Hollande veut moraliser la politique? Qu’il montre l’exemple! »

     

     

    QUE DIT LE MYSTÉRIEUX H16?

     

     

    De deux choses l’une :

     

    « Soit Trierweiler n’a pas de lien juridique avec Hollande et dans ce cas, elle doit payer pour ses frais et rembourser ceux qu’elle a déjà faits, le contribuable n’ayant pas à servir de tiroir- caisse. »

     

    « Soit Trierweiler est bien la concubine de notre Président des Bisous, et la déclaration de patrimoine de François Hollande est un faux lamentable. »

     

    Selon sa déclaration officielle de situation patrimoniale, faite au moment du dépôt de sa candidature et publiée, après son élection, au Journal Officiel du 11 mai 2012, le patrimoine de François Hollande comprend principalement trois immeubles d’une valeur totale de 1’170’000 €, c’est-à-dire, en ajoutant ses divers comptes courants et ses meubles, un patrimoine inférieur à 1’300’000 €, qui lui permet d’échapper à l’ISF, impôt sur la fortune.

     

     

    Or, en France, le calcul du patrimoine, pour l’ISF, s’effectue en fonction du foyer fiscal, sans considération du régime matrimonial. Ce qui veut dire que, si Valérie Trierweiler est bien sa concubine, il doit comprendre dans son patrimoine pour l’ISF celui de sa «first girlfriend». François Hollande est donc à tout le moins un fraudeur.

     

     

    Dans sa déclaration patrimoniale de candidat à la présidence, il aurait dû au moins déclarer pour moitié les biens de sa concubine qui ne sont pas de la propriété exclusive de cette dernière…

     

     

    D’aucuns ont, de plus, déjà soulevé que François Hollande aurait dû également déclarer la nue-propriété des biens immobiliers de sa propriété de Cannes, parce que le patrimoine d’un candidat n’a pas le même périmètre que celui de l’ISF et qu’il doit inclure les biens qui font l’objet de droits de mutation à titre gratuit, même s’ils sont exonérés de l’ISF…

     

     

    Dans les deux cas, les effets collatéraux de la plainte de Xavier Kemlin pourraient donc être terribles, si la séparation des pouvoirs judiciaire et exécutif est effective en France… et le coup vient de Suisse, d’un Français y résidant.

     

     

    Dans le premier cas, comme vu plus haut, Valérie Trierweiler, née Massonneau, encourt une peine de 10 ans de prison et de 150’000 € d’amende.

     

     

    Dans le deuxième cas, l’élection de François Hollande est annulée pour fausse déclaration et ce dernier encourt une amende de 30’000 € et la privation de ses droits civiques.

     

     

    C’est pas facile d’être un président normal et au-dessus de tous soupçons, sinon de la mêlée !¢

     

    Les Observateurs.ch (posté par Xavier Kemlin) http://www.francepresseinfos.com/

     

  • Bruxelles, le vrai pouvoir

    Partant à l’assaut de la forteresse Europe, Christophe Deloire et Christophe Dubois entreprennent de mettre en lumière les arcanes du pouvoir bruxellois. Un monde méconnu et souvent opaque, où hauts fonctionnaires et technocrates sont à la manœuvre en coulisses pour décider du quotidien de près de cinq cents millions d’Européens.

    http://www.fdesouche.com/

  • Entretien avec Bernd Lucke, économiste et cofondateur du parti Alternative pour l’Allemagne

    Entretien avec Bernd Lucke, économiste et cofondateur du parti Alternative pour l’Allemagne (source magazine La Croix)

    « Dissoudre l’euro de manière graduelle »

    Le parti anti-euro allemand tient ce dimanche son premier congrès. Son cofondateur explique son programme.
    Vous fondez un parti anti-euro. Peut-il trouver sa place en Allemagne, où l’eurosepticisme n’a jamais connu de succès électoral ?

    B L : Les élections législatives de septembre auront lieu dans un contexte nouveau. Ce sera le premier scrutin général de l’ »après-Mai 2010 », date de déclenchement de la crise de l’Euro. Ces trois dernières années, nous avons appris que cette crise n’est pas sous contrôle du gouvernment, alors que cela nous coûte des sommes considérables.

    Que proposez-vous ?

    B L : De dissoudre l’euro de manière contrôlée et graduelle. D’abord, en laissant les pays du sud de l’Europe quitter la zone, puis casser le reste de la zone en réintroduisant les monnaies nationales. Nous demandons aussi de mettre fin aux boucliers financiers créés depuis 2010 5NDLR : par exemple, le mécanisme européen de stabilité, destiné notamment à secourir un pays au bord de la faillite).

    Et la France ?

    B L : L’euro pose aussi des problèmes de compétitivité à la France, qui souffre, de ce fait, d’une désindustrialisation depuis plusieurs années. Cela coûte à votre pays un grand nombre d’emplois détruits. Par conséquent, vous auriez probablement intérêt à quitter la zone et renouer avec votre propre monnaie.

    L’euro n’a-t-il pas créé des occasions pour l’économie allemande ?

    B L : Pendant ses premières années, il a profité aux pays d’Europe du Sud car beaucoup de capitaux se sont mis à y affluer, privant l’Allemagne de ressources pour investir. Du coup, elle a enregistré le taux de croissance le plus bas de la zone entre 2001 et 2007. Depuis le déclenchement de la crise, les capitaux reviennent en Allemagne. Nous en profitons. L’inconvénient, c’est que nous prenons en charge le fardeau des pays de l’Europe du Sud, victimes de l’euro. Nous devrions nous battre pour le bien de tous, plutôt que de trouver des solutions profitant à un certain nombre de pays –dont l’Allemagne-, pendant que d’autres en souffrent.

    Que répondez-vous à ceux qui affirment que la disparition de la zone euro aurait des conséquences catastrophiques pour tous ?

    B L : Il existe des moyens de procéder par étapes, afin de laisser aux peuples et aux Etats le temps de s’ajuster. L’économie européenne est dans un état désastreux avec un chômage des jeunes très élevé et inquiétant en Grèce, en Italie et en Espagne. C’est lié au fait que ces pays ne peuvent pas être compétitifs avec une monnaie commune du niveau de l’euro (NDLR : puisqu’ils ne peuvent pas procéder à une dévaluation pour regagner des parts de marché). Il faut faire quelque chose. On ne peut pas ignorer les problèmes et se contenter de dire que l’euro est là pour toujours.

    La fin de l’euro signerait-elle la mort de l’Europe ?

    B L : Je ne pense pas. Ce n’est pas la première fois qu’un projet européen échoue –regardez l’Europe de la défense, dans les années 1950- et pourtant la construction européenne s’est poursuivie. L’UE se trouve engagée dans un processus de désintégration parce que le Sud stagne, voire recule, pendant que le Nord s’en sort plutôt bien. Du coup, les régions de l’Europe divergent et ce n’est sain pour personne.

    Vos propositions ne sonnent-elles pas la fin de la solidarité européenne ?

    B L : Non. Je suis attaché au principe d’entraide entre les peuples. Le problème, c’est que nous ne disposons pas pour le moment de critères objectifs pour organiser un système rationnel de transferts. On se contente de donner de l’argent à ceux qui ont accumulé le plus de dettes, et non pas aux plus pauvres. Si nous voulons vraiment construire une solidarité, nous devons identifier ceux qui ont le revenu par habitant le plus faible, le plus fort taux de chômage et le moins d’infrastructures. A partir du moment où ces critères seront définis, nous aurons la volonté de payer. C’est cela, la solidarité.

    http://www.fn-alsace.com

  • Croatie: les pédophiles de Soros imposent leurs manuels d’éducation sexuelle !

    [Article de Laurent Glauzy en exclusivité pour Contre-info]

    En Croatie, l’introduction dans les programmes scolaires d’un module sur la sexualité a été imposée en janvier 2013 par le gouvernement de Centre-gauche, en exercice depuis le 23 décembre 2011. La république dalmate qui, de manière superficielle, évoque la méthode Kinsey, cache à sa population que ces manuels sont rédigés par des pédophiles.
    Judith Reisman, scientifique de 78 ans d’origine juive, ancienne conseillère du FBI, du parlement et de plusieurs ministères américains, qui s’est rendue en Croatie le 29 janvier sur l’invitation de parlementaires de droite, a dénoncé les liens de cette initiative avec la richissime Soros Foundation, arguant que l’« éducation sexuelle et les droits des homosexuels cachent un programme de destruction de la famille et de défense de la pédophilie ».

    Elle a enquêté sur les travaux du Kinsey Institute fondé en 1947 et a démontré les effets néfastes des théories d’Alfred Kinsey (1894-1956), auteur de deux importantes études sur le comportement sexuel de l’homme et de la femme. Il était aussi rédacteur dans l’éminent journal médical britannique The Lancet. Le Dr Reisman prend le cas d’une fillette de dix ans qui a été abusée par un violeur récidiviste âgé de trente ans et de plus est lecteur obsessionnel de Playboy. Alfred Kinsey justifie qu’elle est certainement consentante puisque les enfants sont des êtres sexuels, et seraient à ce titre demandeurs de relations sexuelles depuis leur naissance. Reisman ajoute qu’après la Seconde Guerre mondiale, ces théories nauséabondes ont encouragé la diffusion exponentielle de la pornographie et de la pédophilie.

    Après ce compte-rendu, Judith Reisman a fait l’objet d’une vague d’insultes. Elle a été fustigée par les médias croates de gauche qui défendent les intérêts maçonniques du gouvernement. Elle fut traitée de négationniste, alors qu’une partie de sa famille disparut dans les camps de travail.

    Dans le plus grand cinéma moderne de Zagreb, un « problème technique » a interrompu la projection du documentaire réalisé par le journaliste britannique Timothy Tate, collaborateur du Dr Reisman, qui traitait alors de la face cachée de Kinsey. Face aux 800 spectateurs, Timothy Tate n’a donc pas pu soumettre ses critiques contre ce programme d’éducation sexuelle initié par des pédophiles. Le même scénario s’est reproduit lors d’un exposé improvisé dans le cinéma. Ces boycotts successifs ont d’ailleurs suscité la colère de la section croate du Comité Helsinki, chargé de la surveillance du respect des Droits de l’homme.

    À la fin d’une conférence tenue près de la faculté de Sciences politiques de la capitale croate, le Dr Reisman a été attaquée verbalement par Nenad Zakošek, président de la même école. Des mouvements politiques de gauche liés au gouvernement ont même tenté d’empêcher la conférence du Dr Reisman au parlement de Zagreb. Le Dr Reisman a étonné son auditoire en déclarant qu’Alfred Kinsey était « le pédophile qui a changé le monde » et un « psychotique sexuel qui a contaminé nos familles, notre culture et nos lois ». Cette scientifique démontrait ainsi l’influence de ce criminel derrière les programmes d’éducation sexuelle imposés à la Croatie, pays où, aujourd’hui, sur 2 000 grossesses d’adolescentes, 400 avortements sont recensés (AFP).

    En outre, le débat prévu à la faculté de philosophie entre le Dr Reisman et le professeur Aleksandar Štulhofer, un disciple de Kinsey et l’initiateur du programme d’éducation sexuelle pour les enfants croates, a été suspendu sous prétexte de désordre public : des groupes homosexuels avaient fait irruption dans la salle. Le Pr Štulhofer ne voulait pas que le Dr Reisman s’exprime. Et pour cause. Au parlement, la scientifique américaine avait révélé la participation du Pr Štulhofer à l’écriture d’un livre avec le pédophile déclaré et néerlandais Theo Sandford, professeur à la Columbia University et également attaché au Département des Études gay et lesbiennes de l’Université d’Utrecht, aux Pays-Bas.

    Sandford est cofondateur et rédacteur de la revue mensuelle néerlandaise en langue anglaise des pédophiles Paidika (sous-titrée Journal of Paedophilia) parue de 1987 à 1995, ainsi que l’auteur de l’étude Boys on their contacts with men : a study of sexually expressed friendships (Les garçons au contact des hommes adultes : une étude sur les amitiés exprimées sexuellement). Ce perverti ne se limite pas, dans son torchon pseudo-scientifique, à une enquête sur la pédophilie, mais exprime une évaluation positive de cette décadence sexuelle et criminelle. Un autre collaborateur de Štulhofer, le sexologue « allemand » Gunther Schmidt, a rédigé la préface du livre de Sandford, Male Intergenerational Intimacy (Intimité intergénérationnelle entre hommes), en ces termes : « Le fait que tous les actes de pédophilie soient plus difficilement punis par la loi serait une action digne d’une société civile ».

    Dans une conférence de presse, Timothy Tate a ensuite repris une citation de Paidika du même degré de sadisme : « Le point de départ de Paidika est nécessairement la conscience de notre être pédophile. Nous considérons la pédophilie comme un rapport sexuel consentant entre personnes de générations différentes ». Lors d’un entretien accordé en 1978 à la revue pornographique américaine Hustler, le sexologue « allemand » Erwin J. Haeberle, qui avait contribué à la fondation de Paidika, avait souligné qu’« il est tout à fait normal d’avoir des rapports sexuels avec des enfants, lesquels devraient avoir libre accès aux revues [pornographiques] pour adultes et être libres de choisir leurs propres partenaires sexuels, y compris des adultes ». Ce pédophile a été membre, de 1977 à 1988, de l’Institute for Advanced Study of Human Sexuality de San Francisco qui, dans le monde entier, a rédigé la majeure partie des programmes d’éducation sexuelle pour les enfants. Timothy Tate a aussi montré des photographies d’enfants offerts aux pages de Paidika.

    En 2001, Štulhofer et plusieurs de ses collègues pédophiles liés à la sphère de Paidika, ont participé au congrès international des sexologues, dans le port croate de Dubrovnik, subventionné par… le financier juif Soros, toujours par le biais de sa fondation.

    Judith Reisman a maintes fois rappelé que le programme d’éducation sexuelle imposé à la Croatie était une tentative de perversion des enfants, pour livrer de la chair fraiche à la volonté malsaine d’obsédés et pour dédouaner l’homosexualité. Elle a ajouté que ce procédé avait pour objectif de rendre les jeunes générations dépendantes du sexe et de l’industrie de la pornographie. Commentant dans ce sens l’initiative du Ministère de l’Éducation croate, Anna Maria Grünfelder, « théologienne féministe », a affirmé : « La sexualité est un énorme pouvoir, celui qui la contrôle, contrôle la société ».

    La présence du Dr Reisman en Croatie a engendré un fort séisme, qui a fait vaciller les palais de la démocratie et a obligé le gouvernement, à la solde de la haute finance apatride, à trouver une issue diplomatique. D’après les sources de la curie romaine [reprise par le site d’information italien Dietro il sipario], l’ambassadeur croate auprès du saint Siège, Filip Vučak, aurait rencontré Mgr Dominique Mamberti, secrétaire pour les relations avec les États, dans le but d’assouplir la position de l’Église sur la question de l’éducation sexuelle. L’évêque, ordonné prêtre dans le diocèse d’Ajaccio en 1981, n’a donné aucune suite favorable à cette requête de détraqué digne d’une exécution en place publique.

    Dans un pays démocratique, la présentation des preuves irréfutables des liens étroits entre l’initiateur d’un programme aussi honteux et des circulaires pédophiles soutenues par le grand capital, en dehors des conséquences pénales pour l’intéressé, aurait dû provoquer la démission immédiate du salaud Štulhofer et de tous les fonctionnaires criminels du Ministère de l’Instruction ayant collaboré à l’élaboration de ce programme, dont le ministre de l’Éducation en personne, Željko Jovanović, grand défenseur d’origine « serbe » de la Shoah. Mais cela ne se passe pas ainsi dans l’actuelle Croatie de l’après Franjo Tudman (1er président de la république croate décédé en 1999 et ennemi de Soros), qui s’apprête à entrer dans l’Union européenne. Il est vrai que la classe politique de ce pays offre des arguments pour convaincre les euro-technocrates maçons.

    Après le départ du Dr Reisman, les médias du régime social-démocrate croate ont repris leur travail de désinformation. Pour cela, l’ignoble Štulhofer, le chien des capitalistes criminels et détraqués, est venu en personne à la télévision appeler à pontifier sur les questions de sexualité, spécialement infantiles, pendant que dans les écoles élémentaires, sont proposés à des enfants de dix ans des thèmes de langue croate présentant des situations explicitement sexuelles.

    Le cas de la Croatie, qui n’a pas du tout été médiatisé, lève le voile sur les perspectives qui se dessinent en filigrane, dans notre pays, derrière le « mariage pour tous » et la place de l’enfant, ultime victime impuissante de la culture de mort sacrifiée à Baal.

    Laurent Glauzy http://www.contre-info.com