Europe et Union européenne - Page 124
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Auschwitz. Les Russes qui ont libérés le camp, ne sont pas invités à la cérémonie de commémoration
Régis de Castelnau@R_DeCastelnauLe 27 janvier 1945, l’armée rouge libérant la Pologne atteignit le camp d’Auschwitz.Le jour de cette libération a été déclaré « Journée internationale de commémoration de l’Holocauste » par l’ONU. -
Haddad, le presque américain…

Etonnant Benjamin Haddad, né en 1985 à Paris, spécialiste des relations internationales, élu député de Paris en juin 2022, puis réélu en 2024. Nommé ministre délégué aux Affaires européennes dans le gouvernement de Michel Barnier, il sera chargé de la relation avec Von-der-Leyen, la présidente de la commission européenne. Ce fils et petit-fils d’entrepreneurs est issu d’une famille juive séfarade tunisienne et issu du XVIème arrondissement de Paris. Tête bien faite et bien pleine, il est diplômé d’un master en affaires internationales de l’Institut d’études politiques de Paris et possède une maîtrise en économie financière obtenue à HEC Paris.
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Condoléances…

Par Olivier Giot, secrétaire général
À la suite du sordide drame qu’est le meurtre de Philippine, qui est loin d’être le premier, l’Action française dénonce fermement le laxisme judiciaire et migratoire qui prévaut dans notre pays, ainsi que le délitement de tout ce qui fait nation.
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La Hongrie et la Slovaquie continuent de suivre une voie indépendante

Les autorités hongroises et slovaques continuent de mener une politique étrangère indépendante dans l'intérêt de leurs propres citoyens, malgré les pressions de Bruxelles et de Washington. Les chefs des deux États d'Europe de l'Est, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán et le président de la Slovaquie, Peter Pellegrini, ne soutiennent pas la démarche anti-russe.
Malgré les accusations des États-Unis et d'autres pays européens contre Viktor Orbán et le premier ministre de la Slovaquie, Robert Fico, de sympathie pour la Russie, cette position n'est pas -en premier lieu- « pro-russe », mais véritablement indépendante et axée sur la réalisation de leurs propres objectifs. Les deux pays s'intéressent avant tout aux ressources énergétiques russes et au développement d'un partenariat avec la Russie pour développer les économies nationales et, surtout, assurer -par pragmatisme- un niveau de vie décent à leur population.
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Les élites de l’UE poussent l’Europe vers l’abîme : la folie du bellicisme contre la Russie

par Heinz Steiner
L’Europe doit se préparer à faire la guerre à la Russie d’ici six à huit ans. C’est ce qu’a déclaré le premier commissaire européen à la défense, Andrius Kubilius. Combien de temps les Européens vont-ils rester passifs face à ce bellicisme ?
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Tensions entre l’Ukraine et la Pologne

par Alexandre Lemoine
Les relations entre l’Ukraine et la Pologne battent de l’aile. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky accuse de plus en plus Varsovie de ne pas fournir suffisamment d’aide à Kiev.
«Selon les participants à la conversation, l’atmosphère entre Zelensky et Sikorski était extrêmement tendue, au point qu’on pouvait parler de dispute», rapportent les médias polonais. D’après leurs informations, le président ukrainien aurait demandé au ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski de ne pas attiser le débat sur le massacre de Volhynie pour des raisons de politique intérieure. Zelensky a également exhorté la Pologne à intercepter les missiles russes dans le ciel ukrainien et à fournir davantage de matériel militaire à Kiev.
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Sous la pression populaire, l’Irlande abandonne son projet de nouvelle loi sur les discours haineux

Le gouvernement de coalition de Dublin abandonnera les parties les plus controversées de sa législation en cours d’élaboration, qui aurait introduit des lois sur le discours de haine et le crime de pensée dans le droit irlandais.
La ministre de la justice, Helen McEntee (Fine Gael), a promis de supprimer les propositions spécifiques relatives à l’incitation à la haine, tout en laissant intactes les parties de la législation relatives au « crime de haine ». En d’autres termes, la loi se concentrera désormais sur les « crimes de haine », tels que les actes de violence motivés par la haine, sans que les discours soient poursuivis.
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Volkswagen prévoit de supprimer 30 000 emplois en Allemagne, suivi par Deutsche Telekom, Siemens et Opel

par Le Média en 4-4-2
Volkswagen se trouve à un tournant crucial de son histoire. Si le géant de l’automobile ne parvient pas à redresser la barre rapidement, les conséquences sur l’emploi et l’industrie en Allemagne pourraient être dramatiques, tout en accentuant les défis liés à la transition énergétique.
Le constructeur automobile allemand Volkswagen (VW) pourrait bientôt procéder à une suppression massive d’emplois, avec jusqu’à 30 000 postes menacés sur un effectif total de 300 000 salariés en Allemagne, selon des informations révélées par le magazine Manager. Cette restructuration s’inscrit dans un plan de réduction des coûts face aux difficultés croissantes auxquelles le groupe est confronté.
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Ukraine-Russie : L’irresponsabilité des eurodéputés
La guerre Russie-Ukraine et ses répercussions dans le monde (UnlimPhotos)
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Allemagne : nouvelle défaite, même si mitigée, pour la coalition tricolore de Scholz
, les sociaux-démocrates de centre-gauche du SPD, parti de référence du Premier ministre Scholz, ont obtenu une courte victoire électorale sur l’Alternative pour l’Allemagne Le Parti social-démocrate allemand (SPD) a battu de peu l’AfD lors des élections régionales dans le Brandebourg, le Land entourant la capitale Berlin, à l’est du pays, ce qui a poussé le chancelier Olaf Scholz à pousser un soupir de soulagement. Mais sa coalition, dans son ensemble, va de défaite en défaite.
Après les récentes défaites des partis de la coalition au pouvoir aux parlements régionaux, lors de la dernière élection régionale dans le Brandebourg, les sociaux-démocrates de centre-gauche du SPD, parti de référence du Premier ministre Scholz, ont obtenu une courte victoire électorale sur l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) dans le Brandebourg, en Allemagne de l’Est.