Une vidéo de 20 minutes qui résume parfaitement ce qui est en train de se passer dans les cercles dirigeants otaniens, qui voient venir l’inéluctable défaite.
Dominique Delawarde
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Une vidéo de 20 minutes qui résume parfaitement ce qui est en train de se passer dans les cercles dirigeants otaniens, qui voient venir l’inéluctable défaite.
Dominique Delawarde
Il y a dix ans, l'Europe nous imposait le traité constitutionnel européen constituant une atteinte majeure à la Démocratie. A y regarder de plus près, cela n'a rien de surprenant : Le projet européen porte dans ses gènes un caractère clairement anti démocratique. L'objectif des dirigeants a toujours été de faire l'Europe contre la volonté des Peuples et en supprimant les Etats-nations pour les mettre aux mains de dirigeants non élus.
Le Parti de gauche allemand a dissous sa faction au Bundestag le 6 décembre. En octobre, Sahra Wagenknecht, éminente politicienne et ancienne coprésidente parlementaire du parti, a annoncé qu’elle fondait un nouveau parti axé sur les sujets relatifs à la classe ouvrière, la réparation des liens avec la Russie et l’examen de la congruence des intérêts allemands avec ceux de Washington.
Le parti Alternative pour l’Allemagne (AfD) partage les vues de Mme Wagenknecht sur ces sujets, tout en présentant de fortes tendances ethnonationalistes et eurosceptiques. L’AfD a récemment obtenu de bons résultats lors d’élections locales et conserve sa deuxième place dans les sondages nationaux, dépassant régulièrement les 20 %.
L’effondrement du Parti de gauche, considéré comme un descendant direct du Parti de l’unité socialiste qui a gouverné l’Allemagne de l’Est jusqu’à la réunification, et la montée de l’AfD sont les signes politiques d’un bouleversement qui se produit en Allemagne en raison de la volonté des élites du pays d’imposer le déclin économique à la grande majorité de ses citoyens.
par Augusto Grandi
Année provisoire pour l’Allemagne, qui ne pourra pas approuver le budget fédéral avant le 31 décembre. Dette publique galopante en France qui, à ce rythme, ne tardera pas à rattraper l’Italie. Averse de mensonges en Italie, avec des politiciens de la majorité occupés à dire que les travailleurs et les retraités auront plus d’argent dans leur enveloppe de salaire ou leur chèque INPS, oubliant que le pouvoir d’achat s’est effondré en raison d’une inflation qui ne s’est que faiblement redressée.
« L’Agenda vert » ou « pacte vert » (ou encore « European Green Deal ») de l’Union européenne par l’exemple : le cas de l’Allemagne et des Pays Bas. Mais, soyez rassurés – ou plutôt inquiets – la France ne sera pas épargnée… Le grand saccage européen de l’agriculture continue.
Les Pays-Bas vont démanteler 3 000 exploitations agricoles
Le pays va volontairement s’appauvrir de ses ressources et productions agro-alimentaires pour être le bon élève de la « campagne anti-pollution » .
Ainsi, au moins 3 000 agriculteurs se retrouveront sans travail et dans l’incapacité de nourrir leur famille, car les autorités ont décidé de liquider leurs exploitations. Cette décision est fondée sur les réglementations vertes appliquées en Europe et visant à réduire les émissions d’azote.
Des émeutes ont éclaté le 24 décembre à Belgrade. Le président Aleksandar Vucic assure qu’«aucune révolution n’a lieu». Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, a estimé que «l’Occident collectif cherche à déstabiliser la situation dans le pays».
«Ne vous inquiétez pas, citoyens de Serbie. Aucune révolution n’a lieu, ils n’y parviendront pas», a déclaré le 24 décembre au soir le président serbe Aleksandar Vucic, selon des propos rapportés par RIA, après des émeutes à Belgrade.
Malgré l'intérêt accru de l'Occident pour les élections en Serbie, l'ingérence des ambassades et l'union de l'opposition pro-occidentale en une coalition, ils n'ont pas réussi à obtenir le résultat souhaité.
Le Parti progressiste serbe au pouvoir, qui se présentait aux élections sous le slogan "Aleksandar Vucic, la Serbie ne doit pas s'arrêter", a largement remporté les élections législatives, améliorant son précédent résultat. Les "progressistes" ont obtenu la majorité au parlement et n'ont pas besoin de s'allier avec d'autres partis. Le principal concurrent, l'alliance de l'opposition pro-occidentale appelée Serbie contre la violence, a recueilli deux fois moins de voix.