À la réflexion, avoir mis l’élégante et diaphane Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne est un excellent casting. Qui, en effet, mieux qu’elle – au profil d’héroïne de Pierre Benoît ou de Stefan Zweig – pouvait incarner notre belle et vieillissante Europe, douairière en fin de règne dans son château délabré, trop longtemps altière et dominante pour ne pas être encore jalousée, mais déjà un peu méprisée ?
Europe et Union européenne - Page 239
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L’Union européenne a-t-elle encore les moyens de faire sa dame patronnesse ?, par Gabrielle Cluzel.
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Une policière espagnole appelle ses collègues français à désobéir à la dictature sanitaire
Né en Espagne, un collectif international de policiers et gendarmes contre la dictature sanitaire se met en place et appelle les policiers, gendarmes et militaires à cesser de faire le sale boulot au profit d’un pouvoir corrompu au service des multinationales et des lobbies. malfaisants.
Une membre des forces de l’ordre espagnoles adresse un message à ses collègues français, leur rappelle qu’ils sont au service de la population et qu’ils ont le devoir de refuser d’obéir à des ordres injustes.
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Le «passeport sanitaire» validé par les 27 États de l’Union européenne a été présenté par le commissaire européen en charge des vaccins Thierry Breton
Le «certificat vert numérique» qui devrait permettre la circulation en toute sécurité dans l’UE a été présenté ce 28 mars par Thierry Breton, commissaire européen en charge des vaccins. Ce « passeport sanitaire » contiendra des informations sur la vaccination, les tests réalisés ou la guérison après avoir contracté le Covid-19. Il devrait être disponible d’ici mi-juin.
«À partir du moment où nous pourrons être sûrs que chaque Européen qui souhaite se faire vacciner aura un accès équitable au vaccin, comme ce sera le cas dans les deux à trois mois qui viennent, il sera bon que l’on puisse avoir un certificat sanitaire qui démontre votre état», a déclaré Thierry Breton.
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Le Samedi Politique avec Alain Juillet – Vaccins : UE, France, chronique d’une impuissance
Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, les vaccins ont été considérés par la plupart des pays riches comme l’unique solution pour sortir de la crise, faisant au passage l’impasse sur les opportunités thérapeutiques (mis à part le fiasco du Remdesivir de Gilead).
Malgré cette volonté quasi obsessionnelle, l’arrivée de la vaccination a montré l’effondrement de l’Union Européenne et plus encore de la France.
Une situation qui met en exergue la disparition de la souveraineté sanitaire, avec non seulement des délocalisations menées massivement depuis des décennies mais aussi une déconfiture totale de la recherche scientifique. La patrie de Pasteur en est réduite à quémander fébrilement des doses de vaccins qu’elle n’a ni conçus, ni même négociés, léguant le pouvoir commercial aux instances bruxelloises cornaquées par l’Allemagne.Etouffée par une idéologie obscure, la France refuse de faire appel aux stocks russes de Spoutnik V, portant aux nues les vaccins américains auxquels elle n’a que peu accès.
Alain Juillet, ancien patron de la DGSE et spécialiste de l’intelligence économique, dresse un panorama de ce monde redessiné par la course aux vaccins. Entre pays résilients et souverains et nations qui ont peu à peu accepté leur impuissance.
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Défense : Bruxelles asphyxie notre industrie en silence !
« Qu’avons-nous fait, nous, Européens de notre souveraineté » ? Depuis cette déclamation par Emmanuel Macron sur la colline du Pnyx à Athènes en 2017, pas grand-chose.
Le vote sur le rapport parlementaire des marchés publics de Défense ce jeudi 25 mars à Bruxelles aura eu le mérite de baisser le rideau sur une pièce mal jouée. -
Islamisation du Royaume-Uni. Un professeur suspendu menacé et traqué sous la pression musulmane pour avoir montré une caricature de Mahomet
BI – Depuis jeudi 25 mars au matin, un professeur de religion britannique est en fuite. Cet enseignant, en poste depuis près de trente ans à la Batley Grammar School, dans la banlieue de Leeds (centre de l’Angleterre), a dû quitter son domicile avec sa compagne et demander protection à la police. Il est menacé et son nom circule sur les réseaux sociaux.
La raison de cette fuite ? Lors d’un cours d’études religieuses (et une partie consacrée au blasphème), ce dernier avait montré une caricature de Mahomet. Provoquant la colère de la population musulmane locale, qui représente 41% de la population dans ce secteur (où le Grand remplacement n’est bien évidemment qu’un fantasme d’extrême droite..)
(…) Breizh info
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Zemmour/C News : crise sanitaire, la défaite du modèle allemand.
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IDÉE PRUSSIENNE, DESTIN ALLEMAND 2/3
Cette tendance à l'autoculpabilité a été remarquée par les observateurs. Commentant l'exposition du Martin-Gropius-Bau, Nicole Casanova a constaté : « Tout y est dénigré : la tolérance de jadis, présentée comme l'esprit mercantile d'un pays désert en quête de colons ; le militarisme, l'esprit d'ordre et de discipline, y sont décrits comme une fabrique de valets ; l'essor industriel du XIXe siècle a suscité un prolétariat qui vit dans des conditions épouvantables ; les rares révoltes ou révolutions sont sauvagement réprimées ; Hitler se réfère tout naturellement à la Prusse ; les conjurés de 1944 sont certes Prussiens, mais c'est cela même qui les a fait si longtemps tergiverser et les a menés à l'échec, car ils ne parvenaient pas à se dresser contre un chef, quel qu'il fût… Aucun de nous, Français, Anglais, Suédois, n'en demandait autant. Ce mea culpa public nous faisait de la peine » (Le Quotidien de Paris, 31 août 1981).
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Pierre Le Vigan : Nietzsche et l'Europe, une mise au point
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IDÉE PRUSSIENNE, DESTIN ALLEMAND 1/3
Avant-propos :
« Le jugement qu'on porte sur les Prussiens est l'un des tests d'intelligence les plus sûrs qui soient » (Ernst Jünger, Journal IV, 30 juin 1945).
Après un long passage au purgatoire de l'histoire, la Prusse est de retour. Tout au long de l'année 1981, on a pu assister, outre-Rhin, à un curieux phénomène : la floraison d'une multitude de publications, de livres, de manifestations, d'expositions, etc. consacrés à la Prusse. Il n'y manquait même pas les autocollants et les T-shirts. Le point culminant de cette Preussenjahr (année de la Prusse) a été constitué par une grande exposition, qui s'est tenue à Berlin, du 15 août au 15 novembre, dans l'ancien Musée des arts et métiers (Kunstgewerbemuseum), actuellement rebaptisé Martin-Gropius-Bau, sur le thème : “La Prusse : Une tentative de bilan” (Preussen : Versuch einer Bilanz).