Comment expliquer la drôle de passion de la presse française (en particulier de gauche) pour la chancelière Merkel ? Comment expliquer une telle absence de regard critique ?
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Comment expliquer la drôle de passion de la presse française (en particulier de gauche) pour la chancelière Merkel ? Comment expliquer une telle absence de regard critique ?
D’Olivier Bault dans Présent :
Les pressions de l’UE sur la Pologne sont si fortes que ce pays jusqu’ici « euroenthousiaste » voit naître un débat sur l’opportunité de rester dans le bloc rejoint en 2004. Si bien que le parti Droit et Justice (PiS) de Jaroslaw Kaczynski, a tenu à faire une mise au point il y a une dizaine de jours, en publiant un communiqué pour assurer de sa volonté « que la Pologne soit membre de l’Union européenne tout en restant un Etat souverain ». Mais c’est bien là le problème : est-il possible pour un pays comme la Pologne de rester un Etat souverain dans l’UE ?
D’Olivier Bault dans Présent :
Les pressions de l’UE sur la Pologne sont si fortes que ce pays jusqu’ici « euroenthousiaste » voit naître un débat sur l’opportunité de rester dans le bloc rejoint en 2004. Si bien que le parti Droit et Justice (PiS) de Jaroslaw Kaczynski, a tenu à faire une mise au point il y a une dizaine de jours, en publiant un communiqué pour assurer de sa volonté « que la Pologne soit membre de l’Union européenne tout en restant un Etat souverain ». Mais c’est bien là le problème : est-il possible pour un pays comme la Pologne de rester un Etat souverain dans l’UE ?
Par Paul Tormenen, juriste et spécialiste des questions migratoires ♦ Ce jeudi 23 septembre 2021, Marion Maréchal est en Hongrie où elle participe à un important sommet international autour de la question démographique. Nous republions ci-dessous un passionnant article de Paul Tormenen, faisant partie de sa série « Grand Remplacement en Europe ». Un texte qui démontre que Viktor Orbán est bien à l’avant-poste de la résistance européenne face à l’invasion migratoire !
Polémia
Polémia continue son tour d’Europe du Grand Remplacement. Après avoir étudié l’emblématique cas de la Suède puis l’inquiétante submersion démographique de la Belgique, l’espoir d’une réaction politique au Danemark, le désastre multiculturel britannique, le suicide de l’Allemagne, les tentatives de résistances de l’Autriche, l’espoir naissant en Italie, la spirale infernale en Espagne, l’islamisation galopante des Pays-Bas, le bon élève portugais, la lente chute de la Suisse, la crise migratoire en Grèce et la situation catastrophique de la France… Paul Tormenen s’intéresse à la Hongrie, pays qui envoie un signal d’espoir à tous les défenseurs de leur identité en Europe.
Elle fait tapisserie quand elle est face à M.Erdogan et à Poltron (M.C.Michel)
En vraie professionnelle, ce qu’elle trouve grandiose à Paris, c’est le drapé de Christo :
Une vraie chance pour l’Europe !
Philippe Gélie
L’Allemagne a voté, mais elle n’a pas – encore – tourné la page de l’ère Merkel. Au coude-à-coude, le social-démocrate Olaf Scholz et le conservateur Armin Laschet ont rivalisé durant la campagne pour incarner l’authentique héritier de la chancelière. A l’arrivé, ils revendiquent tous deux un mandat pour gouverner, mais le mieux placé n’est peut-être pas le dauphin « légitime ».
Cenator: Notons qu'en Allemagne, en exploitant l'émotion créée par l'accident de Fukushima, les pastèques et d'autres opportunistes ont obtenu la fermeture de leurs centrales nucléaires, (comme ils l'ont aussi fait en Suisse), causant de graves pénuries et entraves à l'économie. Une fois la situation devenue intenable, les Allemands ont rouvert des mines de charbon très polluantes, même plus polluantes que la mine polonaise qui est la cible de Greenpeace Tchéquie depuis des années.
Mais pour l'Allemagne, pas d'amende, pas de sanction, pas de reportages alarmants et diffusés à large échelle par les médias de Gauche.
Car dans la tête de l'UE, c'est à l'Est que se trouvent les élevages de dindons pour la farce, et à l'Ouest, les pays exemplaires pour tous par leur morale progressiste.
Surprise, surprise ! La Pologne refuse de payer un sou !
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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Les 23 et 24 septembre derniers, s’est tenu à Budapest le quatrième sommet démographique, réunissant du « beau linge » : outre le premier ministre de Hongrie, puissance invitante, on trouvait ceux de la Slovénie et de la Tchéquie, de la Pologne, l’ancien Vice-président américain Mike Pence et, « cerises sur le gâteau », Marion Maréchal Le Pen et Eric Zemmour. Ce dernier s’est longuement entretenu avec Viktor Orban « pour parler de l’histoire réelle et de l’humanité » selon ses dires.
Éric Zemmour a donc rencontré Viktor Orbán, qui l’avait invité au Sommet démographique mondial de Budapest. Cette rencontre est importante, puisqu’elle permet au chroniqueur de s’élever au niveau des chefs d’État et de gouvernement avant même de déclarer une candidature à la présidence qui ne fait plus le moindre doute. Viktor Orbán était un opposant au régime communiste inféodé à l’URSS et a été élu et réélu Premier ministre à la suite des victoires de son parti, le Fidesz, « l’Alliance des jeunes démocrates, Alliance civique hongroise » de 1998 à 2002, puis depuis 2010.
Par Jacques Chevalier
Le plan climat ou « green deal » de la Commission européenne fait grincer des dents, mais pas seulement les constructeurs poussés à une mutation vers l'électrique à marche forcée. Cette fois, c'est tout un pays qui se dresse contre la fin annoncée du moteur thermique en 2035, la trouvant sans objet. La Commission européenne entend en effet, dès cette date et au travers du plan « Fit for 55 » (Prêts pour 55) présenté le 14 juillet dernier, interdire la vente de voitures à carburants fossiles. Pour cela, elle impose une réduction de 55 % des gaz à effet de serre en 2030 comparé à 1990 (contre 37,5 % initialement prévus) et de... 100 % en 2035. Ce qui interdit, de fait, la vente de voitures thermiques.