Ce 6 avril s'est tenu à Ankara une réunion supposée décisive entre dirigeants de l'Union européenne et leurs homologues turcs. On doit surtout regretter que le public n'ait pas appris grand-chose quant à la vraie nature et à la conclusion de leurs entretiens.
Europe et Union européenne - Page 237
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Contentieux euro-turc
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Têtes à Clash n°76 – Vaccins : la préférence pour les Européens ?
Franck Tanguy reçoit Serge Federbusch, François Bert, Antoine Cohen et Patrick Mignon.
Au programme des débats :
1) Devons-nous mettre en place des restrictions à l’exportation pour les vaccins, hors d’Europe ?
2) Le hashtag #saccageparis : mythe ou réalité ?
3) Faut-il célébrer, commémorer, ou oublier le bicentenaire de la mort de Napoléon ?https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n75-vaccins-la-preference-pour-les-europeens
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Les mesures pro-famille du gouvernement hongrois et leurs effets
De l’ECLJ :
Le Gouvernement hongrois a déclaré vouloir résoudre les problèmes démographiques de la Hongrie en soutenant les familles. Katalin Novák, ministre de la famille, a déclaré en tant que secrétaire d’État à la famille et à la jeunesse, en avril 2020, que le gouvernement hongrois dirigé par le Fidesz prévoit de “construire un pays favorable à la famille, visant à surmonter les obstacles rencontrés par les couples qui envisagent d’avoir un enfant”. Cette approche est également conforme à la forte politique anti-immigration de la Hongrie : le gouvernement est favorable à une résolution des problèmes démographiques au niveau national, et non grâce à l’immigration.
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Grand remplacement en Europe : la Pologne en pointe de la résistance identitaire
Après de multiples articles ayant passionné des centaines de milliers de lecteurs, Polémia conclut son tour d’Europe du Grand Remplacement. Après avoir étudié l’emblématique cas de la Suède puis l’inquiétante submersion démographique de la Belgique, l’espoir d’une réaction politique au Danemark, le désastre multiculturel britannique, le suicide de l’Allemagne, les tentatives de résistances de l’Autriche, l’espoir naissant en Italie, la spirale infernale en Espagne, l’islamisation galopante des Pays-Bas, le bon élève portugais, la lente chute de la Suisse, la crise migratoire en Grèce, la situation catastrophique de la France et le signal d’espoir envoyé par la Hongrie… Paul Tormenen s’intéresse enfin à la Pologne qui semble résister à l’ethnomasochisme de tant de pays européens.
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Bruxelles, les « gentils » démocrates et les vilains petits canards
La commission européenne a beau jeu de dire qu’elle ne fait que pointer du doigt les adversaires illibéraux d’une vision démocratique dont l’UE serait le parangon, voire l’incarnation. Elle est en train de se brouiller aussi avec les États-Unis de Joe Biden.
Bruxelles dénonce aussi bien la Pologne et la Hongrie que le Brésil de Jair Bolsonaro. Et il y a peu les États-Unis de Donald Trump. Pourtant les difficultés qui se font jour avec le Venezuela ou de Joe Biden prouvent que le problème pourrait se situer ailleurs...
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Il n’y a pas de repas gratuit. Derrière le plan de relance européen, le chantage aux réformes
C’est un article d’Euractiv qui reprend une dépêche de l’AFP intitulée « Derrière le plan de relance européen, la délicate question des réformes »
« Ces dernières semaines, « la Commission a mis la pression sur les Etats membres pour qu’ils viennent avec plus de réformes », confie un diplomate européen.
Pour toucher les aides du fonds de relance européen, les pays de l’UE risquent de devoir engager des réformes impopulaires, un sujet âprement discuté à Bruxelles avant la remise des premiers plans nationaux.
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« Cessons d’être des Occidentaux et redevenons des Européens d’origine boréenne » (entretien avec Georges Feltin-Tracol)
Pour commencer, pouvez-vous nous donner une brève introduction sur votre domaine d’expertise, votre travail et vos activités en cours ?
J’ai 50 ans. Formé aux sciences politiques, à l’histoire et à la géographie, j’ai aussi suivi des cours de droit constitutionnel.
J’écris mes premiers articles dès 1993. J’ai publié une dizaine de livres et collaboré à une dizaine d’autres. En 2005, je fonde avec quelques amis le site identitaire français Europe Maxima dont j’assume la rédaction en chef.
Je collabore aux Cahiers d’histoire du nationalisme, à la revue Synthèse nationale et au Magazine des Amis de Jean Mabire. Je tiens enfin chaque semaine sur le site officiel de TVLibertés un podcast intitulé « Chronique hebdomadaire du Village planétaire ».
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APRÈS LA SCÈNE DU DIVAN, IL FAUT ARRÊTER LA COMÉDIE EUROPÉENNE.
L’humiliation infligée par le dictateur islamiste turc aux représentants de l’Union Européenne ne devrait pas susciter le moindre reproche envers Erdogan. Il a été fidèle à lui-même, affichant, avec sa grossièreté coutumière, son idéologie fondée sur les retrouvailles entre le nationalisme turc et l’impérialisme musulman. Il joue son rôle, celui d’un ennemi, non d’un partenaire. Le véritable sujet de scandale, c’est l’Union Européenne.
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Le diplomate européiste ne vaut pas plus cher que le tyran oriental
Sur Liberté Politique, Constance Prazel revient sur l’humiliation d’Erdogan à l’égard de la présidente de la Commission européenne et souligne :
Mais le scandale est aussi du côté de Mme von der Leyen. N’a-t-elle donc aucun reste de fierté ? A quoi sert de vivre à l’heure du féminisme prétendument triomphant, si une dirigeante de ce niveau n’est pas en mesure d’en imposer à deux hommes ? Il ne fallait pas se contenter de râcler la gorge, il fallait hausser le ton, et si besoin, quitter la pièce en claquant la porte. Au lieu de cela, elle a préféré se soumettre, en allant se mettre au coin, comme un enfant pris le doigt dans le pot à confiture. Son porte-parole a expliqué en termes choisis qu’elle avait « décidé de passer outre et de donner la priorité à la substance sur le protocole. » La formule est élégante, mais laisse pantois, devant une telle démission consentie.
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L’Italie tente de juguler la crise démographique
À partir du 1er juillet prochain en Italie, les familles auront droit à une allocation mensuelle allant jusqu’à 250 € par enfant, dès le 7e mois de grossesse, pouvant durer jusqu’à ses 21 ans. Le ministre de la Famille et de l’Égalité des chances, Elena Bonetti, a engagé cette mesure quelques jours après l’annonce, par l’institut italien de statistiques (Istat), de l’aggravation historique de la démographie du pays après un an de pandémie.
L’Italie a comptabilisé 746 146 décès en 2020, tandis que le nombre de naissances a plongé de 3,8 %, avec seulement 404 104 bébés. En une seule année, le pays a perdu 384 000 habitants. C’est comme si une ville comme Florence avait disparu.
D’autant plus inquiétant que le pays est déjà le plus vieux d’Europe avec 23,2 % de ses habitants âgés de 65 ans ou plus (20,4 % en France).
https://www.lesalonbeige.fr/litalie-tente-de-juguler-la-crise-demographique/