Hans-Georg Maassen, l’ancien directeur des renseignements allemands, viré par Angela Merkel en 2018, a dénoncé, dans un entretien au Daily Mail le samedi 3 juillet, la politique immigrationniste d’Angela Merkel. En 2015, la chancelière allemande avait laissé entrer plus d’un million d’immigrés dans son pays, avec les conséquences que l’on connaît. Les Allemands « ne peuvent pas comprendre pourquoi de plus en plus de personnes entrent dans ce pays alors qu’elles n’ont évidemment aucun droit à l’asile ».
Europe et Union européenne - Page 242
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L’ancien chef du renseignement allemand veut expulser les immigrés : c’est lui qui a été viré
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Orbán résiste habilement au diktat sociétal de l’Union européenne
Le 15 juin, le Parlement hongrois vote une loi relative à la protection de l’enfance. Deux volets, dans cette loi : d’une part, l’alourdissement des peines encourues par les pédophiles et, d’autre part, l’interdiction de la présentation de documents à caractère pornographique et de la propagande homosexuelle ou en faveur du changement de sexe dans les écoles ou par le biais de la publicité accessible aux mineurs. On n’y trouve aucune stigmatisation des homosexuels.
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L’empire européen, une idée folle ?
(Armes impériales de la famille de Habsbourg)
Une idée folle m’a été soufflée à l’oreille il y a quelques jours. Et si l’Europe devenait un empire ? Mon sang de patriote n’a fait qu’un tour ! Comment ! L’Europe ! Un empire ! Mais ce serait la fin de la nation française ? Peut-être n’est-ce pas si sûr. Et peut-être cette folie est-elle pleine de bon sens.
L’Union européenne, actuellement, est une sorte de créature protéiforme. Elle est une construction supra-étatique ne respectant aucun principe du bon gouvernement, laissant des domaines stratégiques aux mains des Etats alors que leur gestion trans-nationale serait bien plus profitable au bien des peuples, s’occupant a contrario du calibrage des œufs de cailles dans les exploitations agricoles, ou de la température des bacs à glaces sur les étals des poissonniers.
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Würzburg : un « féminicide » si discret, par Gabrielle Cluzel.
Élections en France, distance, accoutumance… les trois à la fois ? On ne peut pas dire que l’égorgement de Würzburg, vendredi (l’Allemagne, à l’instar de la France, découvre le syndrome afghan : ce jour de la semaine est à risque), ait suscité un grand intérêt dans notre pays. Pourtant, tout est si semblable à ce que vous vivons…
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Marine Le Pen, Salvini et Orbán réalisent une « grande alliance » au Parlement européen
Alors que certains prédisent le dépérissement du Rassemblement national, pour s’en inquiéter ou pour s’en réjouir, Marine Le Pen continue son petit bonhomme de chemin. À la veille du congrès qui se tient, samedi et dimanche, à Perpignan, on apprend qu’elle a signé, avec une quinzaine de partis européens, une « déclaration commune », présentée comme le prélude d’une « grande alliance ».
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OUI, LA HONGRIE EST NOTRE VIGIE, NOTRE SENTINELLE À TOUS !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
L’Europe est malade. Encore une fois cette « Europe maléfique », - entendons-nous bien, je pèse mes mots -, pas cette vieille civilisation judéo-chrétienne et gréco-latine, dont il serait superflu ici, d’exalter la grandeur passée, non, ce « machin » insupportable dont les institutions siègent à Bruxelles, à Strasbourg et à Luxembourg. À savoir, la Commission européenne, le Parlement et les institutions judiciaires supranationales qui pèsent sur notre libre-arbitre, qui obèrent notre indépendance nationale. N’est-ce pas Ursula Von der Layen qui est venue à Paris, tel un Gauleiter du Reich pour donner son feu vert à la France sur l’utilisation des prêts européens ? La suzeraine germanique visitant, en quelque sorte, son vassal Franc, comme au cœur du Moyen-Âge ! Cette Europe-là, celle des boutiquiers et des banquiers est devenue folle !
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Seize partis politiques européens signent une « Déclaration commune sur l’avenir de l’Union européenne »
Parmi ces 16 partis, on trouve, pour la France, le Rassemblement National, deux partis au pouvoir, le PiS en Pologne et le Fidesz en Hongrie, alors que ces partis avaient pris soin jusqu’ici de se démarquer du RN. On trouve aussi la Ligue de Salvini, qui participe au gouvernement italien, le petit parti allié de la Ligue, Fratelli d’Italia, le FPÖ autrichien, le Vlaams Belang (Belgique), Vox (Espagne), Dansk Folkeparti (Danemark), Eesti Konservatiivne Rahvaerakond (Estonie), Perussuomalaiset (Finlande), Lietuvos lenkų rinkimų akcija (Action électorale polonaise de Lituanie),
Partidul Național Țărănesc Creștin Democrat (Roumanie), Ellinikí Lýsi (Solution grecque), Bălgarsko nacionalno dviženie (Mouvement national bulgare), Ja21 (Pays-Bas).Voici cette déclaration :
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Bilan de l’Office fédéral de police criminelle allemande : augmentation de 76 % en 1 an du nombre de migrants interpellés en lien avec le crime organisé
BKA : Office fédéral de police criminelle allemande CO : Crime organisé
Bilan dramatique du BKA : En 2020, la police a appréhendé 890 immigrants présumés auxquels on attribue des activités de crime organisé (CO) – soit 76 % de plus qu’en 2019. En outre, 85 gangs de CO étaient dirigés par des immigrants – par rapport à l’année précédente, une augmentation de 89 %. Au sommet : les Albanais, les Libanais et les Turcs.
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La confusion des valeurs, par Olivier Perceval.
D’après la nouvelle loi hongroise, « la pornographie et les contenus qui représentent la sexualité ou promeuvent la déviation de l’identité de genre, le changement de sexe et l’homosexualité ne doivent pas être accessibles aux moins de 18 ans ». Ce texte, qualifié mercredi de « honte » par la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, était au cœur du débat à Bruxelles.
« La loi ne porte pas sur les homosexuels. Elle concerne la façon dont les parents veulent faire l’éducation sexuelle de leurs enfants », s’est défendu le premier ministre hongrois, Viktor Orban,
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L’EUROPE EST-ELLE ENCORE LIBRE ?
Il y a trente et quelques années, le monde offrait encore un paysage politique clair. Il y avait deux camps et entre les deux un espace où s’exerçait leur influence. D’un côté, il y avait des dictatures totalitaires dirigées par un parti unique, inspirées par le marxisme et sa volonté d’étendre au monde la société sans classe et sans Etat, cet horizon qui justifiait l’existence pour le présent d’un Etat tentaculaire et omniprésent et d’une caste à la tête de celui-ci. En face, il y avait le monde de la liberté, de penser, de s’exprimer, d’entreprendre, de posséder, de communiquer, de se déplacer, et de choisir ses dirigeants ou de participer plus directement encore à la politique de son pays.