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Europe et Union européenne - Page 279

  • Migrants: la commissaire européenne aux Affaires intérieures plaide pour un « mécanisme de solidarité obligatoire »

    La commissaire européenne aux Affaires intérieures Ylva Johansson, qui présente mercredi une réforme très attendue de la politique d’asile, plaide pour un « mécanisme de solidarité obligatoire » entre tous les pays de l’UE en cas de « pression » migratoire.

    « Ce doit être obligatoire, tous les Etats membres doivent aider quand il y a une situation où un Etat membre est sous pression, lorsqu’il y a beaucoup de gens qui ont besoin de protection », a déclaré samedi la commissaire suédoise à l’AFP.

    […]

    L’Obs via fds

    https://www.tvlibertes.com/actus/migrants-la-commissaire-europeenne-aux-affaires-interieures-plaide-pour-un-mecanisme-de-solidarite-obligatoire

  • Zemmour a bien répondu à Erdogan, le petit Hitler du Bosphore, qui accuse la France de "génocide" en Algérie...

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    En 1830, Charles X a libéré la France et l'Europe de la piraterie barbaresque qui avait son centre à Alger, réussissant là où tous s'étaient cassé les dents, depuis des siècles, de Charles Quint au Pape...
    A cette époque, les terres sableuses in-organisées de ce qui est aujourd'hui l'Algérie ("nom" et "chose" créées par la France) dépendaient nominalement de l'Empire Ottoman.
    Un empire que rêve de rétablir le dangereux Erdogan, alors que, de toute évidence, absolument personne - à part lui - n'en (re)veut.
    Pratiquant, comme Hitler, la provocation permanente, et avançant à petits pas, puisqu'on ne lui résiste jamais, Erdogan joue sur tous les tableaux, de la ré-islamisation de Sainte Sophie à la violation des eaux territoriales grecques pour chercher du gaz ou du pétrole...
    Il joue aussi du bourrage de crâne et de la propagande (?) basée sur la désinformation la plus outrancière.
    Il accuse ainsi régulièrement la France, et vient de récidiver en reparlant du soi disant génocide dont nous nous serions rendus coupables ! Comme disait le nazi Goebbels (rappelons que la Turquie a été l'alliée de l'Allemagne contre nous pendant les deux guerres, de 14 et de 39...) : plus c'est gros, plus ça passe !
    Sauf que, là, avec Zemmour, "ça passe pas" ! :
    On pourrait rajouter que, quand un président Algérien a des problèmes de santé, c’est en France qu’il vient se faire soigner et non en Turquie : décidément, Recep, ton Empire ottoman fantasmé, personne n'en veut ni n'en reveut !...
  • L'euro ? Il faut en faire une monnaie commune ! (2011)

    L'euro ? Il faut en faire une mnnaie commune !.jpeg

    Dix ans après sa mise en circulation, l'euro est menacé de disparition. Faut-il s'en réjouir ? Non. Des solutions existent qui passent par une transformation radicale de l'euro en monnaie commune, à partir des monnaies nationales restaurées. L'objectif ? Conserver le seul avantage de l'euro : constituer à terme une monnaie de réserve face au dollar. Explications.

    La décision de doter l'Europe d'une monnaie unique fut prise à l'origine par François Mitterrand et Helmut Kohl, lors du sommet européen qui s'était tenu à Rome en décembre 1990. Mais ce n'est que le 1er janvier 1999 que l'euro est officiellement entré en vigueur, et c'est seulement à partir du 1er janvier 2002 que des billets et des pièces libellés en euro se sont substitué en Europe à un certain nombre de monnaies nationales. L'euro a donc à peine dix ans. Or, le voici déjà remis en question, puisque la crise de l'euro est désormais au centre des tourmentes monétaires.

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  • Abolition du traité de Dublin : Salvini chante victoire

     « Si l’Italie cesse d’être le camp de réfugiés en Europe et le seul point de débarquement pour les petits bateaux et péniches, je serai heureux. »

    Ainsi, le leader de la Ligue Matteo Salvini commente le nouveau plan de migration, annoncé par Ursula von der Leyen, qui prévoit l’abolition du traité de Dublin.

    « Nous le demandons depuis des années, poursuit Salvini. Quand j’étais au gouvernement je n’ai pas attendu que les règles changent et j’ai fermé les ports. Ce gouvernement, en revanche, a ouvert les ports, nous espérons qu’ils s’arrêteront car alors les Italiens ont des problèmes. »

    Cette abolition, demandée à plusieurs reprises notamment par les pays les plus concernés, l’Italie et la Grèce, en première ligne sur le front des débarquements, s’est toujours trouvée confrontée à l’opposition du Conseil de l’Union européenne (l’organe où les gouvernements des États nationaux sont représentés).

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  • « Crise. Les banques vont mal. La BCE change les règles ! » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    Je n’ai rien contre cette décision de la BCE.

    Pour tout vous dire je pense que les règles c’est comme les traités, c’est fait pour être changé quand cela ne convient plus. C’est ce que l’on appelle le pragmatisme.

    Pour autant, ce qu’il faut bien mesurer c’est que nous sommes confrontés à une crise économique sans précédent, et peu vous le diront, mais elle va s’inscrire dans la durée, de même que la crise sanitaire dont elle est la conséquence directe. Je vous en parlerai dans mon Flash Stratégies consacré à ce sujet qui est en cours de rédaction.

    Cette crise et c’est parfaitement compréhensible va entraîner des faillites nombreuses et c’est déjà le cas.

    Logiquement, les banques vont perdre de l’argent.

    Tout aussi logiquement dans un tel contexte elle ne vont pas pouvoir respecter les mêmes ratios de solvabilité puisqu’elles vont essuyer des pertes significatives. Donc en essuyant des pertes elles vont perdre de l’argent, si vous maintenez les mêmes ratios alors aucune banque ne pourra plus atteindre, et donc dans l’absolu vous devriez fermer toutes vos banques.

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  • Déshabiller Pierre pour habiller Nikos.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Dans le contexte de tensions majeures en Méditerranée orientale, la vente par la France de 18 avions de chasse Rafale à la Grèce pourrait apparaître comme une bonne nouvelle, marquant une volonté de ne pas céder aux menaces et provocations d'Erdogan et tranchant avec l'inertie de l'Union européenne face à l'offensive néo-ottomane de la Turquie, à ses prétentions sur les hydrocarbures de la zone concernée, à ses intimidations et à ses chantages.
    Elle est surtout une bonne affaire commerciale pour Dassault.
    Car en fournissant ces appareils à la Grèce, plus par intérêt économique que par volonté géostratégique, le gouvernement déshabille Pierre et Paul pour habiller Nikos.
    Douze de ces avions de chasse seront en effet immédiatement prélevés sur nos forces opérationnelles, réduisant ainsi encore un peu plus les capacités combattantes effectives de notre armée de l'air qui, avec seulement 217 chasseurs en ligne (102 Rafale et 115 Mirage 2000) atteint déjà les limites de ses besoins. Les six autres Rafale, neufs ceux-là, seront fournis à Athènes en priorité, retardant de plus d'un an la livraison attendue par nos propres forces armées qui devront patienter.
    Marquer le soutien de la France à la Grèce c'est bien, mais le faire au détriment de notre propre sécurité nationale est une faute dont le gouvernement porte l'entière responsabilité.
  • Viktor Orbán : “L’Europe occidentale souhaite un monde métissé et vivre ensemble avec des étrangers. Nous préférons rester hongrois”

    (…) Sur un autre sujet que le Covid, M. Orbán a déclaré que, contrairement à l’Europe centrale et aux pays de Visegrad, l’Europe occidentale s’était “engagée dans un modèle de société ouverte dans laquelle les frontières n’ont pas d’importance”.

    Ils autorisent et invitent même les migrants chez eux. Ils préparent un monde métissé et veulent vivre ensemble avec des personnes de cultures étrangères”, a-t-il dit.

    “Nous ne voulons pas de cela en Europe centrale ; nous, Hongrois, voulons rester une civilisation hongroise et chrétienne”.

    Hungary Today via Fdesouche

    https://www.tvlibertes.com/actus/viktor-orban-leurope-occidentale-souhaite-un-monde-metisse-et-vivre-ensemble-avec-des-etrangers-nous-preferons-rester-hongrois

  • Dette publique: comment les États sont devenus prisonniers des banques 3/4

    L'opinion publique en est consciente. D'ores et déjà, « les indices de confiance des ménages sont inférieurs à la moyenne historique dans tous les grands pays occidentaux sans exception » (4). Un sondage Ifop rendu public en juin 2011 par des économistes réunis sous la bannière du « Manifeste pour un débat sur le libre-échange » a révélé qu'une vaste majorité de Français sont désormais favorables au protectionnisme et parfaitement conscient des « méfaits de la mondialisation ». Plus de 70 % d'entre eux estiment que l'ouverture des frontières n'a eu que des conséquences négatives sur l'emploi (84 %), le niveau des salaires (78 %) et les déficits publics (73 %), 65 % se déclarent ouvertement favorables à une hausse des taxes douanières et ce, quelle que soit leur couleur politique (69 % à gauche, 72 % à droite, 69 % au Front national, 75 % à l'UMP !). L'affaire grecque est évidemment exemplaire de ce qui attend les Européens.

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  • Dette publique: comment les États sont devenus prisonniers des banques 2/4

    Les États-Unis : « parasites de l'économie mondiale »

    Première puissance économique mondiale, les États-Unis sont frappés de plein fouet. Durant toute la dernière décennie, ils n'avaient pu servir de moteur à la consommation mondiale qu'en dépensant beaucoup plus que leur revenu national ne les y autorisait, ce qui fut l'une des causes des déficits qu'ils enregistrèrent dans leur balance de paiements courants. Ils ont, autrement dit, consommé beaucoup plus qu'ils ne produisaient (la part de la consommation dans leur PIB, beaucoup plus élevée que dans la plupart des pays européens, se situe autour de 70 %). Résultats des déficits historiques et un endettement colossal. À l'heure actuelle, toute dépense publique faite aux États-Unis est financée à hauteur de 42 % par l’emprunt ! Le 16 mai 2011, la dette américaine a crevé le plafond des 14294 milliards de dollars, ce qui a placé les États-Unis au bord du défaut de paiement. L'accord politique intervenu in extremis le 1er août entre les républicains et les démocrates a permis de relever ce plafond, mais l'échéance est seulement repoussée. L'accord ne porte d'ailleurs que sur la dette de l'État fédéral et sur la capacité du Trésor à rembourser les emprunteurs en faisant fonctionner la planche à billets, alors que les finances locales sont également menacées. Le président Obama a dû s'engager à un plan de réduction drastique de la dépense publique, ce qui devrait se traduire par des coupes opérées, non dans le budget militaire avec des soldats engagés sur trois fronts (Irak, Afghanistan et Libye), il est plus gigantesque que jamais -, mais dans les services publics et les programmes sociaux. Ces décisions n'ont pas empêché les agences de notation d'abaisser, pour la première fois de l'histoire, la « note » des États-Unis, ce qui provoqué un nouveau mini-krach boursier.

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  • Discours de l'Union fantôme

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    L'avis de Jean-François Touzé
    La plus grande ruse du diable, on le sait, est de faire croire qu'il n'existe pas. Le pire mensonge de l'Union européenne est de vouloir donner l'illusion de la réalité de ses pouvoirs qui ne sont, de fait, que l'extension continentale des directives étoilées du nouvel ordre mondial.
    En singeant le rite américain du Discours de l'Union comme l'avaient fait avant elle ses immédiats prédécesseurs, la Présidente de la Commission de Bruxelles, Ursula von der Leyen, espère donner consistance à la supercherie communautaire sans pour autant rendre possible la prise à bras le corps des grandes questions géopolitiques, diplomatiques, militaires, sécuritaires, identitaires, économiques, migratoires et éthiques dont la résolution serait pourtant vitale pour notre civilisation. Les récentes décisions en matière économique visant à établir un plan de relance sous forme de prêts et de subsides accordés par l'UE aux Etats membres et financés en monnaie de guenon participent de ces artifices.

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