Elle fait tapisserie quand elle est face à M.Erdogan et à Poltron (M.C.Michel)
En vraie professionnelle, ce qu’elle trouve grandiose à Paris, c’est le drapé de Christo :
Une vraie chance pour l’Europe !
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Elle fait tapisserie quand elle est face à M.Erdogan et à Poltron (M.C.Michel)
En vraie professionnelle, ce qu’elle trouve grandiose à Paris, c’est le drapé de Christo :
Une vraie chance pour l’Europe !
Philippe Gélie
L’Allemagne a voté, mais elle n’a pas – encore – tourné la page de l’ère Merkel. Au coude-à-coude, le social-démocrate Olaf Scholz et le conservateur Armin Laschet ont rivalisé durant la campagne pour incarner l’authentique héritier de la chancelière. A l’arrivé, ils revendiquent tous deux un mandat pour gouverner, mais le mieux placé n’est peut-être pas le dauphin « légitime ».
Cenator: Notons qu'en Allemagne, en exploitant l'émotion créée par l'accident de Fukushima, les pastèques et d'autres opportunistes ont obtenu la fermeture de leurs centrales nucléaires, (comme ils l'ont aussi fait en Suisse), causant de graves pénuries et entraves à l'économie. Une fois la situation devenue intenable, les Allemands ont rouvert des mines de charbon très polluantes, même plus polluantes que la mine polonaise qui est la cible de Greenpeace Tchéquie depuis des années.
Mais pour l'Allemagne, pas d'amende, pas de sanction, pas de reportages alarmants et diffusés à large échelle par les médias de Gauche.
Car dans la tête de l'UE, c'est à l'Est que se trouvent les élevages de dindons pour la farce, et à l'Ouest, les pays exemplaires pour tous par leur morale progressiste.
Surprise, surprise ! La Pologne refuse de payer un sou !
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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Les 23 et 24 septembre derniers, s’est tenu à Budapest le quatrième sommet démographique, réunissant du « beau linge » : outre le premier ministre de Hongrie, puissance invitante, on trouvait ceux de la Slovénie et de la Tchéquie, de la Pologne, l’ancien Vice-président américain Mike Pence et, « cerises sur le gâteau », Marion Maréchal Le Pen et Eric Zemmour. Ce dernier s’est longuement entretenu avec Viktor Orban « pour parler de l’histoire réelle et de l’humanité » selon ses dires.
Éric Zemmour a donc rencontré Viktor Orbán, qui l’avait invité au Sommet démographique mondial de Budapest. Cette rencontre est importante, puisqu’elle permet au chroniqueur de s’élever au niveau des chefs d’État et de gouvernement avant même de déclarer une candidature à la présidence qui ne fait plus le moindre doute. Viktor Orbán était un opposant au régime communiste inféodé à l’URSS et a été élu et réélu Premier ministre à la suite des victoires de son parti, le Fidesz, « l’Alliance des jeunes démocrates, Alliance civique hongroise » de 1998 à 2002, puis depuis 2010.
Par Jacques Chevalier
Le plan climat ou « green deal » de la Commission européenne fait grincer des dents, mais pas seulement les constructeurs poussés à une mutation vers l'électrique à marche forcée. Cette fois, c'est tout un pays qui se dresse contre la fin annoncée du moteur thermique en 2035, la trouvant sans objet. La Commission européenne entend en effet, dès cette date et au travers du plan « Fit for 55 » (Prêts pour 55) présenté le 14 juillet dernier, interdire la vente de voitures à carburants fossiles. Pour cela, elle impose une réduction de 55 % des gaz à effet de serre en 2030 comparé à 1990 (contre 37,5 % initialement prévus) et de... 100 % en 2035. Ce qui interdit, de fait, la vente de voitures thermiques.
Diplômé d’histoire et de sciences politiques, Thibaud Gibelin a travaillé quelques années dans les arcanes du Parlement européen. Il se consacre aujourd’hui à une thèse de doctorat, entre Paris et Budapest. Cette double expérience, professionnelle et personnelle, voire sentimentale, offre à son premier essai une profondeur et une acuité précieuses. Beaucoup d’écrits traitent en effet de la Hongrie de Victor Orbán, de la Pologne du PIS et plus généralement du groupe de Visegrád que ces pays forment, avec la Tchéquie et la Slovaquie, dans les confins centraux et orientaux de l’Union européenne. Peu arrivent à en saisir l’identité profonde, la vitalité à l’œuvre, la vision du monde qu’ils véhiculent. épine dans le pied de Bruxelles, ce groupe de nations « périphériques » ne constitue-t-il pas l’avant-garde d’une « alter-Europe » en devenir ?
C’est la thèse, d’autant plus stimulante qu’elle est particulièrement étayée, que propose Thibaud Gibelin dans Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne – Résurgence de l’Europe centrale (Fauves Editions, 2020). Si l’ouvrage est centré sur la figure et le parcours du Premier ministre hongrois, il en décrit la pensée politique en la resituant dans les bouleversements géopolitiques et civilisationnels en cours. Surtout, il en déduit la possibilité d’un sursaut « vitaliste » pour tourner le dos à la tendance mortifère, impolitique, qui prévaut aujourd’hui et sans doute dès l’origine dans les instances dirigeantes de l’Union européenne – sans jamais céder à la facilité d’en contester le bien-fondé.
En Autriche, les Verts sont au pouvoir depuis 2019, lorsqu’ils ont accepté la proposition des conservateurs de former une coalition. Une alliance moins contre-nature qu’il n’y paraît : certains partagent en effet les positions anti-immigration du chancelier Sebastian Kurz (Parti populaire autrichien, ÖVP).
Les ministères détenus par des Verts :
Vice-chancelier : Ministre fédéral des Arts, de la Culture, de la Fonction publique et des Sports ; Ministre fédéral de la Justice ; Ministre fédéral du Climat, de l’Environnement, de l’Énergie, des Mobilités, de l’Innovation et de la Technologie ; Ministre fédéral des Affaires sociales, de la Santé, des Soins et de la Protection des consommateurs
Vu sur MPI par Francesca de Villasmundo
« La médiatrice européenne, Emily O’Reilly, a ouvert une enquête sur le refus de l’exécutif de l’UE de fournir un accès public aux informations relatives à l’achat de doses de vaccin Covid-19 discuté par le président de la Commission », Ursula von der Leyen.
Par Gérard Dussouy, professeur émérite des universités, essayiste ♦ Polémia suit attentivement la situation politique et sociale en Allemagne. Nous publions ainsi régulièrement des articles de notre envoyé spécial outre-Rhin, François Stecher. Alors que les élections législatives et fédérales approchent, nous partageons avec nos lecteurs un texte brillant de la plume de Gérard Dussouy. Dans une analyse philosophique passionnante, Gérard Dussouy nous dresse un portrait édifiant d’une nation soumise à un endoctrinement social de grande ampleur.
Un texte à lire avec attention pour comprendre ce qui se passe chez nos voisins.
Polémia