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Europe et Union européenne - Page 280

  • Crise : la maladie de l'Union européenne

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    Avec un certain aplomb, nombre de dirigeants politiques vantent leu gestion de la crise, entre auto-persuasion et mauvaise foi. Une assurance qui semble confiner au culot, tant il est vrai que, de plus en plus, les peuples s’interrogent et doutent.

    La rumeur enfle en effet, qui veut que le confinement n'ait pas particulièrement protégé les pays qui l'ont adopté pour se défendre du coronavirus. Ni sur le plan vital. Ni sur le plan économique. Le problème est que la rumeur n'est pas le fruit d'un complot d'esprits obtus et réactionnaires. Elle plonge ses racines dans un certain nombre d'études et de faits - têtus, comme il se doit. Ce qui explique sans doute que plusieurs États en arrivent aujourd'hui à l'étape suivante confiner les esprits en interdisant toute critique. À ce jeu, Macron semble passer d'autant plus maître qu'il s'est signalé par une particulière incompétence. Laquelle confine sans doute, avec l'idéologie.

    Ces données - ces faits - sont désormais accessibles à qui veut bien se donner la peine de faire un minimum de recherches. On en trouve des illustrations nombreuses, notamment à travers les États-membres de l'Union européenne. Prenons l'exemple du graphique qu'en a données, mi-mai, le professeur Luis Huete, de l'IESE, école de commerce sise à Barcelone, par lequel il résume, en un schéma très clair l'évolution économique des États en lien avec leur traitement de la crise du coronavirus.

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  • Merkel, présidente de la section Europe de l'Empire.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    À compter de ce mercredi 1er juillet, l'Allemagne prend, pour six mois, la tête de l'Union européenne.

    Nul doute que la chancelière Merkel assurera cette présidence avec la volonté ferme et pleine de servir la conception qui est la sienne de l'intérêt allemand.

    Non pas de l'Allemagne identitaire qu'elle a mis en péril en 2015 en ouvrant les digues à la déferlante migratoire. Non pas de l'Allemagne historique et nationale qu'elle a déshonorée en se soumettant — et en soumettant l'Europe toute entière — aux diktats turcs et au chantage du sultan Erdogan. Non pas de l'Allemagne nation centrale d'une possible et nécessaire Europe de l'indépendance et de la puissance, mais l'Allemagne américaine.

    Depuis des décennies, tous les chanceliers fédéraux se sont servis de l'Europe, de ses institutions et de sa monnaie pour affirmer et renforcer le rôle de l'Allemagne dans la construction planétariste de la nation globale au service exclusif de la finance et de la techno-structure.

    Berlin capitale de l'Europe pour six mois ? Non ! Berlin, capitale européenne de l'empire mondialiste.

    Et comme toujours, la France de Macron s'efforcera d'en être une supplétive zélée.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Crise : la maladie de l'Union européenne

    Crise la maladie de l'Union européenne.jpeg

    Avec un certain aplomb, nombre de dirigeants politiques vantent leu gestion de la crise, entre auto-persuasion et mauvaise foi. Une assurance qui semble confiner au culot, tant il est vrai que, de plus en plus, les peuples s’interrogent et doutent.

    La rumeur enfle en effet, qui veut que le confinement n'ait pas particulièrement protégé les pays qui l'ont adopté pour se défendre du coronavirus. Ni sur le plan vital. Ni sur le plan économique. Le problème est que la rumeur n'est pas le fruit d'un complot d'esprits obtus et réactionnaires. Elle plonge ses racines dans un certain nombre d'études et de faits - têtus, comme il se doit. Ce qui explique sans doute que plusieurs États en arrivent aujourd'hui à l'étape suivante confiner les esprits en interdisant toute critique. À ce jeu, Macron semble passer d'autant plus maître qu'il s'est signalé par une particulière incompétence. Laquelle confine sans doute, avec l'idéologie.

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  • Viktor Orbán : « Les policiers sont traités de racistes, tandis que leur réputation est détruite en même temps que les statues… La Hongrie n’est pas et ne sera jamais ce genre de pays »

    La Hongrie n’abandonnera jamais ses « officiers en uniforme », a déclaré le Premier ministre lors d’une cérémonie de remise des diplômes aux nouveaux policiers.

    (…) Les forces de l’ordre et les forces armées « sont humiliées tant dans la rue que par les politiques », a déclaré le Premier ministre. « Les policiers sont qualifiés de racistes tandis que leur réputation est détruite en même temps que les statues. L’État et la loi se sont retirés des rues ».

    « Mais la Hongrie n’est pas et ne sera jamais ce genre de pays », a déclaré M. Orbán.

    Le Premier ministre a également déclaré que « toutes les vies comptent » en Hongrie. « Nous préférons un monde où règne l’ordre, où le bon sens prévaut, où la loi protège les innocents plutôt que les criminels, un monde où nous nous protégeons contre l’immigration, et où les ressources sont investies dans les familles et les enfants », a-t-il déclaré

    (…) Hungary Today

    https://www.fdesouche.com/1395995-viktor-orban-les-policiers-sont-traites-de-racistes-tandis-que-leur-reputation-est-detruite-en-meme-temps-que-les-statues-la-hongrie-nest-pas-et-ne-sera-jamais-ce-genre-de-pays

  • Face aux calomnies gauchistes, le Portugal se réveille...

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    Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi 27 juin dans les rues de Lisbonne, à l’appel du jeune parti nationaliste portuguais Chega (« Assez ») afin de dénoncer les accusations de racisme propagées à l'encontre du Portugal par la presse mondialiste locale.

    « Portugal, Portugal, Portugal… », ont scandé les manifestants sur la principale artère de la capitale derrière de nombreuses banderoles et drapeaux nationaux.

    Entourée d'un solide service d'ordre, cette manifestation a été une réponse populaire aux troublions gauchistes qui sèment le désordre en accusant de racisme et de violences la police portugaise dans la foulée du mouvement déclenché par la mort du repris de justice George Floyd aux Etats-Unis.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/06/28/face-aux-calomnies-gauchistes-le-portugal-se-reveille.html

  • En Allemagne, « Dans le doute », l’antisémitisme est toujours d’extrême-droite !

    731315581.jpgLa chronique de Philippe Randa

    Les Blancs sont racistes, forcément racistes, c’est entendu ; les autres races – bien que les races n’existent pas, ne cherchez pas à comprendre – ne peuvent qu’être des victimes du racisme des Blancs. Et toutes les autres races s’aiment tout autant les unes que les autres… Enfin, pour certaines, un peu moins que d’autres, parfois, mais il ne faut pas trop le faire savoir parce que, hein ! c’est Black matter lives qui le dit, le répète, l’impose et gare aux présumées factieux qui se risqueraient à en douter.

    Tout comme il ne peut pas y avoir de racisme autre que venant des Blancs, on apprend aujourd’hui qu’outre-Rhin, il ne peut y avoir un antisémitisme autre que… d’extrême-droite !

    La preuve : l’Office fédéral allemand de la protection de la constitution ayant créé en 2015 un registre des actes antisémites d’origine islamiste supposée, le site LesObservateurs.ch publie un extrait de ce que rapporte le pourtant très à gauche Süddeutsche Zeitung de Munich : « Près de 700 cas sont déjà listés dans ce registre. (…) Ce n’est qu’un petit aspect de la réalité dérangeante (…) La police n’enregistre aucunement les crimes d’antisémites influencés par l’Islam de façon à pouvoir les catégoriser. Dans le doute, tout est compté comme “d’extrême-droite”, selon la règle de l’Office fédéral de la police criminelle, qui réalise la statistique criminelle annuelle. Les crimes antisémites sont à classer dans le phénomène des crimes politiquement motivés à droite, si les circonstances du méfait et/ou la motivation de l’auteur ne fournissent pas d’indications contraires, ainsi que l’a déclaré récemment le gouvernement fédéral allemand. »

    Au royaume d’UBU, les fous sont rois, c’est certain, mais tout de même ! On imagine la tête des rescapés de la défunte Fraktion Armée Rouge (encore appelée Bande à Baader-Meinhof qui défraya la chronique terrorriste entre 1968 et 1998) ou du toujours vivant l’État islamique ! On les entend d’ici : « Pas d’amalgame ! »

    EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Des banques centrales prêtes à tout : vers la destruction des monnaies

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    Marc Rousset

    La BCE vient d’offrir 1.310 milliards d’euros de prêts LTRO (prêts à long terme), à des taux d’intérêts négatifs à -1%, à 742 banques européennes. Dans ce monde fou, les banques européennes gagnent donc de l’argent en empruntant !

    La dette française, qui avait atteint 66,6 % du PIB en 2007 avec le très laxiste Chirac, est passée à 91,6% du PIB avec Sarkozy, puis 99,7% du PIB avec Hollande, pour atteindre 120,9% du PIB, fin 2020, avec Macron, ce qui représentera 39.552 euros par Français, tandis que le taux de chômage dépassera les 12%. La gauche rêveuse croit, comme d’habitude, régler les problèmes avec des mots salvateurs, sans se fatiguer, tels que « dette perpétuelle » et « dette poubelle », mais la France devra rembourser et payer, sous peine d’augmentation violente des taux et/ou de ne plus pouvoir emprunter sur les marchés. Quant à l’endettement des entreprises françaises, il est passé de 53,9% du PIB, en 2008, à 73,5% du PIB, à fin 2019.

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  • La Cour de justice européenne protège le lobbying de George Soros

    La Cour de justice européenne protège le lobbying de George Soros

    La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a censuré, jeudi 18 juin, la loi anti-Soros adoptée en 2017 par la majorité de Viktor Orban, le premier ministre hongrois. Cette loi oblige toutes les ONG hongroises à déclarer les dons venant de l’étranger d’un montant supérieur à 500 000 forints (1 444 euros). Le nom des donateurs est rendu public sur un registre en ligne. Si les dons de l’étranger dépassent la somme de 20 800 euros par an, les ONG concernées doivent en plus se présenter officiellement comme une « organisation recevant de l’aide de l’étranger » sur tous leurs supports de communication.

    Cette loi était destinée, selon son préambule, à lutter contre les « groupes d’intérêts étrangers » qui voudraient « promouvoir, par le biais de l’influence sociale de ces ONG, leurs propres intérêts au lieu de l’intérêt général de la Hongrie ».

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  • Dossier – Comment Soros a forgé l’alliance entre antifas et musulmans

     

    Le cas Linda Sarsour

    Linda Sarsour est une activiste musulmane très médiatique aux Etats-Unis. Bien que toujours voilée et prenant la défense de la charia, elle occupe depuis plusieurs années une place influente dans la plupart des grands événements féministes et intervient tour à tour au nom de divers mouvements.

    Elle a soutenu et rencontré Barack Obama lorsqu’il était président des Etats-Unis. Elle soutient aujourd’hui Bernie Sanders.

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  • Vertus du protectionnisme

    C’est un sujet extrêmement délicat si l'on sort des dogmes des instances internationales. Tout est en sous-entendu, hypocrisie, partie de poker-menteur En période de crise, qu'on le souhaite ou qu'on le déplore, le protectionnisme va fatalement se développer dans chaque pays, même si les dirigeants, la main sur le cœur, proclament dans les réunions internationales qu'ils ne le pratiquent pas.

    Dans un cadre de libre-échange mondialisé, il y a bien sûr des pays gagnants et des pays perdants. Ces derniers ont donc plus intérêt à pratiquer un certain protectionnisme. La problématique n'est pas un choix entre une absence totale de protectionnisme ou un protectionnisme total coupé de l'extérieur. Tout est dans le dosage, les secteurs que l'on protège ou non dans le but de garantir l'emploi, une industrie qui est la preuve d'un savoir-faire technologique, la nation étant encore une réalité économique et historique.

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