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Europe et Union européenne - Page 276

  • Partout, en Occident, « l’antiracisme » fait rage…

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    Le Parisien du 18 juillet signalait l’arrestation d’une équipe de « passeurs » transportant, moyennant 5.500 euros, des clandestins de la Grèce à l’Italie au moyen de yachts acquis à cet effet. À la fin de l’article est signalée une vidéo, illustrée par une photo représentant deux hommes à la pigmentation dite « noire » et incluant la légende suivante : « Paroles de réfugiés : “On cherche une vie libre et digne”. » Corollaire : dans leur pays d’origine, leur vie est donc « non libre et indigne ».

    Mais que cherchent donc tant de millions d’opprimés sur un continent européen où les nations – France en tête – sont « structurellement racistes » ? Ben, réfléchis ! Ils viennent s’abreuver à la liberté et la dignité que leur offrent des nations structurellement racistes : logique.

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  • Le rendez-vous incontournable des Européens qui souhaitent le rester !

  • Taxes, dettes… : un jour historique pour l’Europe…

    Taxes, dettes… : un jour historique pour l’Europe…

    Emmanuel Macron s’est félicité du plan de relance européen, signé à Bruxelles par les 27 Etats membres de l’UE. 

    Les 27 membres de l’Union européenne ont validé le principe d’un fonds de relance de 750 milliards d’euros. Ce plan crée une dette commune et s’adosse à un budget pluriannuel de l’UE (2021-2027) de 1 074 milliards d’euros. Il se compose en partie de 390 milliards de subventions qui seront données aux Etats les plus touchés par la pandémie. Outre ces subventions, 360 milliards d’euros sont envisagés pour des prêts, remboursables par chaque pays bénéficiaire. Le remboursement de cet argent se fera en commun, selon la richesse de chacun, et non pas selon ce qu’il utilise. En ce sens, il s’agit d’un progrès de l’intégration européenne (que l’on soit pour ou contre) et donc d’une nouvelle atteinte à la souveraineté nationale.

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  • La France comme base arrière des Yankees contre la Russie, ça suffit !

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    Le 7 juillet, le port de La Rochelle Pallice a accueilli les soldats d’une brigade aéromobile américaine dans le cadre de l’opération « Atlantic Resolve ».

    60 des 80 hélicoptères (Black Hawk, Apache et Chinook) de la 101e Combat Aviation Brigade, ainsi que 1 500 véhicules, conteneurs et autres équipements sont donc arrivés à bord d’un roulier qui a traversé l’Atlantique. Les militaires ont effectué un transit via La Rochelle, vers l’Allemagne, la Pologne et la Lettonnie où ils seront déployés dans le cadre de l’opération lancée par l’administration Obama et poursuivie par celle de Donald Trump…

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  • Au cinquième jour de négociations, les dirigeants de l’Union européenne s’accordent sur un plan de relance de 750 milliards d’euros

    Ils sont enfin parvenus à s’entendre. Les dirigeants des 27 pays de l’Union européenne ont trouvé un accord sur un plan de relance post-coronavirus de 750 milliards d’euros, mardi 21 juillet, au cinquième jour d’un sommet marathon à Bruxelles. Le président du Conseil européen, Charles Michel, a annoncé la conclusion de cet accord d’un simple mot posté sur Twitter, au petit matin.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/au-cinquieme-jour-de-negociations-les-dirigeants-de-lunion-europeenne-saccordent-sur-un-plan-de-relance-de-750-milliards-deuros

  • Union Européenne : un accord en trompe l’oeil !

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    On pouvait difficilement imaginer que les dirigeants européens quittent le sommet sans avoir trouver un accord. Cela aurait signifié que le rafiot de l’UE coulait, et qu’on devait se préparer à un sauve-qui-peut général. Aussi, un compromis – quelle surprise ! – a-t-il été trouvé. Chacun repart donc chez soi pour y chanter victoire tandis que tous les problèmes sont restés avec la poussière sous le tapis. L’Europe est une construction technocratique voulue par une oligarchie dont l’idéologie est le progressisme tendant à remplacer la démocratie par les mécanismes du marché et le fameux Etat de droit. Cette construction se fait de plus en plus contre la volonté des peuples. Le départ du Royaume-Uni après référendum le montre clairement. Aussi, fallait-il que le beau rêve européen saisisse le contexte et prétexte du Covid-19 pour se « réinventer ». Parce que ça ne marchait pas, il fallait avancer davantage. C’est cette recette typiquement macronienne qui l’a apparemment emporté. Les 27 ont accepté pour la première fois un emprunt commun permettant de verser des subventions non remboursables aux pays les plus fragilisés sur le plan économique par la pandémie. Autrement dit, les pays du sud, recevront une aide qu’ils ne paieront qu’en participant eux-mêmes au remboursement de l’emprunt mais à un taux bien plus avantageux que si chacun d’eux avait emprunté directement. Présenté par le tandem franco-allemand, au nom de la solidarité et comme une avancée vers une plus grande intégration européenne, le projet initial reposait sur une enveloppe de 500 Milliards d’Euros d’emprunt collectif et de subventions non-remboursables. L’accord s’est fait sur 390 Milliards, à quoi s’ajoutent 360 Milliards de prêts qui, eux, devront être remboursés. Cette décision masque mal les tensions entre les Etats. Certains étaient très réticents. La propagande macronienne les présentait comme des pays frugaux voire « radins » dont notre génial conducteur aurait triomphé. La fuite en avant dans l’argent factice qui correspond de moins en moins à de la richesse réelle se fera donc désormais en partie collectivement.

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  • Europe : en réalité les frugaux ont raison

    6a00d8341c715453ef0264e2e98e97200d-320wiToute la journée, ce dimanche 19 juillet, on aura vainement attendu les conclusions d'une prolongation commencée dès le matin à 9 h 30 après deux séances interminables les 17 et 18. Il s'agissait d'adopter un mirifique programme de dépenses publiques chiffré à 700 milliards. Ce devait ne représenter qu'une formalité puisque Paris et Berlin était d'accord avec les encouragements de Mme Lagarde à Francfort.

    Eh bien non. Le discord l'a emporté au sein du Conseil européen. À l'avant-garde d'une presse subventionnaire hexagonale unanime, l'organe de la gauche caviar Libération de ce 20 juillet titre sans complexes : "Sommet européen : un coup de grippe-sous" et met sans hésiter "en cause notamment, l’intransigeance du club des radins".

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  • Europe : la déception (2008) 4/4

    Rendu public le 5 octobre 2007 sous le nom de «traité modificatif», ce projet de traité «simplifié», dont Nicolas Sarkozy avait déjà fait adopter le principe à Bruxelles en juin 2007 n'est tout d'abord pas si simplifié que cela, puisqu'il compte 256 pages assorties de 12 protocoles annexes et 25 déclarations diverses renvoyant à près de 3000 pages d'accords antérieurs. Il reprend par ailleurs l'essentiel des dispositions du projet de traité constitutionnel rejeté par voie de référendum par les Français et les Hollandais. Seules modifications : les éléments symboliques (drapeau, hymne et devise) n'y figurent plus, et le ministre des Affaires étrangères de l'Union se voit, pour satisfaire les Anglais, attribuer le simple titre de «haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune». Pour le reste, rien ne change, sinon l'habillage. La référence à l'OTAN, notamment, est toujours présente puisque le nouveau texte renvoie au traité de Maastricht dont le titre V fixait que les positions communes des États membres en matière de défense doivent être compatibles avec les «cadres de l'OTAN». La Charte des droits fondamentaux n'est pas reprise in extenso, mais fait elle aussi l'objet d'une référence, ce qui en droit revient au même.

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  • Thierry Mariani : “C’est la première étape vers la création d’un véritable impôt européen”

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    Après un weekend de négociations à Bruxelles, le plan de relance à 750 milliards d’euros n’est toujours pas validé. Thierry Mariani, député au Parlement européen, réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    https://www.bvoltaire.fr/thierry-mariani-cest-la-premiere-etape-vers-la-creation-dun-veritable-impot-europeen/

  • Plan de relance européen : encore la désunion

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    Par Mathieu Solal

    Ils voulaient la paix. En arrivant à Bruxelles, Angela Merkel et Emmanuel Macron entendaient faire de leur alliance le socle de la relance européenne. Dans la droite ligne de leur initiative historique du 18 mai, le Président et la chancelière n’avaient plus qu’à transformer l’essai en convainquant leurs partenaires de réaliser pour la première fois l’union de la dette, pour faire face à la crise qui s’annonce. Quitte à faire des concessions, ils imposeraient leur leadership à cette nouvelle Union européenne débarrassée de l’épouvantail britannique et enfin encline à resserrer ses liens face à l’adversité.

    Ils voulaient la paix, mais ils ont oublié de préparer la guerre. En arrivant à Bruxelles « dans un esprit d’unité et de compromis » vanté par leurs entourages, et avec comme unique but de défendre la proposition de plan de relance mise sur la table par la Commission européenne, le Français et l’Allemande se sont logiquement retrouvés en position de faiblesse.

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