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Europe et Union européenne - Page 379

  • Trois semaines après le blasphème : la réponse de l'Espagne

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    Il y a trois semaines, en déplaçant les restes du Général Franco de la Vallée de Los Caïdos vers un cimetière madrilène (cliquez ici), l'oligarchie socialiste espagnole pensait avoir réglé ses comptes avec l'Histoire... Mauvais calcul.

    Hier se déroulaient les élections législatives et le peuple espagnol s'est prononcé. Le parti national Vox qui il y a trois ans faisait moins de 0,5% des voix envoie plus de 50 députés (soit deux fois plus qu'en avril dernier où il avait déjà amorcé sa percée) aux "Cortès" et devient ainsi la 3e force politique du pays. La dynamique qui mènera à la victoire totale est engagée. Ce d'autant plus que le calamiteux Sanchez, chef su gouvernement socialiste, n'a toujours pas de majorité et que l'Espagne devra probablement revoter prochainement.

    Bien entendu la profanation de la tombe du Caudillo n'est pas la seule raison de cette victoire des nationalistes. L'immigration massive qui fait des ravages et qui menace l'identité espagnole ajoutée aux velléités séparatistes catalanes ont été déterminantes. Sans oublier la corruption qui touche l'ensemble des partis liés au Système. Certes, Vox n'est peut être pas parfait mais qu'importe, le réveil national et populaire devait bien finir un jour ou l'autre par arriver et il en est l'incarnation et c'est tant mieux... 

    Deux semaines après les élections en Allemagne et en Italie, nous assistons à Madrid à une nouvelle victoire des forces nationales et identitaires européennes. Partout les peuples s'apprêtent à reprendre en main leurs destins. L'Europe cosmopolite que veulent nous imposer les tenants des pouvoirs mondialistes commence à vaciller... aidons-là à s'écrouler.

    Roland Hélie

    Synthèse nationale

  • Grèce : un barbecue « porc et vin à volonté » organisé près d’un camp de migrants, en signe de protestation

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    Un groupe anti-migrants grec a organisé dimanche un barbecue comportant du porc grillé et du vin, à proximité de l’ancienne base militaire de Diavata, transformée en camp de réfugiés, près de Thessalonique, en signe de protestation contre les migrants entrants ou résidents et majoritairement musulmans.

    « Nous sommes rassemblés ici pour cette soirée barbecue afin d’envoyer un message symbolique à tous que la Grèce ne perdra pas sa culture avec le temps et qu’elle restera ce qu’elle a toujours été« , a déclaré Dimitris Siampazis, l’organisateur en chef et leader du mouvement ‘Enomenoi Makedones’ (‘Macédoniens unis’).

    « Il s’agit d’une protestation novatrice pour montrer notre opposition à l’afflux continu de migrants illégaux« , déclare Dimitris Ziambazis. « Cette situation ne peut plus durer. Nos maisons et nos communautés se transforment en ghettos, et nous ne le tolérerons pas« , ajoute-t-il.

    Source: Fdesouche

    Photo couverture: capture Youtube

    https://www.alterinfo.ch/2019/11/11/grece-un-barbecue-porc-et-vin-a-volonte-organise-pres-dun-camp-de-migrants-en-signe-de-protestation/

  • Espagne : percée des patriotes de Vox lors des législatives et son entrée au Sénat

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    Espagne. Lors des législatives de ce 10 novembre 2019, Vox passe de 10,26 % à 15,09 % et de 24 à 52 sièges sur 350 à la Chambre des députés. La FE de las JONS décroche 0 %.

    Lors des élections pour le Sénat de ce 10 novembre 2019, Vox passe de 0 à 2 sièges sur 208. La FE de la Jons n’obtient pas de siège.

    http://lionelbaland.hautetfort.com/

  • GROSSE FATIGUE DÉMOCRATIQUE

    Le feu de l'émeute s'est propagé depuis les Champs-Elysées aux quatre coins de la planète. Après le combat de libération de Caracas, vint Paris, suivi d'Alger puis Hong Kong, Quito, Barcelone, Port-au-Prince, Beyrouth et maintenant Santiago du Chili. Les causes du soulèvement sont chaque fois endogènes et circonstanciées, surtout en Algérie, mais la porteuse en basse fréquence, sauf au Venezuela communiste, est partout identique : une défiance énorme vis-à-vis de la classe politique, déclarée imbécile et corrompue. C'est le principe de démocratie représentative qui est remis en cause. Sa vocation de planter des mâts de cocagne dans chaque circonscription électorale est vilipendée par les peuples qui y voient autant de course à l'enrichissement rapide, plus rapide que l'entreprenariat, bien plus encore qu'une vie de labeur. L'anti-parlementarisme n'a pas besoin de calomniateurs ou de médisants, il suffit de laisser vivre en transparence grands et même petits élus pour le voir grandir. A preuve récemment le déni total de Sylvie Goulard de l'immoralité de sa position judiciaire, confirmé par la colère du président Macron, dépité de ne pas avoir été obéi ! Mais cette posture n'est pas nouvelle. François Fillon n'a jamais compris qu'on lui cherche des poux dans la tête pour avoir nourri toute sa famille sur fonds parlementaires puisqu'il était raccord avec les textes ! Richard Ferrand constitue un patrimoine immobilier à sa compagne en détournant vers elle les débours de sa caisse mutuelle, abandonne son maroquin pour éviter les lazzis dans sa fonction, puis est adoubé au Perchoir pour plaire à l'Empereur d'Europe.
    Si on remonte dans le temps (mais pas trop) on retrouve tous les scandales politiques de la IIIè République - ceux d'aujourd'hui font "petit joueur" - à ne citer que Panama, Wilson, Oustric, Stavisky. Mais le modèle étant auto-guérissable en résultat du bourrage de crâne des peuples à qui on assène que la démocratie représentative est la seule qui fonctionne, le reste, comprenez la démocratie directe, n'étant qu'anarchie et désordre des foules. Et on évite d'étudier dans le détail le fonctionnement de la Confédération suisse qui fait mentir les politologues depuis 728 ans (merci Wikipedia). Ce qui tend à prouver que l'exercice démocratique direct est jouable au sein de circonscriptions délimitées par le champ de conscience identitaire des citoyens - je me sens aveyronnais et sensible au sort des peuples en aval jusqu'à la Garonne comme des cantalous - mais qu'à l'étage national le principe est en défaut. Les élus une fois installés et grassement payés à relire les directives de Bruxelles se désintéressent de la problématique locale en s'appuyant sur l'article 27 de la Constitution qui récuse le mandat impératif à l'élu.
    Laissons les autres pays vivre leur transformation démocratique et penchons-nous un instant sur le nôtre, en espérant ne pas trop rabâcher. Les six strates d'administration d'un pays moyen, qui se traverse dans une seule journée entre le lever et le coucher de soleil, sont le ferment de la fracture politique entre le peuple et ses élites : l'Europe institutionnelle avec un exécutif, un parlement, une cour de justice, des agences normatives ; l'Etat central français (le plus gros de l'OCDE rapporté à sa population d'administrés) avec deux chambres parlementaires, des tribunaux, une cour de cassation, cour des comptes, Conseil d'Etat et cent autres "organisations" dédiées à l'empreinte étatique ; des régions répliquant chacune à son niveau le modèle d'Etat central avec exécutif, parlement, organisations de gestion et contrôle etc ; des départements répliquant l'organisation des régions avec son exécutif, parlement etc... jusqu'à la DDE (trous en formation) ; les communautés urbaines répliquant les fonctions exécutives départementales sur leur zone d'intérêt avec des services dédiés et une assemblée d'élus municipaux ; la commune, le plus souvent dépouillée de pouvoirs, mais qui reste la seule structure au contact du citoyen pour lui répondre que "ce n'est plus de son ressort". Et dans les trois métropoles françaises, cette strate basse est divisée entre mairie centrale et mairies d'arrondissement ! Tout ce barnum pour "gérer" soixante cinq millions d'habitants ? Quand le citoyen imagine le poids qu'il porte sur la tête au seul prétexte de le gouverner il est pris de vertiges, met un gilet jaune et va au rond-point en discuter avec d'autres comme lui. Puis la fermentation démarre et la classe politique prend peur. Mais de l'avis d'un vieil anarchiste de droite, La Casta n'a pas encore assez peur pour remettre en cause la pyramide des prébendes qu'elle a construite.
    In cauda, chacun peut observer que les tyrannies modernes sont le plus souvent issues de processus démocratiques. Et je prends le pari que le nouveau président de Tunisie se regarde dans la glace à se demander si une petite moustache avec des lunettes à la Jaruzelski ne seraient pas préférables pour développer ses prérogatives.

    https://royalartillerie.blogspot.com/2019/10/grosse-fatigue-d.html

  • Vox termine sa campagne par un immense meeting à Madrid

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    Vendredi 9 novembre 2019, Vox a tenu un énorme meeting de fin de campagne électorale à Madrid pour le scrutin législatif du 10 novembre 2019.

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  • MEDITERRANEE : L’UNION EUROPEENNE, PREMIERE COMPLICE DES PASSEURS !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    La Méditerranée, mer presque fermée, est bordée par un nombre impressionnants d’États, du plus petit, la principauté de Monaco, jusqu’au plus peuplé, l’Égypte du maréchal Sissi.

    Dans son périmètre, après un léger ralentissement dû, en partie, à la présence à Rome d’un pouvoir « fort », c’est reparti pour les navettes maritimes entre l’Italie et la Libye, depuis que Mattéo Salvini a quitté son poste de ministre de l’Intérieur. En attendant son inéluctable retour aux affaires, question de temps, et avec l’objective complicité de Macron, de Conte, le président du Conseil italien, et de la chancelière Merkel sur le déclin, la noria des bateaux aux missions humanitaires, « humanitaires » entre guillemets, va continuer, pour le plus grand bien du portefeuille des passeurs.

    Toutes ces ONG, dont certaines ont le sieur Soros derrière elles, vont chercher des migrants, principalement arabo-africains mais pas que, en quête d’un hypothétique Eldorado. Ils sont  lancés en mer sur des barcasses bien fragiles, et sont récupérés, la plupart du temps, sur simple coup de fil donné par les passeurs, par toutes ces pleureuses humanitaires qui déverseront leurs cargaisons humaines à Malte, en Sicile et à Lampedusa.

    Et comme d’habitude, Allemagne, France, Pays-Bas, Luxembourg, Irlande, Portugal, se répartiront les effectifs de ces « demandeurs d’asile » (la plupart, d’ailleurs, en seront déboutés et deviendront des clandestins, venant gonfler les hordes déjà en nos murs !) C’est là que l’on mesure l’hypocrisie de la politique du fameux « en même temps » du jeune résident de l’Élysée, j’écris « résident » à dessein. Alors qu’il tente, vainement à mon sens, de récupérer une partie de l’électorat de droite en le caressant, un peu, dans le sens du poil par une interview donnée à Valeurs Actuelles, il continue, parallèlement, d’ouvrir les vannes aux clandestins.

    Un flot ininterrompu

    Qu’on en en juge avec ces dernières semaines : l’Asso 30, battant pavillon italien, au service des compagnies pétrolières qui travaillent off shore, a débarqué en Sicile le 3 novembre, 150 « naufragés » dont 4 enfants. Le même jour, 88 immigrants étaient débarqués  des flancs de l’Alan Kurdi, à Tarente, un port de la région des Pouilles, l’Allemagne et la France en prenant chacune 30, les autres étant réparti entre l’Irlande, 2, le Portugal, 4, etc… en application d’un préaccord « européen » conclu à Malte. Ce navire était affrété par une ONG allemande.

    Le 29 octobre, après avoir fait des ronds dans l’eau pendant onze jours, l’Océan Viking, au service de « SOS Méditerranée » et de « Médecins sans frontières », était autorisé à se délester de son humaine cargaison à Pozzallo, soit 151 clandestins dont 40 mineurs. La délicate situation politique de la Libye, écartelée entre le gouvernement de Tripoli, reconnu sur le plan international, et le régime du maréchal Haftar, installé à Benghazi, soutenu par l’Égypte et, plus mollement, par la France, ne facilite pas les missions de la garde côtière libyenne. Elle n’avait pas pu intercepter l’Open Arms, de l’ONG espagnole PROACTIVA, débarquant une première fois à Malte, le 27 octobre, 44 illégaux et, une seconde fois, le 1 er novembre, toujours à La Valette, 15 clandestins récupérés sur un canot dérivant.

    On sait que la solution n’est pas de ramasser les dizaines de milliers de migrants illégaux exploités par les passeurs, et qui risquent leur vie en mer, mais de détruire, avant que ne partent tous ces demandeurs d’asile, ces nids de vipères que sont ces négriers modernes qui prospèrent au détriment de la misère humaine, sur les côtes libyennes. Une opération militaire combinée des principales puissances européennes riveraines, Espagne, Italie, France, n’aurait rien d’impossible. Les éléments commandos sont là, l’arme aux pieds, disponibles dans ces trois pays. Mais il manque une volonté politique pour donner des ordres, une mission avec un objectif précis et, dans cette affaire, l’Union européenne, une fois de plus, une fois de trop, démontre son incapacité, pour ne pas dire son inutilité, voire même, sa capacité de nuisance en voulant imposer des quotas de migrants à ses membres (sous peine de sanctions financières, un comble, à l’encontre des pays récalcitrants !).

    Les zones de tension, productrices de réfugiés, ne manquent pas, et certaines portes sont encore grandes ouvertes : les îles grecques submergées par des proche-orientaux complaisamment abandonnés par le sieur Erdogan, les présidios espagnols de Ceuta et de Melilla enclavés au Maroc, où, parfois, des Africains qui n’ont plus rien à perdre, se ruent à l’assaut de barrières grillagées, nos départements d’outre-mer, Guyane, Mayotte et la Réunion, où, respectivement, Surinamiens, Comoriens et Sri-Lankais espèrent, de là, pouvoir gagner la métropole, sans oublier la frontière américano-mexicaine où les Latinos, grâce à un mur interrompu, gagnent les USA, la nouvelle Babel, etc…

    Les « mesurettes » du gouvernement Macron

    Alors même qu’en France, le gouvernement annonce des mesures restrictives, très modestes, envers les étrangers, disons « indésirables », notamment ceux qui profitent de notre système de santé  pour faire du « tourisme médical », il va augmenter les effectifs des immigrés en voulant initier une politique des quotas économiques, pour complaire au patronat. Plus précisément, au lieu de faciliter la remise au travail de chômeurs par des mesures, à la fois incitatives et coercitives, d’augmenter notre capacité en matière de formation professionnelle, on va céder à la facilité.

    Eh bien non, disons-le très fort, nous préférons, par exemple, des informaticiens Français, plutôt que des ingénieurs importés de feu l’Empire des Indes, des médecins « Gaulois », à la place de Roumains ou d’Algériens. Comme en matière démographique, tout se planifie, même si les bonnes intentions ne sont pas toujours « récompensées ». Une grande politique familiale aurait évité à l’Allemagne de voir sa « Germanité » se réduire, à terme, comme une peau de chagrin : on annonce, au rythme où vont les choses, seulement 36 millions d’Allemands « de souche » à la fin du siècle ! Moins dramatique pour la France, mais pas bien loin. Ce n’est pas en vidant l’Afrique pour repeupler l’Europe, que l’on résoudra les difficultés des uns et des autres.

    Une grande politique du développement, avec birth control, - par l’électrification totale du continent et l’arrivée d’eau potable dans tous les villages de brousse comme dans les mégalopoles -, couplée avec une totale étanchéité de nos côtes et de nos frontières, serait l’un des remèdes aux maux de la planète. « Mais ceci, comme aurait dit Kipling, est une autre histoire ».

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  • Allemagne: Des milices civiles patrouillent dans presque tous les états fédéraux

    Qu'est-ce qu'une milice civile!
    Le terme  n'est pas défini légalement.
    On entend généralement par là un groupe organisé de citoyens patrouillant dans une zone donnée, souvent dans le but déclaré d'empêcher que leur crime soit commis.
    Le but peut être de dissuader les cambrioleurs.
    Cependant, de nombreux civils sont politiques.
    Surtout depuis 2016, de nombreux groupes ont été créés qui ciblent explicitement les réfugiés.
    Les extrémistes de droite ont essayé "avec cette forme d'action facile à mettre en œuvre, une connectivité des positions extrémistes de droite à la société majoritaire à démocratie bourgeoise à produire", écrit le gouvernement fédéral dans sa réponse actuelle à la petite demande de la fraction de gauche.
    Non seulement les groupes ont voulu suggérer que l'État était incapable de garantir la sécurité et l'ordre publics et a donc perdu sa légitimité.
    "Au contraire, des étrangers ou des opposants politiques sont intentionnellement intimidés par la présence de" forces de défense civile "extrémistes de droite sur le terrain", a-t-il déclaré.
    Surtout pour les acteurs de droite, jouer en tant que militant est attrayant car ils pourraient se présenter publiquement comme des "faiseurs" qui font quelque chose - "par exemple contre des crimes de masse présumés commis par des réfugiés", écrit le chercheur sur l'extrémisme de droite Matthias Quendt dans une expertise pour l'Amadeu en 2017 Fondation Antonio.
     Combien de vigiles y a-t-il en Allemagne?
    Ceci n'est pas connu
    Le gouvernement fédéral ne les compte pas.
    Déjà en 2018, elle avait déclaré qu'elles ne deviendraient pertinentes pour les autorités de sécurité que si elles manifestaient des aspirations anticonstitutionnelles ou commettaient des crimes.
    Spiegel.de / Zeit.de
    Traduction Google

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/11/allemagne-des-milices-civiles.html

  • Ce qu'ils appellent chute du Mur

    6a00d8341c715453ef0240a4c42576200d-320wi.jpgÀ la veille du 30e anniversaire du renversement, le 9 novembre 1989, par le peuple berlinois du Mur de protection antifasciste érigé en 1961 par les communistes les commémorations s’amoncèlent Elles rivalisent de désinformation et d'hypocrisie.

    Tout d'abord, on pourrait et on devrait donc s'interroger honnêtement sur les craquèlements du bloc soviétique qui ont précédé plus encore qu'ils n'ont accompagné la liquidation du régime est-allemand. C'est en effet d'abord l'épuisement interne de leur propre système ignoble et corrompu qui a conduit les dirigeants du Kremlin à renoncer à leur occupation de la partie de l'Allemagne que Roosevelt les avait laissés conquérir en 1945.

    On doit se souvenir par conséquent de la chronologie proche précédant les événements de 1989 en Europe centrale.

    Et, à cet égard il doit être rappelé, au besoin énergiquement, que ce qui s'est passé en novembre 1989 ne doit rien aux intellectuels germanopratins et aux dirigeants hexagonaux. Ni Mitterrand ni Giscard n'y ont jamais cru vraiment. Qu'on se souvienne du président élu par la droite française allant fleurir le mausolée de Lénine. Qu'on relise le message adressé par le soi-disant humaniste Mitterrand en 1991 aux putschistes de Moscou.

    La libération de l'Europe de l'est n'a été possible que grâce à Solidarnosc en Pologne[1], grâce indistinctement au courage de tous les opposants, dans toutes les nations captives, y compris en Russie, grâce au virage représenté en occident par la présidence Reagan aux États-Unis, par l'élection du pape polonais Wojtyla en 1979. Les manifestations de Saxe en l'été 1989 font certes la première page du Spiegel : elles passaient pratiquement inaperçues à Paris.

    Votre chroniqueur garde ainsi le souvenir très précis d'avoir traduit et présenté les informations du Spiegel chez son ami Serge de Beketch devant un auditoire qui les découvrait avec stupéfaction, et parfois n'imaginait même pas que le glacis pouvait fondre.

    Qu'à Dresde et Leipzig en 1989 ou, bien plus encore à Bucarest lors de la liquidation de Ceaușescu ce soit l'appareil communiste lui-même, et sa nomenklatura, qui aient cherché à sauver leur domination en changeant l'apparence du régime on pouvait le savoir et il ne fallait pas chercher à le dissimuler.

    Seulement voilà : tous ceux qui, détenant le monopole de la parole officielle, s'investissent 30 ans plus tard dans la célébration de ce qu'ils appellent chute du Mur s'emploient à présenter cet événement heureux comme une sorte d'accident aléatoire, sans aucune corrélation avec la faillite autant morale qu'économique du socialisme marxiste, et pas seulement celle du stalinisme. La période krouchtchevienne, puis celle de la stagnation brejnevienne ont fait autant et parfois plus de mal. Elles expliquent le "moment Gorbatchev"[2], cette fausse mort du communisme.

    Hélas en effet le cadavre démoniaque de Marx bouge encore. Comme celui de son fils légitime Lénine, et du successeur de celui-ci Staline, ils se recomposent par nichées pullulante, sanguinolentes et destructrices. Il ne s'agit pas seulement des continuateurs avoués, les Castro, les Maduro, aux couleurs indianistes en Bolivie, africanistes au Zimbabwe, ou les Khmers rouges. On les retrouve en effet sous les masques et les visages trompeurs de l'économisme technocratique, de l'égalitarisme et du conformisme politiquement correct.

    Tout cet univers prétend pouvoir récupérer jusqu’à ce qu'il rebaptise de cet euphémisme architectural "la chute du mur".

    Ainsi sur le site quotidien Le Monde on pouvait lire, ce 5 novembre un docte entretien[3] avec Joachim Ragnitz, économo-statisticien du Land de Saxe. Le journal se permet d'imprimer tranquillement que "la République démocratique allemande [RDA] était considérée par les organisations internationales comme un pays fortement industrialisé, au même titre que certains pays occidentaux. En 1988, 35 % de la population active est-allemande travaillait dans le secteur manufacturier, contre seulement 28,5 % en République fédérale d’Allemagne [RFA]." Quelle réussite, n'est-il pas vrai ? Est-on sûr que le mur de protection antifasciste est bien tombé ? Du bon côté ?

    Le regretté Vladimir Boukovski, qui vient de mourir après avoir, comme dissident soviétique, passé 12 ans emprisonné dans un hôpital psychiatrique de l'ère brejnevienne, prévenait les Occidentaux dans ces termes : "J’ai vécu dans votre futur et cela n’a pas marché… En URSS, nous avions le goulag. Je pense qu’on l’a aussi dans l’Union Européenne. Un goulag intellectuel appelé politiquement correct. Quand quelqu’un veut dire ce qu’il pense sur des sujets tels que race ou genre, ou si ses opinions sont différentes de celles approuvées, il sera ostracisé. C’est le début du goulag, c’est le début de la perte de votre liberté. »

    Le 9 novembre devrait être fêté comme une Fête européenne de la Liberté. Le conformisme politiquement correct récupère cette commémoration, il la dénature et l'aseptise. Ne le laissons pas faire.

    JG Malliarakis  

    La Sociologie du communisme de Jules Monnerot.
    Jules Monnerot avait décrit, dès 1949, au lendemain du coup de Prague, le communisme comme l'islam du XXe siècle.
    À l'époque, on doit le rappeler, cette comparaison semblait osée. Elle peut, pour d'autres raisons, être contestée par les mêmes bons esprits politiquement corrects. Non que l'on puisse ignorer les crimes de "l'entreprise léniniste", ainsi que le qualifie l'auteur de la Sociologie du communisme. Tout ou plus cherchera-t-on à les minimiser, à les relativiser, et, tout doucement à les faire oublier.
    Le léninisme d'hier fonctionnait déjà comme se développe aujourd'hui une certaine forme d'islamisme cherchant à faire renaître les conquêtes militaires de ses prétendus "pieux ancêtres".
    L'un comme l'autre se ressemblent dans leur action implacable pour l'Imperium Mundi, l'empire du monde.
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    [1] Adam Michnik le soulignait dans Le Monde en ligne le 7 novembre : "C’est en Pologne, avec Solidarnosc, que le mur de Berlin s’est fissuré" car le syndicat ouvrier y a "décrédibilisé le Parti communiste" (question de votre chroniqueur : était-il crédible ???) et dans son sillage, des millions de Polonais ont exigé la liberté et le retour de leur identité nationale.
    [2] Titre d'un livre hautement recommandable et prophétique de Françoise Thom publié en 1991 coll. Pluriel.
    [3] cf. ses "Propos recueillis par Jean-Michel Hauteville"

    https://www.insolent.fr/

  • Italie : la coalition gauchiste-globaliste va distribuer plus d’argent par jour aux migrants qu’aux Italiens handicapés

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    « Les immigrés avant les personnes handicapées: ces chiffres qui rendent furieux »

    Environ 20 euros par jour pour chaque migrant, alors que les personnes handicapées ne touchent que 54 centimes. Pendant ce temps, il y a ceux qui continuent à se vautrer avec un revenu de citoyenneté

    Des données qui sont littéralement exaspérantes. Il est vraiment insensé de penser qu’une personne handicapée est moins considérée économiquement que les immigrants d’un pays.

    En Italie, il y a environ 3 millions de personnes handicapées , dont 2 millions bénéficient de prestations d’invalidité ou d’une pension d’accompagnement. Mais, même dans certains cas,«  le soutien de mille euros par mois ne nous permet pas de mener une vie digne. » Il en va de même pour ceux qui sont forcés d’abandonner leur travail pour s’occuper de leurs proches.

    Le paradoxe

    Comme indiqué dans l’édition d’aujourd’hui du Libéro , la création du Fonds pour les personnes handicapées et l’autosuffisance serait incluse dans le projet de loi de finances: 50 millions d’euros pour 2020, 200 millions pour 2021, 300 millions par an. à partir de 2022. En divisant ce chiffre par 3 millions non ambulatoires, il apparaît que chaque personne handicapée bénéficierait d’une aide financière de 54 centimes par jour. Une somme qui ne suffit pas à payer les frais élémentaires.

    Est-ce suffisant? Bien sûr que non! Les fameux 35 euros destinés à chaque migrant qui, grâce à Matteo Salvini, ont été abaissés à 21-22 euros. Les groupes pro-migrants avaient bien entendu dénoncé cette réduction.

    En attendant, l’écart avec les personnes handicapées continue de se creuser. Selon ces données, les Italiens handicapés se font floués par les réfugiés qui arrivent dans le pays.

    Traduction: alter INFO

    https://www.alterinfo.ch/2019/11/06/italie-la-coalition-gauchiste-globaliste-va-distribuer-plus-dargent-par-jour-aux-migrants-quaux-italiens-handicapes/

  • Italie : la Ligue premier parti,et le parti identitaire Fratelli d’Italia passe la barre de 10 %

    C’est la petite bête qui monte, qui monte, qui monte. Elle n’est pas noire mais verte, le vert de la plaine du Po où elle est née. La Ligue de Matteo Salvini, d’après les sondages, gagne des points et serait aujourd’hui à 34,2 %.

    Pendant ce temps-là, il y en a qui descendent : le gouvernement de coalition composé du perdant des dernières élections, le Parti Démocrate, et du Mouvement 5 Etoiles, l’ancien allié de la Ligue mais rentré dans le rang du système après avoir été anti-système, -les fauteuils ministériels sont confortables. Les deux formations sont respectivement à 19 % et 16,3 %.

    Le mécontentement des Italiens par rapport à l’actuel exécutif, lui ne cesse de croître : plus de 54 % des Italiens jugent négativement l’action gouvernementale, seulement 22 % l’approuvent, 22 % préférant ne pas s’exprimer.

    Quant au parti identitaire Fratelli d’Italia, il rejoint « le seuil psychologique » des 10 % pour la première fois depuis qu’il existe.

    C’è chi scende e c’è chi sale” dit le proverbe italien (il y a ceux qui montent et il y a ceux qui descendent).

    La petite bête qui monte, la droite souverainiste italienne qui a le vent en poupe, va donner de l’urticaire à plus d’un bien-pensant.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/italie-la-ligue-premier-partiet-le-parti-identitaire-fratelli-ditalia-passe-la-barre-de-10/114025/