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Europe et Union européenne - Page 428

  • Sondages : la remontée d’Emmanuel Macron fait pschitt

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    5 février 2019 : « Macron : la remontée spectaculaire » (Paris Match), « L’incroyable remontée »(Actu Orange).

    5 mars 2019 : un nouveau sondage IFOP-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio enregistre une baisse de trois points de popularité pour le président de la République. Ce « coup d’arrêt », après deux mois d’intense matraquage médiatique, indique que l’effet grand débat a trouvé sa limite.

    L’analyse du détail des chiffres montre qu’il ne s’agit pas seulement d’un simple mouvement de yo-yo. Ainsi, Emmanuel Macron continue de progresser dans son propre électorat : +9 % (à 72 %) chez ses électeurs du premier tour de la présidentielle. Il a remobilisé – en partie seulement – ses partisans. L’idole et ses fans se sont retrouvés en campagne, comme aux beaux jours de 2017, et la magie opère toujours sur ces adeptes. Grand bien leur fasse.

    Mais Emmanuel Macron enregistre des baisses spectaculaires dans des électorats qui avaient assuré sa victoire : les retraités (-13 %) et les électeurs LR (-17 %) ! Des électorats très sensibles aux questions de sécurité. L’attaque du détenu djihadiste de Condé-sur-Sarthe et les révélations sur sa « vie de famille » à la prison tout comme les nuits de violences urbaines à Grenoble ne sont pas de nature à rassurer ces électorats sur la politique du Président en la matière.

    Emmanuel Macron subit une autre chute dans un domaine essentiel où l’on aurait pu croire que son image n’était pas atteinte par les questions soulevées par la crise des gilets jaunes : 46 % des Français (-8 %) estiment qu’il ne défend pas bien les intérêts de la France à l’étranger. Est-ce la question du retour des djihadistes ? Le silence sur la crise en Algérie ? Les inquiétudes sur l’avenir de la PAC ? La fermeture de l’usine Ford de Blanquefort et le plan social pour ses 850 salariés ? Un ensemble, certainement.

    Logiquement, ce même sondage montre que le Président est encore en recul sur le thème de la « proximité avec les préoccupations des Français » : -4 %, à 22 % seulement. Et, pour 67 % des Français, le mouvement des gilets jaunes constitue une véritable préoccupation. Un autre sondage ViaVoice publié, lundi, par Libération indique que, pour 65 % des Français, Emmanuel Macron « ne semble toujours pas comprendre la gravité de la crise politique et sociale » des gilets jaunes et que seuls 38 % pensent que le grand débat était « la bonne réponse ».

    Com’ Macron, ou réalité des problèmes : on ne saurait mieux dire l’ampleur du clivage, et peut-être du choix, pour les prochaines élections. On assiste à une sorte ce cristallisation en fonction de ces deux paramètres : la personnalité du Président et la prise en compte de la réalité. La question pour l’électorat, et notamment pour cet électorat de droite et âgé qui a assuré sa victoire il y a deux ans, est désormais : Emmanuel Macron traite-t-il les vrais problèmes sur le fond ? Et visiblement, avec le grand débat, pour ces gens-là, la réponse est : « non ».

    Emmanuel Macron, ou la grande déconnexion.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/sondages-la-remontee-demmanuel-macron-fait-pschitt/

  • Un nouveau livre de Gabriele Adinolfi : "Matteo Salvini ou l'itinéraire d'un parcours politique météorique"

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    Systématiquement présenté de ce côté-ci des Alpes comme un batteur d’estrade gesticulant et non moins rituellement marqué au fer rouge de l’étiquette « extrême droite », Matteo Salvini appartient à cette espèce d’hommes politiques que nos médias mainstream  aiment détester.

    Ils ne s’en privent pas, mais cette caricature paresseuse n’apporte aucune clé susceptible de nous aider à comprendre qui est vraiment Matteo Salvini, quelles sont les convictions qui l’animent ni quels sont les objectifs qu’il s’est fixés et, moins encore, comment il a pu effectuer en si peu d’années un parcours politique aussi météorique.

    C’est précisément à ces questions que répond l’essai bienvenu de Gabriele Adinolfi, dont l’analyse dénuée de toute complaisance permet aussi de mieux comprendre les ambiguïtés, et donc les limites, de l’alliance improbable de la Ligue avec le mouvement Cinque Stelle.

    Acheter ce livre cliquez là

    Gabriele Adinolfi est aussi l'auteur de deux autres livres publiés par Les Bouquins de Synthèse nationale :

    Années de plomb et semelles de vent, 2014, cliquez ici

    L'Europe, 2015, actuellement épuisé.

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  • #PANODRAMA : TOMMY ROBINSON DÉVOILE LES "FAKE NEWS" DE BBC

  • Fausse nouvelle du jour : “La droite européenne lance la procédure d’exclusion du Hongrois Viktor Orban”

    Fausse nouvelle du jour : “La droite européenne lance la procédure d’exclusion du Hongrois Viktor Orban”

    D’Yves Daoudal :

    Pour la palme de la désinformation du jour il y a trois nommés.

    Le Monde : La droite européenne lance la procédure d’exclusion du Hongrois Viktor Orban

    Le Figaro : La droite européenne lance la procédure d’exclusion d’Orban et son parti

    Le HuffPost : La droite européenne (sans LR) demande l’exclusion d’Orban du PPE

    La désinformation de ces trois titres est tellement énorme qu’il est difficile de les distinguer. Même en tenant compte du fait que dans un titre il faut simplifier à l’excès. On considérera donc qu’en parlant d’« Orban » les uns et les autres entendent le président du parti hongrois Fidesz, c’est-à-dire en fait le parti lui-même (comme le précise Le Figaro). Le problème se situe dans l’expression « la droite européenne ». Car c’est doublement faux, quelle que soit la définition qu’on donne à cette expression. Plusieurs partis européens peuvent se réclamer de la droite européenne, si tant est que le PPE se dise de droite… Car en l’occurrence on désigne ainsi le PPE. Et c’est ici qu’apparaît la plus grosse désinformation. Carle PPE ne lance pas la procédure d’exclusion du Fidesz, encore moins « demande »-t-il son exclusion… de lui-même.

    La vérité est que 12 partis membres du PPE demandent l’exclusion du Fidesz, et que l’« Assemblée politique » du PPE se réunira le 20 mars pour examiner la question.

    Quand on ne connaît pas la situation, on peut penser en effet que 12 partis, c’est, en gros, le PPE lui-même. Sauf que le PPE c’est 51 partis membres, 6 partis associés (de pays non membres de l’UE, dont le parti norvégien qui fait partie des 12 contre Orban), et 19 membres observateurs.

    En ce qui concerne le Parlement européen, puisque c’est essentiellement de quoi il est question, le PPE a 217 députés, et ceux qui demandent l’exclusion du Fidesz sont 32. Parmi eux aucun « poids lourd » (français, allemand, italien, espagnol, polonais), aucun député d’Europe de l’Est à l’exception des 3 « chrétiens-démocrates » lituaniens.

    C’est donc un mensonge de dire que « la droite européenne » demande l’exclusion d’Orban.

    Cette opération permet surtout de voir quels sont les pires partis appartenant au PPE. Les voici dans leur ordre d’importance :

    1 Le parti social démocrate du Portugal (6 députés). Il faut dire qu’on ne voit pas vraiment en quoi un parti social démocrate serait de droite

    – l’Appel chrétien démocrate des Pays-Bas (5 députés).

    – Nouvelle Démocratie de Grèce (5 députés) – pas très nouvelle : c’est le vieux parti de Karamanlis.

    4 Le parti chrétien-social du Luxembourg (3 députés).

    – les Modérés de Suède (3 députés)

    – le parti de la coalition nationale de Finlande (3 députés)

    – les chrétiens-démocrates de Lituanie (3 députés).

    7 Les chrétiens-démocrates flamands de Belgique (2 députés).

    8 Le Centre démocrate humaniste de Belgique (1 député)

    – les chrétiens-démocrates de Suède (1 député)

    – le parti populaire du Portugal (1 député).

    Voilà qui rétablit l’affaire à ses justes proportions. Mais qui remporte la palme ? Je pense que c’est le HuffPost. D’un côté il vend la mèche en précisant que LR ne fait pas partie des demandeurs (pour lancer une pique contre le parti de Wauquiez et Bellamy qui se fait le complice d’Orban), mais ce faisant il veut faire croire qu’en dehors de LR toute la « droite européenne » est unie contre le Fidesz, ce qui est le contraire de la réalité.

    https://www.lesalonbeige.fr/fausse-nouvelle-du-jour-la-droite-europeenne-lance-la-procedure-dexclusion-du-hongrois-viktor-orban/

  • Hijab et préférence de civilisation, par Jean-Yves Le Gallou sur Radio Courtoisie

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    Le 1er mars 2019, Jean-Yves Le Gallou participait au Libre Journal de l’Identité sur Radio Courtoisie. Il y a notamment évoqué son dernier livre Européen d’abord et la polémique sur le hijab.

    Source : Radio Courtoisie

    https://www.polemia.com/hijab-preference-civilisation-jean-yves-le-gallou-radio-courtoisie/

  • Macron et son mensonge européen – Journal du mardi 5 mars 2019

     

    Macron et son mensonge européen

    La grande illusion européenne est repartie. Pour lancer la campagne, Emmanuel Macron a présenté ses projets pour l’UE dans une tribune publiée dans 28 pays

    Viktor Orban : la contre-attaque européenne

    La campagne pour les européennes démarre sur les chapeaux de roue en Hongrie. Le Premier ministre Viktor Orban, soucieux d’imposer la question migratoire dans le débat, a lancé une campagne choc à l’encontre de Jean-Claude Juncker, le président de la commission européenne sortant.

    Grenoble : mistral sanglant

    Trois jours après la mort de deux jeunes délinquants fuyant la police à scooter, les nuits d’émeutes s’enchaînent à Grenoble. Face aux jets de cocktails molotov et aux tirs de feux d’artifices, les autorités ont bien du mal à faire régner l’ordre.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/macron-et-son-mensonge-europeen-journal-du-mardi-5-mars-2019

  • La lettre d’Emmanuel Micron aux Européens

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    Le billet de Patrick Parment 

    Le sieur Emmanuel Micron est bel et bien entré en campagne pour les élections européennes. Il vient de commettre un texte qui s’adresse aux Européens des 28 pays de l’Union, traduite dans les langues respectives et publiée dans les médias ad hoc. Quoi de nouveau sous le soleil libéral ? Rien.

    Micron pose d’emblée son combat contre le repli nationaliste, entendez par là les mouvements dits populistes qui tiennent désormais la scène politique au sein de l’Union. Des gilets jaunes à l’émergence de droites nationales partout en l’Europe, Micron n’a donc décidément rien compris à la grande lame de fond qui est en train de secouer l’Europe avant, peut-être, de la chambouler. A savoir le refus de l’option libérale qui est en train de détruire nos économies et bien plus grave encore qui porte atteinte à nos identités. Alors, nous faire accroire que Micron serait un homme de culture relève du pur fantasme. Le seul homme de culture que la Ve République ait connu, c’est Georges Pompidou avec un accessit pour François Mitterrand. Sauf que Pompidou avait une vision géopolitique large de la France, là où Mitterrand n’en avait qu’une vision étriquée.

    Alors qu’en est-il de cette vision européenne de Micron ? Rien. Que dalle ! Pas de quoi entraîner les foules peu sentimentales. « Bâtir une renaissance européenne autour de trois dimensions : liberté, protection, progrès » écrit-il. Ça ne veut rien dire. La liberté est perpétuellement bafouée chaque soir à 20h à la téloche, la protection est caduque en matière d’immigration et le progrès est un leurre franc-mac pour gogo socialo-libéral.

    Le reste n’est qu’une liste de bonnes intentions du genre salaire minimum européen, banque pour le climat, régulation des GAFA et mise en œuvre d’une politique de la concurrence pour assumer une préférence européenne face aux Américains et aux Chinois qui nous veulent du mal comme chacun sait.

    Bref, du baratin tant l’essentiel du problème n’est pas là.

    Les gilets jaunes ont pourtant tiré la sonnette d’alarme. Outre un réel désir de démocratie qui passe par une réforme du mode de scrutin et le recours au référendum, les gilets jaunes ont bien fait comprendre qu’ils voulaient une Europe qui protège d’abord les peuples européens et leurs  intérêts. Ce qui n’est pas le cas quand on voit Angela Merkel ouvrir la porte à un million de migrants extra-européens ou la Pologne acheter des avions de combat américains. Quelques exemples parmi bien d’autres.

    S’il ne s’agit pas de quitter le navire Europe, il s’agit en urgence d’en réformer l’administration. Quid de Micron sur le sujet ? Néant. Il faut en finir avec la nomination de pantins à la tête de la Commission du genre Barroso hier et Juncker aujourd’hui. Tant qu’on ne changera pas le mode de fonctionnement de l’Europe, celle-ci demeurera sujette aux vents mauvais du capitalisme boursier dont elle est un magnifique terrain de jeu.

    On comprendra aisément que la lettre de Micron aux Européens, c’est un peu celle du petit Jésus soviétique à la Russie de Vladimir Poutine. 

  • Chez Macron, on ne jure plus que par les « fake news » pour faire campagne

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    Les « fake news » semblent devenues la préoccupation majeure de l’exécutif et de sa majorité : une loi anti-infox a été votée l’an dernier et l’on apprend, sur les réseaux sociaux, que « La République en marche va lancer un groupe public non partisan sur Facebook pour combattre les fake news. » D’après Le Huffpost, l’idée serait de copier le fonctionnement des groupes Facebook des gilets jaunes afin de sortir de l’entre-soi macroniste et de diffuser ainsi plus largement leur déconstruction des « infox ».

    Les Marcheurs disposent déjà d’une cellule interne qui, via la messagerie cryptée Telegram, centralise et diffuse auprès des militants tous les « décodages » des médias afin qu’ils soient relayés sur les réseaux sociaux. Pour la campagne européenne, une conférence de presse hebdomadaire sera organisée sur les « infox ». À quand, les affiches du type « Ils vous mentent » ou « Le parti de la vérité » ? Le problème est que ces slogans nous ramèneraient aux heures sombres – ou très rouges – de l’Histoire. Vérité et politique n’ont jamais fait bon ménage, et quand la seconde s’est entichée de la première, cela a souvent mal fini.

    Néanmoins, cette focalisation sur le « décodage » par le pouvoir est révélatrice. L’arme politique majeure n’est plus le combat d’idées, de visions, l’affirmation de valeurs et d’un projet, mais le décodage des mensonges, des erreurs, des approximations de l’adversaire pour le disqualifier intellectuellement (il se trompe) et moralement (il ment). La victoire politique à l’heure du macronisme se construit sur trois plans : à l’étage supérieur de la fusée, il s’agit de diaboliser la vision ; à l’étage central, d’accumuler les décodages afin de convaincre l’opinion que cette vision repose sur des « infox » et, à l’étage inférieur, notamment quand les deux premiers n’ont pas atteint leur but, il reste la disqualification de l’adversaire par la Justice (affaire Fillon, Marine Le Pen renvoyée devant un tribunal pour la diffusion d’une photo de Daech).

    On pourrait croire que le combat contre les « fake news » est, de tous, le plus louable. Mais il doit faire, lui aussi, l’objet d’un décodage car il a ses limites et ses partis pris.

    D’abord, il est à sens unique. Ouvrons Le Monde cette semaine : un long article de décodage sur des propos de Marine Le Pen, une enquête fleuve sur sept prétendues « idées reçues » (toutes peu ou prou « de droite »). Non seulement Emmanuel Macron bénéficie d’un temps de parole considérable grâce au grand débat national, mais d’un fact checking inversement proportionnel. Ne pas être décodé signifierait-il que vous êtes la bouche de la vérité ? On comprend que les équipes macronistes soient chargées de relayer les décodages réguliers du Monde : les deux mènent le même combat ! Mais cela jette une suspicion sur ces Décodeurs.

    Ensuite, les résultats des traqueurs de vérité produisent, parfois, plus de doute que de certitude, la vérité sur certains sujets étant compliquée. Ainsi, là où on pouvait attendre un « Vrai/Faux », on voit apparaître des notions intermédiaires. On peut saluer le sens de la nuance des journalistes. Mais aussi, parfois, la mauvaise foi de leur titre : quand les Décodeurs du Monde parlent des huit « erreurs » de Marine Le Pen, l’article préfère n’en classer qu’une sous l’infamie du « faux », les sept autres relevant de catégories floues : « contradictoire », « confus », « trompeur », « en partie vrai ». Ce qui n’est pas tout à fait pareil et autorise le retour au débat… politique.

    Certes, le souci d’exactitude et de vérification dans l’information et la politique est salutaire (et les contributeurs de Boulevard Voltaire y sont aussi soumis, comme l’indique la charte du site). Mais la mode du « décodage » et l’instrumentalisation qui en est faite sont suspectes. Le débat politique ne peut se limiter au jeu des huit erreurs.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/chez-macron-on-ne-jure-plus-que-par-les-fake-news-pour-faire-campagne/

  • Aux Pays-Bas, un djihadiste marocain porte plainte pour discrimination après avoir perdu la nationalité néerlandais

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    Younes, un Néerlandais d’origine marocaine, a été condamné après avoir tenté de partir en Syrie. Contre toute attente, il porte plainte pour discrimination avec l’appui de son avocat, soutenant que les djihadistes marocains et turcs seraient moins bien traités que les Néerlandais. Le journal néerlandais De Telegraaf raconte que « Younes était fasciné par l’extrémisme islamique depuis l’âge de 16 ans », qu’il est « extrêmement tenace vis-à-vis de ses idées extrêmes ».

    Le journal développe en expliquant qu’ « il avait étudié en profondeur le système d’information, maintenu des contacts avec des combattants, appris l’arabe et savait qu’il se battrait et serait éventuellement impliqué dans des attaques et des horreurs».

    Cette plainte aux allures de mauvaise plaisanterie, est pourtant belle et bien réelle.

    https://fr.novopress.info/213811/aux-pays-bas-un-djihadiste-marocain-porte-plainte-pour-discrimination-apres-avoir-perdu-la-nationalite-neerlandaise/