
Selon RFI, le ministre allemand de l’Intérieur Alexander Dobrindt a annoncé, le mercredi 7 mai, que la police des frontières avait désormais pour consigne de refouler la plupart des demandeurs d’asile sans papiers,...
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Selon RFI, le ministre allemand de l’Intérieur Alexander Dobrindt a annoncé, le mercredi 7 mai, que la police des frontières avait désormais pour consigne de refouler la plupart des demandeurs d’asile sans papiers,...
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Les Echos ne sont pas un média « complotiste », loin de là, très loin même et Jean-Marc Vittori éditorialiste vedette du quotidien financier français de référence encore moins, alors quand le journal titre en gros et qui clignote (tant qu’il y a de l’électricité) qu’il faut « se préparer à la grande panne » c’est le moment de s’arrêter quelques secondes sur le sujet.

Les derniers développements socio-politiques et de sécurité suggèrent que ce pays se délecte de constituer un État positionné en première ligne.
L’Estonie s’est catapultée au sommet des gros titres internationaux en s’emparant il y a peu d’un navire appartenant supposément à la « flotte fantôme » russe — la Russie n’a présenté qu’une réaction limitée pour les raisons pragmatiques expliquées ici — mais elle a également cherché des noises à la Russie par d’autres moyens. La provocation susmentionnée coïncide avec l’adoption d’une loi autorisant l’Estonie à couler des navires étrangers dont elle estime qu’ils constituent une menace envers sa sécurité nationale. Il est possible que ce type d’événements corresponde à la prochaine escalade régionale prévue sur l’agenda.
Haaaaa… La présidente de la (grosse) Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président de la République française, Emmanuel Macron, alias le professeur Trouposol viennent d’annoncer lundi des mesures financières pour inciter les scientifiques à « choisir l’Europe ». Nombre d’entre eux sont menacés outre-Atlantique depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.

par Yoann
La Chine construit des ponts suspendus à 625 mètres, des usines plus vastes que des villes et des réacteurs nucléaires du futur. L’Europe, elle, construit des dossiers administratifs. Le contraste est si grotesque qu’il en deviendrait comique, si l’effondrement industriel du Vieux Continent n’était aussi tragique.
Pendant que l’Europe s’enlise dans des règlements absurdes, la Chine redéfinit les lois de la gravité économique.
A l’heure où nous publiions notre article sur L’Allemagne sans chancelier, un second tour, qui n’était pas prévu, pour l’élection du chancelier a eu lieu au Bundestag. Friedrich Merz a finalement été élu. Ce sera un chancelier faible.
Au terme d’un second tour imprévu, Friedrich Merz a été officiellement élu chancelier par le Bundestag cet après-midi

George Simion, chef du parti de droite souverainiste Alliance pour l’unité des Roumains (AUR), est arrivé, dimanche 4 mai, largement en tête du premier tour de l’élection présidentielle en Roumanie avec plus de 40 % des voix. Il sera opposé au second tour, le 18 mai, au maire de Bucarest, le centriste et pro-européen Nicusor Dan, arrivé deuxième avec 21 % des voix.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Oui.
Cette question est stupide.
Non pas qu’une nationalisation soit à proscrire.
Le Général de Gaulle qui n’était pas franchement communiste dans l’âme a procédé à quelques nationalisations.
Tout dépend pourquoi. Tout dépend comment. Tout dépend dans quel but, avec quelle stratégie.

par Veniamin Popov
Après la Première Guerre mondiale, le philosophe allemand Oswald Spengler publia deux volumes intitulés «Le Déclin de l’Occident», dans lesquels il annonçait la décadence de l’Europe.
Spengler identifiait huit grandes cultures : égyptienne, babylonienne, chinoise, indienne, mésoaméricaine, antique, arabe et faustienne. Par cette dernière, il désignait la culture européenne née vers l’an 1000, dont Faust était pour lui le symbole.

Dans son obsession à faire taire le peuple, l’oligarchie européiste creuse sa tombe. Les Roumains, en portant hier soir George Simion spectaculairement en tête du premier tour de la présidentielle (plus de 40% des voix), ont refusé les intimidations morales d’une Union européenne supranationale. Sous son influence la Cour constitutionnelle roumaine avait invalidé discrétionnairement, le 6 décembre, la victoire au premier tour (23%) du souverainiste Calin Georgescu, qualifié d’extrême droite et de pro-Poutine par les censeurs. Simion a fait campagne en refusant de participer aux débats du système médiatique. Cette insurrection électorale reste à confirmer le 18 mai. Cependant, elle intervient alors qu’en Allemagne le renseignement intérieur a, vendredi, qualifié Atlernative für Deutschland (afD), deuxième parti politique du pays, de mouvement « extrémiste de droite confirmé ». Il lui est reproché son opposition à l’immigration musulmane.