“Sans la Hongrie, sans le peuple hongrois, il n’y a pas de liberté en Europe“, a affirmé le Premier ministre Orbán, sur un ton de défi face à ce qu’il perçoit comme les dangers croissants des politiques de l’Union européenne. Lors de cet événement, au cours duquel des membres du Fidesz ont également prononcé des discours, le Premier ministre Orbán a insisté sur la nécessité de lutter pour protéger la paix, la sécurité et les réalisations économiques de la Hongrie contre les batailles idéologiques qui se déroulent à Bruxelles.
Europe et Union européenne - Page 58
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Viktor Orbán : « Pas d’immigration, pas de théorie du genre, pas de guerre ! »
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Comment les associations immigrationnistes britanniques touchent des subventions françaises
Dans un contexte financier difficile, les associations britanniques d’aide aux migrants ont trouvé une parade pour continuer d’opérer le long des côtes françaises. Selon les informations d’Europe 1, elles changent de nationalité juridique pour toucher les subventions de l’État français, beaucoup plus lucratives.
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Thierry Breton parle de paix. « Quand Zelensky et Poutine s’assiéront à une table de discussions »
Thierry Breton parle de paix. Enfin de paix. C’est dire si la situation sur le front ukrainien doit être mauvaise.
Je suis mauvaise langue, mais depuis le début de la guerre en Ukraine nos camarades commissaires et autres europathes n’ont que des mots guerriers et une volonté belliciste.
La présidente de la grosse Commission, la terrible cruelle Von der Leyen, a d’ailleurs toujours dit que ce n’était pas le temps de parler de paix.
Elle incarne l’Europe de la guerre.
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[ÉDITO] 50 jours avant les élections européennes : rien ne va plus !
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Plus que - ou encore - cinquante jours.
Cinquante jours avant les élections européennes. Cinquante jours, c’est aussi ce qui sépare Pâques de la Pentecôte, ce jour où, pour les chrétiens, le Saint-Esprit vint rendre visite aux disciples de Jésus-Christ. Pentecôte, du grec ancien pentêkostê hemera, le cinquantième jour. Plus que cinquante jours, donc, pour que le petit cénacle de la Macronie, barricadé dans ses certitudes, retrouve un peu de souffle – le souffle du Saint-Esprit ! – et évite la descente au tombeau ouvert. Cinquante, c’est aussi la moitié de cent. Merci, on savait ça, mais c’est histoire de rappeler que la Macronie aime les chiffres ronds (nous n’aurons pas l’inélégance de rappeler ceux de la dette…). À l’occasion de ces cent jours, ce week-end, Frédéric Sirgant évoquait pour nous l’avalanche de messages en provenance des ministres d’Attal pour nous rappeler tout ce qui aurait été fait – ou plutôt projeté – durant ces cent premiers jours du petit prodige donné à la France. Un prodige qui aurait multiplié les bonnes nouvelles comme autant de petits pains et poissons.
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L’avenir de l’UE
À quelques encablures des élections européennes, nombre de français commencent à se poser de vraies questions. On leur avait dit : «l’Europe, c’est la paix». Ils réalisent que ça n’est pas du tout le cas, bien au contraire, puisqu’un exécutif européen jusqu’au-boutiste ne cesse de mettre de l’huile sur le feu de l’Ukraine en alimentant la guerre par des fournitures d’armes et d’argent à un régime notoirement corrompu, au risque d’étendre cette guerre, alors que l’UE n’est militairement pas prête à s’y engager et à la gagner. L’UE met également de l’huile sur le feu du conflit israélo-palestinien en soutenant inconditionnellement la répression disproportionnée et aveugle menée par les forces israéliennes à l’encontre des palestiniens.
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Macron déclare impossible la création d’un réseau de défense aérienne de type israélien pour l’Ukraine
Le président Emmanuel Macron a ajouté que les ressources de l’Europe sont limitées et que l’Union européenne continuera à aider Kiev en gardant à l’esprit ses propres réserves.
Le président français Emmanuel Macron a déclaré qu’il serait impossible de construire en Ukraine un vaste réseau de défense aérienne similaire à celui actuellement exploité par Israël, car l’État juif développe et investit dans son bouclier de défense aérienne depuis des décennies.
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La Belgique soumise à l’islamogauchisme : des patriotes français et européens interdits de réunion
Michel Festivi
Il n’y a pas qu’en France ou des souverainistes, des patriotes, des défenseurs de la France et des français, des traditions européennes, sont frappés d’ostracisme et interdits de réunions publiques. La Belgique vient il y a quelques jours de connaître un épisode de censure volontaire et terrifiante et une atteinte majeure à la liberté d’expression, de réunion.
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Chronique du colloque national-conservateur interdit puis autorisé à Bruxelles : Orban, Farage et le Cardinal Müller ont pu parler
Un colloque national-conservateur avec des intervenants – plus d’une quarantaine – de toute l’Europe était annoncé en région bruxelloise les mardi 16 et mercredi 17 avril. C’était sans compter sur la mentalité tyrannique de plusieurs bourgmestres (équivalent de maires) bruxellois. Ce sont d’abord les bourgmestres de Bruxelles-Villes et d’Etterbeek qui, il y a quelques jours déjà, ont interdit le colloque sur le territoire de leurs communes respectives. Les organisateurs avaient alors trouvé une salle accueillante, le Claridge, dont le propriétaire, un Tunisien, a montré jusqu’au bout de cette histoire qu’il est un partisan de la liberté d’expression.
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Un pacte sur l’asile et l’immigration serait un “désastre” pour l’UE selon Pologne et Hongrie
Le premier ministre hongrois Viktor Orbán et l’ancien premier ministre polonais Mateusz Morawiecki ont critiqué le pacte sur l’asile et les migrations de l’Union européenne, estimant qu’il ne résoudrait pas la crise migratoire et qu’il réaffirmerait au contraire la politique d’ouverture des frontières de l’UE. Les hommes politiques conservateurs se sont exprimés lors d’une conférence de presse au Parlement européen (PE) le mardi 16 avril, un jour avant le début d’un sommet des dirigeants de l’UE à Bruxelles.
Le pacte sur les migrations et l’asile a été récemment adopté par la majorité de gauche du Parlement européen et a été sévèrement critiqué par les forces conservatrices et de droite en Europe pour avoir empiété sur la souveraineté des États-nations et pour avoir envoyé une lettre d’invitation aux migrants désireux de rejoindre le continent. La partie la plus controversée du pacte est le “mécanisme de solidarité obligatoire”, un outil qui oblige les pays à choisir entre l’accueil des migrants et le versement de sommes considérables à un fonds commun.
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L’Europe d’une guerre à l’autre (XX) – Qui a posé le mur de Berlin?
Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW
Je pense que certains d’entre vous ont peut-être entendu à plusieurs reprises parler de la façon dont le tyran assoiffé de sang Staline a mis en place un blocus de Berlin-Ouest en 1948 et de la façon dont les nations éprises de liberté ont organisé le pont aérien de Berlin pour le contourner. Mais aujourd’hui, nous allons vous raconter ce qui s’est réellement passé.
Après que Staline ait refusé de se laisser entraîner dans l’accord draconien de Bretton Woods et que Churchill ait prononcé son célèbre discours à Fulton dans le Missouri, l’Occident a commencé à presser l’URSS sur tous les fronts disponibles. Le site le plus propice pour cela était le pays vaincu de l’Allemagne.