![]()
A la une de cette édition, retour sur les montagnes russes diplomatiques du camp occidental et ukrainien.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
![]()
A la une de cette édition, retour sur les montagnes russes diplomatiques du camp occidental et ukrainien.

Si des missiles Taurus allemands frappent Moscou, il n'aura d'autre choix que de frapper Berlin
C'est un scénario qui s'impose, selon Margarita Simonian, rédactrice en chef du groupe Rossiya Segodnya dont fait partie Sputnik.

Trois années d’une guerre indirecte contre la Russie et beaucoup de fake-news de la part de nos télévisions subventionnées. La Russie va arriver au défaut de paiement, l’armée russe va manquer de munitions, Poutine va mourir, les fournitures d’armes et d’argent vont inverser le cours de la guerre, nous allons mettre l’économie russe à genoux, nous allons, maintenant, prendre la Russie à la gorge… mais rien de tout cela ne s’est produit. Aujourd’hui, l’Europe autorise la livraison des missiles de la famille du SCALP à l’Ukraine, pour frapper jusqu’à 500 kilomètres. Mais nous avons tout juste la capacité à fabriquer ces fameux missiles pour nos propres armées, alors pour l’Ukraine. Le nouveau chancelier allemand autorise donc ces livraisons et si l’Ukraine frappe Moscou avec l’un de ces missiles livrés par l’Allemagne… il se passera quoi ?
Ils ont d’abord voulu tuer Dieu. Puis la famille. Puis le père. Ils ont ensuite tué la patrie, la mémoire, l’histoire, la virilité. Il ne leur restait plus qu’une cible, ultime et dérisoire dans leur marche funèbre vers le néant : la vie elle-même.

Le chancelier allemand Friedrich Merz a déclaré que l’Allemagne ne limiterait plus la gamme d’armes que Berlin et ses alliés fournissent à Kiev.
« L’Ukraine peut désormais attaquer des cibles en Russie »
L’euro pourrait devenir l’alternative au dollar, selon Lagarde titre l’agence de presse Reuters (source ici) et j’en rigole encore sous cape !
Comme vous le savez « affirmation » ne vaut pas argumentation, alors si je rigole de la dernière Lagourderie c’est parce qu’il y a des raisons.
Mais avant voici ce que vient de nous dire Dame Christine présidente de la BCE, notre banque centrale…
![]()
Au programme de cette édition, retour sur cette guerre en Ukraine qui n’en finit pas. Après des tentatives de négociations entre Moscou et Washington, Donald Trump pourrait rapidement se détourner du conflit. Une opportunité que les Européens ne devraient pas être capables de saisir.

Il est aujourd’hui impossible de révoquer la citoyenneté suédoise, un droit protégé par la constitution du pays.
Le gouvernement de centre droit, soutenu par un parti d’extrême droite, les Démocrates de Suède (SD), a lancé un examen de la loi fondamentale suédoise pour que la citoyenneté puisse être révoquée à certaines conditions. S’il y parvient, il voudrait pouvoir ainsi expulser ces personnes.

Leur obstination devient de plus en plus grotesque face à la machine de guerre russe, en constante montée en puissance. Un entêtement qui peut mener au pire.
Ils ont nié l’évidence, sous-estimé et moqué l’armée russe, promis aux Ukrainiens une victoire impossible. Ils ont menti et sciemment trompé les peuples européens. Ils ont affirmé que Poutine était mourant et que la Russie était isolée. Ils ont ajouté qu’elle n’avait plus de munitions au bout de deux mois. Ils ont vanté la suprématie de la doctrine otanienne face aux vielles tactiques soviétiques en retard d’une guerre. Ils ont cru ruiner la Russie en trois mois et ont parié sur une révolution de palais pour évincer le Tsar. Ils se sont trompés sur tout. Mais ils ne seront ni responsables ni coupables et n’endosseront jamais la responsabilité de l’hécatombe et du désastre de leur politique belliqueuse. Car leur arrogance est intacte.
Le PIB par habitant des Italiens rejoint celui des Français titre un article des Echos (source ici).
Les dernières estimations de la Commission européenne font état d’un rattrapage de l’Italie sur ses voisins. Mais cette bonne performance ne fait pas oublier la crise démographique et une productivité amorphe qui pénalisent l’économie transalpine.