Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 562

  • L’Europe de l’Est écrit l’histoire, par Ivan Rioufol

    Le petit monde fortuné de Davos, qui s’est donné rendez-vous pour l’année prochaine avec la certitude d’être au cœur de l’histoire, ferait bien de descendre sur terre. Le “populisme”, que les puissants s’honorent de dénoncer, est une marée qui monte plus inexorablement que les actuelles inondations. Dimanche, les Tchèques ont réélu leur “Trump européen” en la personne de Milos Zeman. Il a fait de la lutte contre l’immigration son principal combat. Comme le rappelle Le Figaro de ce lundi, Zeman qualifie l’afflux de migrants en Europe “d’invasion organisée” et de “bouillon de culture” propice à des attaques terroristes. Les gens, visiblement, comprennent ce qu’il dit. Il suffit par exemple de constater l’état de la Suède, qui s’est ouverte depuis longtemps à un multiculturalisme qui se voulait exemplaire, pour convenir des désastres produits par l’arrivée massive de cultures différentes : le pays est en proie à une insécurité inédite (Le Figaro, samedi). 40% des policiers suédois sont exposés à des violences ou à des menaces. Les viols explosent. Un quart de la population affirme être affecté dans sa qualité de vie. Bref les odes à la mondialisation, repris ces derniers jours au Forum économique de Davos, ne font rêver qu’une caste de privilégiés. Ceux-ci voient en Emmanuel Macron son enfant prodige. “France is back !”, a d’ailleurs lancé le président français devant une assemblée conquise. En réalité, ni Macron ni ses dévots ne voient rien des mouvements tectoniques qui sont en train de bouleverser les équilibres européens.

    L’histoire s’écrit à l’Est. Elle s’élabore loin des médias, dans ces pays détestés par la caste mondialiste, par l’Union européenne et par le chef de l’Etat français. Dernièrement, Macron n’a pas ménagé ses attaques contre la Pologne. Elle sait pourtant de quoi elle parle, elle qui a combattu jadis l’invasion ottomane puis le totalitarisme communiste : des expériences qui laissent l’esprit en alerte devant les dangers futurs. Quand Trump est venu en juillet à Varsovie pour déclarer aux Polonais : “Vous êtes l’âme de l’Europe” (bloc-notes du 14 juillet 2017), les médias français ont négligé l’évènement. A tort. Comme le soutient le spécialiste Tony Corn dans la dernière livraison de la revue Le Débat, “Washington va s’investir massivement (politiquement, militairement et économiquement)” dans le club dit de L’initiative des trois mers (Baltique-Adriatique-Mer Noire), qui comprend douze pays membre de l’UE (les quatre pays du Visegrad plus l’Autriche, la Slovénie et la Croatie, ainsi que les trois pays baltes, la Roumanie et la Bulgarie). Selon Corn, “l’Amérique va promouvoir le rôle régional de la Pologne et de la Roumanie, deux pays qui sont considérés comme les alliés européens les plus fiables”. A Davos, l’assemblée huppée a applaudi mollement, vendredi, le président américain et ses manières de plouc. Ces économiquement snobs feraient pourtant bien de méditer le conseil de Trump, de ne “pas oublier les gens” et de “répondre aux voix des oubliés”. C’est le peuple qui fait l’histoire.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 29 janvier 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • EN ALLEMAGNE, ON LÉGALISE LA POLYGAMIE POUR LE « BIEN » DES ENFANTS !

    pink-1550x660.jpg

    En Allemagne, la polygamie est, comme chez nous, officiellement interdite, mais deux réfugiés syriens viennent de réussir à faire venir leur seconde femme. Ils ont d’abord émigré avec leur première épouse et tous leurs enfants, y compris ceux du second foyer. Que ces derniers soient privés de leur maman a semblé intolérable aux yeux des services sociaux et, pour leur « bien », la deuxième épouse a obtenu à son tour le droit de s’installer en Allemagne. Comme dans une affaire similaire qui s’est déroulée l’année dernière, les deux familles devront sans doute vivre séparément. Peut-être imposera-t-on une distance géographique d’une cinquantaine de kilomètres entre les deux domiciles. Mais il n’y aura pas vraiment d’obstacle à la poursuite de la vie polygame et les allocations familiales seront versées au père. Trouvera-t-il du travail ou se contentera-t-il des aides sociales ? Celles-ci ne seront pas nécessairement élevées, mais elles lui permettront de vivre modestement et le papa se partagera équitablement entre ses deux foyers comme le lui prescrit le Coran.

    Nous avons connu une situation similaire en France, il y a trente ans. Un juge a alors estimé que si la polygamie était pratiquée dans le pays d’origine d’un réfugié, elle devenait légale en France, puisqu’un être humain a droit à une vie « normale » et « semblable » à celle qu’il menait avant d’immigrer. Son arrêt a créé une jurisprudence qui s’est imposée à l’État. Pendant dix ans, nous avons donc introduit le plus légalement possible des secondes (voire des troisièmes ou quatrièmes) épouses. Le Parlement a fini par voter une loi pour interdire cette pratique. Néanmoins, cette interdiction apparente de la polygamie est facile à contourner. Si, en principe, les ascendants ne sont pas concernés par le regroupement familial (et, donc, l’argument utilisé en Allemagne ne peut pas s’appliquer chez nous), les parents ont le droit de venir comme visiteur (pour trois mois). Ensuite, les prétextes pour rester sont nombreux (maladie…) et, quitte à passer par une période d’illégalité, les clandestins finissent toujours par être régularisés. Le moyen le plus efficace, pour une seconde épouse, est d’accoucher chez nous (si elle le peut), surtout si son mari est naturalisé, car les parents d’enfants français sont inexpulsables en droit. Et même si l’époux n’a pas encore obtenu sa naturalisation, un bébé né sur notre sol empêche, dans les faits, le renvoi au pays de ses parents. Ensuite, les HLM sont fort compréhensifs. Souvent, ils louent aux familles polygames des appartements voisins (toujours au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant). 

    En Occident, nous nous gargarisons d’être fermes et d’imposer notre législation aux nouveaux venus. Mais, dans la réalité, nous appliquons souvent les lois et les coutumes des pays d’origine des migrants. Nous trouvons toujours un biais prétendument humanitaire pour violer notre propre jurisprudence avec la meilleure conscience du monde, au risque de faire exploser l’équilibre délicat de notre société.

    http://www.bvoltaire.fr/allemagne-on-legalise-polygamie-bien-enfants/

  • LE PRÉSIDENT TCHÈQUE SORTANT MILOŠ ZEMAN, OPPOSÉ À L’IMMIGRATION, EST RÉÉLU

    Czech-presidential-election-Milos-Zeman-910521.jpg

    Lors du deuxième tour des élections présidentielles de ces 26 et 27 janvier 2018, les Tchèques ont été appelés à choisir entre le président sortant Miloš Zeman, opposé à l’immigration et favorable à l’entretien de bonnes relations avec la Russie et la Chine, et son opposant, libéral et pro-Union européenne, Jiří Drahoš.

    Miloš Zeman, âgé de 73 ans, a été réélu pour un mandat de cinq ans.

    Lors de la campagne électorale, Zeman, connu pour ses positions politiques eurosceptiques et favorables à la levée des sanctions envers la Russie, s’est présenté en tant qu’opposant à la venue de migrants et de réfugiés et a fait placarder à travers le pays des affiches portant le slogan « Halte aux migrants et à Drahoš. Ce pays est à nous ! Votez Zeman ! »

    Miloš Zeman a cartonné dans les campagnes et chez les travailleurs manuels, alors que son opposant libéral a obtenu de bons scores dans les grandes villes au sein desquelles la population est plus pro-européenne, et parmi les professions intellectuelles.

    Depuis un changement constitutionnel survenu en 2012, le peuple a, pour la deuxième fois, élu directement son président.

    Le président de la République tchèque, qui dispose d’une fonction avant tout représentative, nomme les juges et la direction de la banque centrale, décide qui va recevoir la tâche de former un gouvernement et peut influencer l’opinion publique.

    En 2015, alors que la crise des réfugiés atteignait son apogée, Miloš Zeman avait déclaré : « Je suis profondément convaincu que nous faisons face à une invasion organisée, et pas à un mouvement spontané de réfugiés », tout en ajoutant qu’il était prêt à défendre lui-même la frontière en cas de besoin avec une arme en main.

    Lors des élections législatives d’octobre 2017, les deux partis anti-système et eurosceptiques ANO 2011 du milliardaire Andrej Babiš et Liberté et démocratie directe (SPD) du patriote Tomio Okamura avaient obtenu de très bons résultats.

    La victoire d’un candidat eurosceptique et anti-immigration lors des présidentielles confirme la tendance générale qui se développe au sein des quatre pays du groupe de Visegrád qui voit la Pologne, dirigée par les conservateurs du PiS (Droit et Justice), la Slovaquie, conduite par le Premier ministre social-démocrate Robert Fico allié, au sein de son gouvernement, aux patriotes du SNS et qui s’oppose à l’accueil de migrants musulmans, et la Hongrie, aux mains du démocrate-chrétien Viktor Orbán, se dresser contre la politique que désire imposer l’Union européenne à ses États membres en matière migratoire.

    Les électeurs tchèques ont choisi, à l’instar de leurs voisins polonais, hongrois et autrichiens, d’emprunter la voie de la démocratie illibérale et de refuser les principes de la société ouverte chère au milliardaire américain George Soros.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Européennes : Le FN continue à tendre la main à des personnalités de droite

    6a00d83451619c69e201b8d2d38623970c-320wi.jpgAprès David Rachline qui a évoqué la possibilité de laisser Nicolas Dupont-Aignan conduire une liste commune souverainiste pour les européennes de 2019, c'est au tour de Nicolas Bay d'ouvrir d'autres portes vers des élus susceptibles de rejoindre le FN :

    "Je pense à beaucoup de personnalités comme Thierry Mariani, comme Nicolas Dhuicq, comme Jean-Frédéric Poisson, comme Jacques Myard. Ils ont toujours défendu des positions pour une Europe des nations "

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ET MAINTENANT, UNE MÈRE QUI REFUSE DE DÉNONCER LE VIOLEUR DE SA FILLE PARCE QUE MIGRANT…

    L’histoire s’est passée en Suède.

    Il y a ceux qui n’éprouvent aucune haine quand des terroristes tuent leurs êtres chers.
    Il y a celles qui commencent par ne pas dénoncer leur(s) violeur(s) de crainte de déclencher une campagne anti-migrants et qui, après s’y être résolues en incriminant, au premier abord et mensongèrement, un compatriote, s’excusent auprès de tous les réfugiés de tout le mal qu’elles leur ont causé (Allemagne 2016), mais pas auprès des Allemands.

    Il y a, maintenant, des mères de famille qui se refusent à dénoncer le violeur de leur petite fille de 12 ans parce qu’elles ne veulent pas qu’il soit expulsé. L’histoire s’est passée en Suède.

    Elle a 45 ans, vit séparée du père de ses enfants, qui se partagent entre les deux domiciles. Fin 2016, elle prend à demeure un migrant âgé de 18 ans. Un mois après son arrivée, ils deviennent amants. À la lecture de l’article du Daily Mail, on comprend que, rapidement, le migrant se lassant sans doute de ses ébats avec une cougar, tourne son attention sur de la chair plus fraîche. Dosmohammadi « aime les câlins mais les câlins mènent à des baisers sur ses joues un peu trop près de la bouche », racontera plus tard la fillette, selon le rapport d’enquête.

    Un soir que les ex-tourtereaux avaient bu tous les deux, la mère quitte le salon, laissant sa fille seule avec son ex-amant. L’occasion était trop belle et le voilà qui passe à la vitesse supérieure. Il passe ses mains sous sa robe, sous ses sous-vêtements et touche ses parties génitales. La gamine se rebiffe et raconte la scène à sa mère. Sa réaction ? Motus et bouche cousue. Ne manquerait plus que les autorités renvoient son protégé en Afghanistan ! 

    Forcément très ébranlée par les comportements obscènes et de sa mère et du migrant, c’est quatre jours plus tard que la gamine, prenant son courage à deux mains, racontera à sa sœur, qui elle-même racontera à leur père ce qui se passe chez maman. Le père, lui, portera plainte.

    On en est donc arrivé là. À ce que des Européens, abrutis d’idéologie immigrationniste, en viennent, en ne bronchant pas quand leurs compatriotes sont assassinés au nom d’Allah, en ne dénonçant ni leur migrant violeur ni celui de leur enfant, à choisir la perpétuation d’actes criminels à la protection des leurs. Il paraît que c’est cela, « l’humanité d’abord »…

    La sentence pour l’amant migrant afghan ? Trois mois de prison avec sursis (il l’a promis-juré, il ne recommencera plus à caresser les petites filles), 15.000 couronnes de compensation (1.528,95 euros, qu’il ne versera très probablement jamais), cent heures de service communautaire. Et, âgé de 19 ans depuis les faits, « il n’est plus autorisé à vivre dans une maison pour mineur ». Autrement dit, il passe le balai et fait les poussières dans une maison pour majeurs. Avis aux amatrices…

    Et la mère de la petite fille ? Est-elle poursuivie pour mise en danger de la vie de son enfant ? Est-elle déchue de ses droits parentaux ? Les associations féministes l’ont-elles traînée dans la boue et, tambour battant, ont-elles mené campagne sous hashtag #balancetonmigrant ? On connaît la réponse.

    http://www.bvoltaire.fr/mere-refuse-de-denoncer-violeur-de-fille-migrant/

  • Pour le journal italien « Libero Quotidiano », les immigrés commettent dix fois plus de crimes et délits que les Italiens

    libero__comunicato_del_cdr-600x276.png

    Entre 2011 et 2015, le nombre d’immigrés a augmenté en Italie, mais également leur proportion au sein des personnes commettant des crimes et des délits, selon le journal Libero Quotidiano qui reprend les chiffres de l’agence des statistiques italienne (Istat).

    Ainsi, si seulement 5 millions d’italiens sont étrangers ou « immigrés en situation régulière », ces étrangers sont responsables de 50 % des vols , de 50% des cambriolages et de plus de 40% des violences sexuelles en 2015. Ces proportions sont d’ailleurs en augmentation depuis 2011.

  • L’absentéisme parlementaire français devient célèbre en Allemagne

    Une image en dit parfois bien plus qu’un long discours.

    Deux photos prises cette semaine permettent une comparaison significative.

    Celle du dessus montre l’Assemblée nationale française recevant le Président du Parlement allemand. A peine un tiers des parlementaires français étaient présents.

    Celle du dessous montre le parlement allemand recevant le président de l’Assemblée nationale française. Tous les députés allemands faisaient acte de présence.

    Il paraît que le Président du parlement allemand l’a mal pris.

    Et les députés macronistes viennent ensuite vous bassiner avec l’importance de l’axe franco-allemand. Pitoyables pitres…

    rencontre-franco-allemande-1.jpg

    http://www.medias-presse.info/labsenteisme-parlementaire-francais-devient-celebre-en-allemagne/86686/

  • Connexions extrémistes

    Plagiant une nouvelle fois le slogan popularisé chez nous dans les années 80  par Jean-Marie Le Pen qui s’était approprié la formule reaganienne   (America is back) dans sa version française, Emmanuel Macron a (de nouveau) assuré hier, lors de la grand messe de la mondialisation  à Davos,  que « la France est de retour » . « France is back » a-t-il assuré dans la langue de l’empire. Soucieux de montrer à nos compatriotes qu’il comprend leurs craintes (et leur colère) bien légitimes , c’est en Français qu’il a exhorté les puissants à mettre en place un « nouveau contrat mondial » face à une mondialisation « qui tire le monde vers le bas. » Faute de quoi, a-t-il solennellement  averti, « les extrémismes gagneront dans 10 ou 15 ans dans tous les pays. » A dire vrai les Français sont nombreux à constater  que les extrémistes sont déjà au pouvoir depuis des décennies. Ces extrémistes aux commandes ce sont justement aujourd’hui les  Macron, les Trudeau, les Merkel,  la Commission européenne et leurs amis.  Tous  ceux qui appliquent des politiques qui  paupérisent  les peuples,  qui imposent des directives de  destruction massive de notre identité charnelle, culturelle, civilisationnelle, de notre  souveraineté, de notre prospérité économique,  pour répondre aux ajustements obligatoires de la mondialisation,  aux règles d’airain du laisser faire-laisser passer planétarien. Bien  évidemment, dans la propagande officielle, l’épithème d’extrémiste n’est réservé qu’aux contempteurs  de ce  Système à tuer les peuples, à commencer par les plus pacifiques, notamment les hommes et les femmes du FN. 

    Les médias aux ordres, détenus par une poignée de grands groupes financiers, ne sont pas les derniers à relayer servilement la propagande de l‘Etablissement, ils en sont certes  un rouage essentiel, consubstantiel. Pourtant si l’on en croit le sondage publié hier dans La Croix, la  confiance dans Français dans les médias traditionnels progresserait, la loi macronienne  en gestation visant à criminaliser les fausses nouvelles  (fake news)  serait plébiscitée, la défiance vis-à-vis d’internet (on y trouve certes le pire comme le meilleur)  grandissante… Pourtant, à lire cette enquête dans le détail, on s’aperçoit que télévisions, radios  et journaux sont de moins en moins regardés, écoutés et lus – le décrochage est impressionnant chez les plus jeunes et dans les catégories populaires. De même, et c’est  aussi tout à fait éclairant, moins d’un Français sur quatre (24%) estime   que les journalistes exercent leur métier en toute indépendance vis-à-vis de leur direction  et des puissances d’argent (ce qui revient au même).

    Quant  aux nouvelles  technologies de communication,  de  l’information,  aux réseaux sociaux, ils ne sont pas exempts de critiques lourdes, ni de techniques de manipulation(s) dont les systèmes totalitaires du passé auraient rêvé. Il est plus largement tout sauf anecdotique  que les grands pontes de la Silicon Valley privilégient pour l’éducation de leurs enfants les vraies livres et non les tablettes, l’écriture au stylo et le tableau noir plutôt que l’ordinateur et bannissent massivement de leur sphère privée les objets connectés;  ça c’est bon pour les crétins de consommateurs matraqués par la pub qui n’ont rien compris… Bill Gates, le fondateur de Microsoft « l’une des plus grandes entreprises d’informatique au monde»,« (a) inculqué des règles très strictes à son domicile concernant l’utilisation des objets connectés.» «(Il)  ne semble pas apprécier voir ses enfants utiliser les technologies. Pour (Bill Gates) , il est important de cadrer l’utilisation des technologiques des plus jeunes (…). »

    « Il faut dire que plusieurs études ont déjà démontré l’aspect néfaste d’une surutilisation des smartphones et autres technologies, notamment sur la concentration, mais aussi sur les relations sociales. C’est une véritable dépendance qui se construit pour ce moyen de communication qui prend toujours plus de place dans nos vies, surtout chez les adolescents. Une préoccupation de plus en plus inquiétante pour les parents, mais aussi pour les chercheurs en psychologie de la Silicon Valley. On pourrait penser que Bill Gates soit de la vieille école, mais Steve Jobs semblait partager également son raisonnement. Le PDG d’Apple ne laissait pas ses enfants utiliser ses propres produits à la maison. »

    Les critiques pleuvent aussi ces derniers temps sur Facebook.  Après les révélations de son ex-président, Sean Parker,  Chamath Palihapitiya, qui en fut le  vice-président en charge de la croissance des audiences, a  balancé lui aussi  sur les méthodes (extrémistes) du géant américain. En décembre rapportait le site sciencepost « Sean Parker (admettait)  avoir aidé Mark Zuckerberg à construire un monstre et que  Dieu seul sait ce que ça fait aux cerveaux de nos enfants.  Des mots lourds de sens alors que Facebook dépasse aujourd’hui les deux milliards de membres. Chamath Palihapitiya (…)  a donc emboîté le pas de Sean Parker.   Sa mission principale était de faire en sorte que de plus en plus d’internautes s’inscrivent au réseau. L’intéressé, invité par la Stanford Graduate School of Business le 13 novembre 2017, a fait une déclaration détonante : Les boucles de réaction à court terme, dopaminergiques, que nous avons créées sont en train de détruire la façon dont la société fonctionne.  Facebook  érode les fondements du comportement des gens  at-il affirmé, avouant  qu’il éprouvait une  énorme culpabilité  pour avoir mis au point des outils qui  déchirent le tissu social . L’ancien cadre ne s’est pas arrêté là et a annoncé avoir abandonné les réseaux sociaux quels qu’ils soient, les qualifiant de merdes  que même ses enfants ne sont pas autorisés à utiliser.»

    Si l’addiction, l’utilisation compulsive desdites technologies et des réseaux sociaux produisent des effets délétères, très inquiétants,  bien réels, les Français perçoivent aussi les grosses ficelles à l’ancienne qui sont utilisées plus classiquement par nos adversaires. Celles qui visent aussi à éroder les les fondements du comportement des gens en caricaturant ou en  privant de tribune les lanceurs d’alerte qui comme Bruno Gollnisch ne parlent  pas la langue de coton, refusent  le prêt-à-penser et les faux bons sentiments. Pourtant élu  de la circonscription Grand Est, le député européen frontiste n’a ainsi  pas été invité  à participer à  la Conférence-débat La politique migratoire de l’Union européenne à l’aune de la protection des droits fondamentaux organisée le 23 février prochain à Toulon, en partenariat avec  l’antenne locale du  Bureau d’information du Parlement européen. 

    C’est Marie-Christine Vergiat,  affiliée  au parlement européen au groupe   Gauche unitaire européenne, qui a été choisie pour ronronner dans le même entre-soi avec les autres conférenciers. Une immigrationniste forcenée, favorable à l’accueil massif des immigrés clandestins (rebaptisés exilés en novlangue mélenchoniste et communiste).   Ancienne adhérente du PS, ex conseillère  au cabinet de Martine Aubry ( ministère des Affaires sociales ), ayant  siégé  de la direction de la Ligue des droits de l’homme et de la Fédération des oeuvres laïques,  Mme Vergiat  est aujourd’hui membre du Conseil national du Front de Gauche et du Parti de la Gauche européenne. Un CV qui lui donne une légitimité que Bruno Gollnisch ne saurait avoir, lui qui a le front de défendre les Français d’abord;  à commencer par nos compatriotes les plus modestes,  les plus exposés aux ravages d’une babélisation encouragée pareillement par l’extrême gauche  et la haute finance hors-sol.

    https://gollnisch.com/2018/01/25/connexions-extremistes/

  • Complot ? Mario Draghi épinglé par le Médiateur européen

    Ce n'est ni une fausse nouvelle ni un délire complotisteSource en vo.

    Après une enquête d’un an, Mario Draghi, gouverneur de la banque centrale européenne, a été informé mercredi par le Médiateur européen, Emily O’Reilly, que ses relations étroites avec le groupe G30 basé à Washington menaçaient la réputation de la banque, malgré ses assurances contraires.

    Les membres de ce club sont choisis par un conseil d’administration anonyme. Seule l’identité du président du conseil d’administration, Jacob A Frenkel, président de JPMorgan Chase International, a été rendue publique. O’Reilly a noté le secret et le manque de transparence du groupe quant au contenu de ses réunions. Elle a également demandé que tous les futurs présidents de la BCE soient interdits d’adhésion au club, qui était auparavant nommé Groupe consultatif pour les affaires économiques et monétaires internationales.

    Cette décision faisait suite à une plainte déposée par le Corporate Europe Observatory (CEO), une ONG basée à Bruxelles, qui affirmait que la relation étroite de Draghi avec le G30 était contraire au code d’éthique de la BCE. Au cours de sa présidence de la BCE, M. Draghi, économiste italien qui a précédemment travaillé chez Goldman Sachs, a assisté à quatre réunions du G30, en 2012, en 2013 et à deux reprises en 2015. Mme O’Reilly a déclaré qu’il y avait un danger que l’indépendance de la banque pourrait être perçue comme compromise par l’implication de Draghi dans le groupe, dont les membres comprennent un certain nombre de gouverneurs de banque centrale, des banquiers du secteur privé et des universitaires.

    La médiatrice a déclaré :

    “La BCE prend des décisions qui affectent directement la vie de millions de citoyens. Au lendemain de la crise financière, et compte tenu des pouvoirs supplémentaires conférés à la BCE ces dernières années pour superviser les banques des États membres dans l’intérêt public, il est important de démontrer à ce public qu’il existe une séparation claire entre la BCE, en tant que superviseur, et le secteur financier qui est affecté par ses décisions.”

    Mme O’Reilly a déclaré que toute réunion entre la BCE et le G30 devrait à l’avenir être rendue publique et que des résumés des discussions devraient être fournis.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La FPÖ autrichienne opte pour une politique extérieure originale : Strache se déclare en faveur de la sécession de la « République serbe » de Bosnie !

    1328666853.jpg

    Ex: http://www.zuerst.de

    Vienne. Le nouveau gouvernement autrichien affirme sa nouvelle politique étrangère. Un entretien dans la presse avec Heinz-Christian Strache, président de la FPÖ devenu vice-chancelier, a fait la une de la presse nationale et internationale. Cet entretien date cependant de septembre 2017. Strache s’y était déclaré en faveur de l’indépendance des Serbes de Bosnie, d’une sécession de la « Republika Srpska ». Vers la même époque, Strache avait visité la capitale serbe de Bosnie, Banja Luka, où il avait dit : « J’aimerais bien savoir pourquoi la ‘communauté internationale’ insiste toujours pour que la Bosnie-Herzégovine soit un Etat multiethnique. Un tel Etat, créé artificiellement, ne peut pas fonctionner correctement parce que les populations, qui y vivent, n’en veulent pas ».

    Ensuite, Strache avait mis l’accent sur “la nécessité, pour les Serbes et les Croates de Bosnie-Herzégovine, d’obtenir le droit de décider eux-mêmes de leurs destinées ». La seule structure politique qui fonctionne en Bosnie-Herzégovine, est la « Republika Srpska » et, disait Strache, « c’est la raison pour laquelle je ne vois pas se pointer à l’horizon un avenir positif pour la Bosnie-Herzégovine ; pour cette raison, nous devrions songer à accorder la possibilité à la ‘Republika Srpska’ le droit à la sécession ».

    L’émotion s’est amplifiée a posteriori suite à ces déclarations anciennes de Strache, maintenant qu’il est vice-chancelier. En effet, une sécession de la république serbe de Bosnie irait à l’encontre de la constitution bosniaque et du traité de paix imposé par les Etats-Unis à Dayton en 1995. Strache ne dément aucunement ses déclarations de l’été dernier. « Je défends tout aussi bien l’intégrité de l’Etat de Bosnie-Herzégovine et le droit des peuples à l’autodétermination pour que s’amorce enfin un processus de paix durable et nécessaire », a-t-il dit.

    La FPÖ défend, dans la question de la “Republika Srpska” une position qui lui est propre et qui est différente de la politique habituellement adoptée par l’Autriche dans la question bosniaque. Récemment encore, une visite du chef de la fraction parlementaire de la FPÖ, Johann Gudenus, à Banja Luka le jour de la fête nationale des Serbes de Bosnie, avait suscité pas mal de critiques. Gudenus avait accepté une décoration, pour lui et pour Strache, de la part du Président ‘contesté’ de la « Republika Srpska », Milorad Dodik.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/